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Scènes de ménages (incestueuses)

Chapitre 3

Inceste
Malgré deux abondantes éjaculations, Manu n’ a pu trouver le sommeil.Sa nuit a été hantée par les superbes seins de sa mère.Finalement, au petit matin, il décide de prendre une photo de lui, torse nu et sourire aguicheur.Content de lui, il l’ envoie sur la messagerie de sa mère, avec un petit message: Merci pour cette soirée, j’ espère que tu pourras te connecter ce soir.

Lilly se réveille dans des draps trempés de sueur.De fugaces images des rêves de cette nuit font surface.Manu, nu, s’ exhibant devant elle.Leurs corps enlacés, le désir de son fils pour elle.L’ insatiable appétit de son sexe pour le phallus de son Manu.Elle entend José sous la douche tandis qu’ une envie pressante se manifeste impitoyablement.Elle s’ éjecte du lit pour rejoindre José dans la salle de bain.
— Bonjour mon José, désolé, je dois faire pipi.
— Pas de problèmes ma Lilly... D’ailleurs tu devrais me rejoindre et faire ton petit pipi sous la douche.
— (Coquine) Espèce de cochon!
Elle se déshabille rapidement avant d’ entrer dans la douche.José manifeste une belle érection. Sans pouvoir se retenir un instant de plus, Lilly se soulage en lâchant un râle de soulagement.
Il l’ embrasse tendrement tandis que Lilly urine abondamment sur leurs pieds, sur le sexe dressé de son mari.
— (D’une voix amusée, saisissant la queue frétillante) Tu es en forme ce matin dis donc.
— Tu poussais de tels gémissements, pendant que tu dormais, que ça m’ a réveillé avant leréveil-matin.
— (Gênée) Désolé mon José... Je ne me rappelle de rien...
— Apparemment tu faisais des folies de ton corps... Et tu as prononcé plusieurs fois un nom...
Lilly sent son coeur battre plus vite, ses joues s’ empourprent soudainement.
— Vraiment? Quel nom?
— (Joueur) Figure-toi que tu disais Manu.
Lilly a un mouvement de recul.
— Mais on ne côtoie personne de ce nom...
— Heu... si, notre fils... D’ailleurs tu disais aussi: mon fils, mon fils, mon...
— (Paniquée, d’ une voix haut perchée) Arrête José! Qu’ est-ce que tu racontes?
José la prend par les mains.
— Pas de panique ma Lilly, ce ne sont que des rêves... J’ avoue que ça m’ a fait bizarre, mais bon, tu l’ aimes tellement ton Manu qu’ il fallait bien que tu rêves de ce genre de scénario.
Pétrifiée, elle regarde son mari sans trouver quoi dire.Il la serre doucement contre lui en lui caressant le dos, les fesses.Son érection semble s’ être encore intensifiée.Après quelques déglutitions, elle trouve enfin la force de répondre.
— En tout cas ça ne semble pas perturber ton zizi...
— (Ricannant) Tu semblais prendre un tel plaisir ma Lilly..... Je dois bien avouer que j’ ai failli te réveiller pour te faire l’ amour.
— (Roucoulant) Je suis là maintenant...
José l’ embrasse passionnément avant de la retourner contre le mur de la douche.Elle écarte largement les jambes, les seins écrasés contre le mur ruisselant de gouttes d’ eau.Il la pénètre presque brutalement en la tenant par les hanches.Commence de rapides va-et-vient dans le sexe incroyablement humide.Elle cabre le dos, savourant les coups de boutoirs de son José déchaîné.D’autres images de son rêve refont surfaces.Son Manu qui la chevauche avec la même force que son mari, en ce moment.Elle, léchant avec gourmandise le sexe de son fils.Les yeux fermés, elle imagine que c’ est lui qui est en train de la saillir.José éjacule en elle en poussant un long gémissement, presque douloureux.Elle le suit rapidement en se mordant les lèvres pour ne pas crier: Manu.Il parcourt sa nuque de baisers passionnés.
— (Haletant) C’ était bon ma Lilly!
— (Espiègle) Oui, j’ ai senti ça... Tu avais beaucoup à donner espèce de gros coquin.
— (Se retirant, à regret, du fourreau arrosé) Toi, tu es très coquine, une jolie coquine incestueuse.
— (Voix stridente) José!
— (rigolant comme un enfant) Ca va ma Lilly, je plaisante, je plaisante bien sûr... Quoique...
Lilly se retourne brusquement pour lui asséner une belle claque sur les fesses.
— Aïe! D’ accord, d’ accord, j’ arrête.
— (Faussement en colère) Aller, décampe de la douche gros cochon!

Lilly prépare rapidement le petit déjeuner.José, sous l’ oeil déplorant de sa femme, engouffre une baguette à lui tout seul.Tout guilleret, il s’ en va en chantonnant l’ hymne de son équipe de foot.
Elle finit rapidement de se préparer, et passe une longue journée à prodiguer son savoir faire sur les clientes désespérément bavardes.Elle repense à hier, cette étrange soirée et son lot de surprise.A ce matin, l’ incroyable ouverture de José par rapport à ce qu’ elle avait vécue dans son rêve.A sa prochaine communication avec Manu.Excitation et appréhension se livrent une guerre féroce en elle.Elle a bien faillit arracher le clitoris de cette pauvre madame Fougasse, lors de son épilation intégrale.Le soir arrive enfin.

José passe la matinée en jeux vachards avec Chamard, son "ennemi" préféré au bureau de la mairie.Ce dernier avait dévissé la chaise de José. Ce qui a entraîné une chute ridicule, devant tous les collègues, lors de la réunion du matin.Lors du repas de midi, à la cantine, José s’ était vengé en éternuant bruyamment sur l’ assiette del’ infâme Chamard.Durand la sieste, à son bureau, il a rêvé de Lilly, avec Manu, dans des situations très érotiques.Il s’ est réveillé avec une nouvelle érection, et a passé le reste de l’ après-midi à réfléchir sur cette situation.Cela faisait longtemps qu’ il soupçonnait sa Lilly d’ éprouver ce genre d’ attirance pour leur fils.Et à sa grande surprise, au lieu de lui inspirer du dégoût, les imaginer faisant l’ amour lui procurait de puissantes sensations. Une vive excitation.
Comme souvent, il arrive à la maison avant Lilly.Il avale rapidement un énorme sandwich pâté-cornichons, qu’ il fait passer avec une bière bien fraîche.Il abandonne rapidement la grille de mots-croisés, commencée il y a déjà quelques mois.
Lilly arrive enfin, trottinant vers José pour déposer un chaleureux baiser sur la joue.Sans prendre le temps d’ enlever sa veste, elle se sert un Généreux pastis et commence à parler de sa longue journée.La soirée, entre grillades et tendres caresses, se passent dans la bonne humeur.Après le film, un nanar intitulé "mon curé chez les nudistes", qu’ il voulait absolument revoir,un José fatigué lui demande.
— On va faire un gros dodo ma Lilly?
— Je n’ ai pas du tout sommeil, ça te dérange si j’ appelle Manu avant de te rejoindre.
— (Souriant malicieusement) Pas de problèmes ma chérie..... Amuses-toi bien.
— (Outrée) José!
Il court monter les escaliers en ricanant.Lilly ouvre sa messagerie et découvre la photo que lui a envoyé son fils.Le torse délicatement musclé, ainsi que le petit message, font monter rapidement l’ excitation.Elle déboutonne un peu plus son chemisier, arrange sa coiffure avant de lancer l’ appel sur Skype.La sonnerie s’ éternise...Pas de réponses.— Il doit être en train de travailler, le pauvre chéri. Pense-t-elle, partagée entre la frustration et le soulagement. Elle remet sur l’ écran la photo de son fils, passe de longues minutes à l’ admirer.Inconsciemment, à force de caresses appuyées sur ses cuisses, elle fait remonter la jupe.Le ventre contracté, elle bouge imperceptiblement le bassin.Elle se lève brusquement pour enlever cette jupe devenue insupportable, la balance sur le divan.Toujours debout, elle commence à agacer le clitoris par-dessus le string.D’un doigt, elle fait pénétrer un peu de tissu entre les lèvres intimes.Elle écarte le haut du string pour observer son sexe mouillant abondamment.Les jambes flageolantes, étourdie par cette brusque montée de désir, elle se rassoit brusquement.La photo de son fils l’ appelle silencieusement, l’ envoûte.Elle glisse une main dans son string et commence à masturber lentement son clitoris.Les cuisses largement ouvertes, elle se pénètre d’ un doigt crochu.Comme elle aurait aimée avoir la photo du sexe de son Manu en ce moment.La visualisation du phallus, bandé pour elle, fait couler un léger filet de cyprine entre la raie culière.Un autre doigt rejoint le premier pour stimuler son point G.L’ autre main malmène le clitoris comme un joueur de jeu vidéo sur son joystick.Elle bouge bruyamment sur la chaise, manque de tomber.La jouissance arrive soudainement, elle sent ses doigts inondés, le corps comme désarticulé.Une main toujours dans la culotte, elle dépose la tête sur son bras, sur la table, devant la photo rayonnante de son fils.Le sommeil l’ accueille rapidement.
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