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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine

Chapitre 17

Divers
Chapitre 17 : Les coups du destin
Morgane et Juliette se présentèrent à la porte de la directrice sans savoir ce qui les attendait.

-Entrez ! Fit cette dernière.

Lorsqu’elle pénétra dans le bureau, Morgane vit la directrice qui les attendait les bras croisés et le regard intransigeant.

-Ah c’est vous, s’exclama la principale. Bien, j’ai à vous parler.-Quelque chose ne va pas ? S’inquiéta Morgane.

La porte se referma et les deux nouvelles arrivantes ne virent pas Mathilde, la collègue de Morgane, qui était cachée derrière la porte. Elle s’avança silencieusement et se glissa aussi silencieuse qu’une ombre dans le dos de Juliette.

-Alors, comme ça, susurra-t-elle à son oreille glissant ses mains le long de son ventre, on boit trop de lait ?

L’adolescente sursauta. Elle tourna la tête et tomba nez-à-nez avec sa prof de math. C’était elle, la voisine qui lui posait plein de question ?

-Madame Hurdex ?


Les mains de Mathilde se firent baladeuses. Elles se frayèrent un passage jusqu’au doux sexe de l’élève. Cette dernière ne sut pas comment réagir et fut estomaquée de voir la directrice embrasser follement Morgane.

-Qu’est-ce que … ?-Shht, murmura Mathilde tout en lui mordillant le lobe de l’oreille. Laisse-toi faire.

La prof de math fit tomber sa jupe et passa une main entre les fesses de la jeune fille.

-Je l’ai déjà défloré à cette endroit-là, si c’est ce que tu cherches, sourit Morgane qui se faisait déshabiller par une directrice folle d’envie.-Oui, nous savons tout cela, répliqua Eugénie en saisissant le sexe reluisant de la jeune femme.

Immédiatement, comme si c’était un besoin vital, elle l’avala et le coinça dans le fond de sa gorge. Elle se mit à pomper Morgane à rythme soutenu. Inutile de dire à quel point celle-ci apprécia l’initiative.

-Mais … Waouw ! T’es vraiment doué … Comment ?-Ça n’a pas d’importance, répondit Mathilde en voyant que la directrice avait la bouche pleine. Je ne savais pas que tu visais si jeune, dit-elle en introduisant un doigt dans le vagin de la jeune élève qui se liquéfiait à vue d’œil. Mais qui pourrait t’en vouloir, elle est vraiment belle … et chaude.

Juliette gémit sous les caresses de sa prof. Elle se fit rapidement déshabillé sans la moindre forme de procès.

-Comme tu as bu trop de lait, tantôt, minauda Mathilde, tu ne verras pas d’inconvénient à faire passer tout cela avec un peu de mon jus, n’est-ce pas ?

Juliette rencontra le regard lubrique de sa prof de math. Elle sourit et quitta son air hébété pour se parer d’une mine coquine.

-J’en meurs d’envie, répliqua-t-elle en se pourléchant les lèvres.

Elles s’embrassèrent toutes les deux et, lentement, Juliette déboutonna le pantalon de Mathilde. Ses doigts s’insinuèrent entre les cuisses de sa prof et se mirent à caresser langoureusement le doux sexe au travers d’une culotte qui s’humidifiait de plus en plus. Mathilde geignit faiblement tandis que la langue de son élève faisait céder la barrière de ses lèvres. Leur langue se touchèrent, se caressèrent et se tournèrent autour dans une danse aux effluves sirupeuses.

Juliette mit fin au baiser et descendit d’un étage. Elle posa délicatement ses lèvres sur les tétons durcis de Mathilde et les suçota avec régale tout en lançant des regards lubriques en direction de sa prof. Cette dernière mit ses mains sur la tête de la jeune fille et la fit descendre davantage. Ce n’est pas tout mais sa culotte, sous les caresse de Juliette, n’allait pas tarder à ne plus être suffisante pour endiguer le nectar qui s’écoulait de son trou d’amour. Il fallait autre chose … comme la bouche d’une jeune fille assoiffée, par exemple.

Juliette saisit le subtil message (qui n’était pas du tout subtil d’ailleurs) de sa prof et s’accroupit de façon à avoir sa tête au niveau de l’objet de ses désirs. L’une de ses mains caressait toujours la vulve de la jeune femme ne faisant qu’augmenter son désir.

Elle embrassa la culotte détrempée et capta les odeurs enivrantes d’une chatte en chaleur. C’était la première fois qu’elle goûtait au jus d’une autre femme (sans compter le sperme) et l’expérience fut … déconcertante. Elle ne parvenait pas à dire si elle appréciait au pas. Elle lécha timidement le tissu et les fragrances de cyprine imprégnèrent sa bouche et ses narines. Oui, elle aimait ça.

Elle retira la culotte de sa prof et se mit à lécher, sucer, aspirer l’abricot luisant de Mathilde. Cette dernière observait son élève d’un regard brillant de plaisir et appuyait sur sa nuque pour que son cunnilingus soit plus ardent encore.

-Oh, oui Mathilde ! Gémit-elle. Mets ta langue ! Oui, plus loin.

Son entre-jambe était en feu et se liquéfiait sous les caresses linguales de la jeune élève.Morgane et Eugénie avait cessé leur ébat et observait avec appétit le couple prof/élève qui se procurait du plaisir. Morgane fit signe à Mathilde de se coucher sur le dos mais celle-ci eut du mal à comprendre le message tant le plaisir inondait son cerveau. Finalement, elle leva le pouce en l’air en signe d’assentiment.

Toujours en ayant ses mains derrière la nuque de la jeune fille de sorte à ce que sa bouche soit collé contre son sexe, Mathilde se coucha lentement sur le dos. Juliette accompagna le mouvement si bien qu’à la fin de l’opération, Juliette était à quatre patte, la croupe surélevée et prête à se faire prendre. L’anus de la jeune élève s’ouvrait comme une délicieuse petite fleur que Morgane eut immédiatement envie de butiner avec son dard.

Elle s’approcha et s’accroupit derrière ce superbe cul tendu vers elle. Sa verge était toujours aussi tendue et recouverte d’une couche de bave de la directrice ainsi que de ce liquide lubrifiant que sécrétait sa queue. Lorsque son gland, rouge et gonflé, entra en contact avec la rosette tant convoitée, Juliette releva la tête en poussant une exclamation :

-Oh, mada …

Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase que déjà Mathilde recollait sa tête contre son vagin avide d’être aspiré.

-Laisse madame Shem faire son travail, répliqua cette dernière. Occupe-toi plutôt de mon minou. Là … Voilà … Mmh … comme ça, c’est parfait ! Lèches, oui … Vas-y …

Morgane titilla la rosette de Juliette à l’aide de son gland. Cette dernière geignit mais ses gémissements furent étouffés par le sexe de Mathilde. Morgane s’empara des hanches de l’élève et, lentement, elle s’avança dans les tréfonds de la jeune fille. Son anus s’écarta de lui-même et Morgane se sentit même aspiré.

Juliette hurla de bonheur dans le vagin de Mathilde qui cria à son tour. Aussi longtemps que dura l’avancé de Morgane dans le cul de son élève, les cris résonnèrent dans la pièce. Eugénie, qui n’était que spectatrice jusqu’à présent, vint se placer au-dessus de Mathilde et lui présenta sa moule, mettant ainsi fin à son cri. La jeune femme n’eut d’autre choix que de lécher le sexe de sa directrice.

Enfin, Morgane buta contre le fond de Juliette. Sa queue n’était pas entièrement dedans mais qu’est-ce qu’elle était serrée ! C’était incroyable ! Elle débuta des mouvements de va et viens qui tirèrent à chaque fois des couinements à la jeune fille.

Le bureau de la directrice embaumait la cyprine et le sexe. Une odeur entêtante qui excitait davantage encore les quatre femmes.

La première à jouir fut Mathilde. Juliette, qui était enhardi par la bite ramonant délicieusement son cul, s’acharnait avec plus de fébrilité sur le sexe gorgé de plaisir de sa prof de math. Cette dernière eut un orgasme qui explosa au visage de son élève qui fut « forcée » de tout avaler avec régale.

Ensuite, ce fut au tour de Morgane, dont le sexe avait déjà subi une sublime pipe, de jouir. En s’enfonçant une énième fois dans les entrailles de son élève, son sexe se mit à déverser des litres de sperme qui finirent bien vite par s’échapper de l’anus tout ouvert de la jeune fille. Juliette fut foudroyé par un violent orgasme qui failli l’envoyer au pays des songes tellement c’était bon ! Son cul était plein à craquer de semence.

-Oh ouuiii ! Gémit-elle. Je suis pleine !

Finalement, il ne restait plus qu’Eugénie qui n’avait pas encore jouit. Et ce n’était pas faute d’avoir essayé. Elle regardait, dépitée, les trois femmes étendues sur le sol en train d’avoir un orgasme et de crier dans tous les sens. Son sexe était à fleur de peau et elle ne désirait que se faire pénétrer.

Elle vit que Morgane, bien qu’au bord de l’inconscience, était toujours pourvue d’une formidable érection. Elle mit cette dernière sur le dos et s’assit à califourchon sur elle. La jeune femme avait les yeux fermés et était complètement dans les vapes.

-C’est trop bon, gémissait Morgane. Mmh … Ma queue …

La directrice s’empara de l’énorme pilonne et le dirigea vers sa rosette. Celle-ci était avide d’être comblée cependant …

Eugénie lança un coup d’œil à Morgane et vit qu’elle n’était toujours pas remise de son orgasme. Agissant sous le coup d’une impulsion, elle déplaça la bite de quelque centimètre, juste en dessous de son minou détrempé. Lorsqu’elle sentit le gland entrer en contact avec son clitoris, toute hésitation déserta ses traits. Elle s’enfonça avidement sur ce sexe tendu.Elle cria. Jamais encore, son vagin n’avait été autant étiré. C’était divin !

-Oooh oui ! Putain, oui ! Hurla-t-elle. Rempli ton sac-à-sperme !

Elle dût faire une pause durant sa descente tant le plaisir était intense. Elle parvint à reprendre ses esprits et s’empala davantage. Le pilier de chair entrait en elle et semblait ne jamais vouloir s’arrêter. Elle se sentait de plus en plus rempli. Enfin, elle sentit que le fond de sa matrice entrait en contact avec le gland. Elle regarda et cessa de respirer.

L’entièreté du sexe de Morgane se trouvait en elle. Était-ce possible ? Pouvait-elle vraiment avoir un aussi gros morceau de chair en elle ? Et quelle sensation ! Elle bougeait à peine et tout son vagin lui envoyait d’irrésistibles ondes de plaisirs.

Juliette se leva et vint observer, impressionnée, la pénétration que subissait sa directrice.

-Comment parvenez-vous à mettre tout ça en vous ? S’exclama la jeune fille, impressionnée.

La directrice lui envoya un sourire lubrique et se lécha avidement les lèvres.

-L’expérience, jeune fille. L’expérience …

Juliette lui rendit son sourire et alla se positionner au-dessus de la tête de Morgane. Cette dernière se réveilla et eut pour vue le sublime cul de son élève se dirigeant vers elle. Elle tendit ses mains vers les hanches pour attirer Juliette à elle mais suspendit son geste en plein vol. Elle remarqua que les sensations que lui envoyaient sa queue étaient incroyablement délicieuse. Bien différentes de d’habitude. Ça lui rappela la jeune fille qu’elle avait sauté, bien malgré elle, en boite de nuit.

Elle baissa ses yeux sur sa vigoureuse bite. Quelle ne fut pas sa surprise de constater que la principale du collège était entièrement embrochée par celle-ci … et ce n’était pas par l’anus. Elle voulut crier pour qu’Eugénie se retire rapidement malheureusement Juliette s’abaissa sur elle et son cri ainsi que toutes possibilités de protestations moururent dans la moite intimité de la jeune fille.

-Mmh … mmhmh … Tenta-t-elle de parler.-Oui, Madame Shem. Léchez-moi autant que vous le voudrez.

La directrice s’appuya sur le ventre de Morgane et releva doucement son cul. Son trou d’amour racla délicieusement la longue queue plantée en elle. Une fois au sommet de celle-ci, elle redescendit sans pouvoir retenir un gémissement de plaisir contenu.

-Oh ! Morgane, ta queue est pas croyable !

Mathilde lorgna le trio avec appétit. Voir la directrice ainsi s’empaler la mettait dans tous ses états. Elle s’approcha de la queue de Morgane et vint en lécher la base avec gourmandise. Eugénie continuait de descendre et monter sur ce pilier de chair et gémissait en continu. Elle approchait du Nirvana.

Ses seins se ballotaient au rythme de ses va et viens. Ses gémissements se muèrent en cris incontrôlés.

-Oui ! C’est bon, putain ! Défonce-moi tout là-dedans !-Mhmmhm, répondit Morgane, toujours aux prises avec la chatte de sa jeune élève en chaleur.-Je viens ! Cria la directrice. Je jouiiiiiis !!

Elle s’enfonça une ultime fois sur le sexe de la prof et fut balayé par un puissant orgasme. Les contractions de son vagin déclenchèrent la jouissance de Morgane qui se mit à jouir en discontinue et cria dans le sexe de Juliette.

Eugénie sentait les jets de sperme violemment inonder sa matrice provoquant ainsi un second orgasme qui failli lui faire perdre conscience. La semence ne cessait de la remplir et fini par couler en épais filets le long de la queue de Morgane. Ils furent rapidement lapés par Mathilde.

-Oh, c’est bon, cria la principale. C’est trop bon, putain ! Rempli ton sac-à-sperme ! Je veux être pleine de sperme !

Elle finit par s’effondrer sur Morgane, suivit par les deux autres femmes. Cette dernière se releva prestement et alla étancher sa soif au robinet. La cyprine, c’était désaltérant mais Juliette n’était malheureusement pas une femme fontaine ! Lorsqu’elle regarda les trois femmes étendues devant elle, Morgane ne put s’empêché d’avoir un sursaut d’excitation.

Et pourtant, une catastrophe venait de survenir … Elle avait fécondé Eugénie et d’après les dires de Simon, la directrice avait 100% de chance d’être enceinte.

Quel malheur, songea-t-elle. Mais en fait … où est le problème ?

Elle observa les trois femmes puis sourit lubriquement : elle venait de prendre une décision …
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