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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine

Chapitre 18

Divers
Chapitre 18 : Les coups du destin (suite)
Morgane était éreintée. Les deux femmes ainsi que la jeune fille qui se trouvait devant elle l’étaient aussi mais pas autant qu’elle. La veille, elle avait passé une nuit entière à baiser Simon qui tentait tant bien que mal de lui résister (plus en mal qu’en bien, au final) et, après cette courte nuit de sommeil, elle avait dû donner cours. Mais ce n’était pas tout ! La veille, elle avait pris des comprimés qui avait décuplé son désir et l’effet ne semblait pas s’être estompé. Elle s’était même évanoui à cause d’une surcharge hormonale dans son sang, d’après les dires du scientifique. Elle avait donc été obligée de prendre l’une de ses élèves dans les toilettes afin de calmer ses pulsions. Et pour couronner le tout, la directrice les avait coincés, elle et Juliette et les avait toutes les deux forcé de participer à une intense séance de baise. Mathilde s’était naturellement jointe à cette séance parce que après tout, pourquoi pas ?

Donc Morgane était là, le cerveau engourdi par le manque de sommeil et les nombreux orgasmes qui l’avaient submergé. Sa queue était toujours fièrement dressée et semblait toiser avec arrogance les trois femelles qui n’avaient pas sût lui résister.

Malgré le brouillard orgasmique et cotonneux qui régnait dans son crâne, Morgane réfléchissait. La veille, elle avait gagné un pari avec Simon lui permettant de faire ce qu’elle voulait. Mais que voulait-elle, exactement ?

Elle observa la directrice. Cette dernière peinait à reprendre ses esprits et souriait aux anges. Son corps était luisant de transpiration et sa chatte suintait des filets de sperme visqueux, mais malgré tout appétissant. Oui, elle venait d’être fécondée par Morgane. Et c’était vers cela qu’étaient dirigées les pensées de la jeune femme.

Elle s’avança vers Juliette, qui était couchée sur le dos en train de reprendre son souffle, et s’assit à califourchon sur son ventre. Sa verge, énorme et luisante, vint se caler d’elle-même entre les deux seins, et parut lorgner la jeune fille de son œil unique et inquisiteur.

-J’ai une question à vous poser, débuta Morgane. À toutes les deux.

Eugénie tiqua.

-Et pas à moi ? S’enquit-elle.-Toi, lui sourit Morgane, tu n’as désormais plus le choix …


La directrice ne sut que répondre à cela. Morgane fit face aux deux autres femmes.

-Voulez-vous … porter l’un de mes enfants ?

La surprise se peignit immédiatement sur le visage des deux femmes. Juliette était toujours scrutée par le gland de Morgane.

-Mais, je n’ai que dix-huit ans, émit timidement celle-ci.-Et moi j’ai encore toute la vie devant moi, compléta Mathilde. Je ne sais pas si je suis prête …-Sachez que si vous refusez, dit alors Morgane en se parant d’un sourire malicieux, nous ne pourrons plus avoir de réunion comme nous venons d’avoir …

Mathilde et Juliette ouvrirent de grands yeux effarés.

-Alors c’est oui ! Répondit presque immédiatement la prof de math, paniquée à l’idée de ne plus connaître pareils plaisirs.

Morgane lui sourit et se tourna vers son élève. Juliette était tourmentée. Elle n’avait que dix-huit ans. Pourtant, cette bite placée à quelques centimètres d’elle l‘appelait et l’envoûtait complètement. Elle savait qu’elle ne pourrait désormais plus s’en passer.

Elle sourit à son tour à Morgane et, avec lenteur et délectation, entoura de ses lèvres le gland rougeâtre de la jeune femme et le goba entièrement. C’était sa réponse.

Morgane Jubila.

-Bien. Nous allons commencer par toi, jeune fille.

Juliette s’échina davantage sur cette queue tendue, anticipant déjà le plaisir à venir. Morgane se retira doucement de la cavité buccale et glissa telle une chatte en chaleur le long du corps de la jeune fille. Son sexe dur caressa de haut en bas ce corps si jeune et finit sa course devant l’entrée du puits d’amour. Ce petit trou moelleux et suintant qui ne demandait qu’à être rempli, comblé.

Le gland entra en contact avec la rose et poussa tendrement comme quelqu’un testant un matelas sur lequel il s’apprêtait à passer un merveilleux somme. Juliette se mit à haleter. Elle attendait cela avec impatience. Elle enroula ses jambes et ses bras autour de Morgane et se serra contre elle.

Morgane poussa un peu plus et le gland entra délicatement en élargissant les parois vaginales. Juliette ouvrit grand la bouche mais aucun son ne franchit ses lèvres tant elle était éberluée par les sensations qu’elle ressentait. Morgane sourit en voyant son expression et poussa davantage. Les yeux de Juliette s’agrandirent lorsqu’elle sentit le pilier de chair divinement lubrifier s’enfoncer en elle. Elle sentait le gland se frayer un passage jusqu’à sa matrice. C’était incroyablement bon !

-Oh, madame Shem ! Encore ! Plus loin, plus profond !

Morgane continuait lentement à pousser. Juliette se tendait de plus en plus vers sa prof car elle souhaitait l’accueillir le plus possible en elle. Finalement, la jeune élève sentit la queue de Morgane buter tout au fond d’elle. Elle gémit vivement et ne put s’empêcher de baver de plaisir.

Morgane se pencha et lécha lubriquement le filet de bave qui coulait le long de la joue de la jeune fille.

-Maintenant, tu es à moi … Susurra Morgane à l’oreille de son élève.

Elle se retira doucement et se renfonça avec volupté en faisant crier Juliette de plaisir. Bien que son sexe ne puisse aller que jusqu’à la moitié dans la chaude intimité de l’élève, elle prenait réellement son pied. Les sensations étaient complètement différentes que pour une relation anale et elle adorait ça. Et puis, le vagin de Juliette était beaucoup plus serré que celui de la directrice qui, lui, avait déjà vu passer de nombreuses choses en lui …

Juliette aussi était aux anges. Son expression indiquait un plaisir infini et ses gémissements ne pouvaient pas être ceux d’une femme feignant d’être au bord de la jouissance. Elle aimait cela, et vraiment beaucoup.

Morgane baisa son élève durant une bonne dizaine de minutes. En attendant, Eugénie et Mathilde observaient la scène en se touchant mutuellement.

Au bout de ce laps de temps, Juliette eut son premier orgasme. Elle fut prise de spasmes incontrôlables tandis que tout son système nerveux rayonnait de bonheur. Mais Morgane n’en avait pas fini avec elle.

Lorsqu’elle sentit les contractions orgasmiques du vagin autour de son sexe, elle accéléra le rythme et plongea avec vivacité dans ce puits d’amour. Les cris de Juliette s’amplifièrent et un second orgasme balaya tout son jeune corps. Celui-ci fut terrible. Juliette eut l’impression que son enveloppe charnelle disparaissait et qu’il ne restait d’elle plus que son esprit accaparé par cette jouissance extrême.

Morgane finit par jouir à son tour en s’enfonçant au maximum entre les reins de Juliette. Sa queue noya la matrice de la jeune fille sous un tsunami de semence et les deux femmes crièrent de concert. Elles s’écroulèrent l’une sur l’autre, éreintées et comblées.

Morgane ne perdit pas de temps. Elle se leva, fonça au lavabo pour boire tout son soul et se dirigea résolument ver Mathilde. Cette dernière se pourlécha les lèvres en se caressant davantage. Morgane la saisit par les aisselles et la positionna dos à elle, les mains plaquées contre le mur. Elle cala immédiatement son gland contre le sexe de la prof de math.

Bizarrement, Morgane était plus excitée après avoir niquer Juliette, qu’avant.

-Attends, tu ne vas pas déjàààààà … S’écria Mathilde.

Morgane ne lui avait pas laissé le temps finir. Elle avait poussé et sa bite était rentrée comme dans du beurre dans le sexe de la jeune femme. Déjà, elle la pilonnait agressivement en la faisant hurler.

-Oh putain, hurla-t-elle. Tu m’explose ! Moins vite. Moins viiiite !

Morgane ne décélérait pas le moins du monde et conservait son rythme infernal en grognant de plaisir.

-Morgane, je t’en prie, gémit la pauvre femme, moins fort. C’est trop bon ! Trop bon !

La jeune femme faisait la sourd oreille aux suppliques de sa collègue et continuait de la perforer violemment. Elle se pencha sur son dos et lui demanda :

-Si tu ne me dis pas comment vous avez su que je baisais Juliette, j’arrête complètement.-Non … Je ne … Oh c’est trop bon !

Morgane stoppa ses mouvements et se retira de Mathilde.

-Non, attends ! S’écria cette dernière.-Alors ?

Mathilde lorgnait la queue de Morgane avec envie.

-Des caméras … Il y a des caméras dans les toilettes.

Morgane hocha la tête en souriant.

-Je comprends, dit-elle.

Elle perfora à nouveau Mathilde en la faisant crier. La queue allait en elle avec vigueur et Mathilde avait de plus en plus de mal à soutenir ce rythme. Bientôt, l’orgasme la cueillit elle aussi et elle hurla de plus belle. Il fallut encore quelques coups de boutoirs à Morgane pour qu’elle éjacule dans sa collègue. Comme pour Juliette, ce fut de longs et puissants jets de sperme qui remplir la prof de math.

Les deux femmes s’effondrèrent l’une sur l’autre, épuisées comme jamais.Morgane mit sa bouche contre l’oreille de sa collègue murmura tendrement :

-Maintenant, toi aussi tu es à moi …

C’était un beau tableau que représentait l’intérieur du bureau de la directrice. Trois femmes nues et couvertes de sperme étaient étalées par-ci, par-là et tentaient laborieusement de reprendre leurs esprits tandis que leur sexe dégoulinait de semence onctueuse. Enfin, une quatrième femme, si c’était bien une femme, observait les autres en caressant fièrement sa queue comme un maître caresserait son chien.

Si quelqu’un était entré à ce moment, il aurait très certainement été choqué à vie par cette scène où le sexe et la dépravation régnaient en maître. Cependant, dans tout ce chaos, il n’aurait pas manqué de remarquer le sourire en coin pourtant discret qu’arborait la dernière femme.

Un sourire satisfait.

Un sourire victorieux.
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