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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine

Chapitre 19

Divers
Chapitre 19 : Problème de couples
Les neufs mois qui s’écoulèrent suite à cette merveilleuse séance de baise se déroulèrent dans une ambiance plus qu’érotique. Les quatre femmes avaient déménagé chez la directrice car elle possédait une grande maison et elles avaient trouvé une sorte de routine sexuelle. Morgane se vidait au moins trois fois par jour dans ses femmes et la maison résonnait de gémissements et de cris presque en continu. Eugénie, Mathilde et Juliette étaient immédiatement tombées enceintes et aucune d’elle ne s’en étaient plainte. Elles avaient accepté leur condition avec résignation … et beaucoup de plaisir. Toutes les trois avaient quitté leur ancienne vie pour venir vivre aux côtés de Morgane et seule Juliette avait eu du mal à tout quitter. Elle était encore jeune et partir de sa maison pour aller vivre avec trois de ses profs n’avait pas été facile à expliquer. Mais, finalement, elle avait réussi à convaincre sa famille du bien fondé de sa décision et, depuis, elle jouissait dans des explosions de sperme tous les jours.

Simon aussi avait été difficile à convaincre. Il avait d’abord voulu faire avorter les trois femmes mais face au mur d’exclamation outrées qu’elles avaient dressé devant lui, il n’avait plus jamais insisté. Tout ce qu’il pouvait faire à présent, c’était poursuivre ses analyses.

Au bout de neuf mois, les trois femmes étaient enceintes jusqu’au cou et allaient très bientôt accoucher. Mais une question se posait encore : était-ce prudent d’accoucher à l’hôpital ? On ne savait pas du tout à quoi ressemblerai les enfants. Et si jamais ils étaient inhumain ? Ou monstrueux ? Toutes ces questions tourbillonnaient dans leur esprit et les inquiétaient grandement.

-Jamais mon enfant ne sera monstrueux, s’emporta Juliette. Je le sens tout au fond de moi, il sera formidable.-Tu es sûre que ce n’est pas moi que tu sens tout au fond de toi, jeune fille, demanda Simon avec humour.

Simon vivait avec les quatre femmes et, bien qu’il soit le seul mâle de la maison, il n’avait pas beaucoup plus d’autorité que Mathilde, Juliette ou Eugénie. Celle qui menait tout le monde par le bout du doigt, c’était Morgane. Enfin, par le bout de la queue, plutôt. Actuellement, le petit groupe de cinq était en pleine discussion et comme bien souvent, ces discussions se déroulaient sans la présence de vêtement …

-Ha ha, très drôle, fit Juliette entre deux halètements.

Elle était à quatre pattes en train de se faire prendre par le jeune chercheur qui la pilonnait en s’accrochant à ses hanches.

-J’essaie … Mmh … d’avoir une conversation constructive … Mmh … moi !
Son énorme ventre touchait le sol et ses seins gorgés de lait se ballotaient dans tous les sens sous les coups de boutoirs du jeune homme.-Moi non plus je ne pense pas que nos enfants seront des monstres, dit Mathilde en sortant dans un bruit déglutition la bite de Morgane qu’elle avait dans la bouche. Et je préfère aller dans un hôpital plutôt que d’accoucher ici.

Une fois qu’elle eut dit ce qu’elle avait à dire, elle remit l’énorme membre dans sa bouche et reprit ses mouvements de vas-et-viens. D’une main, elle soutenait son gros ventre et de l’autre, elle doigtait rapidement Morgane

-Je n’ai jamais dit que ce serons des monstres, intervint Eugénie qui, elle, était pourvue d’un gode-ceinture et enculait une Morgane sur le point d’exploser. Mais ils risquent d’être spéciaux. Et si on nous retirait nos enfants ? Vous y avez pensé à ça ?

Tout en faisant des allers-retours dans les fesses de Morgane, elle l’enlaçait et collait son ventre et ses seins gonflés contre le dos de la jeune femme. Cette dernière se cambrait et poussait son cul vers le gode tout en appuyant sur le crâne de Mathilde afin qu’elle lui fasse une pipe plus profonde.

-Oh, c’est trop bon, gémit-elle. De toute façon, c’est à vous de choisir. Et il faut faire vite, on arrive bientôt au bout des neuf mois …

Il y eut un moment de blanc durant lequel tout ce qui se faisait entendre était les gémissements de Juliette et Morgane, les grognements de Simon et les bruits de gorges de Mathilde. Cette dernière finit par dégager le sexe de sa bouche et dit :

-Je veux accoucher dans un hôpital.-Oh, d’accord ! D’accord, cria Morgane en refourrant prestement sa queue dans la cavité buccale de sa collègue.

Immédiatement après, elle fut prise de spasmes et Mathilde ouvrit de grands yeux lorsqu’elle reçut toutes les salves de sperme directement dans le fond de sa gorge. Une fois la surprise passée, elle dégusta la semence en fermant les yeux de délice comme un enfant téterait son biberon.

-Vas-y ! Vas-y ! cria la jeune Juliette à Simon. Moi, vous connaissez … Mmh, oui ! Vous connaissez ma position … Mmh !-Ça, c’est sûr, haleta le chercheur qui, décidément, était de bonne humeur.

Il fit encore quelque coups en s’accrochant fermement aux hanches de la jeune fille puis il éjacula dans son vagin. Juliette jouit à son tour en mordant son poing et en serrant l’un de ses seins en main. Sous le coup du plaisir, elle le sera si fort qu’un fin jet de lait maternel s’échappa et arrosa la moquette.

Une fois que Morgane eut terminer de remplir Mathilde, elle dégagea le gode de son cul et se tourna vers Eugénie. Cette dernière sourit lubriquement à la vue du sexe dressé de Morgane et caressa d’anticipation son ventre arrondi.

Morgane souleva une de ses jambes et présenta sa queue devant l’entrée du puit d’amour de la directrice.

-Et toi, où veux-tu accoucher ?

Eugénie médita un instant tandis que toute le monde dans la pièce attendait sa réponse.

-Je crois que …

Avant qu’elle ait le temps de formuler sa phrase, Morgane enfonça malicieusement son sexe dans son vagin déjà grandement lubrifié. La directrice cria sous le coup d’un mélange de surprise et de plaisir et s’accrocha au cou de Morgane, noyant cette dernière dans sa généreuse poitrine.

Eugénie était tellement exciter que la faire jouir n’allait pas être une tâche compliquée. Elle se fit perforer ardemment par une Morgane folle d’envie qui faisait de larges mouvements de vas-et-viens. Il fallait avouer que faire l’amour avec une femme enceinte était une expérience assez différente et fort plaisante. Les trois futures mamans avaient connu des pics d’intenses désirs allant même parfois jusqu’à fatiguer Morgane !! C’était une période d’insouciance et de lubricité qui rendait tout le monde heureux.

-Oh … je crois que … Putain, oui ! Je …-Dis-nous ! Dit Morgane, la bouche pleine du lait de la directrice.-Je vais jouir, gémit-elle plutôt. Je viens, Morgane ! Je viens !

Morgane se remis à téter un sein avidement, toujours aussi assoiffée. Pour une fois qu’elle avait autre chose à boire que de l’eau, du sperme ou du liquide vaginal. Sa queue pénétrait profondément la directrice et bien qu’elle soit légèrement gênée par le ventre de la future mère, elle était au bord de la jouissance.

-Oh oui ! Eructa Eugénie. Je veux accoucher dans un hôpitaaaal !!

Morgane et Eugénie jouirent en même temps et crièrent de concert. Elles se couchèrent toutes les deux au sol et furent rapidement rejointes par les deux autres femmes. Eugénie faisait amoureusement téter Morgane qui, elle, aspirait goulument le délicieux lait maternel. Mathilde et Juliette trouvèrent le tableau amusant et eurent l’idée de presser leurs seins sur le visage de la prof de français. Cette dernière ouvrit alors la bouche et se laissa arroser par les six jets de lait sous les rires des trois femmes.

C’était marrant quand on y pensait : les quatre femmes avaient commencé par se disputer sur le fait d’accoucher à l’hôpital ou non. Finalement Morgane avait été excitée par la véhémence d’Eugénie qui, en donnant ses arguments, faisait balancer ses seins dans tous les sens. Très vite, la dispute avait viré en séance de baise et pour finir elle s’était terminée avec tout le monde d’accord et en train de rire en faisant une bataille de lait maternel. La dispute réglée par le sexe.

Simon observait en souriant le tas de femmes. La seule chose qui dépassait de cet amas de femmes rieuses et couvertes de lait était le sexe de Morgane, pareil à un drapeau qu’un conquérant aurait planté sur les terres qu’il considérait à présent comme siennes.

Quelques jours plus tard, les trois femmes, presque en même temps, avaient leur première contraction. Survint alors un évènement majeur. Un évènement qui bouleversa le monde et les médias …
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