Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 118 J'aime
  • 11 Commentaires

[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine

Chapitre 29

Les dignes filles de leur mère

Divers
Chapitre 29 :Les dignes filles de leur mère
Dix-huit ans s’écoulèrent.
Morgane poursuivit son métier d’enseignante et éleva tranquillement ses trois filles avec l’aide de leur mère respective. Erika, Cindy et Claire grandirent rapidement et sans trop de problème. Il y eut naturellement de nombreuses questions à propos de leur famille : pourquoi n’avaient-elles pas de père ? Pourquoi deux mères au lieu d’une ? Pourquoi n’étaient-elles pas comme les autres filles de la classe ?
Toutes ces interrogations, les quatre mamans ainsi que Simon s’évertuaient à y répondre le plus sincèrement possible. Ils ne voulaient en aucun cas mentir à leurs enfants chéris. Et même si, par moment, les trois fillettes paraissaient sceptiques devant les réponses obtenues, elles finissaient par hocher la tête sérieusement.
Simon, lui, poursuivit ses recherches. Il effectuait de temps à autre des tests sur les filles afin d’ajouter des précisions à son travail mais il savait que ces derniers n’étaient pas concluant tant que la molécule C3PO était toujours présente dans le corps des petites. Il attendait avec impatience le jour où cette molécule disparaitrait et cesserait alors de faire barrage au CH69X (voir chapitre 20). Il ignorait encore quels effets cela aura sur les trois filles et, malgré ses recherches avancées, il ne savait toujours pas à quoi s’attendre …
-Erika ! Attends-nous !
La jeune adolescente qui marchait en direction de l’arrêt de bus se retourna et sourit aux deux filles qui accouraient vers elle.
Erika était une superbe adolescente aux courbes généreuses. De longs cheveux noirs encadraient un visage fin et venait couler le long de ses épaules avant de se perdre dans le haut de son dos. Elle avait des yeux d’un brun extrêmement foncé si bien qu’il lui suffisait de froncer ses fins sourcils pour que son regard devienne obscur et mystérieux. Ses lèvres rose et délicate masquaient deux rangées de dents d’une blancheur et d’une netteté impeccable. Lorsqu’un rare sourire les étirait, le cœur des hommes devenait tout à coup plus léger.
-Excusez-moi, les filles. Je devais me dépêcher, j’ai un test pour mes premières heures de cours.-Alors comme ça, tu ne comptais pas nous attendre ? Tu te rends compte, Cindy ? Nous faire ça à nous ! Le jour de notre anniversaire ! -Je n’arrive pas à y croire, non, répliqua Cindy d’un air faussement offusqué.
Cindy, elle, était une jeune fille blonde au visage souriant. La première chose qui nous frappait chez elle était ses grands yeux bleus rieur soulignés par de longs cils. Ils se posaient sur tout le monde avec humour et ne s’assombrissait que très rarement. Ses lèvres éclairaient bien souvent son expression d’un éclatant sourire qui communiquait le rire dans le cœur des gens. Tout comme Erika, Cindy avait été gâté par la nature et était pourvue d’un corps absolument sublime. Tous les hommes se retournaient sur son passage pour la détailler béatement.
-Bon, dépêchez-vous, s’impatienta Erika, je ne veux pas rater mon test.-Tu entends ça, Claire ? Fit Cindy sans se départir de son expression outrée. En plus de ne pas nous attendre, elle nous donne des ordres !

Claire, elle, n’avait rien à envier aux deux autres filles. Brune de cheveux, le teint légèrement halé, des yeux vert d’une intense profondeur, elle avait tout d’une beauté fatale. Sa bouche se déformait bien souvent en un sourire taquin ou railleur qui faisait irrémédiablement fondre le cœur des garçons. Et naturellement, comme Erika et Cindy, son corps aux courbes délicatement dessinées hantait les rêves de ces mêmes garçons et leur faisait miroiter de fous espoirs.
-C’est bien ce que j’avais compris, s’exclama cette dernière.-Je vous donne des ordres, mes chères sœurs, parce que je suis la plus vieille de nous trois, asséna Erika en reprenant la direction de l’arrêt de bus.
En effet, ses trois superbes créatures au corps de rêves et au charme ravageur étaient sœur. Chacune d’entre elles étaient de mères différentes et pourtant, chacune d’entre elle était une fille de Morgane …
-Pff, de quelques minutes à peine ! Pouffa claire. A quelle heure comptes-tu rentrer à la maison ? -Je ne sais pas encore … Avoua Erika en arborant une moue pensive. Je travaillerai peut-être à la bibliothèque, ce soir.-Tu n’as quand même pas oublié la surprise que nous réservent nos chères mamans pour ce week-end ? S’étonna Cindy.-Ah oui, c’est vrai ! Soupira Erika. C’est pour nos dix-huit ans, pas vrai ?
Ses deux sœurs acquiescèrent de concert, un sourire impatient étirant leurs lèvres. Les trois filles montèrent dans le bus qui allait les amener à leur université.
-Je me demande ce que c’est ! Trépigna Cindy. Morgane avait l’air si excitée quand elle nous a annoncé qu’il y aurait une surprise ce week-end.
Dès le début de l’étrange vie familiale qu’avaient vécue ces trois jeunes filles, Morgane avait imposé qu’on l’appelle par son prénom tandis que les mères respectives de chaque fille se ferait appeler maman par leur enfant. Ceci avait pour but de facilité les échanges et pour éviter qu’à chaque fois qu’une fille appellerait sa mère, ce ne soit pas les quatre femmes qui se retourne d’un bloc.
-Je sens que ça va être géniale ! Enchérit Claire.
Erika, plus réservée que ses deux sœurs, acquiesça songeusement.
-Ça va Erika ? S’inquiéta Cindy. Tu n’as pas l’air dans ton assiette, ce matin.-Je … j’ai un peu mal de tête, avoua celle-ci. Depuis que je me suis réveillée, je me sens toute drôle …-Comment ça ?-Je ne sais pas … Je suis prise de tremblements, j’ai un peu la tête qui tourne …-Tu es sûre que c’est une bonne idée que tu ailles en cours ? Questionna Claire.-Je ne peux pas me permettre de rater mon test. Je crois qu’une fois que je l’aurai fini, je rentrerai me coucher.-C’est une bonne idée, approuva Cindy. Il faut être en forme pour ce week-end !
L’enthousiasme de sa sœur fit sourire Erika. Le bus arriva et les trois filles se séparèrent pour aller chacune à leur cour. Erika étudiait le droit, Claire, les science et Cindy, la littérature.
En cours, Erika ne se sentait toujours pas mieux. Pire, elle avait l’impression que son mal de tête n’avait fait que s’aggraver ! Le test qu’elle passait devait être quelque chose de simple pour elle mais l’énorme migraine l’empêchait de réfléchir correctement. Son teint avait blanchi, ses yeux s’était fait vitreux et elle avait la tête qui tournait de plus en plus.
Sa prof de droit s’agenouilla devant son banc et l’interpella, inquiète :
-Erika ? Est-ce que tout va bien ? Tu n’as pas l’air bien …-Je … je ne sais pas … Je n’arrive … Je …
La prof vit immédiatement que quelque chose n’allait pas bien. Elle prit Erika par les épaules et lui enjoignit d’aller à l’infirmerie.
-Et ne t’en fais pas pour ton test, tu le repasseras une autre fois.
La pauvre jeune fille approuva mollement et chancela jusqu’à la sortie de la salle de cours. Une fois dehors, elle due s’orienter pour trouver l’infirmerie mais les couloirs tournaient tellement autour d’elle qu’elle perdit tous ses repères. Elle déambula dans les couloirs comme un zombi hagard, assommée par une violente fièvre. Elle finit par s’évanouir sur les marches d’un escalier.
Lorsqu’elle se réveilla, elle reposait sur un lit moelleux et elle était recouverte de chaudes couvertures blanches. Une jeune dame était penchée sur elle et tâtait son front, la mine inquiète.
-Ah, tu es réveillée, sourit cette dernière. Comment te sens-tu ? Tu veux boire quelque chose ?
C’était une jeune femme assez jolie, avec des yeux bleus-gris et des cheveux châtains bouclés.
-Je veux bien … Où suis-je ? Je dors depuis longtemps ?-Depuis plusieurs heures, annonça l’infirmière. Un garçon t’a trouvé évanoui dans le couloir, il t’a amené jusqu’à l’infirmerie.
Elle lui tendit un verre d’eau qu’Erika s’empressa de boire.
-Tu peux me dire ce qui s’est passé ?-Je ne me sentais pas très bien, tenta de se remémorer Erika. Je passais un test quand la prof a vu mon état et m’a dit que je devais aller à l’infirmerie. Seulement, j’étais si mal que je n’ai plus su où elle se trouvait … Après, c’est le noir. Vous savez ce que j’ai ?
L’infirmière se tapota songeusement la lèvre inférieure à l’aide de son index. À court d’idée, elle haussa les épaules.
-Tu étais sans doute trop stressée pour ton test … Hasarda l’infirmière en se dirigeant vers une armoire dans laquelle elle se mit à farfouiller à la recherche d’un quelconque médicament.
Erika acquiesça vaguement. Elle savait que c’était faux mais voyait bien que l’infirmière n’avait pas la réponse à sa question. Au lieu de pousser plus loin ses investigations, elle se perdit dans la contemplation de l’infirmerie. C’était une salle grise très peu meublé avec un autre lit que le sien un peu plus loin. Un tapis aux couleurs délavées recouvrait le sol.
Le regard de la jeune fille buta sur les chaussures à talon de l’infirmière et, inconsciemment, remonta le long de ses longue jambes nues. Celles-ci luisaient sous la faible luminosité de la salle ce qui captiva davantage l’attention d’Erika. Ses yeux poursuivirent leur ascension et atteignirent les fesses de la dame qui étaient enserrées dans une jupe des plus moulante.
Erika ouvrit de grands yeux stupéfait lorsqu’elle fut assaillie par une sensation encore inconnue à ce jour. Elle baissa son regard sur son bas-ventre et vit une bosse lentement surélever la couverture.
Depuis toute petite, elle avait un sexe masculin et un sexe féminin. Elle avait posé de nombreuses questions à ce sujet et tout ce que Simon lui avait dit était que son sexe masculin ne fonctionnerait jamais comme celui des hommes. Il n’était là qu’à titre décoratif. C’était la conclusion à laquelle il était parvenu après bon nombre de tests passés sur elle et ses sœurs.
Mais voilà qu’aujourd’hui, le jour de ses dix-huit ans, alors qu’elle reluquait bien malgré elle le cul d’une infirmière un peu trop sexy, sa queue se « réveilla ». Elle grossit démesurément et devint aussi dure qu’un pilier, élevant la couverture.
La jeune fille releva prestement les genoux et sa queue vint se blottir entre ses jambes juste avant que l’infirmière ne se retourne.
-Voilà, tu vas prendre un cachet maintenant et je vais t’en donner deux que tu devras prendre ce soir et demain matin.
Elle vint s’asseoir sur le bord du lit et tendit ledit cachet à la jeune adolescente paniquée. Celle-ci s’empara du comprimé en tremblant et l’avala sous le regard attentif de l’infirmière. Leurs yeux se croisèrent.
Silence.
Pendant cet échange silencieux et un peu trop long pour être innocent, quelque chose changea dans l’esprit d’Erika. Peut-être était-ce le poids de l’innocence qui s’envola subitement ou alors la naïveté de l’enfance qui fit ses valises sans prévenir. Quoiqu’il en soit, la jeune fille devint plus sereine et plus sure d’elle-même.
Ce changement, l’infirmière le vit autant qu’elle le ressentit et elle ne fut dès lors plus à même de contrôler son propre corps. Saisit d’une impulsion subite, elle se pencha en avant et posa ses lèvres sur celles d’Erika.
La jeune adolescente fut-elle surprise ? Pas le moins du monde. Elle rendit son baiser humide à l’infirmière et poussa même l’audace de déboutonner sa jupe. Elle abaissa celle-ci et vint pétrir langoureusement les fesses de l’infirmière tout en continuant de l’embrasser.
C’était la première fois qu’Erika embrassait quelqu’un, une fille de surcroit, et elle trouvait cela extrêmement plaisant. Cette langue chaude qui caressait érotiquement sa bouche, ces dents lisses qui pinçaient sa lèvre inférieure, … Tout était délicieux. Les poitrines des deux filles étaient pressées l’une contre l’autre dans une étreinte passionnée et il ne fallut pas longtemps pour que les mains avides de l’infirmière passent sous le pull d’Erika pour venir malaxer la rondeur de ses seins.
-Mmh, gémit la jeune fille dans la bouche de sa partenaire.
Elle passa une main aventureuse sous la culotte en dentelle de l’infirmière et toucha pour la première fois le sexe d’une autre fille. Il était mou, chaud et humide. C’était une sensation plaisante qui fit durcir son érection au-delà de tout ce qu’elle aurait pu imaginer. Tout ce dont elle rêvait à présent était d’enfouir sa queue dans ce délicieux vagin aux effluves si entêtantes.
L’infirmière lui retira son pull et pétrit avec plus d’ardeur encore ses seins dont les tétons pointaient fièrement. Elle se déhanchait spasmodiquement, comme si elle suppliait la jeune étudiante d’accélérer ses caresses.
Erika renversa la femme sur le dos sans cesser de l’embrasser et ôta sa culotte en tremblant d’excitation. Ça allait être sa première fois et pourtant elle n’était pas le moins du monde stressée ou anxieuse. Il y avait en elle une assurance nouvelle qui lui enlevait toute peur de l’esprit. De plus, l’infirmière qui se trouvait à présent sous elle n’avait toujours pas vu son sexe masculin. Heureusement, car vu sa taille, Erika n’avait aucune idée de la façon dont elle aurait réagi.
Mais alors qu’elle allait diriger son sexe conter l’antre de l’infirmière, celle-ci fut prise de violentes convulsions.
-Oh ! Je viens ! S’écria-t-elle en se crispant intensément. Je jouiiiiis !
Déjà ? Songea la jeune fille.
Elle accéléra ses caresses vaginales et contempla l’infirmière se tordre de plaisir dans tous les sens. Jamais Erika n’avait vu quelque chose d’aussi beau. L’orgasme prit entièrement le contrôle du corps de la jeune femme. Son visage s’anima d’une joie immense alors que ses membres tentaient de s’accrocher à ce qui était à leur porté.
-Aah c’est booon ! Gémit-elle avec intensité.
Elle finit par retomber sur le lit, pantelante et hagarde.
Erika se demanda alors ce qu’elle devait faire. Elle était sur les genoux, sa queue incroyablement tendue se trouvant à quelques centimètres à peine du vagin d’une superbe fille mais elle ne voulait rient tenter sans la permission de ladite demoiselle. Elle se pencha au-dessus de l’infirmière et l’observa avec envie. Ce faisant, son sexe se rapprocha dangereusement de l’antre trempée de la jeune femme.
Cette dernière battit des cils et tourna un regard vitreux et empreint des traces volatiles de son dernier orgasme ravageur. Un sourire naquit sur ses lèvres, rêveur et plein d’une profonde gratitude.
-C’était … magique ! Souffla-t-elle. Recommence …
C’était plus qu’il n’en fallait pour Erika. Elle sourit à son tour et embrassa fougueusement l’infirmière qui passa ses jambes autour de la taille de la jeune fille. Erika sentit son bassin se faire pousser en avant et avant qu’elle n’ait eu le temps de se rendre compte de quoi que ce soit, sa hampe était entrée en contact avec le sexe de l’infirmière.
-Qu’est-ce que … ? Fit celle-ci en interrompant le baiser et en baissant les yeux.
Erika ne lui laissa pas le temps de finir sa phrase. Elle poussa doucement et sa queue entra dans le corps de la jeune femme.
-Aaaaah ! Cria l’infirmière en s’emparant violemment des fesses de l’adolescente.
Mais alors qu’elle faisait cela dans un geste tout à fait incontrôlé, elle poussa davantage la jeune fille dans ses propres tréfonds. La hampe brûlante et intégralement lubrifiée se fraya un passage dans la cavité détrempée et finit par buter tout au fond.
La jeune infirmière n’avait cessé de hurler durant toute la pénétration. Elle-même ignorait si elle criait ainsi sous le coup de la surprise ou alors de l’irrésistible montée de plaisir qui venait subitement de la submerger.
Erika, elle, profitait pour la première fois de la douceur et de la chaleur de l’intérieur d’une autre fille. C’était une sensation absolument exquise que de sentir son sexe tendu au maximum, la peau entièrement retroussée laissant le gland à vif dans cette cavité soyeuse et gluante.
Le corps des deux femmes était inextricablement lié. Erika posa à nouveau ses lèvres sur celles de l’infirmière et celle-ci passa ses bras autour de son cou dans une étreinte passionnée.
Doucement mais avec assurance, la jeune étudiante se mit à bouger, commandée par son instinct, dictée par son plaisir. La jeune femme se mit à pousser d’incontrôlable et langoureux geignements qui aiguisèrent immédiatement l’appétit sexuel d’Erika. Elle accéléra le rythme et, sans s’en rendre compte, elle se mit elle aussi à pousser d’orgasmiques miaulements. Son vagin se liquéfiait sous le coup de l’excitation et des gouttes de cyprine roulaient tout le long de sa hampe et venaient se mêler à la mouille de la jeune femme en rut.
Sa bite entrait et sortait avec régularité dans le sexe de l’infirmière sexy et arrachait à celle-ci des exclamations de profonde jubilation. Le corps des deux femmes ne mit pas longtemps avant de se couvrir d’une fine pellicule de transpiration qui accentua le contact entre ceux-ci et leur donna une touche nettement plus érotique.
Les seins se frottaient l’un contre l’autre, leurs mamelons tendus à l’extrême se heurtant par moment envoyant des décharges d’excitations dans le corps des deux femmes. Erika posa sa main contre l’un d’eux et se mit à le pétrir avec une envie dévorante et sans cesse croissante.
-Ah, c’est bon ! Oui ! Oui ! S’écriait vivement la jeune femme sous les pénétrations de la belle étudiante.
Erika sentait le plaisir irrépressiblement grimper en elle et son cerveau, noyé sous les nombreux assauts des vagues de jouissances, ne pouvait plus que donner l’ordre d’accélérer. Le rythme de sa queue labourant les entrailles de l’infirmière s’intensifia ardemment.
Le plaisir était à présent à son summum et les deux femmes criaient à l’unisson. Leur esprit était tant accaparé par l’orgasme à venir qu’elles se moquaient totalement du bruit qu’elles faisaient et des personnes que cela pourrait attirées.
Soudain, Erika fut prise de terribles spasmes et elle s’enfonça le plus profondément possible en s’accrochant désespérément à l’infirmière. Elle se déchargea en jouissant comme une folle, sa queue crachant de longs et délicieux jets de sperme qui eurent tôt fait de remplir la jeune femme. Cette dernière se cambra violemment et écrasa l’adolescente contre elle tellement son orgasme fut intense.
Un cri, silencieux cette fois à cause du souffle coupé par le plaisir, déforma la bouche des amantes.
De longues seconde s’écoulèrent ainsi, les deux corps entremêlés saisit de spasmes de jouissance. Pour finir, l’étreinte se desserra et la pression retomba. Erika s’appuya sur son bras et tourna son regard brillant en direction de l’infirmière.
-Waouw ! S’exclama-t-elle. C’était …
Elle s’arrêta en voyant que la jeune femme avait les yeux fermés et une expression béate éclairait son visage.
Elle est inconsciente ? S’interrogea la jeune fille.
Précautionneusement, elle se retira de son con. En faisant cela, l’infirmière fut parcourue de violents spasmes ponctués de gémissements. Elle se mit à haleter comme une chienne en chaleur et la jeune fille, ne sachant pas quoi faire, paniqua. Heureusement, l’infirmière finit par se calmer et retomba dans son état végétatif tout en conservant son expression transcendante de joie.
Erika se rhabilla tout en jetant de fréquents coups d’œil en direction de l’endormie. Celle-ci avait les cuisses largement écartées et de grandes quantités de semence s’écoulait de son vagin. La jeune fille rabattit la couverture sur le corps nu de l’infirmière et rentra chez elle.

Quelques heures plus tard, l’infirmière se réveilla en sursaut. Elle lança des regards hagards tout autour d’elle et ses mains se dirigèrent d’elles-mêmes vers son sexe. Celui-ci était couvert d’une substance gluante et tiède. Elle se mit à se doigter avec hargne, comme si elle répondait à un besoin impérieux. Elle amenait par moment ses doigts à sa bouche pour en lécher le méat onctueux dont ils étaient couverts puis les lançait à nouveau à l’assaut de son sexe avide.
Tout son corps se tendit bientôt sous les ondes d’un nouvel orgasme.
Puis d’un autre.
Puis d’un autre …
Diffuse en direct !
Regarder son live