— Bon, qui y va la première ? me demanda la métisse. — On peut y aller ensemble, ce sera plus sympa. Tiens, au fait, comment tu t’appelles ?— Melinda. Et toi ?— Sandrine. Si tu bosses ici, comment se fait-il que tu disposes d’une telle chambre dans l’hôtel ?— Le directeur de l’hôtel et sa femme ont un petit faible pour moi. Quand ils ont envie de s’amuser, ils appellent Luc, le barman, et moi et on baise tous les quatre comme des fous. En échange, Luc et moi pouvons utiliser cette chambre pour rencontrer les clients qui nous plaisent. Parfois, le directeur me demande même de mettre des caméras dans la chambre. Mais alors, je préviens les invités. Ce n’était pas le cas aujourd’hui.— Et vous faites ça souvent ?— Autant que possible. Nous avons l’avantage de ne jamais travailler le soir. Notre service se termine avec le dîner. Ensuite, nous sommes libres de faire ce que nous voulons dans cette chambre. Luc et moi avons cependant un deal : il faut que nous soyons d’accord tous les deux sur la ou les personnes que nous invitons. Pour ce soir, j’ai trouvé les blacks et toi. Il t’avait vue à la piscine et il a tout de suite marché. Jurgen et Heidi, le couple d’Allemands, étaient là pour la quatrième fois. Les hommes bi ne sont pas si courants.— Mais si exceptionnels. J’adore baiser avec eux.— Moi aussi. Nous adorons faire l’amour avec Jurgen et Heidi. Tu devrais voir les deux hommes s’enculer ! Ils n’ont pas osé aujourd’hui car ils ne connaissaient pas tout le monde et ils n’ont pas voulu mettre les invités mal à l’aise.— Rien à craindre de mon côté. Tu as aussi goûté le délicieux liquide d’Heidi ?— Mmmh… plusieurs fois. Ses éjaculations sont extraordinaires. Elle est capable de balancer le liquide à plus d’un mètre si elle est super excitée. On rêve toutes les deux d’une partouze de filles. Ca te dirait ?— Toutes les partouzes m’intéressent. Avec ou sans accessoires ?— Comme on veut. Pour une fois, Luc ne sera pas là. Il aura droit à sa partouze gay dans quelques jours, et j’en serai absente.— A part ça, Luc et toi, vous êtes mariés, amants, ou juste collègues ?— Dans la vie de tous les jours, Luc est un ami. On se connaissait même avant de travailler ici. Il arrive qu’on baise tous les deux quand on n’a personne d’autre à se mettre sous la dent, mais généralement on préfère les groupes. Aujourd’hui, il ne m’a pas touchée de toute la soirée. Ca arrive souvent et c’est tout à fait normal. J’ouvre le robinet de la douche et invite Melinda à entrer dans la cabine avec moi. Je prends le gel douche et l’étale sur ses épaules et sur ses seins. Nous nous embrassons, nos visages toujours maculés de sauce masculine. Le jet de la douche nous nettoie et je me concentre sur son corps mince et ferme, jusqu’au moment où ma main atteint sa vulve. J’écarte doucement ses lèvres et mon doigt trouve son petit clitoris pendant que ma langue lèche son cou et ses oreilles. Melinda prend mes nichons et pince légèrement le bout de mes tétons. De tendres soupirs s’échappent de nos gorges chaudes : nous avons à nouveau faim de sexe. Son vagin est tellement dilaté que je n’ai aucune peine à y enfoncer trois doigts, et puis quatre. Melinda fait de longs gémissements, elle écarte les cuisses et ouvre sa croupe pour que je puisse plonger plus profondément dans son trou. — J’adore le fist-fucking. N’hésite pas à entrer toute ta main.Je m’exécute et entame un mouvement de va-et-vient. La sensation de ma main entière contre les parois humides de son vagin m’excite : je continue à embrasser Melinda sur la bouche, dans le cou, sur les seins. Après quelques secondes de mouvements accélérés, Mélinda me mord légèrement l’épaule de jouissance, elle pousse quelques cris et s’appuie brusquement contre le mur de la douche. J’ôte ma main. La belle métisse s’accroupit dans la douche, les yeux en extase. Elle me regarde d’un air reconnaissant : ce petit jeu était pour elle, pour la faire jouir. Elle se relève, m’embrasse tendrement, attrape le gel douche et m’enduit délicatement de savon : c’est sensuel et ça me plait beaucoup. Nous achevons de nous laver en nous embrassant et nous sortons de la douche. Depuis qu’elle a joui, Melinda n’a pas dit un mot, mais elle me regarde d’un air charmé. Elle me voit remettre ma légère robe bleue et enfile un string en dentelle blanche et une robe blanche d’un érotisme torride : le décolleté, légèrement resserré par un anneau en métal au niveau de ses seins, se termine juste au-dessus du pubis. De chaque côté, le long du haut de ses cuisses et de ses reins, trois anneaux en métal joignent les parties avant et arrière de la robe. Les ficelles de son string sont bien visibles. Le dos est presque nu, et des fins lacets suspendent la robe à sa nuque. Je suis en même temps admirative et surprise.— Tu comptes aller à la boîte de l’hôtel habillée ainsi ? Tu vas te mettre toutes les clientes à dos, tu sais…— T’inquiète, ce n’est pas là qu’on va. La boîte de l’hôtel est sympa pour boire un verre, mais pas pour s’amuser toute la nuit.— Mais les autres nous y attendent !— Jurgen, Heidi et Luc savent qu’ils doivent nous attendre à minuit à l’entrée de l’hôtel. Quant aux deux blacks, je suppose que Luc leur aura dit et qu’ils nous suivront.— Tu penses quoi de ces mecs ?— Ils sont terribles. Je l’ai avais repérés hier mais ils sont partis avant que je ne termine mon service. Aujourd’hui, dès que je les ai vus au matin, je les ai invités pour ce soir. Un des trois m’a dit qu’il ne pourrait pas venir à cause du boulot, mais les deux autres ont directement accepté. Ca ne les a pas empêchés de te baiser cet après-midi !— Et ils me baiseront encore. Je n’ai fait qu’une partie de ce que je voulais faire avec eux. Le meilleur baiseur est celui qui a une longue bite, mais celui qui m’excite le plus est celui qui éjacule comme un dingue. Tu sais qu’il m’a balancé une douzaine de gros jets il y a seulement quelques heures ? Et ce soir, il nous a arrosées toutes les deux comme s’il n’avait plus éjaculé depuis deux semaines. J’ai bien envie de l’enfermer pendant 24 heures pour voir ce qui en sortira…Cette conversation me fait mouiller abondamment. Je sens mon sexe de nouveau prêt à me donner du plaisir. Comme nous sommes prêtes, je sors de la chambre. J’aperçois deux mecs bien bronzés et bien habillés : je relève directement ma robe pour leur montrer mon minou épilé. Ils me regardent, ébahis, et je vois deux jeunes filles tout aussi bien habillées sortir des chambres devant lesquelles ils attendent. Elles ne me voient pas. Déçue, je remets ma robe et rentre dans la chambre. Il y a maintenant une certitude : je veux du sexe. J’en fait part à Melinda.— Là où on va, tu vas t’éclater, je te le garantis. Et si tu veux te faire ramoner toute la nuit, tu seras servie. Moi aussi, d’ailleurs. Cette conversation sur les éjaculations m’a donné l’envie de me faire inonder le visage par une bande de mâles en rut. Tu me suis ?Je ne sais pas où Mélissa veut m’emmener exactement, mais je suis impressionnée qu’une fille d’à peine vingt ans ait des pratiques sexuelles aussi hard.— Fist-fucking, bukakke… tu as encore d’autres passions ? Avec le corps que tu as, j’ai l’impression que tu devrais faire du X plutôt que bosser dans un hôtel.— Je préfère assouvir mes perversions par plaisir, quand je le souhaite, plutôt que pour de l’argent et avec toutes les contraintes que ça comporte. Ici, je suis payée correctement et je suis libre. Pour répondre à ta question : je déteste le SM, j’adore la baise à plusieurs. Je me masturbe depuis mon adolescence et ma perversion m’a poussée à toujours aller plus loin, raison pour laquelle j’aime le fist. J’ai déjà fait un petit gang bang – ils étaient cinq. La douche de sperme, c’est un fantasme que je compte réaliser prochainement. Et toi ?— Toujours faire l’amour à plus que deux, si possible tous bi. J’ai déjà de nombreux gang bang à mon actif et je me suis déjà fait payer pour ça en club échangiste. J’ai déjà pris de belles douches de sperme. Je suis exhibitionniste mais je suis toujours attentive à ce qu’il n’y ait pas de mineurs aux alentours. Comme toi, je déteste le sado-masochisme et le bondage. Pas de scato non plus, mais j’adore la sodomie, et l’uro, ça ne m’a jamais attirée.— Heidi et Jurgen sont fans. Il y a deux jours, j’étais en congé et je suis allée boire un verre avec eux dans leur chambre. Après trois cocktails, Heidi nous a demandé, à Jurgen et à moi, d’uriner dans un grand verre. Ensuite, nous sommes allés au bar de l’hôtel. Heidi a demandé à Luc d’ajouter un peu de vodka dans son verre et elle l’a bu d’un trait, devant tout le monde. Evidemment, personne d’autre de savait de quoi le verre était rempli… Comme Luc avait un peu exagéré sur la vodka et qu’elle avait déjà bu trois cocktails, Heidi commença à être ivre et entra dans un état d’excitation sexuelle incontrôlable. Je te raconte pas la suite….Elle a voulu qu’on prenne ma voiture et qu’on aille, seules, dans un club échangiste où elle était allée avec son mari et qui se trouve à quelques kilomètres d’ici. Moi, je n’y étais jamais allée. Elle s’est fait défoncer non stop au moins pendant trois heures, tout en continuant à boire de la vodka. Il y a bien vingt types qui lui sont passés dessus. Je n’en revenais pas. Le problème, c’est qu’elle n’a jamais retrouvé ses vêtements après ça. Sans doute un type les avait-il repris en guise de souvenir et Heidi a dû revenir à poil dans ma voiture. Nous nous sommes arrêtées au premier magasin de vêtement et je suis allée lui chercher une robe pour rentrer décemment à l’hôtel. Elle était complètement bourrée.Cette salope d’Heidi me plait de plus en plus. La vue d’une femme en train de se faire baiser par un groupe de mecs est pour moi un spectacle presqu’aussi excitant que lorsque je suis moi-même cette femme. Seule quelques secondes pendant que Melinda est partie se parfumer dans la salle de bain, je fais le bilan de cette première après-midi de vacances. J’ai rencontré Melinda, qui a à peine vingt ans et tout d’une belle salope qui ne demande qu’à aller plus loin. Il y a Heidi, plus âgée et donc plus expérimentée, apparemment sans limites. J’ai baisé avec cinq mecs qui se sont tous révélés être des étalons de qualité. Les bases de mon réseau sont acquises : il suffit maintenant de l’élargir…
