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Secret de famille

Chapitre 1

Inceste
L’histoire que je vais vous raconter est classé comme un fantasme, mais je dirais que c’est plutôt une fiction qui s’appuie sur des faits réels qui ont été romancés. Le fil conducteur est du vécu, le détail des situations quant à lui est issu de mon imagination car le récit reçu n’avait pas ce niveau de précision.Mon grand-père Henri avait deux frères et deux sœurs, il était le dernier, il avait un frère, Victor 3 ans plus vieux que lui, puis une sœur Claudine de 5 ans de plus et une autre sœur Jocelyne de 8 ans plus vieille et enfin l’ainé Jean avec 10 ans de plus que lui.Je voyais souvent mon grand-père que j’aimais beaucoup. Ma mère invitait aussi quelquefois tonton Victor et tatie Jocelyne à déjeuner le dimanche. Claudine était décédée alors que je n’avais pas un an et je ne connaissais même pas l’existence de Jean.L’année de mes 18 ans, mon grand-père venait à peine de fêter ses 68 ans quand un AVC l’emporta. Le jour de l’enterrement, au moment des condoléances, toutes la famille s’aligna pour permettre aux personnes présentent de venir présenter leur sympathie. Un vieil homme que je ne connaissais pas vint se mettre avec nous. Je regardais ma mère qui me fit un signe qui voulait dire qu’elle m’expliquerait plus tard.Après la cérémonie, une collation était donnée chez ma tante, je profitais d’être seule avec ma mère dans la voiture pour lui demander qui était cette personne ?C’est ainsi que tout a commencé.-    C’est Jean, le frère de ton grand-père.-    Mais comment ça se fait que tu ne l’as jamais invité le dimanche et que je ne le connaisse pas ?-    C’est une longue histoire ma fille… et bien triste ?-    Et bien raconte-moi…-    Ce n’est pas le moment je pense… Nous étions arrivés chez ma tante et ma curiosité n’avait pas été assouvie.Jean était venu chez ma tante, mais était assez isolé du reste de la famille. Ils l’avaient tous salué froidement pour ensuite l’ignoré.J’avais un peu pitié de le voir ainsi mis à l’écart et il me faut l’avouer, j’étais aussi curieuse d’en savoir plus sur ce grand-oncle caché et semble-t-il mal aimé. Je me suis approchée de lui pour me présenter.-    Bonjour, je suis la fille de Marie.-    Enchanté, impossible de se tromper, tu es tout son portrait au même âge, aussi jolie qu’elle.-    Merci.-    Alors, 18 ans cette année, bel âge je trouve.-    Vous connaissez mon âge ?-    Oui.Dit-il en souriant. Il donna l’air de se remémorer son passé en disant cela.Trop curieuse, il me fallait aborder un sujet que je savais délicat et indiscret.-    C’est la première fois que je vous vois et que j’entends parler de vous…-    Cela ne m’étonne pas.
Dit-il en  sans me laisser finir ma phrase.-    Ta mère ne t’a jamais parlé de moi ?-    Non jamais.Il prit un air triste et voulut continuer à me parler, mais s’arrêta net.-    Bon, c’est une longue histoire…-    C’est ce que ma mère m’a dit tout à l’heure.Il me regarda un peu étonné.-    Elle t’en a parlé tout à l’heure ?-    Oui, enfin, pas vraiment, je lui ai demandé qui vous étiez et elle m’a répondu que c’était une longue histoire…-    Et rien de plus ?-    Non, si ce n’est que c’était triste.-    Triste, peut-être, mais néanmoins admirable.-    ah bon ?-    c’était…Ma tante s’approcha de nous et il s’arrêta net de parler.-    Que fais-tu Jean !Dit-elle d’un ton sec. -    Comment pouvait-elle parler ainsi à son oncle ?Me suis-je alors demandé.-    Élise tu peux venir me donner un petit coup de main ?Après m’être excusée auprès de Jean, je l’ai suivi. Étant donné ce qu’elle m’a demandé de faire ensuite, j’ai compris qu’elle voulait m’éloigner de lui, cela eut pour effet d’augmenter encore plus ma curiosité.A plusieurs reprises je regardais vers lui et à chaque fois, il me faisait un petit sourire un peu triste. Puis, il se décida de partir, et commença à dire au revoir à tout le monde. Ma mère, quant à elle fit tout ce qu’elle put pour l’éviter. Il fut donc la seule qu’il n’a pas saluée.Quand il fut à ma hauteur, il s’arrangea pour me glisser un petit mot dans la main. Son geste était discret et personne ne l’a vu faire. Je glissais ce message dans ma poche sans rien dire à personne.Le soir venu, je dépliais le petit bout de papier pour y lire le contenu :« Élise, si tu veux en savoir plus sur cette longue et passionnante histoire, vient chez moi quand tu veux, je te raconterai tout en détail.Ton grand-oncle Jean (a minima)PS : ta mère te déconseillera de venir si tu lui en parles. »Il avait ensuite ajouté son adresse et son numéro de téléphone.Que devais-je faire ? Montrer le message à ma mère ? Cela isolera encore plus ce « grand-oncle » Jean, enfin s’il pouvait être plus isolé qu’il ne l’était déjà. J’ai toujours été curieuse et je sais qu’il a raison sur un point, ma mère lui dira de ne pas répondre favorablement à cette invitation. Mais elle voulait savoir et sa mère ne semblait pas trop décidée à lui dévoiler ce secret de famille.Et enfin, pourquoi avait-il ajouté « a minima » à sa signature ?Ma décision était prise, je recherchais sur mon téléphone le meilleur itinéraire pour me rendre chez lui. Heureusement, c’était possible en transport en commun avec seulement deux changements, mais il me fallait quand même une bonne demi-heure ; je l’appelais.-    Bonjour Élise, cela me fait plaisir de t’entendre.Nous avons discuté 5 bonnes minutes de choses et d’autres, puis il me parla de son message.-    Tu m’appelles suite à mon message ? tu es d’accord pour venir ?-    Oui, si cela ne vous dérange pas.-    Mais non, au contraire, sinon je ne t’aurais pas fait ce mot.-    Vous avez une date qui vous convient ?-    Non, quand tu veux !-    Samedi après-midi, cela vous va ?-    Mais bien-sûr parfait, tu pensais venir à quelle heure ?-    Je ne sais pas, il me faut une demi-heure pour venir chez vous je peux donc être là vers 14h00/14h30…-    Je peux venir te chercher en voiture, cela serait plus simple, non ?-    Mais sur votre conseil, je n’ai rien dit à ma mère.-    Oui, pas chez toi bien entendu, mais à une distance raisonnable pour que cela ne soit pas trop loin pour toi et pas assez proche vis-à-vis d’une certaine discrétion.Nous avons parlé encore un peu puis finalement nous nous sommes rendez-vous vers 13h30 au parking de la gare qui n’est qu’à 600m de chez moi.J’étais impatiente d’être samedi, entre-temps, j’avais essayé d’en savoir plus auprès de ma mère de ce grand-oncle sorti de nulle part, mais sans grand succès. Enfin samedi, il est à peine 13h30 quand j’arrive au parking. Il me voit de loin et sort de sa voiture. Il s’avance vers moi en me faisant des signes, je lui réponds et quand j’arrive à sa hauteur, il me fait la bise pour me dire bonjour. Je suis un peu surprise car la dernière fois, pour me dire bonjour ou au revoir, nous nous étions serrés la main.Je n’y connais rien en voiture et ce n’est pas vraiment une chose qui m’intéresse, mais je dois avouer que sa voiture est magnifique. Elle brille, mais je suppose qu’il vient de la laver, mais elle est aussi très confortable et les sièges en cuir sont magnifiques.Alors que je lui fais la réflexion, il me montre un bouton en me disant d’appuyer dessus et je sens un léger mouvement au niveau de mes lombaires.-    Et en plus elle masse ?En m’entendant s’extasier de la sorte, il éclate de rire.-    Aussi naturelle et enthousiaste que ta mère !Je n’ose pas lui en demandais plus sur ma mère et son histoire, je pense qu’il vaut mieux attendre que nous soyons chez lui.Une superbe résidence, il emprunte la voie qui dirige vers le parking de l’immeuble, la porte s’ouvre sans qu’il n’ait besoin de faire quoi que ce soit.-    J’ai un badge là et le système d’ouverture en le reconnaissant ouvre automatiquement la porte.M’explique-t-il en me montrant un petit émetteur au bas de son pare-brise.Nous prenons ensuite l’ascenseur pour nous rendre au dernier étage. Tout au long de la montée, il me regarde avec un réel intérêt, vante ma beauté et la compare à celle de ma mère au même âge.-    Vous avez le même petit regard à la fois espiègle et coquin. Ses doigts replacent une mèche de mes cheveux.-    Ses cheveux étaient châtains à l’époque, j’ai vu qu’elle était blonde maintenant, cela lui va très bien.Un grand sourire illumina ensuite son visage.-    Mais j’ai toujours préféré les brunes, comme toi… ce brun auburn…Je ne savais pas ce que je pouvais lui répondre à tous ces compliments.-    Brunes aux yeux vert, c’est le style de femme que je préfère, vert comme ses yeux et aussi les tiens, brunes comme elle ne l’était pas, mais comme tu l’es.En disant cette dernière phrase, ses yeux plongèrent dans les miens. Je ne savais pas ce que je devais faire, je commençais même à regretter d’être venue quand la porte de la cabine me sauva de cette étrange envoutement ; nous étions arrivés.L’appartement est immense, nous étions dans un fastidieux séjour peu meublé. Les murs étaient blancs avec quelques toiles d’art moderne, le canapé en cuir de la même couleur était aussi d’un design très moderne. On ne s’attend pas du tout à voir ce style de décoration chez un homme de plus de 70 ans…Devant mon étonnement, il me précisa qu’un architecte d’intérieur s’était chargé de la décoration.-    Que veux-tu boire ?Me demanda-t-il en m’invitant à m’asseoir dans le canapé.-    Je ne sais pas, que me proposez-vous ?-    Café ?-    Parfait !Il s’absenta quelques minutes pour revenir un plateau à la main.J’étais habillée d’un jean blanc et une tunique noire avec des manches transparentes. Le décolleté n’était pas « aguicheur », mais je ne pouvais ignorer son regard qui s’attardait souvent sur ma poitrine.Heureusement que je n’étais pas en jupe et que la blouse descendait assez bas pour couvrir mes fesses, car sinon, je dois avouer que mon jean dessinait mes fesses de manière très précise.Il commença par me parler de moi, de me demander ce que je faisais dans la vie et me félicita quand je lui ai dit que j’étais en première année de Licence Langues étrangères appliquées -    Et quelle langue ?-    parcours Anglais/Allemand.Mais je n’étais pas venue pour parler de moi, mais plutôt de lui et de tout ce mystère qui l’entoure.-    C’est une longue histoire…-    Oui je sais, vous me l’avez déjà dit et ma mère aussi.-    En fait tout a commencé il y a plus de 25 ans, ta mère venait à peine d’avoir 20 ans… Il commença alors son récit :-    Je suis l’ainé de la famille, ton grand-père le cadet. Nos caractères sont très opposés, il est calme, posés et très conventionnel. Moi, j’ai toujours été un « excité » de première qui aime la vie et jouir de ses plaisirs. Je ne me suis jamais marié, à l’époque cela paraissait étrange, je pense que certains pensaient même que je devais être homosexuel.Voilà donc le secret, il est vrai qu’à l’époque cela n’était pas vraiment bien vu et cela est un euphémisme.-    Mais ils se trompaient, j’aimais les femmes, je peux te l’assurer.Je n’étais donc pas plus avancée…-    Et mon âge ne m’empêche nullement de les apprécier toujours autant.En disant cela, il me fixa droit dans les yeux et quand mon regard fut emprisonné dans le sien, il me fit un petit clin d’œil en souriant.-    Mais bon, pour l’instant là n’est pas le propos.-    Pour l’instant… que voulait-il dire par là ? Mais j’étais trop impatiente d’entendre la suite de cette histoire pour lui poser cette question à haute voix.-    Ta mère venait d’avoir 20 ans, tes grands parents avaient organisé une fête, mais je n’ai pas pu m’y rendre ce soir-là. J’ai donc donné à ton grand-père le cadeau que j’avais prévu de lui offrir pour qu’il lui remette ce jour-là.Il m’expliqua qu’il n’habitait pas la région à l’époque et qu’il n’est revenu dans la région qu’après son départ en retraite.-    Elle m’avait écrit une superbe lettre pour me remercier et je lui avais répondu que pour me faire pardonner de mon absence à son anniversaire, que je l’invitais à venir passer les deux mois d’été  chez moi.Il habitait un petit village perdu dans la creuse.-    J’étais propriétaire d’un hôtel pour chevaux…En fait, de ce que j’ai compris, il avait une écurie et proposait au propriétaire de chevaux de les mettre en pension chez lui. -    A l’époque j’en avais une petite vingtaine.Bien entendu, aucun de ces chevaux n’étaient à lui.-    Cela me rapporta un beau petit pécule.Bon, je commence à comprendre comment il s’est payé ce magnifique appartement avec en plus une terrasse sur le toit, mais cela ne m’avançait pas vraiment dans ma recherche de connaitre la vérité.-    Je me souviens que cela n’enchantait par trop ta grand-mère, la femme de mon frère, de laisser partir sa fille seule chez moi. Ton grand-père lui était enchanté.-    Vous étiez en bon terme à l’époque alors ?-    Oui, même si j’ai toujours été le vilain petit canard…Un nouveau petit clin d’œil accompagna son propos.-    J’ai été la chercher le 1er juillet. Elle était heureuse de venir, elle n’était jamais venue chez moi et s’en faisait toute une joie.-    Étrange, elle a une peur bleue des chevaux.-    Oui, j’ai pu le voir quand elle est entrée la première fois dans l’écurie. C’est d’ailleurs grâce à cette phobie que tout a pu avoir lieu.Je le regardais un peu étonné, mais ne voulant lui faire perdre le fil de sa conversation, je ne fis aucun commentaire.-    A proximité d’un box, un cheval donna un coup contre la porte, Marie prit peur et vint s’accrocher à moi. Son geste m’a surpris et j’ai basculé en arrière, l’entrainant involontairement dans ma chute.Je commençais à deviner la suite.-    Nous nous sommes relevé, nos habits couverts de poussières et de pailles. Nous avons éclaté de rire, puis j’ai commencé à frotter sa robe avec ma main pour la nettoyer un peu. Comme je te l’ai dit, j’ai toujours aimé les belles femmes et ta mère était devenue une vraie femme et elle était presqu’aussi belle que toi.Je rosis un peu, il était assis à côté de moi sur le canapé et me voyant un peu troublé par ces propos, il avança sa main et caressa délicatement ma joue avec sa paume.-    Je pense que je t’en ai déjà trop dit, je ne voulais pas te perturber.-    C’est-à-dire que…-    Oui je sais, cela fait beaucoup, si tu veux, nous continuerons plus tard.Je n’osais lui demander de continuer, pour ne pas paraitre trop impatiente pour connaitre la suite de cette histoire et surtout lui faire voir que je prenais un réel plaisir à imaginer la suite de leur relation. Mais j’avais vraiment envie d’en entendre davantage.-    Promis, la prochaine fois que tu viens, je te raconte la suite.Il se rapprocha de moi, sa main toujours sur ma joue, il déposa un petit baiser sur mon front.-    C’est aussi pour moi une manière de faire en sorte que tu reviennes.Il n’était qu’à quelques centimètres de moi et il pouvait lire sans problème le trouble que je ressentais.-    Tu as envie de revenir me voir ?-    Oui !La rapidité de ma réponse me surprit autant que lui. Il fit un grand sourire et me demanda en prenant un petit air charmeur.-    Tu as peur des chevaux ?Puis sans attendre ma réponse posa sa deuxième main sur l’autre joue et en tenant ainsi mon visage, approcha ses lèvres des miennes pour y déposer un baiser. Je fermais alors mes yeux et entrouvrais mes lèvres pour recevoir son baiser, mais il se retira sans chercher à faire un baiser plus charnel. J’étais finalement déçue qu’il ne cherche pas un vrai baiser, mais je savais qu’il avait raison, c’est quand même le frère de mon grand-père.Oui, c’était mon grand-oncle, mais ma mère, n’était-elle pas sa nièce ?Bon mon imagination est peut-être plus perverse que la réalité, peut-être que je me fais des illusions sur ma mère et lui… peut-être qu’il y a eu effectivement cet « incident », ce trouble et que ma mère en a parlé à ma grand-mère… à l’époque, cela suffisait largement pour faire des histoires… enfin, aujourd’hui, cela serait peut-être la même chose.Mieux vaut que je ne dise rien à ma mère de ce chaste baiser.
-    Tu veux une autre tasse de café ?-    Non merci.-    Un petit pousse-café.-    Non, non je n’ai pas l’habitude de boire de l’alcool, je vais être pompette.Dis-je en éclatant de rire. Il n’insista pas et me proposa ensuite de visiter son appartement. Un petit escalier au fond du séjour donne sur le toit de l’immeuble.-    J’ai fait une demande pour y installer une piscine, j’attends la réponse du syndic.-    Une piscine ?J’étais impressionnée. Pour l’instant, il y avait des arbustes plantés dans des grands bacs qui faisaient tour le tour de la terrasse une moquette imitation pelouse un salon de jardin et des transats. Il s’approcha du bord et m’appela. J’hésitais à venir car sans l’être de manière exagérée soumise au vertige, je n’aimais pas trop m’approcher à proximité du vide, mais comme il insistait, je me suis quand même dirigée vers lui.-    Regarde !Je m’approche doucement, mais n’ose pas me pencher pour voir derrière les arbustes.-    Ne t’inquiète pas, je te tiens.Dit-il en posant ses mains sur mes épaules. Je me penche un peu…-    C’est haut !Dis-je en faisant un mouvement en arrière. Il tient toujours par les épaules et mon geste faillit nous faire basculer. Il éclata de rire.-    Tu es bien comme ta mère.Puis, prit un air sérieux  et ses mains toujours sur mes épaules me firent pivoter pour me retrouver face à lui.Nous étions maintenant face à face et il me fixait avec une intensité qui ne pouvait que me troubler. Il s’approcha, posa une nouvelle fois ses lèvres sur les miennes, comme la dernière fois, je les entrouvris, mais cette fois, sa langue se glissa dans mon palais pour endiabler la mienne.
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