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Secret de famille

Chapitre 9

Inceste
Cette nouvelle expérience, celle de ce voyeur qui m’a caressé en se masturbant, m’avait surprise, mais de manière agréable. La peur passée, j’ai pris un réel plaisir et la langue du coquin à défaut d’être bien pendu, il ne m’a dit aucun mot, était efficace.Le jeu ourdi par Jean, m’a permis de prendre conscience que j’aimais être admirée. Je n’ai jamais fait partie de ces filles qui s’offusquent quand un homme les aborde, même si je n’ai jamais aimé la manière dont les jeunes de mon âge le font. Ses mains, sa langue… mon corps se laissait guider par le plaisir que Jean m’offrait par l’intermédiaire de cet inconnu. Le coquin se montrait plus audacieux et Jean ne cherchait nullement à freiner son ardeur. Quand j’ai finalement joui, je n’ai pas su taire mon orgasme. L’inconnu, certainement fier de ce qu’il venait d’obtenir, se redressa, d’une main il caressa ma poitrine et de l’autre commença à se masturber frénétiquement. Il macula finalement mon corps en accompagnant son éjaculation d’un râle aussi puissant que celui que j’avais laissé échapper peu de temps avant. Jean offrit ensuite une lingette à notre inconnu qui nettoya son sexe avec. J’ai voulu en prendre une aussi, mais il m’arrêta.
-    Non, attends !
Quand notre quidam eu terminé sa toilette, Jean lui tendit une nouvelle lingette et fit un signe en ma direction. Notre « nouvel ami » n’a pas eu besoin d’explication, il commença à nettoyer mon corps. Il prenait son temps et en profitait pour s’amuser encore avec mon corps… quand le sein droit fut complétement nettoyé, il le téta. Jean le regarde faire sans rien dire, mais comme celui-ci semblait vouloir s’éterniser il lui fit comprendre qu’il n’avait pas fini sa tâche. Il nettoya le sein gauche et, là encore il le téta aussi longtemps qu’il le put. Jean dû une nouvelle fois lui faire remarquer qu’il y avait encore du liquide blanchâtre sur mon ventre et sur mon front. Quand enfin je fus complétement nettoyée,  le voyeur se tourna vers Jean et lui demanda la permission pour m’embrasser. Jean se tourna vers moi, je lui fis signe « non » de la tête. Il se mit à rire.
-    Seulement sur son front.
Le voyeur fut un peu déçu, mais ne chercha pas à négocier un baiser plus sensuel et vint déposer ses lèvres sur mes cheveux pour les embrasser.Quand il est parti, Jean s’est approché de moi et m’a dévoré les lèvres avec gourmandise.Ce qui m’a le plus perturbée, ce n’est pas cette expérience, mais c’est ce que Jean m’avait dit au sujet de ma mère et surtout de sa grossesse.Ma mère avait toujours évité le sujet et ne parlais jamais de mon père. J’ai toujours pensé que le souvenir était trop triste pour elle et qu’elle n’arrivait pas à revenir sur cette période. Mais voilà… Jean sans pour autant faire le rapprochement, a déposé une petite graine dans mon esprit. Avant cette révélation de mon grand-oncle, je n’avais pas vraiment prêté attention aux dates.Je savais qu’ils avaient eu une liaison sur la durée, celle-ci était restée secrète et d’après lui, personne n’avait découvert le pot-aux-roses. Elle l’avait, à l’époque, quittée sans lui en donner la raison. Il lui avait dit qu’il lui avait écrit à plusieurs reprises et que ses lettres avaient été à chaque fois refusées. Puis un jour, pour un prétexte insignifiant, il s’était fâché avec son frère et tout le reste de la famille avait suivi mon grand-père. Depuis ce jour, il n’avait que des contacts limités et froids avec le reste de la famille.
Il n’a appris ma naissance que quelques années plus tard, on lui a dit que ma mère avait un petit ami qui l’avait mis enceinte et qu’alors qu’ils devaient se marier pour régulariser la situation, mon père est mort dans un accident de voiture. Mais après les propos de Jean, je commençais à douter de cette version. Sur le chemin du retour, après cette rencontre que j’avais cru involontaire, avec un voyeur, Jean avait gardé le silence pour me laisser digérer ce que je venais de vivre. Mais je cherchais, quant à moi, à évacuer ce souvenir, non pas parce qu’il n’était pas agréable, mais au contraire, parce qu’il l’était. J’avais, je dois l’avouer un peu honte d’avoir aimé ce que Jean venait de m’offrir. J’ai l’habitude chaque soir que possible, d’écrire mon journal et j’imagine que ma mère devait faire la même chose quand elle était plus jeune. En rentrant chez moi, persuadé que ma mère ne me dirait rien, j’ai donc décidé de fouiller la maison de fond en comble. Cela me prit deux jours, car je ne pouvais le faire que lorsque j’étais seule. Malheureusement je n’ai rien trouvé. C’est alors que je me suis dit que si elle avait écrit un journal, c’était lorsqu’elle vivait encore chez ses parents, donc si elle l’a gardé, il doit être dans le grenier de mes grands-parents.Je me suis donc retrouvée, le lendemain soir à fouiller le grenier de ma grand-mère. Je n’ai pas eu trop de mal à la convaincre de me laisser fouiller, car elle était trop heureuse que je veuille avoir un souvenir de mon grand-père, prétexte que je lui avais donné. Elle avait dans un premier temps voulu m’aider, mais là encore j’ai réussi à écarter cette idée.J’ai rapidement trouvé une photo de mon grand-père en militaire, je l’ai mise de côté pour donner vie à mon prétexte quand j’aurais fini les fouilles. Après une petite heure de recherche, j’ai déniché un petit coffre fermé à clé. Heureusement pour moi, la clé était accrochée à celui-ci par une petite chaine. En ouvrant, j’y ai découvert des enveloppes adressées à une boite postale. J’ai ouvert la première enveloppe et j’ai vu que la lettre qu’elle abritait était destinée à ma grand-mère. J’ai donc tout simplement remis le papier dans l’enveloppe et repris ma recherche.
Mais voilà, j’avais bien entendu une quête bien plus importante. Il me fallait la preuve de ce que je supputais, mais la curiosité est souvent bien plus forte que la raison et après avoir bougé deux ou trois bricoles dans le grenier, je suis revenue vers le coffre et j’ai commencé à lire la correspondance de ma grand-mère.J’avais l’intention de parcourir rapidement ces courriers, mais en m’apercevant que le correspondant de ma grand-mère n’était autre que son beau-frère, le frère de son mari, l’oncle de ma mère… mon amant. La surprise fut complète… mon grand-oncle n’avait pas été seulement l’amant de ma mère, il avait aussi été celui de ma grand-mère.Quand toutes les enveloppes du coffre furent ouvertes et toutes les lettres lues, je me suis aperçue qu’au fond de ce coffre, il y avait aussi un gros cahier. Ma grand-mère tenait un journal.Si les courriers étaient intéressants à lire, le journal était passionnant. C’est ainsi que j’ai appris qu’un jour, mon grand-père, ivre a sodomisé son épouse. Il était saoul et quand il se réveilla le lendemain matin, il s’excusa, mais ma grand-mère ne voulut rien savoir et elle fit ce qu’elle appelait « la grève »… c’est  à dire qu’elle lui interdisait de la toucher. Je ne savais pas ma grand-mère si têtue car cela dura plus d’un an. Elle était en « grève » depuis presque 3 mois quand elle céda aux avances de son beau-frère. Cela est arrivé un soir ou son époux était une nouvelle fois saoul. Il n’était pas alcoolique, mais à chaque fois qu’il y avait une occasion de faire la fête, il ne savait pas limiter sa consommation d’alcool. Son frère buvait peut-être autant, mais tenait mieux le vin. Son mari s’était endormi la tête posait sur la table et elle demanda à son beau-frère de l’aider à le mettre au lit. Ils le tenaient comme il pouvait et à plusieurs reprises, leurs mains se touchèrent. Puis des regards et quand ils se retrouvèrent seuls, un silence gênant s’installa. Le beau-frère décida finalement de partir et s’approcha pour lui faire la bise… mais sans que ni l’un ni l’autre ne comprenne, ils se retrouvèrent à s’embrasser avec vigueur. Ce ne fut que le lendemain, quand il est revenu voir ma grand-mère qu’ils ont fait l’amour pour la première fois. Cela a ensuite durée plusieurs mois… et un jour, elle s’est aperçue qu’elle était enceinte.
Elle a paniqué et le soir même elle a été retrouvée son mari pour mettre fin à la grève.
Ma mère n’était donc pas prématurée. Ni mon grand-père, ni son frère n’ont jamais su la vérité.Je cherchais autre chose, mais ce que je venais de découvrir était encore pire.Mon amant était le père de ma mère, mais aussi son amant et devais-je chercher encore plus loin ?C’était vraiment trop… je voulais savoir, mais le doute était bien trop faible pour ne pas être déjà une certitude : je suis aussi sa fille.
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