Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 65 J'aime
  • 6 Commentaires

Le secret de Gaëlle

Chapitre 1

Trash
Après une journée ennuyeuse au boulot, rien de tel qu’un train bondé sous une chaleur à peine supportable. Une goutte de sueur coule le long de mon dos. Je me demande si ça va beaucoup se voir sur mon haut quand je vais sortir de là… si je sors un jour. Le train commence à ralentir, alors qu’il vient juste de quitter la station. Mon sac à main est lourd dans ma main et je ne peux pas mieux le positionner, compressée comme je suis.Je sens une légère pression sur ma fesse droite. Est-ce que j’aurais droit à un pervers frustré qui profite de la proximité forcée des transports en commun pour satisfaire son vice puérile ? Une pression plus appuyée me convainc que j’ai tiré le gros lot aujourd’hui. Non mais sérieusement, c’est quoi leur problème à ces pauvres types ?! Ils sont trop laids pour pouvoir se taper une fille normalement, c’est ça ?Le gaillard doit s’enhardir un peu car c’est maintenant une main que je sens m’empoigner la fesse lors d’un freinage un peu brusque du train. Le salaud me malaxe sans scrupule tandis que j’essaye de me déplacer pour le fuir. Bingo ! Je parviens à m’extraire à ces attouchements inconvenants. Personne ne semble avoir remarqué quoique ce soit dans le wagon.A l’arrêt suivant, des gens essayent de descendre et le quai est encore plus bondé. La poisse ! Avec ces migrations, le pervers s’est bien replacé derrière moi et m’agrippe le cul pour frotter la bosse de son jean dessus. Je me sens sale d’être utilisée comme ça. Il n’est plus un pauvre type frustré, mais un prédateur sexuel et moi son jouet.Aussitôt, je sens une divine chaleur s’emparer de mon bas-ventre. Oui, je dois bien vous l’avouer, j’adore être un objet sexuel. C’est mon petit secret à moi. Personne n’est au courant de cette facette dans mon entourage. Je suis Gaëlle, une assistante comptable tout ce qu’il y a de plus conventionnel et normal, mais j’ai des pulsions sexuelles que beaucoup qualifieraient de malsaines. J’ai même un réseau de partenaires réguliers qui, dès que je les appelle, viennent chez moi me baiser jusqu’à plus soif. Je me fais prendre comme une chienne par tous les trous sous une marée d’insultes, ce qui me procure de multiples orgasmes et satisfait mes besoins primaires. Je suis une vraie salope.La dernière soirée de ce genre remonte à au moins 2 semaines maintenant et ma libido vient crier famine. Du coup, cette queue bien dure qui se frotte compulsivement contre mon postérieur m’excite énormément. Seulement là, je suis dans la vraie vie, je ne suis pas mon double lubrique. Il y a des gens autour de moi et je ne dois pas me laisser aller à mes bas instincts.« Allez Gaëlle reprend-toi. Ne le laisse pas continuer. »Mais mon manque de réaction encourage mon pervers dans sa démarche. Il remonte ma jupe pour passer une main dessous. Instinctivement, je me mets sur la pointe des pieds pour l’aider. « Quelle salope je fais » Rien que d’y penser, je mouille abondamment.Monsieur est apparemment pressé, car ses doigts filent directement sous ma culotte. J’imagine qu’il est surpris de trouver ma chatte trempée comme ça. Il doit se dire que je suis une chienne en manque de bites. Comme un écho à cette pensée, il glisse directement 2 doigts dans ma vulve. Malgré l’abondance de lubrifiant, cette pénétration brutale est un peu difficile. Tant mieux, j’adore quand ça fait un peu mal. « Gaëlle t’es qu’une trainée. Tu kiffes te faire doigter par un inconnu dans le train. »Je me cambre au maximum et écarte les cuisses un peu plus. C’est tellement bon de sentir ces doigts inconnus me fouiller comme ça. J’aimerais qu’il n’y ait plus personne autour de nous et qu’il me baise comme la chienne que je suis. Je peine à garder les yeux ouverts et donner le change pendant que ces doigts me pénètrent en cadence. A certains moments, on entend un petit bruit obscène et je vois plusieurs personnes qui s’interrogent sur leur origine. J’ai envie de leur dire « Ne vous inquiétez pas, c’est parce que j’me fais défoncer ».En parlant de ça, mon pervers essaye d’introduire un troisième doigt, puis un quatrième très vite. Il doit se dire qu’il a tiré le gros lot avec une salope comme moi. Il ne doit pas se douter que je suis au quotidien une fille douce et sage.Bon, quatre doigts, c’est franchement pas terrible dans cette position. Mais je ne montre rien car je lui appartiens en ce moment. Il peut faire tout ce qu’il veut avec moi. Et dire que je ne connais même pas son visage…Je ne sais pas s’il partageait mon sentiment sur l’inconfort de cette position mais ses doigts sortent brusquement de ma chatte et badigeonnent l’entrée de mon petit cul avec ma mouille. « Oh oui… » c’est la partie que je préfère. J’adore plus que tout quand mon partenaire m’emplit le fondement. C’est si dégradant que ça me fait jouir pratiquement à chaque fois. Peut-être est-ce dû à mon éducation catholique.Il commence par rentrer un doigt dans mon cul et je ne peux m’empêcher de fermer les yeux un instant. C’est tellement bon de sentir son sphincter s’ouvrir de manière forcée comme ça. Je suis en extase. « Gaëlle, t’es vraiment qu’une petite pute. T’as envie de te faire défoncer, hein, salope ! » Oh oui, ce que je peux en avoir envie. Vas-y mon pervers, prends-moi comme une chienne !Pour mon plus grand plaisir il m’enfonce vite un deuxième doigt. C’est si bon, je ne peux plus me retenir, je glisse ma main au niveau de mon clitoris et le masse à travers mes vêtements. Les deux doigts entament de longs va et viens plus ou moins rapides et je suis la cadence au niveau de mon clitoris. Je sens que la jouissance est proche. Je suis quand même frustrée de ne pas pouvoir m’éclater autant que je le voudrais, mais je m’aide à venir en prenant toute l’ampleur de mon statut de salope dans cette affaire.Un arrêt un peu brutal du conducteur et il s’enfonce un peu plus loin et plus fort en moi. Je me mords la lèvre pour réprimer un gémissement de plaisir. Ses deux doigts vont et viennent à un rythme effréné maintenant et je me laisse aller à la jouissance en m’activant sur mon bouton d’amour. Je baisse la tête tandis que mon corps est secoué de spasmes. Je ne veux pas voir si des gens ont compris ce qu’il se passait.Mon pervers approche sa bouche de mon oreille et chuchote « salope ». Si je n’avais pas déjà jouis, je crois que ce mot m’aurait amené au même résultat.
Diffuse en direct !
Regarder son live