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Le secret de Judith

Chapitre 2

Erotique
Chapitre 2. Etoiles.
Je suis bien. Si bien. Blottie contre le corps nu de mon amoureux, sur le canapé de la terrasse, dans la douce chaleur de cette fin d’après-midi. Il me caresse… tellement tendrement. Qu’est-ce qu’il est doux, affectueux. Ca me change des relous qui me draguent et ne pensent qu’à me baiser et prendre leur pied, ou alors à me prouver ou se prouver quelque chose, genre performance athlétique… On baise, oui, Jeannot et moi, on n’arrête pas ! Mais lui au moins il ne pense pas qu’à mon cul. J’ai l’impression d’être un peu plus qu’un trou pour une fois. Qu’est-ce que j’ai pu en rencontrer des mecs uniquement obsédés par mon corps. Même en fac les mecs ne sont pas toujours plus évolués… Alors il est peut-être encore un peu jeune, pas très sûr de lui, mais au moins il fait attention à moi.
Judith se ballade nue devant nous. Elle est bien, elle est heureuse. Jeannot n’est plus gêné du tout. Qui aurait cru qu’il se convertirait au naturisme ! Même nu et collé à moi, son sexe est au repos. Pour l’instant…Il ne la quitte pas des yeux on dirait. Quelle femme ! Même à 70 ans elle continue à aimanter tous les regards. Elle est belle, rayonnante… Quel corps sublime. Pourvu qu’à son âge je sois encore aussi belle ! Quand je pense que ce gros con de Papy l’a quittée à 50 ans pour une nana de 20 ans de moins ! Faut vraiment être demeuré. Quand on a un tel trésor entre les mains, aller voir ailleurs… Vu comment il a crevé comme un chien avec son cancer des poumons et comment sa grognasse l’a laissé tomber, on peut dire qu’il ne l’a pas emporté au paradis. Dire que maman prenait sa défense…
-    Vous êtes beaux tous les deux. L’amour, l’amour… la jeunesse…-    Merci mamie.-    Vous… euh, toi aussi tu es très belle Judith.-    Merci. Venant d’un aussi joli garçon, ça me touche beaucoup ! -    Bon, euh, ça va tous les deux ? Vous voulez que je vous laisse ?-    Solène, ma Solène… Tu sais bien que c’est toi qu’il aime. Tu es à ce point habituée à être au centre de tous les regards que tu ne lui laisse même pas le droit de complimenter ta vieille Mamie ? Allons… fais attention ma Solène… Moi aussi parfois j’ai été très exclusive et jalouse. Ce n’est pas toujours une très bonne chose… -    Merci pour la morale, Mamie.-    Oh la la, ma Solène ! Ne prends pas la mouche. Je ne te veux que du bien tu le sais. Et question morale, tu as connu plus strict, non ?-    C’est sûr, c’est sûr. Excuse-moi Mamie. Je t’aime.-    Moi aussi ma Solène je t’adore. Mais parfois tu me ressembles trop… plus que ma propre fille. -    Je sais…
Il est temps de passer à table. Judith nous a préparé un beau gratin de légumes. Avec ce temps nous n’avons pas très faim. Mais elle nous sert un vin rouge italien absolument divin. Mon Jeannot commence à avoir les joues bien rouges. Oh la la j’espère qu’il ne va pas s’effondrer… j’ai encore besoin de lui, moi ! -    Mon cher Jean, je crois que tu as trop bu ! Même en vélo ce ne serait pas très sérieux de rentrer au camping ce soir. Je te propose de rester dormir ici. Ce n’est pas Solène qui s’en plaindra je crois ! Essayez seulement de ne pas m’empêcher de dormir !-    Mamie !!!-    Ben quoi, c’est toi qui me reprochait de te faire la morale tout à l’heure ? Bon Jean, tu restes, donc ? Ma proposition reste valable même si c’est vraiment juste pour dormir.-    Euh, oui… oui, c’est très gentil de ta part Judith. Vraiment.
Décidément elle est incorrigible. Chaque fois qu’elle m’a vue avec un mec elle ne pouvait pas s’empêcher de le mettre mal à l’aise avec ses allusions ! Quelle coquine, à son âge !
En attendant, j’ai le bas du ventre qui commence à sérieusement me démanger… J’ai les yeux un peu embrumés mais je regarde avidement mon Jeannot, de l’autre côté de la table. Il est beau… Le regard un peu brouillé lui aussi, il me sourit. J’avance mon pied nu sous la table à la rencontre du sien. Je grimpe sur ses jambes, ses cuisses… et j’atteins mon but. Vive le naturisme ! Mon pied caresse doucement son sexe, ses couilles… Je les masse… Je sens sa chaleur, son membre qui se déploie, se dresse… oh mon dieu ! Je me mords les lèvres en le dévorant des yeux.
*********
Ces deux-là ne vont pas beaucoup dormir je crois ! Ils se consument littéralement du regard. Je n’existe plus. Cette petite coquine de Solène lui caresse le sexe avec son pied. Si elle croit que je ne sais pas ce qui se passe sous la table ! Mon petit cocktail les a peut-être un peu aidés… -    Bon les enfants… Je vais vous laisser et regagner ma chambre… Vous pourrez débarrasser la table ?-    Oui oui Mamie ne t’inquiète pas. Dors bien !Quelle petite canaille ! Elle veut se débarrasser de moi au plus vite pour sauter sur son cher Jean ! Mais je n’ai pas dit mon dernier mot !
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Solène... Nous sommes à nouveau enlacés sur le canapé de jardin. Nous nous embrassons follement, mes mains la caressent de toute part, elle me prend le sexe, me caresse les fesses… Je me penche, j’essaie de ma bouche d’attraper ses seins, puis ses hanches, ses fesses… je la dévore ! Elle fait de même… nous ne tenons pas en place, ne cessons de nous renverser, nous pousser, nous retourner… J’ai son cul sous ma bouche… je le baise, le lèche, le mords… oh ce cul, ce petit cul… Maintenant c’est son pied que je dévore…. Aie ! Elle me mordille la queue ! Quelle petite cochonne ! Elle m’enfonce son index dans le cul ! Attends, ma Solène ! Tu vas voir ce que tu vas voir…
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Aaaah ! Jean me soulève. Il me prend, me plaque violemment le buste contre le canapé, accroupie, les genoux au sol. Je le sens écarter mes fesses… Mais non… Pas déjà… Je ne peux rien faire ! Il est trop fort… Je sens sa queue contre mon petit trou...-    Non, mon Jeannot, s’il te plaît ! Pas comme ça… pas tout de suite… tu vas me faire mal !
Ouf, il s’éloigne… Je sens son souffle sur mes fesses… Il s’approche…. C’est sa langue qui rencontre mon petit trou ! Il le lèche, en fait tout le tour, une fois, dix fois, remonte le long de ma raie, revient, essaie de s’introduire. Il tourne sans cesse dans l’entrée de mon cul… C’est délicieux, c’est doux, tellement puissant ! Mon minou est déjà trempé, je dégouline… Mes cuisses sont luisantes… Finalement, il délaisse ma petite rondelle et descend vers mon vagin. Sa langue s’attarde dans le vestibule, descend jusqu’à mon clitoris, remonte, pénètre mon antre… Je sens son nez, sa bouche, entre mes fesses, mes lèvres… La jouissance monte…
A présent je sens une main sur mon dos, mes hanches… mais ce n’est pas la sienne ! Une main de femme ! Ne me dis pas que… Je me contorsionne pour regarder… Judith ! Que fait elle là !!? Elle est derrière moi, debout, nue, à côté de mon Jeannot accroupi ! Elle lui passe une main dans les cheveux, accompagne les mouvements de sa tête sur mon derrière... Elle me sourit, met son index sur sa bouche… -    Chuuut…. Tout va bien ma beauté. Ma Solène… Mon bébé…-    Oui Judith… répond Jeannot !
Je sens maintenant les doigts de ma grand-mère sur mes fesses… ils les parcourent, dessinent des signes mystérieux… caressent mon dos, mes cuisses, puis ils se glissent dans ma raie, ma fente… rencontrent la bouche de Jeannot qui les lèche… Enfin, ils pénètrent dans mon vagin…. Oooh…. Elle me fouille… tellement délicatement… un, deux doigts…. Elle avance, lentement, sur l’intérieur mon ventre… elle sait où se trouve ma zone sensible, elle la caresse, doucement, longuement, profondément… De son autre main elle guide Jeannot vers mon clitoris… Il le lèche, le suce… elle lui montre de son index comment le titiller, à petits coups de langue répétés, plus ou moins forts… il apprend vite… et tellement bien ! Ohhhhh oui ! Mon Jeannot…. Mon petit homme, mon amour ! Mais voilà que Judith retire sa main… et Jeannot s’éloigne !-    Non, s’il vous plaît ! Revenez ! Baisez-moi ! Prenez-moi !-    Ma Solène… Laisse-toi faire… C’est Jean qui te baise…. Lève-toi Jean.
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Judith est face à moi. Elle vient de saisir mon sexe. Elle le branle. Me pelote gentiment les bourses. Me caresse le torse, les fesses. Je me laisse faire. C’est bon, tellement bon….Enfin, elle me guide vers le postérieur de Solène, toujours accroupie sur le canapé… et qui se tord le cou pour nous regarder, ébahie !-    Putain c’est trop beau ! Mon Jeannot et ma Judith ! C’est magnifique…. C’est trop ! Baisez-moi ! hurle-t-elle. Elle en pleure presque…-    Ma Solène… je te le rends… il est là, tout prêt… il est tout à toi… prends en soin mon beau Jean...
Mon sexe rencontre de celui de Solène. Je pénètre lentement sa chatte inondée… Judith glisse deux doigts sur mon membre et s’introduit avec lui. Elle pousse doucement ma bite vers la paroi ventrale du con de sa petite fille… Solène m’attend, m’accueille… Judith me guide. Je suis le rythme de sa main… Doucement, profondément…. Là… son point le plus sensible, juste sous son ventre… De son autre main, elle parcourt le corps de Solène et m’indique les points à caresser, saisir, masser, sur ce corps sublime, totalement offert. Elle se retire et me laisse seul aux commandes... Elle s’assoit sur le canapé, en tailleur, à la droite de Solène. Je ne peux détacher mon regard de son magnifique corps nu. Elle me sourit, m’enveloppe de son regard bienveillant. Tellement calme… confiante… elle irradie de sérénité et d’amour…Solène gémit, se tord, contracte son vagin sur mon sexe. Elle le tient prisonnier de sa caverne d’amour… je vais et viens dans sa matrice… profondément, tout au fond, Solène crie doucement, à chaque poussée, chaque frottement sur ses parois intimes…. Je m’aperçois que Judith a passé une main sous le sein droit de sa petite-fille… Elle caresse doucement la parfaite petite pomme blanche et me regarde, toujours aussi rayonnante... Je vois sa main gauche plonger entre ses propres jambes…
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Le beau Jeannot pénètre ma petite fille chérie, ma Solène, qui me ressemble tant… Il prend son sexe et son cul, calmement, consciencieusement, profondément, entièrement, amoureusement… Elle crie, elle gémit, elle rit, elle rêve, elle vole… je le sais… je le sens… Sa matrice est tout son être, son bonheur la submerge, ils ne font plus qu’un… Elle jouit… elle jouit… elle jouit !!!!! Et moi aussi… Ma main entre mes jambes….
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Mon Jeannot… mon amour…. comment m’as-tu fait ça ??? C’était fou…. Je ne touchais plus terre, je volais, ce ciel aux millions d’étoiles, avec toi, en moi, en toi, un seul corps….  Mon vagin qui débordait, ne cessait plus de t’inonder de mon jus, en longues giclées ininterrompues… Je sens ta semence… elle est chaude… elle dégouline…. tu me l’as encore offerte… à moi, rien qu’à moi… Tes secousses se confondaient avec les miennes… tu as hurlé… saisi mes fesses… griffées… Je sens encore ton bassin, ton pubis …. Ton sexe se détend. Il est toujours en moi, je le retiens…. Il glisse, petit à petit. Judith…. Judith… ma grand-mère adorée… comment as-tu osé… mon homme… mon Jeannot…. tu l’as guidé, vers moi, en moi…. Judith… où es-tu maintenant ???
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Je me retire du corps de Solène…. Je la relève, la prends dans mes bras, nous nous embrassons, nos langues et nos lèvres fusionnent, dansent et se mélangent, sans fin… Judith a disparu. Nous nous affalons sur le canapé. Solène est allongée sur mon corps, la tête dans le creux de mon épaule, une jambe entre les miennes… Nous restons là, nus, enlacés, fusionnés, sous les étoiles, dans la tiédeur de cette nuit d’été.
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Je les regarde… de la fenêtre de ma chambre je les regarde. Les beaux enfants… tendrement enlacés, en la nuit… *********
Il fait nuit noire. Nous nous sommes endormis enlacés sur le canapé de la terrasse. Le froid m’a réveillée.  Je me blottis encore plus contre mon homme, mais je sens qu’il va falloir nous lever et rejoindre ma chambre. La nuit est sublime, profonde. Une étoile filante traverse le ciel de temps à autre.Je frissonne. Je me lève. Jeannot se réveille aussi. Je lui prends la main et lui fais signe de me suivre. La maison est chaude. Ces vieilles bâtisses sont formidables... Nous montons l’escalier et passons devant la chambre de Judith. Sa porte est entrouverte. Elle est allongée sous un simple drap, le corps à moitié découvert. Je ne peux m’empêcher de rester la contempler. Elle est tellement belle... Je lui souris. C’est dingue ce qu’elle nous a fait ! Je ne lui en veux même pas. Elle a guidé Jeannot… elle me connaît si bien…Jeannot aussi la regarde. Je vois bien qu’il la trouve belle… Je ne suis même pas jalouse.
Jeannot me prend dans ses bras. Nous nous embrassons passionnément, et rejoignons ma chambre.
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