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Le secret de Judith

Chapitre 8

Erotique
Chapitre 8. Confusion.
Solène. Elle dort. Près de moi. Je la regarde. Nous sommes nus sur son lit. Allongée sur le côté, elle me fait face. La chambre est baignée dans la pâle lumière de la pleine lune. Sa peau de lait… ses seins aux petites aréoles roses, tétons rentrés… son ventre… son bas-ventre lisse… Ses cuisses étroites mais si joliment galbées… ses longues jambes… ses pieds fins… et derrière, dans l’ombre, ses petites fesses si parfaitement rondes… Entre ses jambes, son sexe où j’aime tant me perdre…  
-    Je t’aime ma Solène. Je me penche vers elle et dépose un baiser sur son front.
-    Je t’aime Jeannot… susurre-telle sans ouvrir les yeux.-    Tu es si belle…-    Toi aussi… -    Je ne veux plus te perdre.-    Serre-moi.
Je me colle à elle. Nos bouches se rencontrent. Nos langues s’unissent, longuement… Puis, lentement, je glisse vers son entrejambe. Je hume son corps, l’odeur de nos ébats de tout à l’heure. Je lèche sa gorge, son ventre, son pubis… Hmmmm … Je m’enivre de cette odeur de sexe… Je m’immisce entre ses cuisses… sa fente, déjà humide… Ma langue se glisse à la commissure de ses grandes lèvres… rencontre son joli bourgeon encore caché... Dès le premier contact, elle se cambre, soupire. Sa petite fleur de plaisir éclot, se dresse… je la lèche, la suce doucement… Solène me caresse de ses cuisses, ses pieds… Ohhh ses pieds qui me massent si joliment les fesses... Ses mains dans mes cheveux... Elle gémit, se tend, à chacune des incursions de ma langue entre ses lèvres. Je vais et viens dans son vestibule… m’introduis dans l’entrée de son vagin… puis ressors et remonte vers son mont de Vénus. Je bois sa jouissance… elle me submerge, je m’y noie… oui, asperge-moi ma Solène, inonde-moi de ton jus sacré, je veux m’y baigner, m’y perdre pour toujours… Je ne cesse de dévorer son con, un de mes doigts se glisse dans son vagin… deux… trois… je m’enfonce… caresse ses parois intimes… tourne et retourne autour de son doux éperon, tout au bout… Solène crie doucement, une longue plainte continue… Ses mains me fouillent violemment les cheveux, ses petits pieds s’enfoncent dans mon dos, mon corps… Puis… Elle se tait, se tend, se soulève… … bouche grande ouverte… elle tremble presque imperceptiblement… tendue vers le ciel.
Je me relève doucement. Agenouillé entre ses cuisses. Ma verge est tendue à mourir… Solène a les yeux fermés… Son sexe est ouvert… là… l’odeur puissante de l’amour emplit mes narines… Ma main se pose sur ma verge… je me masturbe. Je m’astique, vite, vite… La jouissance monte…  
Solène… Ma Solène. Ma semence se répand sur ton corps de lait… tu t’en oins le ventre, les seins… tu la lèches… la mange… sur chacun de tes doigts… tu souris, les yeux toujours clos. Tu m’attends… Je me colle à toi. Nous sombrons.
**********
Putain de réveil ! 5h45… Il faut que je me grouille. Mais je ne veux pas quitter mon homme, là, contre moi. Il ne s’est même pas réveillé… Mon Jeannot. Mon amour. Nous sentons le sexe, le sperme, la cyprine, nous sommes couverts de nos fluides… J’aime cette odeur d’amour tiède. Nos corps collants… fourbus… mais emplis d’une force infinie. Pleins. Mon ventre encore si chaud… Mes cuisses qui tirent… Mes seins toujours gonflés… J’aimerais baiser encore et encore, qu’il me prenne, toute entière, partout, être à lui, sa chose, sa femme, infiniment…. Mais il faut que j’y aille. Dans une heure je dois être derrière mon desk à l’hôtel. A toute à l’heure mon amour. Je ne veux plus dormir sans toi. Tu es à moi.Je me lève, prends mes vêtements et me dirige vers la salle de bains.

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Encore une journée de passée. Mon Jeannot finit vers 20h ce soir. Nous irons au camping. En attendant, je me dirige vers la prairie de Joseph. J’espère qu’il y sera. Après le récit de Judith, je voudrais qu’il sache que je sais tout. Je ne sais plus vraiment quoi penser de lui. Il a aimé Judith. Comme un fou. Avec un tel respect, pendant des années… Il l’a défendue, consolée, l’a aidée à avorter… Et pourtant je lui en veux. Quelque part lui aussi a protégé son frère, ce salaud ! Il l’a chassé, mais il s’en est trop bien sorti ! J’arrive au pré. Pas de Joseph. Je retrouve mon petit nid et m’installe, seins nus, au soleil. Notre courte nuit a laissé des traces, je suis épuisée. Je m’endors une nouvelle fois.
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-    Bonjour Solène.
J’ouvre les yeux.
-    Bonjour Joseph… Vous ne pêchez pas ?-    Je voulais te voir.-    Que voulez-vous me dire ?-    Rien de particulier. Juste te voir. Je savais que tu étais là, mais comme tu ne descendais pas je suis monté. -    Pourquoi me voir ?-    Parce que… tu es belle… et tu me rappelles Judith. -    …-    Je ne t’ai pas tout dit…-    Je sais…. Mais Judith a fini par compléter… Je sais ce qui s’est passé maintenant.-    Ah…-    Je vous en veux Joseph !!!! crié-je-    …-    Pourquoi vous ne l’avez pas empêché !!! Pourquoi vous ne l’avez pas tué !!!! Il a violé votre amoureuse ! Il a détruit votre amour !!!! Ce salaud méritait de payer !!!!
Il ne dit plus rien. Une larme coule sur sa joue. Il l’essuie d’un revers de manche mais d’autres montent, il n’y arrive plus, il sanglote, il tombe à genoux devant moi, il pleure… Entre ses larmes, il essaie de parler, lentement, soupesant chaque phrase.
-    Petite… Si tu savais… Toute ma vie j’ai repensé à ce jour… Ca a détruit nos vies. Ma Judith, si belle, si insouciante, si légère, il l’a fracassée. Ce porc a tout sali, tout gâché ! Je t’assure que je l’ai puni ! Mais à l’époque… personne n’aurait défendu Judith. Il s’en serait bien sorti. Je ne suis même pas sûr qu’il y aurait eu un procès si elle avait été voir les gendarmes. Et c’est elle qui en aurait le plus souffert. Je l’ai tabassé. J’étais bien plus fort que lui. Il a pris la dérouillée de sa vie. Je l’ai chassé. Il n’a plus remis les pieds au village…. Il savait que je le tuerais. Mes parents et Marie m’en ont voulu à mort. Mais j’étais l’aîné. La ferme me revenait. Lui était de toute façon voué à partir, à moins de se marier ici. Mais à l’époque les villages se vidaient, les fermes n’étaient plus reprises. Au final, il s’est passé ce qui serait arrivé de toute façon. Sauf qu’il n’a jamais pu revenir à la ferme. Ca a été sa punition. C’est peut-être pas grand-chose, c’est vrai. Pas assez pour le mal qu’il a fait. Mais c’était tout ce que je pouvais faire… Je n’ai jamais cessé de repenser à cette histoire, et moi aussi je m’en veux. Si tu savais petite ! Il n’y a pas un jour où je n’y pense pas. Tout ici me rappelle Judith. Je m’en veux de ne pas avoir vu venir ce drame, ne pas l’avoir empêché, ne pas avoir protégé Judith… De ne pas l’avoir tabassé encore et encore… Ne pas avoir su la soigner. Ne pas avoir su la garder… Je ne me suis jamais marié… je ne pouvais pas.
Il s’effondre. Il pleure, affalé, la tête dans sa manche, face au sol… Je suis bouleversée. Ce grand corps, vieilli, travaillé par la douleur, le remords, depuis 50 ans, torturé, là, sous mes yeux. J’ai la gorge nouée, les larmes me montent aux yeux.
-    Joseph… Je sais que vous avez fait, ce que vous avez pu… Judith m’a raconté, tout, jusqu’à… Sans vous, elle ne s’en serait jamais sortie… Je suis désolée. C’est pas à vous que j’en veux. C’est à tout le monde. Le monde de cette époque... Mais, en fait, je ne suis même pas si sûre que ça se passerait vraiment différemment aujourd’hui…
Je me suis approchée de lui. Je lui caresse la tête, passe ma main entre ses larges épaules. Je sens la douleur, là, nouée, oppressante…
-    Vous êtes quelqu’un de bien Joseph. Vous l’avez aimée, respectée… Vous n’y êtes pour rien…
Il relève la tête, se rassoit. Son visage est décomposé, défiguré par cette douleur qui remonte du fond de son être, explose. Nous sommes face à face. Je m’approche et le serre contre moi. Je l’enlace mais il n’ose pas me toucher…-    Je sais Joseph, j’ai compris… Judith… Elle ne vous en veut pas… elle sait. Elle se souvient de votre amour, de votre union… Vous n’êtes pas responsable. Elle sait que vous avez fait tout ce que vous pouviez…
Petit à petit, je sens le vieux corps se détendre. Enfin, un énorme soupir, comme un cri, lui échappe, libérant sa poitrine d’un poids énorme… Alors, il cède… Il s’affaisse… Sa tête s’appuie contre moi, ses mains se posent sur mon dos… Il pleure, je sens ses larmes sur ma peau nue. Pauvre vieil homme… 50 ans… Lui n’a pas trouvé le remède. Il est resté ici, seul. Moi non plus je ne me retiens plus… Je pleure en pensant à Judith, Joseph, tout cet amour bafoué, détruit… J’ai le vertige, je m’affaisse, je bascule sur le dos.  Je m’allonge… Joseph bascule avec moi.
Nous restons longtemps allongés dans l’herbe. En silence. Le vieil homme est sur mon ventre, ma poitrine, la tête enfouie dans le creux de mon épaule. Son grand corps osseux, encore lourd, qui pèse sur moi… Ses grandes mains de berger, burinées… sa main droite… là… sur mon sein… Cette vieille main, qui a caressé ma Judith, l’a défendue… Il tient mon sein, bien au creux de sa paume si chaude, protectrice. Nous respirons lentement. Je regarde le ciel, le soleil. Mes mains parcourent doucement son dos, si large, puissant… Quelle force a dû animer ce corps, aujourd’hui vaincu par les ans et la tristesse.
-    Petite…-    Ne dis rien Joseph… Tout va bien…
Je sens sa respiration… il se calme, s’apaise… Sa main… sa belle main…. Elle bouge… Lentement, elle descend vers mon ventre, mes hanches, elle me caresse… Ma cuisse… Elle remonte… Je ne dis rien… j’aime cette main… cette grande main fatiguée… je sens ses rides profondes sur ma peau… Elle tient à nouveau mon sein, le presse, le caresse, souligne mon téton qui durcit. Je le laisse faire… Je suis folle… Joseph… Maintenant il bouge tout entier… Son visage descend vers mon autre sein. Il l’embrasse. Doucement. Si doucement. Des petits baisers sur mon téton… Puis il le prend en bouche, le suce, le tête… Le vieil homme tête mon sein… Comme un enfant, sans fin… Je caresse ses cheveux… Joseph…
Je ferme les yeux. Je sens ses caresses sur mon corps… Sa main qui maintenant s’aventure plus bas… descend lentement sous mon nombril… et s’arrête. Il ne bouge plus. Son visage se relève, il me regarde, effaré.-    Petite…. Je suis fou !-    Joseph… ne t’inquiète pas… tu n’es pas fou… tu es quelqu’un de bien… tu fais du bien…

Alors c’est moi qui me lève. Je pousse doucement Joseph sur le côté. Il est allongé sur le dos. Je le regarde et il me scrute, presque effrayé. D’une main j’effleure son visage ridé… Je descends vers ses épaules, sa poitrine, encore musclée, son ventre… Je remonte… Il me fixe. Ma main redescend… son torse, son ventre, plus bas… Elle passe sur son entrejambe. A travers le pantalon, je sens la petite bosse de son sexe recroquevillé. Je la prends au creux de ma main… Je la caresse tout doucement… longtemps… Les doigts de mon autre main survolent sans cesse son visage. Il a fermé les yeux.
********    Judith… Judith me caresse le visage. Elle est si belle, nue près de moi. Ses petits seins si doux… si bons… Son corps si frêle, grâcieux, fragile… Son parfum de prairie au printemps… Ses fines mains sur mon corps. Cette chaleur entre mes jambes… Mon membre se déplie doucement… il se réveille… grandit… dans sa main. Sa douce main dans mon pantalon, sur mon sexe… Elle frôle, enveloppe, éveille… étire… Ma verge… elle est dure, elle se dresse, elle vit, elle la veut ! Sa main la tient, le caresse… Je sens la sève monter en moi à nouveau…
Maintenant, cette chaude humidité… Cette douce pression sur mon membre… cette caresse qui l’enveloppe… le prend tout entier. Judith…
Je tiens ses doux petits seins dans le creux de mes mains… Je les caresse, les presse… à peine… Je les sens trembler sous mes paumes, au rythme de son corps… Son petit corps, sur moi… pour moi.
Ma verge est tendue, tendue en elle, en son sein… Elle la chérit, la cajole. Tout son être l’enveloppe… Elle s’épanouit… encore et encore… Elle la caresse, en son corps, va et vient… La chaleur… l’eau qui coule sur mon sexe… Il y a longtemps… longtemps… Ca remonte. Ca grandit. Ca m’envahit. Ca me submerge ! Je tremble… une secousse me traverse… C’est trop fort ! Je tombe. Je perds conscience.

J’ouvre les yeux. Elle est partie. Je suis seul, allongé dans l’herbe. Mon pantalon est ouvert, mon sexe replié sur mon bas ventre.
*******
Je fonce. Je pédale. Je dévale la route… Je ne sais même pas où je vais. Je fonce. Le vent emporte mes cheveux, ma robe… mes larmes. Je pédale et j’oublie. Je me vide.
Il ne s’est rien passé.

*******
-    Solène ! Ma Solène !-    Jean ! Je t’aime mon amour ! Prends-moi ! Baise-moi ! Baise-moi !
Il est 23h. A peine rentré au camping, Solène s’est jetée sur moi et m’a entraîné à l’écart, tout au fond du parc, au creux d’un bosquet, surplombant le gave.
Sa main tient ma bite à travers mon bermuda. Elle la malaxe… Ma verge grandit, durcit… Elle la veut… Elle m’embrasse violemment, me mord, me mange… Sa langue me lèche la joue, le cou… Elle m’arrrache mon t-shirt… Ses mains caressent mon torse, mon ventre, triturent mes pectoraux… Elle suce mes tétons, les mord… Aïe ! Hmmmm… Elle me griffe le dos… les fesses… mon bermuda a disparu… mon boxer aussi… ma bite est tendue… gonflée… face à elle. Je me laisse faire… elle est déchaînée. Elle fait de moi ce qu’elle veut…
-    Jean… s’il te plaît, prends-moi, maltraite-moi… je suis une petite chienne !-    Non… Ma Solène… je ne peux pas… pas comme l’autre jour…-    Si ! J’en ai envie ! Prends-moi ! Force-moi ! Défonce-moi ! Fais-moi jouir !
Je ne comprends pas ce qui lui arrive… elle est en rut ! Elle veut que je la brusque, la violente. Me tournant le dos, accroupie, la robe remontée sur ses hanches, culotte baissée, elle m’offre son cul… Son si beau petit cul… Son trou rosé, sa fente trempée, dégoulinante… là…
Alors je la prends. Je saisis ses cheveux et la relève brusquement. Elle crie. Je prends ses seins, je les écrase… Une de mes mains glisse entre ses jambes, saisit sa vulve entière, la malaxe, la pince… je lui fais mal… Elle gémit, soupire, pousse de petits cris… Je l’embrasse, la mords, la croque, dans le cou, les épaules… Elle est ma chose entre mes mains… je prends possession de son corps… violemment… Son cul n’attend que moi… mais je ne me donnerai pas tout de suite… Je la projette en avant. Elle s’affale… J’arrache sa robe, la déchire… Elle est nue… à plat ventre… Je la regarde. Elle ne bouge pas. Elle m’attend. M’espère. Je saisis une tige sur un des arbustes qui nous entoure, souple, verte… Je l’approche d’elle… caresse ses jambes… elle frémit. La verge va et vient entre ses cuisses… passe sur sa fente… entre ses lèvres… Elle gémit… Soudain, je frappe sa fesse droite d’un coup sec. Elle gémit plus fort. Je recommence. Elle crie. Je recommence. Elle crie encore… une fois, dix fois… les deux fesses…. Les marques s’accumulent, bientôt une ou deux gouttelettes rouges perlent sur sa croupe blanche… Tout son postérieur s’enflamme ! Enfin, elle se redresse sur les genoux, toujours pliée en avant, remonte son petit derrière… Elle me l’offre à nouveau… -    Jean… Mon cul est en feu…
Je me penche vers son fondement, ses deux collines martyres qui me regardent, sublimes… Je sors ma langue… et commence à lécher, une par une, les plaies laissées par la cravache… je sens les sillons à vif sur ma langue, les enduis de ma salive, les embaume, les apaise… L’odeur de son cul, de son con, m’envahit… Ma langue délaisse bientôt ses tertres meurtris pour plonger dans sa vallée fertile… Je lèche son anus, son sillon… depuis sa fente jusqu’au creux de ses reins… je recommence, sans cesse… puis je m’attarde sur sa rondelle rosée. Je tourne, tourne, et je m’enfonce doucement… son odeur de femme... je m’enfonce encore... je me régale de son trou du cul… entièrement, profondément… Elle se tortille sur ma langue… gémit sans arrêt… essaie de m’avaler tout entier au creux de ses entrailles…
Je me redresse. Je la saisis par les épaules et la relève brusquement contre moi. Je tiens ses seins en tenaille dans mes paumes… je les serre, les écrase, pince ses tétons…. Je lui mords l’épaule, le cou, l’oreille…
-    Petite chienne….  Tu veux que je défonce le fion ! Tu veux ma grosse bite dans ton petit cul ! Tu veux que je t’éclate le fion comme ce connard de Mike ! -    Oui ! Oui ! Défonce-moi ! Punis-moi !-    Salope !
Je la propulse à nouveau à genoux. J’écarte ses fesses et approche de son trou mon dard prêt à éclater. Je la pénètre d’une traite, jusqu’à la garde. Elle crie, elle gémit….
********
Jean me pilonne le cul. Il est en moi, me prend sans aucun ménagement. Il me fait mal ! C’est ce que je veux. Je suis sa chienne, sa salope… La jouissance monte…. Je dégouline… mes cuisses sont trempées… Chaque coup sur mes fesses, sur mes plaies à vif… Hmmmmm… Je sens son sexe plus gros que jamais… Il aime ça lui aussi ! Oui Jean, baise-moi comme ça, comme la petite garce que je suis. Punis-moi !!!Ses coups de hanche me déboitent les vertèbres…  Sa bite s’enfonce toujours plus profond… mon trou est éclaté, déchiré… Je crie, sans arrêt, je tremble, je jouis, l’orgasme monte, me saisit, me transperce… violent ! Comme un éclair qui me foudroie…. Je jouis, je râle… Mais Jean ne s’arrête pas ! Il continue de me défoncer l’arrière-train, l’anus, les entrailles…. J’ai mal ! Mal !!! Il poursuit, de plus en plus vite… Je n’en peux plus, c’est impossible… Il frappe mes fesses de sa main droite… Mes plaies !!!! J’ai mal !!!! Je pleure… Je gémis… crie… crie…. Je jouis… je jouis à nouveau… je tremble…. l’orgasme est lent… il se répand en moi, me prend toute entière… Enfin je sens Jean qui éjacule, se tend, se tend ! Ses mains se crispent et m’arrachent la peau des hanches…. Il donne de grands coups, dans mon fondement, à chaque giclée… Il se vide. Il n’en finit plus. Je déborde, son foutre coule entre mes fesses, sur mes lèvres, mes cuisses…. Enfin il s’arrête… s’affale sur moi…
Nous sommes nus, sur la terre de ce bosquet…. Le bruit du torrent nous entoure… Sa fraicheur… Nous sommes couverts de sueur, de sperme, de cyprine, de sang…
-    Je t’aime Jean. Je t’aime à la folie.
(à suivre)
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