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Séduction délicate de la soeur de ma mère

Chapitre 18

La confirmation

Inceste
Si vous avez manqué le début.Je m’appelle Patrick et je poursuis un stage de fin d’étude à Bordeaux où réside ma tante Véronique très bcbg, sœur de ma mère Anne.Elle a 42 ans, divorcée, 2 enfants, 1m72 pour 55 kg et moi, 24 ans 1m80 pour 75 kg étudiant.Nous entretenons une relation intime depuis juillet et nous voici en décembre. J’ai eu la curieuse idée en octobre de vouloir la mettre enceinte. Séduite par l’envie d’une troisième grossesse, son gynéco lui a expliqué que la fréquence des rapports étaient primordiales, notamment dans la semaine précèdent son ovulation. Nous avions fêté mes 24 ans fin octobre. Nous partons avec ses enfants pour les fêtes de Noël chez mes parents à Paris. 
Nous filions vers la Capitale, Véronique à mes côtés et ses enfants Oscar et Jules à l’arrière, accaparés à jouer sur leurs tablettes de jeux. Notre conversation se porta sur l’attribution des chambres. En principe ma grand-mère allait occuper le bureau aménagé de ma mère au 1er étage et ma tante dormirait dans la chambre d’amis avec ses garçons. Quant à moi, je retrouverais certainement la pièce dans laquelle j’avais vécu mon adolescence.
— Hé les garçons, vous m’écoutez ? — Oui Patrick ! Répondirent-ils en chœur.— Bon avec Tatie Anne, vous ne lui dites pas que je suis chez vous tous les soirs. Après elle va me poser des questions sur ma copine… Racontai-je sous le regard complaisant de leur mère.— Pourquoi ? Ça ne va plus avec ta chérie ? Demanda Jules inquiet pour moi.— Bah disons que ça n’est pas terrible mais si Tatie Anne l’apprend, elle va me poser un tas de questions et je n’ai pas envie de répondre, capito ?— Yess ! Dirent-ils le temps de replonger leurs nez dans les tablettes.
En milieu d’après-midi, malgré les bouchons nous arrivions à destination et Véro avait déjà ouvert la malle pour sortir les valises. Au passage je remarquais que son jeans Lewis lui allait comme un gant. En se penchant dans le coffre, cela lui donnait un cul d’enfer. Le sapin était prêt avec ses boules et guirlandes, planté au milieu de la salle de séjour. La table était prête avec l’argenterie pour les couverts ainsi qu’une jolie nappe brodée. Bien entendu, ma mère indiqua à sa sœur la chambre d’amis pourvue d’un lit double agrémentée d’un lit d’appoint pour un des garçons. Mamie était bel et bien dans le bureau et moi…bah retour case départ l’espace de deux nuits. L’échange d’un regard entre ma tante et moi en disait long quant à la difficulté de pouvoir concevoir une relation intime. Je m’affairais à ranger mes affaires quand Véro m’interpella.
— Patrick, je te rappelle que je suis dans la bonne semaine juste avant mon ovulation. Je vais dormir dans le même lit avec sûrement Jules et si je m’absente dans la nuit, je vais le réveiller. Alors franchement je ne vois pas comment tu vas réussir à me sauter dans des conditions pareilles ? En murmurant son inquiétude d’un ton désespéré avec l’emploi du terme se faire sauter, propos rarissime chez elle.— Ne cède pas à la panique j’ai ma petite idée pour ce soir, parce que dormir sur le lit d’appoint ça va être la guerre entre tes garçons. Au fait tu es ravissante en jeans.— Euh merci mais que comptes tu faire exactement ? — Tu verras…
Vers 19h nous prenions une coupe de champagne dans le salon. Ma mère tout comme sa sœur s’étaient habillées en robe de soirée quant à ma grand-mère très coquette, elle était vêtue d’un tailleur chic. Mon père et moi en costume bavardions d’un nouvel endroit de pêche qu’il avait découvert avec l’un de ses amis. Les garçons mangeaient dans la cuisine, nullement pressés de se mettre au lit dans l’attente du père Noël pour le lendemain matin. Mais des piaillements incessants se firent entendre. Une dispute éclatait en Jules et Oscar, ni l’un ni l’autre ne voulait prendre le lit d’appoint. Véronique intervenait ne sachant à qui donner raison. Sa voix se fit entendre jusque dans le salon.
— C’est Jules qui dormira avec moi, il est plus jeune. C’est compris Oscar ?— Toujours le même ! Y en a marre… Répondit-il en se mettant à pleurer.— Anne ? Tu peux venir ?— Oh Oscar il ne faut pas pleurer comme ça, c’est juste pour deux nuits. Lui dit ma mère en le consolant tant bien que mal.
Ma tante revint au salon agacée des caprices d’Oscar, superbe dans sa démarche quand elle était en colère. Les deux petits s’ignorant totalement, je pris la décision qui s’imposait devant mes parents, las de la situation.
— Bon et si vous dormez avec moi, ça vous va ? En m’adressant à l’aîné sous le regard stupéfait de ma mère.— Youpi ! On dort avec Patrick. S’exclama Oscar.— Mais que veux-tu faire ? Demanda Véronique, elle aussi désorientée.— Je dormirai dans le petit lit et mes petits cousins se partageront le lit-double tout simplement. Véro tu prendras ma chambre et l’affaire est réglée. Conclus-je sous les yeux époustouflés de leur maman.— Si ça ne te dérange pas, faisons ainsi. Nous aurons le calme. Acquiesça ma mère finalement soulagée par ma proposition.— Ah oui c’est une sage décision et j’aurai la paix cette nuit. Rajouta Véro en aidant ma mère pour amener les entrées. 
Les enfants jouaient dans le salon et l’heure passait. Ma mère s’en inquiéta et demanda s’il ne serait pas raisonnable qu’ils aillent se coucher. Ma tante s’apprêtait à répondre quand je lui donnai un coup de pied sous la table, me laissant répondre à sa place. 
— C’est Noël Maman, ils peuvent encore un peu rester.— Mais oui Anne et puis ils ne font pas de bruit, à 22h je les coucherai. Ajouta-t-elle en confortant mes arguments.— Très bien, quelqu’un souhaite prendre un petit décaféiné pendant qu’on s’offre nos cadeaux ? — J’en prends un maman.— Moi aussi Anne et je vais t’aider. Renchérit Véro.
Ma tante était face à moi, superbe dans sa robe noire sur laquelle ses mèches blondes s’éparpillaient renforçant son charme naturel. Elle se leva pour accompagner ma mère, tandis que je poursuivais la conversation avec mon père en jetant un bref regard en la voyant s’éloigner. J’étais fière de sa prestance, de son côté raffiné que lui apportait sa tenue vestimentaire. Nous prîmes nos cafés en déballant nos paquets. Je lui avais offert un foulard de marque, très touchée elle me fit la bise comme une tante l’aurait fait à son neveu. La soirée fut sympathique et Véro partit coucher les garçons. Durant ce laps de temps, ma mère s’empressa de me questionner sur ma vie sentimentale. J’évacuais poliment le sujet car je n’avais pas grand-chose à inventer. Mon père baillait, marquant la fin de notre réveillon et finalement sans attendre le retour de ma tante, nous montions à l’étage, moi en dernier prenant soin d’aider ma grand-mère.
— Tu es un gentil garçon Patrick et je suis contente que tu sois à Bordeaux, comme ça ta tante ne se sent pas trop seule.— Oui Mamie et fais attention à la dernière marche. En ayant presque honte de moi face aux dires si sincères de ma Mamie.— Oh vous montez déjà ? Moi qui voulais fumer une petite cigarette ! S’étonna Véronique en sortant de la chambre des garçons.— Et bien tu peux aller fumer ta cigarette dans la cuisine, je crois bien que Patrick voulait justement redescendre. Enchaîna ma mère.— Ok les enfants dorment Anne, je n’en ai pas pour longtemps. Tu n’as pas éteint la machine à café ?— Non tu peux reprendre un petit déca et bonne nuit sœurette. Ah te voilà Patrick ! S’exclama ma mère.— Que se passe-t-il ? Demandai-je intrigué — Véronique descend fumer une cigarette et se refait un petit décaféiné, ne la laisse pas seule. Répondit-elle sans se douter de l’aubaine qu’elle me suggérait. 
Sans me précipiter, je prenais la direction de la cuisine. Ma tante m’attendait souriante avec deux tasses, adossée à la porte du frigo. Sa tenue de soirée la rendait follement séduisante et sans prendre la peine d’allumer une cigarette, elle vidait son déca d’une seule traite. Son maquillage avait perdu de son éclat accentuant sa sensualité, de mon côté j’avais posé la veste en restant en chemise noir. 
— Patrick tu es très séduisant ce soir… En s’approchant de moi.— Je peux dire la même chose de toi, je fume une cigarette et après on monte. Tu en veux une pour le soir de Noël ?— Allez on fait une petite exception mais avant tu prends soin de moi. Dit-elle en commençant à relever sa robe pour ôter ses collants.— Euh ma chère Tatie j’ai une bien meilleure idée car ma mère peut descendre d’une minute à l’autre, laisse ton portable ouvert et je t’envoie un texto pour te rejoindre cette nuit. En allumant sa cigarette.— Ah bon…je t’avoue que ça me fout un peu la trouille que tu viennes dans ma chambre, si Anne va aux toilettes par exemple et qu’elle te croise dans le couloir… En se serrant contre moi.— Ta porte est en face de la mienne et c’est encore plus risqué ici, de toute façon on fera vite ce soir et éteins bien ta lumière. En l’embrassant dans le cou.— Hé tu me donnes des frissons ! T’es super craquant ce soir. En baissant le haut de sa robe puis en dégrafant son soutien-gorge.— Véro tu n’es pas sérieuse. En palpant chacun de ses seins bien vifs.— Je m’en fous, téte moi juste cinq minutes. 
Je l’attirais vers moi et toute docile, elle se cambra m’indiquant son désir de se faire aspirer sa poitrine. Sans empressement ma langue magique se lova à la base de son sein pour le lécher en remontant vers son aréole. Véro était dans une excitation totale et lorsque mes lèvres convoitèrent ses tétons, elle ne put s’empêcher de pousser un petit cri aigu. Elle était sous mon emprise, toute conquise en passant ma main dans mes cheveux. Je maternais à tour de rôle chacun de ses mamelons durcissant sous mes petits pincements agiles. D’une main elle soulevait sa jupe à mi-cuisse me facilitant le passage entre ses cuisses. 
— Oh continue je t’en prie… En prenant mon poignet pour l’attirer directement vers son intimité.— Tu aimes…tu aimes que je prenne soin de toi. Lui soufflai-je en berçant son clitoris du bout du doigt.— Tu m’excites Patrick…tu m’excites…Dit-elle la bouche ouverte, le souffle haletant, son corps tremblant.— Je te connais par cœur Tatie chérie, coule-toi dans mes doigts… En appliquant la paume de ma main à ses lèvres intimes.— Oui…tu me connais Patrick. En baissant son bassin pour y laisser s’introduire mon doigt capital.— Je vois que la petite sœur y prend goût… En me mouvant dans son canal tout aspirant son téton domestiqué.— Hannnn….Hannnn… Fit-elle, haletante en chaloupant ses hanches érotiquement.— Oui c’est bien…jouis Véronique…jouis… En lui laissant l’initiative de ses mouvements.— Oh j’adore…j’adore mon Patrick… En se lovant contre moi durant de longues minutes.— Véro. Lui murmurai-je le temps qu’elle ait retrouvé ses esprits.— Oui je sais…c’était délicieux. En m’embrassant goulûment à pleine bouche.— Il faut monter…ils vont se poser des questions. En poursuivant son baiser interminable.— Oui chéri encore… 
A petits pas nous prenions l’escalier puis je regagnais mon lit, en jetant un coup d’oeil sur les garçons qui dormaient à poings fermés. La lumière du couloir s’éteignit pendant que je restais aux aguets une bonne vingtaine de minutes, le temps de prendre conscience du risque que j’encourais. Certes ma tante avait joui mais de mon côté j’attendais mon tour si je puis dire. Préférant faire abstraction de mes pensées, j’envoyais un texto à ma tante - je viens-. Dans la seconde, je recevais sa réponse - je t’attends -.J’étais pourtant chez mes parents donc à vrai dire chez moi, mais une fois dans le couloir j’eus cette impression fantasque d’être une sorte d’Arsène Lupin visitant des lieux inconnus. Sa porte était entrebâillée et le volet n’étant pas fermé, ce ne fut que grâce à l’éclairage providentiel du réverbère de la rue que je réussissais à atteindre son lit sans buter dans un obstacle quelconque. J’étais dans un état second, presque dans une sorte de rêve éveillé en m’approchant de mon propre lit, dans ma propre chambre. Véronique tout naturellement se redressa et ouvrit la couverture afin que je m’y glisse.Etait-ce cette lumière diffuse qui donnait à son corps nu l’impression d’être face à la définition de la perfection féminine ? Je me gardais de lui signifier mon étonnement devant ses courbes parfaites en me collant contre elle, contre ma tante entièrement à poil. C’était enivrant de sentir sa peau contre la mienne, ses mamelons tendres contre mon torse. 
— Personne ne t’a vu Patrick ? Demanda-t-elle à voix basse en me caressant les épaules.— Non. En lui roulant une pelle tandis qu’elle écartait déjà ses jambes longilignes.— C’était purement génial dans la cuisine…viens me baiser… Murmura-t-elle en se tortillant.— Attends j’ai trop envie de te lécher. En me déplaçant vers son bas ventre.— Non Patrick…on n’a pas le temps…non il ne faut pas… Souffla-t-elle alors que je baignais déjà entre ses cuisses savoureuses.— Ne fais pas de bruit. En lapant sa chatte comme un damné.— Hummm…oui…ouiii… Gémit-elle en soulevant son bassin pour mieux lui bouffer son sexe agonisant de plaisir.
Tout en léchant l’intimité succulente de ma tante, je regardais ce réverbère qui me rappelait mes moments de solitude étant ado. Puis je devenais contemplatif de sa plastique de rêve que j’enflammais sans difficultés et je réalisais à ce moment l’étendue de notre relation. Véronique acceptait sans problème de moralité de se faire baiser dans la maison familiale, qui plus est dans ma propre chambre. J’avoue que je savourais cet instant qualifié de magique, mot simpliste qui nous renvoie vers l’irrationnel, tant j’avais espéré pouvoir le faire avec elle, là dans cette chambre avec le risque excitant de l’interdit, c’est à dire avec mes parents juste à côté.
— N’arrête plus… Chuchota-t-elle en écartant davantage ses cuisses avec ses mains plaquées sur ma tête.— Véro…il faut que je te saute maintenant… En délaissant sa source friande de ma langue malicieuse.— Euh oui enfin…tu as raison on joue avec le feu. Concéda-t-elle à juste titre en m’embrassant immédiatement quand je m’étendis sur elle.
Je dirigeais ma verge enragée dans sa fente affamée qui s’engouffra directement dans ses profondeurs. Véro m’enlaçait avec les jambes, preuve qu’elle aspirait à un coït brutal, intense et à la fois rapide au regard de notre situation plus qu’audacieuse. Je goûtais à sa chaleur en caressant ses parois vaginales tout en l’entendant respirer profondément. De va et vient en va et vient, ma tante manifesta le début de sa jouissance avortée lors de mon cunnilinctus interrompu, par un souffle haletant en émettant des râles légers. Puis elle se lâcha.
— Oui…viens…viens me faire un bébé… En appliquant ses mains sur mes fesses.— Je viens Véronique… Grognai-je pour étouffer ma clameur en lui infligeant de longs coups tout en puissance.— Han…hannnn… Fit-elle crispée, tendue dans son bien-être.— Oh Véro…ma Véro…Soupirai-je galvanisé par ses cris aigus.— Oui…encore…encore… Murmura-t-elle avec ses mains me caressant la nuque d’une manière frénétique.— T’en avais envie. En la pénétrant de plus belle.— Oui…plus fort…plus fort… En me serrant contre elle.
Notre accouplement nocturne s’achevait silencieusement et contrairement à nos habitudes, il me fallut déserter sa source encore demandeuse de ma présence. Un petit baiser en guise de conclusion ne fit pas l’affaire, j’aurais voulu continuer à la baiser ou du moins la câliner ne fut-ce que quelques minutes supplémentaires. Nous flirtions avec la zone rouge mais la raison l’emporta en quittant cette chambre pour regagner la mienne. Le temps de traverser le couloir, le bruit des toilettes m’interpella et j’aperçus ma mère.
— Patrick… ?— Oui moi aussi je vais aux toilettes. Dis-je en improvisant un besoin pressant.— Mais tu transpires ? Tu ne te sens pas bien ? Inquiète de mon état.— Non Man ! Je dors comme une merde dans ce lit ! En prenant un ton excédé.— Parle un peu mieux quand même… Me lança-t-elle en s’éloignant.
J’en avais les mains moites de cette rencontre insolite. Savoir que ma mère était éveillée pendant que je baisais sa sœur me donna la chair de poule. Rien que de penser qu’elle aurait pu aller la voir pour je ne sais quelle raison et qu’elle m’aurait pu me trouver dans le lit avec sa sœur me rendit fébrile. Je jouais avec le feu et j’avais cédé aux exigences de Véronique, avec facilité faut-il encore admettre, tout simplement pour une histoire d’ovulation.Vers 6h du matin, nous déposions prudemment les paquets sous l’arbre avec ma mère et ma tante. Evidemment je n’avais d’yeux que pour Véro vêtue de sa robe de chambre bleu clair, ma tenue devenue fétiche. Dans l’attente des petits monstres, nous prîmes le petit-déjeuner, ma mère bavardant avec sa sœur. J’étais parfaitement ailleurs, pensif quand l’une d’elles m’apostropha.
— Patrick, ça va tu es avec nous ? Me demanda ma mère.— Oui et Papa, déjà parti pêcher ?— Et comment, il est parti à 5h30, dis donc cette nuit quand je t’ai croisé dans le couloir, tu m’as dit que tu dormais mal. Ajouta-t-elle sous les yeux horrifiés de sa sœur mesurant la gravité de tels propos.— Non maintenant ça va ! J’ai finalement trouvé mes aises. Répondis-je sans croiser le regard de sa tante bien mal à l’aise.— Ah j’entends du bruit, je ne crois pas que nous n’allons pas finir nos tartines… Dit-elle en se dirigeant vers le salon.— Patrick, tu crois qu’elle se doute de quelque chose ? Me lança Véro désemparée.— Mais non pas du tout, viens on va manquer le spectacle ! J’ai une envie de de te sauter quand tu es comme ça. En passant ma main sur sa joue pour lui apporter du réconfort.— Tu attendras bien quelques minutes et je ne sais comment tu comptes t’y prendre…surtout avec ce que vient de dire ta mère. Ajouta-t-elle en mettant en garde.
Mes cousins ne déballaient par leurs cadeaux, ils arrachaient les papiers d’emballage et hurlaient leurs joies à chaque découverte. Ma grand-mère nous avait rejoints, amusées de voir ses petits-enfants si joyeux. J’expliquais le fonctionnement du drone à Oscar tandis que Véro mettait en garde Jules sur les dangers de cet objet volant. Puis Oscar et Jules se mirent d’accord pour essayer un nouveau jeu vidéo branché sur la télé. Manettes en main, je leurs faisais une brève démonstration pour les laisser enchaîner. Une fois revenu dans la cuisine, ma mère me proposa une tasse de café. Véro était à mes côtés et je sentis la peau si douce de ses orteils se promener le long de mon mollet. Elle avait ôté son chausson et au gré de sa conversation entre sa sœur et ma grand-mère, elle m’excitait comme un beau diable, connaissant mon appétence pour cette partie de son anatomie.
— Vous ne partez que demain matin ? Demanda Mamie toujours souriante.— Oui nous partons demain matin Mamie, je te trouve en forme !— Oh tu sais à mon âge…c’est plutôt Véronique que je trouve rayonnante ! Alors ma petite Véro, quand je te vois ainsi, j’ai l’impression que tu es amoureuse, tu as rencontré quelqu’un ma fille ?— Pas tout à fait… Dit-elle évasive en collant son pied nu contre mon mollet.— Alors c’est la présence de Patrick, c’est rassurant de ne pas être seule. Ajouta-t-elle.— J’ai mes amis aussi et puis je tourne la page et les garçons réagissent bien. Tu sais Maman je vis le présent et dorénavant je me reconstruis. — Oui mais c’est toujours bien la présence d’un homme, c’est réconfortant et puis à ton âge, tu peux refaire encore ta vie. Tu n’as que 42 ans…— Refaire ma vie…pff… Je connais quelqu’un en effet, quelqu’un de bien en qui j’ai confiance et qui me fait rire mais c’est encore un peu tôt d’en parler. En laissant glisser ses orteils jusqu’à ma cheville.— Mais Véro tu ne m’en avais pas parler ! C’est formidable et vous êtes ensemble depuis longtemps ? S’interrogea ma mère dans la foulée, soucieuse de la réponse de sa petite sœur.— Nous nous sommes rencontrés au mois d’août mais les enfants ne le connaissent pas.— Et toi Patrick, tu le connais ? Insista ma mère.— Patrick ne le connait pas et je n’ai plus envie de parler de ça. Dit-elle sèchement.— Anne, peux-tu m’aider à monter en haut que je puisse faire ma toilette ? Demanda ma grand-mère.— Oui Maman. En l’aidant à se lever.
Véro remit son pied à sa place et se dirigea vers le salon. Les garçons étaient passionnés par le jeu que je leurs avait offert, de plus ils pouvaient jouer avec l’écran partagé. Encore une fois je donnais des conseils avisés à Jules pour qu’il puisse battre son grand-frère. La cuisine étant éloignée du salon, nous ne pouvions rien apercevoir a par la salle à manger. Cela représentait un risque considérable dans l’idée de baiser Véronique, voire inconsidérable. J’optais finalement pour une solution radicale.
— Bon les garçons, vous voulez essayer le drone dehors, dans le jardin ?— Ouiii !— Alors si votre maman est d’accord vous montez vous habiller, Oscar tu as ta montre ?— Oui Patrick. Répondit-il attentif.— Il est 9h07, je vous laisse 20 petites minutes et à 9h27 exact je vous appelle et interdiction de descendre avant, c’est une surprise.— Euh maman t’es d’ac ?— Allez-vous pouvez vous habiller et n’oublie pas Oscar, vous redescendez à 9h27 comme a dit Patrick. Ajouta-t-elle.
Les garçons filèrent à l’étage pendant que Véronique regagnait la cuisine en laissant la porte ouverte, au cas où comme il est courant de le dire. Ma tante me souriait en hochant de la tête, puis elle desserra sa ceinture en déboutonnant sa chemise de nuit. Je la serrai contre moi en lui palpant sa poitrine souple mais par sécurité, elle préféra conserver sa robe de chambre. 
— T’es pas croyable ! On peut dire que tu ne manques pas d’imagination. Dit-elle en m’offrant sa bouche le temps d’un baiser.— Nous sommes dans une semaine cruciale juste avant ton ovulation, allez Tatie au travail ! En baissant le bas de mon pyjama pour m’asseoir.— Tu me fais rire…Oui ne perdons pas de temps. En écartant chemise et robe pour se mettre sur mes genoux.— T’es vraiment une superbe femme. En lui passant la main dans ses mèches.— Tu me le dis tout le temps et toi tu es un très beau garçon… Ajouta-t-elle en se laissant introduire mon gros sexe dans la tiédeur matinale de son vagin.
Ma tante posa ses mains sur mes épaules, éblouissante de féminité mêlée d’une grâce toute naturelle. Elle en devenait presque fragile et à la fois très attirante sexuellement parlant. Notre accouplement incestueux s’apparentait à une course contre la montre. Je la trouvais fort excitante à moitié à poil, elle avait une sorte d’allure majestueuse du fait d’avoir conservé sa robe de chambre et du haut de son mètre 72, je savourais de baiser ma grande blonde qui chaloupait son bassin adroitement. Nous étions sur le fil, chacun de nous deux en était conscient en débutant un lent baiser. Je ne me privais pas de passer mes mains le long de ses flancs pour finir par lui peloter son formidable derrière. Instinctivement Véronique accéléra ses mouvements et ne se gêna point pour proférer des mots hards.
— Tu aimes baiser la petite sœur dans la cuisine de ta maman…depuis le temps que tu en avais envie. Chuchota-t-elle en accolant sa joue contre la mienne.— Oui et si je te mets enceinte, on met au courant les enfants et je dors dans ta chambre.— Je te le promets mon chéri…et j’espère que tu viendras ce soir me rendre une petite visite parce que cette nuit…bah j’ai super aimé, tu m’as niquée comme un dieu. En me caressant la nuque amoureusement.— Oh tu parles comme moi. J’ai frisé le coup dur dans le couloir et…mais c’est bon ce que tu fais ! M’exclamai-je en la laissant se mouvoir érotiquement.— Je sens que ça vient Patrick… En penchant sa tête en arrière pour m’exciter davantage.— Oui tu es si belle. En la serrant contre moi pour subir mes spasmes répétitifs dans son orifice soumis.— Oui…oui…oui…continue mon chéri… En tressautant avec un souffle haletant.— Bordel ce que tu peux me plaire. En l’écrasant contre mon corps pour mieux sentir ses émotions, ses frissons, sa jouissance…— Hannn…Hannn…embrasse moi… En collant ses lèvres aux miennes.
Nous faisions l’amour à la perfection, dans une harmonie hors du commun. Nous avions conscience l’un et l’autre que nos corps s’accordaient merveilleusement. Notre relation était unique du fait que nous n’éprouvions aucun besoin de dire à l’autre ce qu’il fallait faire. Mais pas de place aux sentiments, les minutes s’écoulaient et Véronique belle comme une fleur resserra sa ceinture, des mèches pleins le visage. 
— A ce rythme, tu vas me mettre enceinte plus vite que prévu ! Murmura-t-elle réjouie de se faire baiser pendant les fêtes.— Eh bien comme ça nous dormirons enfin ensemble ma Tatie adorée… En l’enlaçant brièvement avant de filer à l’étage. — Même si je ne suis pas enceinte, tu dormiras dans mon lit. Me lança-t-elle avec ses yeux de biche.
J’improvisais une pseudo-surprise en faisant voler le drone au-dessus de la cime des arbres et en le laissant voyager chez les voisins. Jouant avec l’interdit, Oscar et Jules jubilaient de ce tour de cache-cache mais il me fallut les stopper net quand ils eurent l’idée saugrenue de le faire voler près de la rue. Mon père rentra bredouille de sa partie de pêche pour monter se changer. Le froid aidant, j’ordonnais à mes cousins de se mettre également à l’intérieur. Aussitôt ils occupaient le canapé pour se jeter sur leurs manettes respectives. Ma grand-mère lisait un magazine en attendant le déjeuner que préparait ma mère dans sa cuisine.
— Véro n’est pas avec toi ?— Non elle prend une douche, Patrick tu peux m’aider à mettre la table car les enfants vont déjeuner avec nous.— Pas de problème mais avant je vais changer de chemise.— Ah oui fais toi beau et mets ta chemise blanche, tu es très bien avec et demande à Véronique de m’amener un gilet, j’ai un peu froid. En mettent un plat au four.
Je croisais mon père dans l’escalier, il me fit une tape amicale dans le dos en descendant pour préparer l’apéritif. Je longeais le couloir et sans y penser j’ouvrais la porte de ma chambre oubliant que ma tante l’occupait. Véro était en sous-vêtements, pas maquillée et quelque peu étonnée de me voir. Elle me regardait en souriant tandis que je cherchais ladite chemise dans mon armoire. J’entendais mon père s’adresser à ma mère pour savoir où étaient les flûtes de la veille. L’occasion était trop belle, Véro venait de prendre une douche, elle sentait tout simplement bon et la baiser coulait de source, enfin de mon point de vue. 
— Wouah mon mec est beau ! S’exclama-t-elle d’un œil contemplatif en me voyant torse nu.— Oui…allonge-toi donc. En baissant mon pantalon.— Euh tu crois que c’est raisonnable… En s’étendant sur les draps.— Non. En attrapant les extrémités de son slip blanc.— Ca m’angoisse Patrick. Dit-elle en soulevant son bassin tandis que je faisais glisser sa culotte entre ses hanches pour finir au bas de ses chevilles.— Ils sont en bas…ne crains rien. En lui caressant son ventre à la peau tendre et lisse.— C’est complètement dingue ce que tu me fais faire…bon allez viens me baiser encore une fois. Se décida-t-elle en écartant les jambes pour libérer son intimité.- T’es en pleine période de fécondité. En donnant un large coup de langue sur sa fente pour y déposer suffisamment de salive sur ses grandes lèvres.— Oui… M’avoua-t-elle en observant mon sexe s’engager dans son bas ventre.— T’es excitante après une douche Véronique, tu as la peau si douce. En imprimant un rythme léger pour charmer sa source peu aguerrie à cette invasion spontanée.— Oh oui…oui… Son corps s’accordant peu à peu à mes allées et venues…
Ma tante fraîchement baisée apporta un gilet à ma mère. Elle était savoureuse à regarder avec une petite jupe et elle avait décidé de ne pas porter de bas. Ainsi une fois les flûtes remplies, mon attention se porta sur la finesse de ses jambes à la peau blanche que je venais de caresser. Elle était hyper craquante dans cette tenue et savoir que j’allais me la faire ce soir m’exciter encore davantage. Nous trinquions tous ensemble à une nouvelle année avec un peu d’avance. À ce propos, mon père s’interrogea sur le réveillon.
— Anne nous allons chez les Thibaut cette année, n’est-ce pas ?— Oui mon chéri et nous serons quatre couples et toi Véronique, que fais-tu pour le nouvel an ?— Oh je n’ai pas les garçons cette année et Patricia m’a proposé de le passer chez elle, mais j’hésite. Je suis fatiguée en ce moment alors je verrai.— Oui c’est une soirée comme une autre mais tu as ton compagnon, enfin je sais que tu n’aimes pas en parler et toi mon grand, tu fais la fête avec Adeline ?— Ca m’étonnerait ! Il est fâché avec sa chérie Tatie Anne. S’exclama Oscar.— Oscar… Qu’est-ce que j’avais dit ? Lui dis-je en prenant un ton sévère.— Ah mince… En penchant la tête.— Décidément vous n’êtes pas bavard ! Toi Véro tu es avec un homme et tu ne veux pas en dire plus et toi Patrick, ça ne va pas fort avec ta copine et c’est un sujet tabou ! Par contre ton copain Yann m’a appelée fin août, il n’arrivait plus à te joindre. Quand tu es parti avec Adeline faire du surf, je ne savais qu’elle avait la trentaine et il paraît que c’est une grande blonde très rieuse ! J’aimerais une photo d’elle au moins…
Je n’osais pas regarder Véro. Ma mère sans le savoir me parler de ma tante. J’étais en effet parti avec elle, la faisant passer pour ma copine Adeline auprès de mon pote Yann entouré d’une bande de copains-copines durant une escapade de deux jours. Nous nagions en plein vaudeville et un changement de sujet de ma part était impératif. Véro en fut amusée par la suite et au moment de se mettre à table, elle haussait les sourcils pour me signifier que nous l’avions échappé belle. Finalement c’était peut-être elle qui détenait la clef en prenant cette situation à la légère, en se détachant ou du moins en prenant du recul face à mes parents. J’étais en bout de table, Véro à mes côtés et ma grand-mère de l’autre. Oscar et Jules étaient sages comme une image, fiers de manger avec les grandes personnes. Mon père exprimait son désarroi quant à sa partie de pêche peu prolifique, bien déçu de s’être lever de si bonne heure. Durant l’entrée, j’avais droit à une surprise bien agréable. Véronique ne portant pas de bas frottait son pied nu contre mon mollet, elle alternait de lents passages puis le laisser immobile le tout en bavardant avec mes parents. Je considérais ce geste comme une forme de revendication de ses sentiments, voire une provocation inconsciente à l’encontre de mes parents. Au dessert mon père coupait des parts de la bûche succulence et les langues se délièrent.
— Anne, ta bûche est une vraie merveille et tu me donneras la recette. Lui dit-elle en freinant ses enfants dont les assiettes étaient déjà vides.— Volontiers, le principe est simple mais ça en fait des casseroles à laver ! Tu pourras en faire quand tu rentres demain ou pour le soir du nouvel an ? Insinua ma mère pour en savoir davantage sur ce qu’elle projetait de faire.— Bah je n’ai pas les garçons cette année… En accolant ses orteils contre ma jambe.— Tu ne vas pas rester seule quand même, tu vas avoir le bourdon. Ajouta ma mère quand Oscar l’interrompit.— Moi j’aime pas la chérie de Papa et Maman, tu n’as qu’à passer le nouvel an avec Patrick. Tatie Anne, tu sais ils s’entendent super bien tous les deux et ils ne se disputent jamais ! S’écria Oscar spontanément.— Oui Oscar je m’entends très bien avec ta Maman et c’est une excellente idée, en plus avec Adeline ça m’étonnerait fort que l’on soit ensemble pour cette soirée, qu’en penses-tu Véro ? — Euh bah…moi aussi c’est loin d’être sérieux et en plus il est marié ! En affabulant à merveille.— Alors dans ce cas Véronique, tu ne vas nulle part avec cet homme ! Oscar tu as une très bonne idée pour ta Maman et finalement pourquoi vous ne viendriez pas avec nous chez les Thibaut ? S’enthousiasma ma mère.— C’est gentil mais j’y pense, je vais inviter Patricia avec Paul, en plus Patrick les connaît et on se fera une petite soirée sympa ! En levant son verre en guise de conclusion.— J’aurais aimé être avec vous… En plus Papa va sûrement partir loin…Sanglota Oscar.— Quoi ? S’offensa Véronique de ne pas être au courant.— Il m’a dit de ne pas le dire mais il part bientôt dans un autre pays parce que sa chérie va travailler avec lui. Toute façon je préfère être avec vous deux ! — Euh je vais en parler à Papa Oscar… Répondit ma tante sans faire remarquer le terme nous deux bien gênant dans sa longue tirade.
Un silence régna autour de la table, ma mamie me soufflant à l’oreille qu’elle se sentait un peu fatiguée. Mon père leva la séance après le café.Les garçons s’accaparaient le canapé mais pas très longtemps. Le jeu vidéo étant basé sur le foot, nous disposions de quatre manettes, donc de deux équipes potentielles. Avec mon père, nous passâmes l’après-midi entière avec les garçons en faisant des dribles, des corners, des penaltys…Ma grand-mère piqua un long somme et ma mère bavarda avec sa sœur pour envisager l’avenir avec cette histoire de départ à l’étranger de son ex.
— De toute façon ce type est un salaud ! Il ne pense qu’à lui Véronique, il oublie sa famille. Moi je te conseille de trouver un type solide et oublie l’autre qui est marié. Maman te l’a dit, tu n’as que 42 ans et tu peux encore faire plein de choses.— Je désire avoir un enfant avec un homme, un enfant pour moi, tu comprends ça Anne, ce serait comme une revanche sur le destin, comme une nouvelle vie qui commencerait pour moi. Tu comprends Anne ? Lui confessa-t-elle d’une voix émue.— Véro je suis et je resterai ta grande sœur, quoiqu’il arrive tu auras mon soutien et si c’est ton souhait, alors fais un enfant même si ça n’est pas très moral. Le seul problème, ce sera l’absence de père autant pour ton nouvel enfant si tu y arrives, autant pour Oscar et Jules. Ce qui m’ennuie le plus, c’est de te savoir seule quand Patrick aura fini son stage. Lui expliqua-t-elle avec une profonde sincérité.— Nous verrons bien…Oh mais l’heure tourne, je vais mettre les garçons en pyjama et merci Anne, ça me touche beaucoup ce que tu viens de me dire.— Véronique, quoique tu fasses je l’approuverai.— Tu en es si sûre ? Dit-elle.— Oui tu es ma petite sœur que j’aime. Avec la larme à l’œil.
Ce que j’entendis me bouleversa. Véronique avait tâté le terrain et ma mère lui donnait son approbation de faire un enfant, qui plus est avec l’absence de père. Bien sur cette prise de position la confortait dans le choix de tomber enceinte, mais elle s’était abstenue de mentionner le nom du procréateur potentiel. J’avais déjà en tête la réaction de ma mère, la réaction d’une mère face à son fils unique ce qui n’arrangeait rien à l’affaire. J’étais dans le doute, le doute de faire un enfant à ma tante me liait à elle pour la vie. 
Certes j’avais réalisé mon fantasme en la baisant mais dans cette optique, je le dépassais allègrement. Qu’y avait-il au-dessus d’un fantasme accompli ? Qu’un autre surgisse et encore un autre par la suite ? Non. Mon projet atteignait un degré bien supérieur si je mettais enceinte ma tante. Elle devenait ma compagne et comme dit précédemment, lui faire un enfant me procurait une excitation suprême, une sorte de dépassement de l’interdit. Elle était trop belle pour laisser filer une telle occasion et j’étais tombé raide dingue amoureux de Véronique. Donc je suivais mon instinct et le soir une fois le dîner terminé, mes parents montèrent se coucher nous laissant seuls dans la cuisine pour fumer une cigarette, Véro s’autorisant à en griller une. 
— Alors on réveillonne avec Patricia et Paul, t’as de la suite dans les idées sacrée Tatie !— Oh Patrick je ne savais plus quoi dire…ça va être sympa, j’aurai mon neveu pour moi toute seule le soir de l’an. Je te préparerai un bon petit plat et ne me regarde pas comme ça, on dirait que je suis ton dessert…— Tu comprends vite, viens sur mes genoux ma Véro.— Oui mais je veux te dire quelque chose d’important. J’ai longuement parlé avec Anne, enfin ta mère cet après-midi. En prenant place sur moi.— Oui j’ai à moitié entendu et elle n’est pas contre que tu fasses un enfant sans avoir de père. En passant ma main sous son menton.— Bah je n’ai pas parlé du papa ! Tu sais je me pose la question quand je vois tes parents si fiers de toi et…enfin si on n’est pas en train de faire une connerie. Patrick en me mettant enceinte tu réalises que tu t’engages avec moi, que tu vas vivre avec moi, avec mes enfants…que tu vas être obligée de me supporter aussi. En allumant sa cigarette fébrilement.— Mais je mesure tout cela et pour te supporter…bah c’est Oscar qui le dit, on s’entend super bien et ça va te paraître un peu con ce que je vais te dire, mais avec toi j’ai la certitude d’avoir trouvé ce que j’appelle le féminin de mon esprit. En promenant mes doigts dans ses mèches défaites.— Wouah ! Tu sais parler aux femmes…le féminin de ton esprit (!). Je ne sais pas quoi te répondre. Dit-elle troublée par le poids des mots en éteignant sa cigarette.— Alors toujours partante pour que je te fasse un bébé ma belle Tatie ? Lui demandai-je en la tenant par la taille.— Oui toujours et je t’attends ce soir, alors on fait comme hier ? Tu m’envoies un petit texto mais savoir que tu as croisé Anne hier, ça ne me rassure pas… — Je l’ai entendue parler avec mon père, elle lui a dit qu’elle a mal dormi et elle va prendre des somnifères pour passer une bonne nuit. En caressant le bas de ses cuisses à travers sa jupe.— Alors dans ce cas ne tardons pas ! J’ai hâte de recevoir la visite de mon neveu…j’ai de la chance de te plaire à mon âge, t’es vraiment un beau mec. M’avoua-t-elle en se levant.— Et moi j’ai la chance que ma mère ait une petite sœur ravissante, séduisante et super sexy ! En l’enlaçant.— Que t’es bête… Répondit-elle tout sourire en m’embrassant rapidement avant de monter.
Dans le couloir pas le moindre bruit et un petit concert de ronflements s’opérait dans la chambre parentale du fait de ma mère sous somnifères et de mon père exténué de sa partie de pêche. Du côté du bureau où ma grand-mère avait élu domicile, un calme plat régnait. Sans prendre la peine de me mettre au lit, je me retrouvais en caleçon en refermant ma porte. A pas feutrés je traversais le couloir pour y retrouver Véronique sans l’avoir avertie. Quelque peu surprise elle avait laissé le volet ouvert me procurant la luminosité nécessaire pour me frayer un passage jusqu’à elle.
— Mais tu ne m’as pas envoyé de texto Patrick ? Je ne t’attendais pas si tôt…— Ils dorment tous ! En ôtant mon caleçon et en soulevant son drap.— Ouh…je vois que mon neveu tient la forme pour me mettre enceinte ! Dit-elle admirative de mon sexe en s’asseyant sur le bord du lit les mains posées sur mes hanches.— Je croyais qu’il fallait faire vite Véro. En restant debout.— Tu viens de me dire que tout le monde dort…je n’ai fait que te regarder toute l’après-midi et depuis j’en ai trop envie. En suçotant mon gland.— Y a pas à dire ! T’es follement amoureuse à ce que je vois.
Véro redressa la tête pour me fixer des yeux, puis lentement elle laissa glisser ma verge entre ses lèvres exquises. Bien qu’elle fût ma tante, je devais admettre qu’elle était une formidable suceuse, une experte de la fellation. Elle ne voulut pas le reconnaître, consentant simplement aimer me le faire juste avec moi. Je restais admiratif devant tant d’application… Encore une fois mon compagnon le réverbère m’interpella pour me rappeler la situation insolite que j’étais en train de vivre. Cela se passait dans ma propre chambre. Moi qui lui avait parlé il y a quelques mois encore dans la pièce voisine. Moi qui avait tenté de la draguer sans oser passer à l’acte. Je réalisais que je me retrouvais dans la demeure familiale, que ma tante creusait ses joues pour mieux aspirer mon sexe, qu’elle me suçait savoureusement en se délectant d’avoir mon membre dans sa bouche au fond de son palais. Du grand art si j’ose dire de sa part.
— Patrick, je ne vais pas au bout… Murmura-t-elle en délaissant ma verge recouverte de sa salive à l’air libre.— Oui alors allonge-toi ma belle Véronique. 
D’un revers du bras, elle s’essuya les lèvres mais au lieu de s’allonger elle se mit debout pour se coller contre moi. Une envie irrésistible de tendresse la submergeait avant de passer à l’acte. Mon érection était maximale mais Véronique m’enlaçait sans s’en préoccuper. J’échangeais un long baiser en lui pelotant férocement ses fesses que je qualifiais d’infernales, tant je devinais leurs courbes parfaites à travers mes amples passages…
— Véro… En lui laissant comprendre non plus mon appétence mais une quasi fringale de son corps.— Oui mon chéri je m’allonge… — Quand je te regarde, j’ai l’impression de rêver. En me disposant face à sa source conquise.— Oui et tu sais que ça me gêne alors viens… Se lamenta-t-elle en creusant son ventre pour mieux se savoir désirer.
J’éviterais les mots qui m’étaient venus à l’esprit à ce moment pour conserver une littérature, enfin disons un style littéraire acceptable. Ce fut avec une force indéniable qu’il me fallut admettre que ma tante avec son ventre creusé, son sexe offert, ses seins en alerte et ses lèvres souriantes s’acquittait de loin du charme fatal de la quadra dans toute sa splendeur. De la à la comparer à une bombe sexuelle, le fossé était minime et mon sexe ne se posa pas la question.
— Ohhh oui enfin… Confessa-t-elle emportée par le plaisir de se faire pénétrer par son jeune étalon.— Je t’aime Véronique. En restant immobile en elle.— J’attendais ce moment depuis si longtemps…serre moi fort. Murmura-t-elle d’une voix brisée par le trop plein d’émotions.— Je vais te faire un enfant à toi, toi la petite sœur de ma mère. En restant dans sa chaleur.— Oui je suis d’accord, mets-moi enceinte mon amour… En calant son bassin sur mon rythme débutant.
Véro était devenue fana du sexe. Durant un bon quart d’heure, elle s’abandonnait à mes pulsions redoublant de caresses et de baisers multiples. Le fait de lui avoir enfin déclarait ma flamme l’avait galvanisée. Bien entendu comme le soir précèdent, j’aurais aimé une étreinte plus durable mais au regard des risques inconsidérés, sans avoir peur des mots, nous avions abrégés notre acte. Véro se fit très romantique, tendre, attentionnée, en un mot passionnément amoureuse dans son comportement. 
Le lendemain nous faisions nos bagages. Ma mère, émue de nous voir partir demanda à sa sœur quand elle la reverrait. Véro lui répondit certainement vers Pâques en restant bien évasive. Je ne l’avais pas baisée le matin, nous nous étions accordés à ce sujet. A trop jouer avec le feu…De retour à Bordeaux Jacques, son ex chercha les garçons l’après-midi jusqu’au nouvel an. Une conversation rapide dans le salon entre Véro et lui confirma les dire d’Oscar. Il allait en effet partir au nord de l’Allemagne fin du mois. Il avouait penaud que c’était une décision hâtive, qu’il n’avait aucune autre alternative et que désormais la garde des enfants serait confiée à Véro en attendant une décision du juge. Bien évidemment, il aurait les garçons une grande partie des vacances. Oscar tout comme Jules méprisaient leur père, ce qui était fort légitime surtout à leurs âges, l’ainé ayant 10 ans et le second 8.Les enfants étaient en pleurs, ils refusaient de quitter leur mère. Jacques peu crédible tentait de calmer le jeu en leurs disant qu’il viendrait les voir, du grand n’importe quoi. J’écoutais dans la cuisine pour ne pas interférer dans ce dilemme cruel. Puis Oscar vint me voir accompagné de son frère.
— Patrick, dis à Papa qu’on veut rester ici.— Oscar, ça ne dure que cinq petits jours et après vous serez tout le temps ici. — Tout le temps et toi tu seras à la maison avec nous ?— Oui je te le promets, alors écoute ton Papa et suivez-le, vous ne voulez pas que votre Maman continue de se disputer avec votre Papa ? Argumentai-je.— Non on ne veut pas mais tu promets d’être à la maison quand on rentre ?— Une promesse c’est une promesse. En parlant posément pour rassurer le pauvre petit bonhomme.— Bon Jules on va y aller et après on retrouve Maman et Patrick. En s’adressant à son petit frère d’une voix atone.
La tension retombait difficilement, Jacques se confondait en excuse devant Véronique. Elle lui en voulait de fuir ses responsabilités, de s’éloigner de ses enfants. Excédée, elle mit fin à cette situation en ordonnant aux enfants de prendre leurs affaires… J’entendis la voiture démarrer et un bruit de porte conséquent ainsi que des pas dans l’escalier. Ma tante se trouvait à l’étage probablement bien agacée et je n’avais nullement l’intention de la rejoindre.
Ainsi je me retrouvais dans le rôle de chef de famille à mon insu. Leur père en futur déserteur allait se faire forcément discret mais à y penser, son départ était loin d’être une mauvaise nouvelle. Il m’ouvrait une voie royale avec ma tante qui allait désormais pouvoir se reposer sur son mec, comme elle me l’avait dit précédemment. La seule question qui me taraudait allait être la réaction de mes parents. Fallait-il les mettre au courant ? Allais-je dormir enfin, si j’ose dire, avec Véronique une bonne fois pour toute ? Toutes ces questions nécessitaient une âpre discussion entre nous deux. Il nous fallait apporter des réponses singulièrement logiques, d’ordre hautement psychologique.La tâche ne s’annonçait pas insurmontable mais plutôt subtile…
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