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Séduction délicate de la soeur de ma mère

Chapitre 23

1er avertissement

Inceste
Si vous avez manqué le début.
Je m’appelle Patrick, fraîchement diplômé j’ai trouvé un travail en Allemagne à Hambourg. J’entretiens depuis plus d’un an une relation intime avec ma tante Véronique, très BCBG, sœur de ma mère Anne.Elle a 43 ans, divorcée avec 2 enfants, 1m72 pour 55 kg et moi, 25 ans 1m80 pour 75 kg.Je l’ai mise enceinte courant mai, elle a accouché d’un petit garçon prénommé Hugo. Nous voici fin janvier, elle doit me rejoindre pour intégrer la même boite que moi avec un poste d’assistante de direction. Ses enfants font partie du voyage.
J’attendais ma tante de pied ferme. J’avais tout organisé pour la scolarité des garçons. Le lycée Saint Exupéry démarrait de la maternelle à la terminale. Richard, mon boss du site avait pistonné ma demande. Quant à la nounou, bingo une des assistantes m’avait conseillé d’en contacter une située près du bureau, lequel était en plein centre. L’ambiance était bonne et comme convenu j’échangeai des textos quelque peu libertins avec ma tante : tout est prêt, je n’attends plus que toi dans mon lit ! Ton neveu -. Au départ elle se montra mesurée puis à la longue elle se prit au jeu : Ta Tatie est d’accord mais il faudra prendre soin d’elle, chauffe lui la place… -.J’avais visité plusieurs pavillons. Peu séduit par les emplacements j’avais jeté mon dévolu sur un duplex situé dans une tour en plein centre-ville. Très en vogue durant une certaine époque, ce type de logement était devenu assez rare et que ne fut ma joie d’envoyer un nouveau texto libérateur à Véro : trouver superbe appart sur deux niveaux avec chambres à coucher au deuxième, super pour le petit-déjeuner ! Tu me manques. Ma tante ne manqua pas d’humour : oui super, tu auras ta Tatie en robe de chambre qui te fera office de petit-déjeuner quand les garçons seront en haut. Tu pourras me téter comme promis et plus si tu le souhaites…-.
Je constatai que ma tante raffolait des sextos en attendant la fin des trois semaines. La veille de son arrivée et durant une réunion elle m’en envoya un retenant mon attention : je me suis mis du vernis sur les pieds avec la couleur que tu aimes, je me suis épilée. Bref tu pourras me déguster dès son arrivée. Ta Véro chérie -.Très excité dans tous les sens du terme je lui renvoyai en douce mon dernier sexto : n’aie crainte, je meurs de faim et je te dégusterai sans aucune modération. Ton neveu chéri -…
— Alors vous avez fait bon voyage ? En enlaçant brièvement ma tante et en faisant la bise aux garçons sans oublier mon fils Hugo sur le quai de la gare.— Oui Patrick, tu nous montres ton appart ? Demanda Jules impatient de connaître sa nouvelle demeure.— On va y aller tout de suite et après je vous invite au resto, pour le petit j’ai prévu une baby-sitter Véronique. — Génial ! Bon les garçons on y va. Leur ordonna-t-elle pour mettre les valises dans le coffre de ma voiture.
Dès l’ouverture de la porte d’entrée la petite famille s’extasia devant la vue du dixième étage. Au deuxième niveau il y avait trois chambres et deux salles de bains. J’avais pour ainsi dire tout prévu et en l’espace d’une petite heure, chacun avait trouvé ses repères. Il y avait également une grande terrasse sans vis à vis, mais avec le temps de janvier personne ne se risqua à l’extérieur. La pièce d’Oscar étant la plus grande, je l’avais dotée d’une télé à partager avec son petit-frère. La baby-sitter arriva avec un peu d’avance et Véro lui fit les recommandations d’usage. J’ajoutai que ce ne serait pas long, les garçons étant jeunes nous n’allions pas rentrer à minuit.A pieds nous nous rendîmes dans un genre de Winstub dans le plus pur style germanique. Les saucisses étant reines dans ce pays, les garçons ne dérogèrent par à la tradition mais leur mère les stoppa craignant une digestion disons délicate.
— Patrick, on pourra visiter le port ? Il y a des gros bateaux que je veux voir ! Demanda Oscar.
— Oui on ira et il s’agit de cargos mais attention, le port est énorme et il faut y aller en voiture.— Ah bon…eh ça doit foutre les pétoches ! Répondit-il.— Oscar ! Mais comment tu parles ! C’est la dernière fois tu es prévenu, sinon plus de jeu vidéo. Lui dit-elle en forme d’avertissement.
En regagnant l’appartement Oscar se confia à moi. Il avait eu son père au téléphone, lequel avait sauté de joie à l’idée d’avoir à nouveau ses enfants auprès de lui. Mais le petit était soucieux pour la garde en alternance qui allait se remettre en place. Il y avait également la relation avec sa belle-mère âgée de 29 ans, Christine que je n’avais jamais vue. Il me la décrivit comme une petite garce capricieuse et je le rassurai à ce sujet en lui expliquant que si ça venait à mal se passer, nous trouverions un accord pour la voir moins souvent.Dès leur arrivée les garçons avaient déjà installé les branchements du jeu de course sur la télé dans la chambre du haut et tout naturellement ils me demandèrent l’autorisation de jouer un peu avant de se coucher. Avec l’approbation de leur mère, je les autorisai à s’amuser le temps d’une heure. Je remerciai la baby-sitter et tout le monde monta se mettre en pyjama, ma tante y compris en couchant le petit. Pendant ce temps je débouchai une bouteille de rosé dans la cuisine, en souvenir du bon vieux temps. Véro redescendit vêtue de ma tenue fétiche. Elle avait du mal à comprendre ce que je trouvais de si extraordinaire à la voir en robe de chambre. C’était mon vieux fantasme d’ado enfin réalisé quand elle passait nous voir à Paris, prenant le petit-déjeuner avec ma mère. Elle n’avait jamais remarqué à cette époque mes yeux posés sur elle juste avant de partir au lycée. Je ne me lassais pas de la voir ainsi et elle prit place en face de moi en me faisant un smack au passage.
— Ah c’est sympa un petit verre de rosé, ça me rappelle nos longues conversations à Bordeaux sur la terrasse. Qu’est-ce qu’on a pu discuter et comme tu pouvais me draguer ! En y repensant ça n’était pas désagréable de me faire draguer par mon neveu. Dit-elle en trempant ses lèvres dans son verre.— J’ai mis le paquet avec toi au départ, ç’était pas évident et tu étais farouche. — Bah il fallait bien que je résiste et que je te fasse poiroter, je n’allais pas me jeter dans tes bras le premier soir ! Patrick je ne dirai pas non pour fumer une petite cigarette… En manipulant mon briquet.— Je te regarde et il te faut toujours quelque chose dans les mains, c’est un tic que tu as. Tiens prends-en une. Au fait pour le boulot tu commences à 9 heures et tu as ton bureau à côté du mien. Tu es l’assistante du boss, Richard et quand il est en déplacement, tu es mon assistante, ça ne te dérange pas ? En lui proposant sa cigarette.— Si tu ne m’engueules pas, ça va !… Bon allez je suis en train de prendre un verre avec mon boss si je comprends bien et je n’ai plus qu’à bien me tenir et à faire tout ce qu’il me demande, je n’ai pas le droit de lui refuser quoi que ce soit. En tirant une bouffée de cigarette et en croisant ses jambes pour faire apparaître le début de sa cuisse.— Les garçons sont en haut, nous voilà enfin réunis. En sachant fort bien que ma tante m’aguichait avec sa position érotique.— A propos d’être réunis, j’ai raconté à Anne enfin ta mère que tu m’avais trouvé un appartement dans le même immeuble que toi. Je lui ai dit que j’étais au 10ème et toi au 8ème étage et du coup elle m’a répondu que ça t’arrangerait pour te repasser tes chemises ! Ah si elle se doutait que nous vivons ensemble, le ciel lui tomberait sur la tête. Dit-elle mélancolique.— Bah elle est bien loin de s’imaginer tout ça, comme en ce moment. Renchéris-je en vidant mon petit verre de rosé.— Oui et je t’avoue que cela me fait un peu drôle de me retrouver en robe de chambre dans la cuisine face à toi, parce que depuis ton départ mi-septembre excepté il y a trois semaines à l’hôtel, on ne s’est quasiment pas vus depuis. Ajouta-t-elle en mettant son mégot dans le cendrier.— Ca fait un sacré bout de chemin parcouru, qui aurait cru que nous terminerions à Hambourg avec notre fils et tes garçons ? Que se passe-t-il Véro ? En voyant son embarras naissant.— Tu sais Patrick ce n’est pas évident pour moi, pourquoi fallait-il que je tombe sous ton charme, toi qui es mon neveu ? Par moment j’ai tellement honte de moi, honte de coucher avec un garçon qui pourrait être mon fils et me voilà en robe de chambre devant toi, prête à passer la nuit avec toi dans le même lit. S’indigna-t-elle d’une telle situation.— Tu n’es pas ma mère, juste sa petite sœur et…Aie je sens que tu vas avoir du mal à te mettre à poil devant moi une fois en haut.— Mais non…enfin il faut que je m’habitue à nouveau avec les garçons juste à côté et le bébé dans notre chambre, mais bon je me mettrai nue devant mon neveu qui aime tant me dévisager avant de me mettre au lit. En plus tu ne m’as pas vue nue depuis trois semaines et depuis j’ai retrouvé mes formes, le fitness y est pour quelque chose…enfin tu me diras, c’est juste mon avis. En me jetant un petit regard coquin.— Alors montre-moi en desserrant ta ceinture.— J’aurais mieux fait de me taire…et je déboutonne ma chemise de nuit si je comprends bien. Rajouta-t-elle en prenant un ton blasé.
Je connaissais parfaitement ma tante, elle crevait d’envie de se faire câliner mais ne voulait pas me le faire savoir. De ce fait elle adopta volontairement une attitude nonchalante en dénouant sa ceinture et en enlevant un par un ses boutons. Je restai posé dans mon attitude, hormis mon sexe se gonflant irrésistiblement face à cette femelle pure de toute relation depuis trois semaines.Puis Véro se leva, hyper sexy de mon point de vue. Du fait de sa grossesse, ses seins en forme de poire avaient pris la forme de poire type conférence, donc plus allongées mais sa silhouette en général était restée la même. Elle arborait pour le moment sans complexe une partie de son anatomie, à savoir son vente plat et musclé puis une partie de son sexe parfaitement épilé comme dit par texto.Elle saisit robe et chemise pour les ouvrir, me laissant le soin de contempler le corps de ma quadra préférée. Face à mon regard contemplatif, elle se contenta d’ajouter une simple phrase.
— Euh… je te plais toujours ? Demanda-t-elle quelque peu confuse d’arborer sa nudité au beau milieu de la cuisine.— T’es ravissante ou mieux t’es à croquer sur place, approche un peu que je te caresse. En lui prenant la main.— Oui mais après on monte Patrick, j’ai peur que les garçons redescendent et nous surprennent. S’inquiéta-t-elle en restant debout face à moi.
J’épousai de ma main tout le long de son buste, démarrant du bas-ventre jusqu’à la hauteur de sa nuque. Son corps ou du moins sa peau n’était plus la même, plus veloutée désormais. D’une infinie douceur je me plus à parcourir la base de ses seins, puis leurs pointes ainsi que le début de son entrejambe. Je constatai à son visage détaché que Véro était hors du coup.
— Patrick c’est très agréable mais si ça ne t’ennuie pas je vais monter voir Hugo et ensuite je rangerai la cuisine en redescendant. Dit-elle en repoussant ma main.— Oui monte et je la range cette cuisine, ne redescends pas et attends-moi au chaud. En me levant pour débarrasser les assiettes.— Je…je ne sais pas quoi dire, t’es vraiment un garçon très bien. En resserrant sa ceinture.— Et toi tu es quelqu’un de merveilleuse, je suis comblé avec toi. — Moi aussi Patrick, tu n’imagines pas ce que tu représentes pour moi. Tu es doux, attentionné avec moi et fort dans ta tête. Tu sais je suis en admiration devant toi pour ton âge et par moment je crains que tu n’aies fait une bêtise avec moi. Insinua-t-elle en prenant un air tristounet.— Véronique…tu ne dis que des conneries à cette heure-ci, il serait préférable d’aller te coucher. Lui rétorquai-je.— Je vais monter me coucher, tu as peut-être raison. Conclut-elle en filant en haut.
En terminant de ranger la vaisselle, je pensai à ma tante, à ses états d’âme. Depuis le début de notre relation incestueuse, elle n’arrêtait pas de se culpabiliser, de se sentir honteuse de coucher avec moi. Certes ce sentiment était fort légitime, elle avait une relation intime avec le fils de sa grande sœur. Il fallait rajouter qu’en tant que fils unique, cela n’arrangeait guère les choses dans son sentiment d’indignité, d’impureté morale. Et puis dans toute cette histoire, nous ne nous étions pas vus depuis près de trois mois, hormis l’incartade de l’hôtel assimilée à un coup de folie pour Véronique.
En regagnant l’étage j’avais cette impression étrange de repartir à zéro, de repartir à la conquête de ma tante. Véronique de nature pudique ne me favorisait pas la tâche et en arrivant dans la chambre, je ne fus pas surpris de la retrouver dans le lit en train de lire en chemise de nuit. La lampe de chevet allumée, elle parcourait les pages d’un bouquin bien épais pour le poser à même le sol quand elle me vit.
— J’ai fait comme tu m’avais demandé et ne fais pas trop de bruit, il dort. Chuchota-t-elle.— Oui tu n’as pas froid ? Lui demandai-je en me déshabillant avec un sous-entendu la concernant.— Non ça va super mais je suis fatiguée du voyage et tout est nouveau, il faut que je trouve mes marques Patrick. — Repose-toi, je jette un coup d’œil sur mon fils. Comme il est beau ! Déclarai-je en me penchant sur le petit lit.— Attends je viens le voir aussi.
Véronique oublia sa lecture aussitôt pour se mettre à mes côtés. J’étais en caleçon avec une gaule infernale en reluquant ses jambes fuselées et en devinant ses seins fermes et généreux. Je me gardai de tous gestes déplacés envers elle, mais Véro une fois son petit câlin terminé sur notre bébé se tourna vers moi. Démaquillée, les cheveux en bataille et avec ses petits cernes sous les yeux elle symbolisait la belle quadra sur laquelle je n’avais jamais cessé de fantasmer et pourtant elle était bel et bien là, devant moi en chemise de nuit. Une sorte de malaise régna un court instant entre nous pour faire place à une attirance physique puis sentimentale.
— Patrick…je regrette ce que je t’ai dit tout à l’heure, c’est moi qui suis bête de penser cela. En fait c’est dur de me l’avouer…mais je suis si bien avec toi, très bien. En m’enlaçant tendrement.— Regarde-moi Véro. Nous sommes dans une situation où il faut être égoïste, nous ne devons penser qu’à nous et éviter de nous soucier des autres. Nous avons ce que nous voulions, nous sommes ensemble à l’étranger avec tes garçons qui dorment à tes côtés et notre bébé beau comme sa Maman qui dort aussi. T’es une nana géniale. En passant ma main sur sa joue affectueusement.— Han…tu m’appelles de nouveau ta nana…oh toi alors tu sais y faire avec moi…euh bon…tu veux bien me déboutonner ma chemise de nuit ? En saisissant cette fois ma main pour l’accompagner dans le premier geste.— La dernière fois que je t’ai appelée comme ça, tu m’as fait tout un speech en me disant que tu étais ma tante et pas ta nana. Lui répondis-je en détachant le dernier élément.— Oooh…ce soir je suis ta nana Patrick et je vois que tu ne perds pas de temps ! Déclara-t-elle avec la chemise entre-ouverte.— Eh ben ma Tatie, tu peux arrêter le fitness ! Mais c’est que tu es de plus en plus belle. En lui passant mes mains sur les épaules faisant choir son vêtement sur la moquette.— Patrick…je suis à poil devant toi…et…euh…hum hum…je crois que je vais me rhabiller. Bredouilla-t-elle confuse au possible en ramassant sa chemise.— Bon je descends, je vais boire un verre d’eau dans la cuisine. Tu veux que je t’en ramène un ? — Mais tu ne veux pas… En enfilant son vêtement léger.— Non tu n’es pas prête ce soir, je ne veux pas te forcer Véronique et je te laisse trouver tes marques. En quittant la pièce sous son regard étonné, ébahi et presque déçu de me voir partir.
Au loin il y avait de petites lumières me rappelant ce port gigantesque, avec une vue impressionnante sur toute la ville et son fleuve, l’Elbe. J’étais descendu en laissant la lampe de l’escalier allumée et je me retrouvais ainsi dans une sorte de pénombre. En ouvrant la porte du placard pour prendre un verre, j’aperçus une silhouette familière. Elle était là, superbe avec ses mèches éparpillées sur ses épaules et sa chemise de nuit toujours ouverte lui arrivant à mi-cuisse. Elle avait une gueule folle avec ses longues jambes fines et ses seins à moitié à l’air. Mon sexe se mit dans le même état que les chiens de chasse, ceux-là mêmes qui une fois qu’ils eurent reniflé leur proie dressaient leurs oreilles en pointe. Quelque peu allumeuse, elle croisa ses bras et s’appuya contre le plan de travail.
— Je termine mon verre et je monte. — Euh…je vais suivre tes conseils Patrick, je vais être égoïste. Dit-elle en se dirigeant vers moi.— Ma grande blonde a trouvé ses marques. En posant mon verre pour la serrer contre moi.— Oui et je suis ta nana dont tu peux disposer. En passant ses bras autour de mon cou pour me rouler une pelle endiablée.— La vache ! Qu’est-ce que j’aime t’embrasser, en plus tu embrasses super bien ma belle Tatie. En caressant son visage angélique.— Je te retourne le compliment…j’ai été conne tout à l’heure et en plus tu me plais tellement, par moment je ne sais pas ce qu’il me prend. En usant d’un langage cru inhabituel de sa part.— Alors tu as changé d’avis, tu aimerais un câlin avec ton neveu. En l’embrassant une nouvelle fois.— Mais je n’ai pas changé d’avis ! C’est toi, tu es descendu et j’étais prête à.… enfin tu vois ce que je veux dire. Dit-elle en me faisant un smack.— J’ai envie de te regarder différemment et après je te saute Véronique, t’es d’ac’ ? — J’aime pas quand tu dis sauter, je trouve ça vulgaire et ça signifie quoi me regarder différemment ? — Tu montes sur la table et tu te mets à quatre pattes mais je ne t’oblige pas à le faire. Lui proposai-je en lui volant un dernier baiser.— Oui enfin…là tu pousses ! Moi qui recherchais de la tendresse…et je ne sais pas ce que tu veux me faire et puis les enfants, tu as pensé aux enfants ? Râla-t-elle peut-être à juste titre.— Ne t’inquiète pas, ils dorment, ils sont fatigués. En passant ma main le long de son ventre redevenu plat et bien musclé.— Tu me fais faire n’importe quoi et ça aurait été plus simple de le faire en haut…Bon tu veux me voir à poil sur la table si je comprends bien ? Demanda-t-elle agacée mais séduite intérieurement de s’exhiber ainsi.— Exact ma belle.— Si l’un des gosses descend, j’aurais l’air intelligente Patrick. Là on prend vraiment des risques…
La pénombre lui fut d’une grande aide dans l’exercice impudique que je lui imposais. Elle me fit languir en prenant soin de plier sa chemise de nuit puis entreprit de grimper sur la table tout en maugréant, trouvant cette idée stupide. D’abord assise sur ses genoux, elle s’employa à se placer sur les mains en se cambrant pour m’offrir un profil digne de mes attentes. Bien entendu je me gardai d’allumer la lumière pour conserver cet aspect quasiment magique de la voir de profil, au beau milieu de la cuisine.Féline au diable, Véronique imposait une allure majestueuse du fait d’être installée à un mètre du sol et ce malgré son air contrarié. Contemplatif devant ses courbes, je passai ma main sur l’étendue de son dos pour finir par une grande caresse sur ses fesses.
En fait sans m’en être rendu compte, ma tante était devenue une œuvre d’art fascinante du fait de cette position inédite. Je ne l’avais pour ainsi dire jamais vue sous cet angle ou du moins à cette hauteur.En pur objet sexuel, je multipliai de lents effleurages sur toutes les parties de son corps avec une attention particulière pour sa croupe divine. Je déposai des baisers sur ses fesses rebondies pour les envelopper des deux mains.J’étais comme fou devant la petite sœur de ma mère, laquelle restait figée en se laissant caresser, peloter, dorloter. J’avais le sentiment d’être une sorte de privilégié devant sa beauté, son charme de quadragénaire sexy. Je façonnai presque chaque partie de son anatomie, laquelle flirtait allègrement avec la perfection.
Mais mon sexe me ramena à la réalité et sous son impulsion, façon de parler, je saisis chacune de ses fesses. Ma bouche s’approcha pour effleurer l’innocence de son anus. Ma tante, surprise fut parcourue d’un frisson puis comme une sorte d’offrande voire de soumission, elle se cambra davantage en s’étalant sur les avant-bras. Je léchouillai autant son sexe que son petit derrière, d’une manière si savante que j’eus droit à mon premier compliment d’une façon indirecte.
— Bah Patrick…tu aimes me voir dans cette position et je dois t’avouer que c’est plutôt pas mal. Me dit-elle en se retournant.— T’es superbe Véronique, t’as un cul d’enfer. En récoltant sa saveur intime pour la répandre sur son second orifice.— Oui enfin un cul d’enfer…quand je pense que je suis ta tante mais bon…oh là là toi tu en profites en ce moment, tu aimes t’occuper de moi. Poursuivit-elle en se posant en victime tout en se laissant âprement déguster son derrière succulent.— Alors si tu préfères, t’es une Tatie d’enfer ma Véro ! En me baissant à nouveau pour lécher sa fente en remontant à l’orée de son formidable cul.— Hann c’est bon, tu sais comment t’y prendre… En se tortillant puis en se courbant davantage pour me faire savoir le désir qu’elle éprouvait dans ce cunnilingus tant attendu.— Attends que je te fasse jouir un peu ma belle. En baignant mon doigt entre ses lèvres pour dorloter son clitoris avec des gestes doux.— Oui…oui j’adore ce que tu fais…oh Patrick…oh oui… Approuva-t-elle en baissant la tête, autant conquise par ma langue s’agitant dans son vagin que mon doigt joueur avec son point sensible.— C’est bien, laisse-toi guider, lâche prise. Lui suggérai-je en lui donnant un dernier coup de langue salvateur.— Euh je préfère descendre de la table Patrick, j’ai un peu peur quand même…si un de mes garçons me voit dans cette position, tu comprends ? S’inquiéta-t-elle en se retournant pour me faire face.— J’avais envie de te prendre par-derrière.— Oh non ça fait si longtemps, j’aimerais pouvoir te regarder et ça me gêne de te le demander mais…tu peux t’asseoir sur la chaise pour que je vienne sur toi ? En se mettant debout pour m’embrasser immédiatement sans me laisser le choix.— Aaah…tu veux me voir quand je te saute. En baissant mon caleçon sous son œil attentif.— Oh tu oublies que je suis une romantique et je t’ai déjà dit que tu pourrais employer des termes un peu plus galants, tu me sautes…quelle façon de me parler ! S’indigna-t-elle en venant se placer sur moi.— J’ai toujours parlé comme ça et ça ne te dérange pas en tout cas. En l’observant descendre tout doucement pour laisser son intimité accueillir progressivement mon sexe affamé.— Patrick, ça me parait toujours aussi dingue de faire l’amour avec toi, surtout quand je te sens en moi…mais c’est si bon. Me confessa-t-elle en enroulant ses bras autour de ma nuque avec ma verge désormais installée en elle.— Oui moi aussi, mais je ne regrette pour rien au monde de te baiser en ce moment Véronique. En lui roulant une pelle hautement érotique.— Tu sais que je t’aime même si tu restes mon neveu. En penchant sa tête à la recherche d’un nouveau baiser, oubliant encore une fois mon langage cru.
Ma tante était en recherche de tendresse, pas d’une partie de baise bestiale. Ainsi elle se déhancha au ralenti et ne fut pas avare de baisers. Durant une dizaine de minutes, ce ne fut qu’une avalanche de caresses entre nous mêlée de regards amoureux. Je ne me lassais pas de peloter ses fesses puis de plonger ma langue entre ses lèvres humides. Elle ondulait le bas de son corps avec paresse, comme si elle s’économisait pour la suite. Mais de fil en aiguille elle amplifia quelque peu ses mouvements en s’agrippant à mes épaules et son souffle se fit haletant. Prise d’un désir maternel, elle se recula pour me dire.
— Tète-moi…j’en ai envie, tète-moi Patrick. Dit-elle en soulevant son sein afin d’attraper son mamelon.— Si je comprends bien, je remplace Hugo. En aspirant sa pointe pour la suçoter puis la laisser glisser entre les dents.— Oui on peut dire ça…oh c’est bon, continue à me goûter. En me caressant la nuque comme un bébé.
Cet allaitement relativement insolite ne fut guère déplaisant et je recueillis au gré de ma succion sa liqueur chaude par saccades. A force de boire le lait de ma tante, celle-ci commença à émettre un faible râle presque enfantin. J’entrepris de m’occuper de son second sein et au moment de le téter, cette manifestation sonore synonyme d’une jouissance future se tut peu à peu pour faire place à de petits cris perçants. Véro était chaude comme la braise et se pencha pour m’embrasser telle une vraie gloutonne. Eprise de sexe, elle reprit ses mouvements, passa sa main dans les cheveux pour finir par poser ses mains sur mes épaules. Elle remua son derrière pour me stimuler, pressée de recevoir sa bénédiction en quelque sorte.Mes corps caverneux répondirent présent et Véronique laissa éclater son enthousiasme, son enivrement de me savoir sur le point de la combler, de la parsemer de mon bien-être.
— Viens…viens maintenant Patrick. En se serrant contre moi sans interrompre sa cadence en mode ascenseur.— Oui ! T’es si belle, tu réceptionnes tout ce que je ressens…c’est fantastique avec toi. Lui confiai-je avec mes bras autour de sa taille de guêpe.— C’est fou avec toi…c’est…hannn…hannn. En se crispant d’une manière progressive synonyme d’un orgasme en devenir.— Je t’aime Véronique, jouis avec moi, jouis ma toute belle. L’encourageai-je en enveloppant son bassin pour la porter contre moi.— Hannnn…oh oui…oui…oui…n’arrête plus mon chéri…baise-moi…oooh baise-moi mon neveu adoré…Usant de mots qu’elle répugnait à employer tandis que ses propres mouvements se dissipèrent sous ma fougue.— T’es celle que j’ai toujours voulu avoir. En comprimant son bas-ventre contre le mien dans une totale frénésie.— Oui…oui…hannn…hannnn… Emportée par son orgasme, subissant mes coups féroces et pour finir par se délecter bien plus tard.
Ainsi nos retrouvailles commencèrent d’une manière qualifiée de royale. Véronique avait atteint les hautes sphères du plaisir et ne se priva point pour me faire savoir qu’elle se tenait à ma disposition pour recommencer à mon bon vouloir. Cette proposition pour le moins insolite eut le don de me réjouir.
— Ouh c’était bon ce soir Patrick, j’ai aimé…j’ai tout aimé. M’avoua-t-elle en belle femelle conquise.— J’avais envie de te prendre par-derrière, ça fait longtemps qu’on ne l’a pas fait. Lui dis-je en la conservant en moi.— Oui mais ce soir je voulais que soit dans cette position, de toute façon tu sais très bien qu’on le fera la prochaine fois et…attends que je reprenne mon souffle, je n’ai plus 20 ans ! Mais…oui on le fera et je te ferai remarquer que tu es le seul qui me l’a fait. Me confia-t-elle son front posé contre le mien.— Tant pis si je me répète mais qu’est-ce que j’aime te baiser Véronique. Y a pas à dire, t’es la meilleure, la plus réceptive, la plus sensuelle et la plus sexy des filles que j’ai connues. En lui balayant ses mèches blondes derrière ses oreilles.— Patrick même si c’est un compliment, ça reste gênant de t’entendre me dire de telles choses et en plus tu me compares à des filles de ton âge. Ca ne te dérange pas notre différence au fait ? S’interrogea-t-elle en accordant ses lèvres aux miennes à chacune de nos phrases.— C’est le pied tu veux dire, le pied de te voir te raidir avec la bouche ouverte. C’est le top de donner un orgasme à ma tante !— Euh... oui en effet je suis ta tante qui a qui tu donnes des orgasmes mais j’ai l’impression de rêver quand j’entends ça sortir de ta bouche…et en plus c’est vrai. Enfin moi je ne vois pas tellement notre différence parce que tu es très mûr pour ton âge mais bon ta vieille tante se répète. Ironisa-t-elle en m’embrassant une énième fois.— T’as un look de trentenaire ! Dans 20 ans tu seras toujours autant folle à baiser Véronique et n’oublie pas que tu restes mon fantasme absolu, mon fantasme d’ado !— Oui je suis ton fantasme mais je me tape le fils unique de ma sœur, par moment je n’en suis pas si fière…toi t’es bien mieux que mon fantasme, t’es devenu l’homme avec qui je partage ma vie dorénavant. Dit-elle songeuse à nouveau.
Le lendemain je partis de bonne heure et Véro en suivant mes recommandations arriva à neuf heures précises. Elle était vêtue d’un pantalon moulant avec des bottines ainsi qu’un col roulé bleu ciel. Personnellement, je la trouvai ravissante et au regard de la gent masculine présente, j’en déduisis que certains partageaient amplement mon avis. Très vite Richard lui donna les directives pour s’occuper des relations franco-allemandes et elle s’affaira à sa tâche.Nous avions convenu, non pas de nous éviter mais simplement d’avoir une certaine distance vis-à-vis du personnel. Moi-même j’avais une petite jeune en tant qu’assistante, pas mal foutue à vrai dire. Pour les repas du midi, un petit self faisait l’affaire et la majeure partie du personnel s’y rendait habituellement. La Zusu Company regroupait les deux derniers étages de la tour et à nous tous, nous n’étions pas loin d’une centaine de personnes et plus de la moitié était des étrangers. La langue officieuse de la boite était l’anglais et l’implantation à Hambourg ne relevait pas du hasard du fait de son port gigantesque, atout primordial pour réceptionner nos importations venues du Japon.
La première semaine s’écoula tranquillement et Véro prit ses marques comme elle s’était plu à me le dire dans d’autres circonstances. Les garçons avaient rencontré leur père et d’un commun accord comme par le passé, il les prenait une semaine sur deux. Finalement l’entente entre Jacques et ses enfants ne posa pas les problèmes qu’Oscar redoutait. Leur belle-mère Christine, quoique pas encore mariée se montra avenante selon leurs dires.
A chaque fois qu’ils partaient une semaine chez leur père, nous vivions dans la hantise d’une gaffe de l’un ou l’autre, mais les mois de février et mars nous amenèrent une tranquillité relative avec aucune remarque douteuse de Jacques à notre encontre.Puis un dimanche soir, il insista auprès de Véronique pour l’inviter à dîner chez lui et par la même occasion enterrer la hache de guerre entre eux. Bien entendu je n’étais pas invité et officiellement j’étais censé avoir un appartement. Ma tante face à l’empressement de son ex lui accorda cette faveur et Oscar imposa à son père ma présence afin que sa mère ne se retrouvât pas seule pour venir. Jacques soucieux de conserver de bonnes relations accepta, sous réserve de savoir si le cousin de son fils était libre ce soir-là.Véro me raconta tout cela en me voyant guère réjoui. Sans paraître vulgaire, cette soirée m’emmerdait déjà au plus haut point.
— Anne, enfin ta mère m’a appelée ce matin au bureau. Elle m’a demandé de tes nouvelles et je lui ai dit que tu étais super content de ton job. Puis elle a parlé de Pâques ! Elle veut m’inviter avec les enfants et te voir aussi. Ce serait une bonne idée et avec mon ex, tu es d’accord ? Me demanda-t-elle ennuyée de m’imposer cette invitation.— Tu aurais pu lui dire non, tu as la mémoire courte. Il se tire avec une minette, il lui fait un gosse et toi tu lui pardonnes !— Mais je ne pardonne rien et je le fais pour les garçons aussi et arrête de faire ta mauvaise tête, si tu ne veux pas venir, tu ne viens pas. C’est Oscar qui va être déçu, c’est lui qui a proposé que tu viennes, pas moi et puis zut à la fin ! Râla-t-elle.— C’est demain soir et nous sommes au printemps. Je viens à une condition, tu te mets en jupe et tu ne portes pas de culotte ni de soutien-gorge.— T’es gonflé quand même…bon c’est d’accord mais tu admettras que je te laisse tout faire avec moi, je dis oui à tous tes désirs. Maugréa-t-elle mais ravie de me savoir avec elle pour le lendemain soir.
Le matin au bureau ma tante débarqua fraîchement maquillée avec une jupe et un chemisier bien opaque. Connaissant fort bien son anatomie, il me fut aisé d’y voir l’absence de sous-vêtements dans le but de notre dîner le soir même.Richard s’était absenté pour plusieurs jours et de ce fait elle devenait ma seconde assistante. Nous étions dans une période de forte activité du fait de la préparation des fêtes de Pâques. En effet la Zusu Company développait des logiciels et des microcartes pour des jouets sophistiqués. J’avais donné de nombreux dossiers à ma jeune assistante et ma tante vint tout logiquement à sa rescousse sous mon aval.Toujours dans un souci de protocole, elle toqua à ma porte pour m’apporter un échantillon venu de Tokyo, la maison mère. Le temps de me l’amener, j’observai qu’elle n’avait pas mis de bas à la vue de la blancheur de peau de ses jambes fines. Au moment de le poser sur mon bureau, je jetai un coup d’œil dans son décolleté. Véro s’en aperçut et me sourit.
— Tu as remarqué, je suis déjà prête pour ce soir. — Oui j’avais remarqué par contre tu peux mettre le dossier dans l’armoire ? En contemplant ses lèvres pulpeuses avec son petit nez fin.— Tout de suite chef ! En tournant les talons pour se diriger vers le meuble.
Entre temps je quittai ma place avec une érection infernale pour m’adosser contre la porte. En desserrant ma ceinture puis en ouvrant ma braguette, Véro me fit des signes d’indignation. Elle posa son index sur la tempe pour me signifier son mécontentement et mon insouciance. Nonobstant son attitude, mon pantalon se retrouva à terre avec mon sexe rugissant déjà son plaisir de flirter avec les lèvres de ma belle quadra.Véro s’approcha avec un sourire gêné.
En réalité elle hésitait entre prendre un risque et me faire plaisir. Elle avait encore du maquillage sur ses lèvres si bien dessinées, lesquelles dégageaient en moi une sorte d’émotion sensuelle. L’idée de les voir prendre soin de mon sexe me donnait des battements de cœur tout comme ses mains, des mains d’artiste qui se seraient élancées sans mal sur les touches d’un piano voire même en train d’effleurer les cordes d’un violon. Il était inutile d’ajouter que mon sexe avait toutes les qualités requises pour se substituer audit piano ou audit violon dans l’instant présent.Un temps contemplative devant ce que j’avais nommé sa bête à plaisir, ma tante prit peur en restant bouche bée puis exprima ses doutes.
— Euh…tu ne crois pas que c’est un peu risqué. S’inquiéta-t-elle en se gardant d’élever la voix pour s’approcher tout près de moi.— Non le staff est occupé, reste cool Véro et caresse-moi. En dirigeant sa main là où je le désirais tant.— Patrick…on pourrait nous surprendre et ça me fout la trouille de te le faire ici. Dit-elle en posant néanmoins ses doigts gracieux sur ma verge insolente de rigidité.— Je suis le boss et j’ai demandé qu’on ne me dérange, j’ai prétexté un coup de fil au siège à Tokyo. La rassurai-je tandis qu’elle passa sa main pour se gratter le menton, reflet de sa fébrilité.— Oui enfin tu avoueras que ce n’est pas prudent, bon tu restes derrière la porte dans ce cas. Dit-elle en me faisant un petit smack pour ne pas déposer de rouge à lèvres puis en s’agenouillant lentement.— T’es une nana géniale, absolument géniale. — Oh géniale…parce que je vais encore te sucer ! Tu en profites parce que j’ai eu le malheur de te dire que j’aimais te le faire, bon…
Ses doigts délicats cédèrent leur place pour saisir mes hanches. Puis Véronique ouvrit la bouche recouverte de rouge à lèvres pour entamer une petite tétée de mon gland. Quelle sensation inouïe que de voir ma tante à genoux dans mon bureau ses lèvres apposées à ma verge pensai-je dans l’instant. Toujours studieuse, ses lèvres rouges escortèrent mon long pénis dans la chaleur de son palais. Elle me joua sa partition favorite en balançant sa tête pour laisser glisser mon sexe insolent entre ses dents blanches, alternant les entrées comme les sorties à l’air libre de sa belle bête.
— C’est fantastique ce que tu fais Véronique. M’extasiai-je tandis qu’elle me caressait la base des fesses.— J’en ai bien l’impression. Murmura-t-elle en faisant reposer mon gland sur sa lèvre inférieure.— Oh c’est trop bon, j’ai une envie de te baiser ma Tatie. En lui dégageant le front.— Hummm…tu me baiseras ce soir… Souria-t-elle en haussant les sourcils pour effleurer mon sexe avec sa bouche en vraie allumeuse.
Le rouge à lèvres s’était fait la malle et lorsque Véro enfourna à nouveau ma verge reluisante de sa salive, elle me jeta un regard telle une gosse avalant son précieux quatre heures. Elle me suçait avec minutie, prenant soin de bien coller ses fantastiques lèvres sur mon sexe se faisant de plus en plus puissant. Sentant le fruit de son œuvre aboutir, elle le garda au chaud en le pompant avec douceur. Le corps crispé, je ne pus contenir mon enthousiasme.
— Oh Véro ! Oh tu sais y faire. En restant plaqué contre la porte.— Je prends soin de mon neveu. Dit-elle en saisissant mon sexe avec ses doigts de pianiste pour lui faire prendre l’air.— C’est fabuleux, n’arrête plus. Lui ordonnai-je en balayant ma main dans sa chevelure blonde.— Oui je continue. Ajouta-t-elle d’un ton serein en le dirigeant à nouveau avec ménagement aux abords de ses lèvres gourmandes.
Je n’étais plus le boss. Véro avait les paupières closes et suçait posément mon gros pénis. Doucement elle fermait et ouvrait sa somptueuse bouche à chacun de mes spasmes, avalant gorgée par gorgée ma jouissance le tout dans un calme olympien. Ma tante me pratiquait une fellation insensée et même si ce n’était pas la première fois, je restais à chaque fois stupéfait face à sa dextérité et à sa façon de le faire avec amour.Une fois l’orage passé, elle accola ses lèvres sur la pointe de mon sexe, vaincu, épuisé, possédée par sa femelle transformée en une mante religieuse. Puis dans un dernier élan, elle goba son bien pour le sucer à nouveau sans me cacher le pur plaisir qu’elle éprouvait. J’en déduisis une énième fois que ma tante était une suceuse hors pair, inclassable tant elle se délectait de l’effectuer son mon humble personne.
Je ne tenais plus sur mes jambes et ce fut Véro qui en se relevant prit mon pantalon par la même occasion. D’un geste rapide elle s’essuya la bouche et tira sur sa jupe, un peu froissée. Elle tenta de se recoiffer sans succès et avant de partir me lança ses quelques mots.
— Hum hum…Patrick je vais aller travailler et reste un peu dans ton bureau, tu es rouge comme une pivoine ! — A qui la faute ? Ironisai-je en reprenant place.
Elle me fit ses yeux de biche en guise de réponse.L’après-midi fut dédiée au travail et non aux galipettes trop risquées au goût de ma tante.Le soir nous partîmes pour diner chez Jacques, laissant notre fils dans les bras de sa baby-sitter rassurante. Sans connaitre cette fameuse Christine, Oscar me l’avait décrite comme une personne arrogante, sûre d’elle et de sa beauté face aux hommes. Il la trouvait aussi belle que sa mère en beaucoup plus jeune, ah le tact des enfants…
Durant le trajet ma tante en profita pour se remettre un peu de poudre et du rouge à lèvres, sans évoquer ce qu’elle m’avait fait dans la journée. Jacques fit les présentations. Il avait les garçons pour la semaine et ils vinrent nous sauter au cou à notre arrivée. Véro ayant apporté des fleurs, Christine que je découvrais enfin s’empressa de les mettre dans un vase. Vêtue d’un jeans moulant, elle n’avait rien à envier au cul de ma tante en se dandinant vers la cuisine. Oscar ne s’était pas trompé et il fallut me rendre à l’évidence, sa future belle-mère était carrément bien gaulée. Avec son teint bronzé et ses cheveux blonds, elle ne se priva pas pour le faire savoir ou me le faire savoir en s’installant face à moi pour l’apéritif. Quand elle me proposa un verre, j’échangeai un regard perdu dans ses yeux verts. J’en déduisis qu’elle aimait allumer les mecs pour s’amuser et je ne tombai pas dans ce jeu sans finalité.
Jacques enchaina sur la scolarité de ses enfants présents à ses côtés. Il me fit des éloges quant à leur éducation que je leur inculquais sous les yeux médusés de ma tante.Où voulait-il en venir ? Avait-il eu vent de ma présence quasi permanente avec Véro ? Les garçons avaient-ils fuité sans s’en apercevoir ou Jacques était-il purement sincère en évoquant mon rôle dans leur éducation ?La réponse ne tarda pas.
— Le lycée Saint Exupéry est un des meilleurs de la ville, je ne sais pas comment tu as fait Patrick mais je tenais à te remercier, en plus les garçons ne parlent que de toi. Mais dis-moi, tu es souvent chez Véronique pour qu’ils parlent autant que toi ? Demanda Jacques par simple curiosité.— Oh ça m’arrive et quand je passe, je fais une partie de course vidéo avec mes cousins. Par vrai Oscar ? En le prenant à témoin.— Ah oui mais tu ne restes pas assez longtemps avec nous ! Après tu nous dis de monter et tu préfères discuter avec Maman très tard, au moins vous ne vous disputez jamais tous les deux. Raconta-t-il avec un naturel déroutant.— Très tard…tu exagères Oscar. Rétorqua simplement sa mère.— C’est marrant comment il parle de vous ! On dirait que vous formez un couple à l’entendre…il préfère discuter avec Maman, il ne se dispute jamais avec toi… C’est troublant Véronique je trouve. Remarqua finement Christine en se positionnant en petite garce de service.
Ma tante me chercha du regard, désespérée avec l’analyse de la jeune copine de son ex. Oscar lui avait tendu le bâton et la jeunette l’avait saisi au vol. Véro était déstabilisée et un malaise régnait dans la pièce. De mon côté j’attendais une réaction de ma tante, laquelle enchaîna dans une grande médiocrité.
— Mais Christine il n’y a rien de troublant, Patrick passe quand il veut chez moi. Répondit-elle complètement à côté de la plaque.— Non ça n’est pas ce que je t’ai demandé. À écouter Oscar, on croirait que vous formez un couple toi et Patrick. Maintenant je peux me tromper. S’avança-t-elle en la trouvant bien culottée pour se permettre de dire une pareille chose.— Un couple ? …mais Patrick est mon cousin…euh mon neveu ! Qu’est-ce que je raconte. S’embrouilla ma tante dans une totale confusion sous l’air goguenard de la jeunette.— C’est vrai qu’avec Véronique nous sommes proches et c’est bien normal. Nous partageons un tas de choses et nous travaillons dans la même entreprise, cela nous amène à parler boulot quand je passe, voilà c’est tout. J’ai bien répondu Mademoiselle l’inspectrice ? Lui dis-je en grand renfort pour ma tante.
En employant un titre de civilité qui la rabaissait au rang de jeune fille vis-à-vis de ma tante, Christine ne put que sourire. Véro, un temps crispée, croisa ses jambes aux mollets gracieux puis les décroisa en oubliant qu’elle ne portait pas de culotte. Je lui fis un haussement de sourcils significatif au moment de nous lever. Elle secoua brièvement la tête et me confia à demi-mot ses craintes quant aux dires de cette fameuse Christine.Au repas tout le monde prit du vin sauf moi, conduite oblige. Jacques n’était pas avare pour resservir les verres de ces dames et en fin de repas, toutes les deux eurent la parole facile. Je fus signe discrètement à ma tante de reboutonner son chemisier, son absence de soutien-gorge devenant flagrante. D’un sourire complice elle me remercia et entama des brèves de comptoirs avec Jacques.
Véro avait baissé sa garde et plaisantait avec lui sur des péripéties du passé sous les rires de sa jeune compagne. Puis Jacques s’absenta pour aller voir les enfants et me proposa de l’accompagner. La petite jeunette, comme je me plaisais à l’appeler en profita pour s’intéresser à son job, ou plus exactement aux relations entre ma tante et moi dans le travail. Dans le couloir j’entendis une conversation surréaliste laissant à Jacques le soin de raconter une histoire à Jules. Je me glissai près de la porte de la cuisine pour voir un peu ce qui se tramait.
— Mais comment gères-tu ta façon d’être avec Patrick, finalement tu es sous les ordres de ton neveu. Ça doit te faire tout drôle de recevoir des directives de lui ? S’enquit Christine curieuse de la réponse de ma tante.— Non non ça va et puis il est charmant avec moi, je n’ai pas à me plaindre de ce côté-là. Répondit-elle en triturant sa serviette comme à son habitude.— Eh ben moi si Jacques était mon boss, on ferait l’amour dans son bureau en douce ! Ça m’exciterait, tu n’as pas essayé ? En se montrant directive voire effrontée de poser une telle question.— Mais je ne sais pas…tu me poses des questions un peu farfelues Christine, Patrick est mon neveu enfin. Rétorqua-t-elle en toute logique.— Ne me dis pas que tu n’y as jamais pensé, c’est un beau mec intelligent. Il n’y a que nous deux, tu peux me le dire ! Je vois bien qu’il te plait. Tu n’arrêtais pas de le regarder à l’apéro, je suis sûre qu’il t’a baisée Véro. Insinua Christine l’alcool aidant.— Mais qu’est-ce que tu vas chercher ! …oh on a trop bu Christine ! Et puis…euh s’il n’était pas mon neveu, c’est sûr que j’aurais aimé faire un truc avec lui…mais bon, en plus il a une copine. Affabula ma tante.— Ah ! Tu vois que tu y as pensé et ben ce soir quand il te ramène, invite-le à boire un verre, tu verras qu’il ne refusera pas et on s’en fout qu’il soit ton neveu, il est beau et faut en profiter neveu ou pas neveu ! Regarde avec Jacques, il a 50 ans et il me baise alors que j’en ai 29, il ne se pose pas 36 questions ! Bon je vais prendre un d’eau. En soufflant un coup pour s’oxygéner.— Je te dis des choses et on ne se connaît pas beaucoup…tu es directe toi en tous cas, non je ne peux pas faire ça avec lui. Et puis ce n’est pas moral, c’est contraire à l’ordre naturel des choses. En terminant son verre.— Tu as tort, tu as une occasion en or et à ta place je ne la laisserais pas passer. Si tu ne couches pas avec lui…bah moi je ne dirais pas…
Christine ne put finir sa phrase, Jacques venait d’arriver. Aussitôt je quittai la cuisine prenant une bouteille d’eau au passage pour la leur amener, afin d’y justifier ma présence. Ma tante se retourna et me regarda comme si nous étions seuls dans la pièce, effondrée après une telle conversation. Christine remarqua immédiatement sa façon de me dévisager et sans détour elle en remit une couche.
— Ah voilà ton Don Juan ma Véro ! S’exclama-t-elle.— J’ai manqué ou nous avons manqué quelque chose avec Patrick ? Demanda Jacques interloqué par la remarque me concernant.— Non ou si ! Véronique est très amoureuse de Patrick et n’ose pas le lui dire…bon je crois que j’ai un peu trop bu… Avoua-t-elle face à notre mutisme.— Euh on va oublier tout ça Christine, on a dit n’importe quoi mais tu es très marrante et je suis ravie d’avoir fait ta connaissance. En se levant de table.— Il se fait tard et demain on bosse. Conclus-je.
La soirée se termina ainsi et Jacques nous raccompagna en s’excusant pour le comportement déplacé de Christine. Ma tante le prit sur le ton de la légèreté, histoire de dédramatiser la situation et d’oublier cela au plus vite.
Une fois dans la voiture, Véro me déballa son sac dans une élocution rapide en accrochant quelques mots de temps en temps. Bien entendu elle avait trouvé Christine trop à l’aise, quelque peu vulgaire du fait de sa familiarité. Elle s’en voulait de s’être laissée embarquer dans cette conversation ô combien surréaliste avec une inconnue. Elle la prenait pour une vraie obsédée sexuelle, soulignant que son ex n’était pas le coup du siècle en la matière. De plus elle avait autant de remords que de craintes, dans les propos qu’elle avait pu lui tenir. Et si elle racontait tout se demanda-t-elle ?Je la rassurai en lui disant que j’avais pu tout écouter et qu’à mon avis, alcoolisée comme elle l’était, elle ne se souviendrait que de la moitié. Mais Véro loin de perdre le nord la traita de petite salope, sachant qu’elle s’était proposé de coucher avec moi si elle ne le faisait pas. Je l’écoutai déblatérer d’une oreille distraite jusqu’à l’entrée du garage, en lui demandant de reprendre son calme devant la baby-sitter. Elle fut calme en arrivant et partit coucher notre fils.Pâques approchait à grands pas, je ne pouvais pas me défiler et ma tante me mît en garde.
— Patrick, ce soir c’était un avertissement et si tu analyses bien, tout est parti de la réflexion d’Oscar. Il a parlé de nous comme d’un couple et cette salope de Christine a bondi sur l’occasion ! Pour Pâques je suis morte de trouille avec les garçons, on part après-demain. Dit-elle adossée contre le plan de travail de la cuisine, en déboutonnant les deux premiers boutons de son chemisier.— Tu as chaud ? En observant son décolleté avantageux.— Oui de toute façon j’ai un peu trop picolé et puis j’ai repris la pilule. Oh te connaissant ça ne doit pas tellement te déranger et tu n’es pas Jacques ! En allumant une cigarette.— Tiens passe-moi voir le paquet ma jolie Tatie et ça veut dire quoi, je ne suis pas Jacques ? — Jacques ne faisait rien comme je te l’ai dit en voiture, alors qu’avec toi…bon Patrick je n’ai pas envie de parler de tes prouesses sexuelles et tu me satisfais au-delà de mes espérances, enfin tu me diras que je ne suis pas en reste non plus ! J’adore te sucer alors qu’avant ça me dégoûtait presque, quand je pense à ce que je te dis, j’adore sucer mon neveu et je le lui dis en face…je deviens folle. En tirant une longue bouffée sur sa cigarette.— Véronique, bois un peu d’eau. Ca te fera le plus grand bien. En me levant pour chercher un verre.— Je ne suis pas bourrée, je suis juste gaie et je ne suis pas les conseils de cette petite conne ! Je devrais te proposer un verre mais c’est toi qui m’en sers un… En éclatant de rire à sa propre blague.
Véro prit mon verre d’eau et le but d’un seul coup, puis un deuxième et au bout d’une vingtaine de minutes, l’alcool commença à se dissiper peu à peu. Elle avait eu l’idée de vouloir se changer pour se mettre en robe de chambre. Je l’en avais dissuadée, préférant la voir rester dans cette tenue. Elle était en effet très attirante avec son chemisier entre ouvert débordant de sa jupe et ses cheveux en bataille éparpillés sur ses épaules. Véro reposa son verre pour terminer notre conversation.
— Après-demain nous sommes chez ta mère et ton père, si Oscar fait une réflexion pareille, ça n’échappera pas à Anne et tu ne sais pas ce qu’elle m’a dit à propos de ta copine que tu as inventée ? Et bien elle trouve que tu passes plus de temps avec moi qu’avec elle ! Je suis certaine qu’elle commence à avoir de sérieux doutes à notre sujet. Et puis j’en ai marre de faire mentir mes enfants à cause de nous. S’emporta-t-elle.— Oui en effet c’est un peu emmerdant ce type de remarque, en plus je lui ai dit que j’étais souvent chez toi pour régler des trucs du boulot. Véro…de toute façon on ne va pas leur dire ? Que veux-tu que l’on fasse ? Nous avons déjà fui Bordeaux enfin la France mais tôt ou tard ils sauront, ils sauront un jour que je couche avec toi, que Hugo est mon fils et que j’aime la petite soeur de ma mère. Lui dis-je sous son regard larmoyant.— Han quand j’entends ça, quand je t’entends dire que tu couches avec moi, que tu m’aimes…oh là là ça me fait un drôle d’effet et c’est si mignon à entendre quand ça vient de toi…dis Patrick, tu ne trouves pas qu’il fait chaud dans cette pièce ? Remarqua-t-elle en terminant de déboutonner son chemisier sans aucun complexe.— Non je ne trouve pas mais je n’ai pas fini. Voilà ce que je te propose si un des garçons fait une gaffe, bref si l’un des deux nous assimile à un couple, nous avons un argument en béton. On travaille dans la même boîte, ce qui nous rapproche foncièrement l’un de l’autre, ce qui implique donc une sorte de complicité entre nous. Tu vois ce que je veux dire ? En l’observant dorénavant la poitrine à l’air.— Oui une sacrée complicité…et puis de toute façon tu n’arrêtes pas de me baiser, tu me baises du matin au soir Patrick. Rajouta-t-elle dans un langage peu commun venant de sa part avec des propos hors sujet.— Euh pourquoi dis-tu ça ?
Véronique posa ses mains en arrière sur le plan de travail, me dévoilant par la même occasion ses seins resplendissants. Sur le coup je ne savais pas trop à quoi jouer ma tante, mais elle était en train de m’allumer et les propos de Christine me concernant n’y étaient pas pour rien dans son attitude. Christine n’avait que 29 ans et s’était laissée aller dire qu’elle n’aurait rien contre une partie de jambes en l’air avec moi. Ainsi ma belle quadra du haut de son 1m72 voulait me faire savoir qu’elle n’avait rien à envier physiquement à cette jeunette, raison pour laquelle elle affichait sans retenue sa poitrine me laissant rêveur. Étrangement elle passa ses mains derrière sa jupe puis d’un geste lent elle tira légèrement dessus. Véro secoua la tête superbe de sensualité avec son seul chemisier pour vêtement dorénavant. Perchée sur ses talons elle avait une gueule folle, un look sexy peu commun avec ses grandes jambes fuselées et son sexe merveilleusement épilé, le tout avec sa peau si blanche, si captivante.Elle finit par m’apporter une réponse sans équivoque.
— Je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça, j’ai parlé comme toi et puis cette gamine m’a énervée…euh maintenant que je suis à poil, comment me trouves-tu pour mon âge…je te plais Patrick ? Demanda-t-elle en prenant un air embarrassé.— Toujours autant et je sens que tu as une énorme envie de te faire baiser. Lui répondis-je en me dirigeant vers elle.— Oh tout de suite les grands mots ! …mais avec juste mon chemisier sur les épaules, je ne vais pas te dire le contraire. Ca me gêne un peu de t’aguicher de cette manière, je me comporte un peu comme cette fameuse Christine. Dit-elle en se tortillant maladroitement, mal à l’aise dans son rôle d’allumeuse improvisé.
Cela importait peu. Ma tante en réalité se comportait au du moins adoptait un comportement inédit. Elle voulait inconsciemment me montrer qu’elle restait ma belle femelle attitrée, celle que je devais uniquement baiser et aucune autre. Une concurrence s’était installée entre elle et la jeune compagne de son ex. Elle était blessée dans son amour-propre, blessée de s’être laissée dicter par cette petite garce de l’attitude qu’elle se devait d’avoir, face à un jeune mâle comme moi. Bien sûr elle aurait aimé lui clouer le bec en lui avouant nos folles étreintes, mais dans l’incapacité de le faire, elle préférait désormais jouer la carte de la compagne conquise, dévouée et prête à tout.En la serrant contre moi, je pelotai son merveilleux cul en glissant mes doigts dans la raie de ses fesses. Comprenant fort bien mon message, elle m’adressa un sourire radieux puis entrouvrit la bouche. Mes lèvres se fondirent avec les siennes et ma langue rendit visite à la sienne. Sans émettre un son, elle desserra ma ceinture et baissa les yeux.
— Je…je…enfin j’aimerais te sucer Patrick. Dit-elle en me fuyant du regard, confuse d’une telle proposition face à son neveu.— Tu aimes, alors ne te prive pas. Lui répondis-je en passant ma main à l’extrémité de son menton.
Accompagnée de mon sourire, elle s’agenouilla en baissant mon pantalon puis caressa ma verge et approcha sa bouche. C’était la deuxième fois que ma tante me suçait dans la journée. Certes elle adorait me le faire, mais cette fois elle m’envoyait une sorte de message d’une manière indirecte.En recevant mon sexe dans sa bouche, elle me prouvait son amour et sa soumission en répondant par avance à mes désirs. De plus en prenant l’initiative, elle me renvoyait l’image d’une jeune femme libre, libérée sexuellement et non pas celle de la quadra BCBG légèrement coincée. Il ne fallait pas non plus oublier l’alcool dont elle avait abusé, facteur non négligeable.Véro prit soin de moi quelques minutes, mais ayant autre chose en tête je l’entrainai sans mal avec moi dans le salon.
Le temps de me déshabiller complètement, Véronique était déjà à quatre pattes sur le canapé entièrement nue.Elle se cambra pour me signifier qu’elle était toute disposée à pratiquer cet acte peu répandu chez certains, voire carrément sale pour d’autres. Je me penchai sur sa croupe toujours aussi folle à regarder pour lui lécher comme il le fallait ses deux orifices en insistant sur le second, tout en restant contemplatif devant sa plastique de rêve. A la vue de sa paire de fesses à la beauté sans égal, mon sexe rugissant de plaisir s’accola à ses sphincters détendus quoiqu’encore sur leurs gardes. Véro posée sur ses coudes tourna brièvement sa jolie frimousse, sentant mon sexe prêt à en découdre avec cet orifice capricieux.
— Tu y vas doucement Patrick. Dit-elle en conservant la tête relevée lui procurant une élégance rare.— Oui ma belle, je viens tout en douceur. En observant ma verge disparaître lentement entre ses deux fesses majestueuses.— Han quand je pense que je suis ta tante et que je te laisse le faire…si Anne me voyait dans cette position… Se lamenta-t-elle tout en se laissant introduire mon membre dans son canal, peu habitué à y recevoir ce type de visiteur.— Ne pense pas à ma mère, pense à l’instant présent Véronique. En parcourant son dos pour saisir ses flancs et me plaquer enfin contre ses fesses.— Oh oui c’est parfait, j’aime quand tu es doux Patrick…dis ? Tu en mourrais d’envie de me prendre par là depuis un moment… Me fit-elle remarquer en victime consentante.— Avec un cul pareil, ce serait un crime de ne pas y penser. En débutant de timides mouvements dans son orifice récalcitrant.— Oui je sais que tu me trouves pas mal…enfin moi qui suis ta tante, tu me parles de mon petit derrière ! …bon continue mon neveu chéri…humm… Gémit-elle en baissant la tête comme pour mieux savourer ma pénétration en elle.
Ma tante m’avait joué sa partition dans mon bureau, à mon tour je lui jouais la mienne d’une manière fort différente et au gré de mes allées et venues, Véro manifesta un enthousiasme au départ mesuré. D’abord passive, elle remua paresseusement son bassin pour se calquer sur mon rythme. Pour chauffer davantage ma grande blonde, je passai ma main sous son ventre afin d’accéder au crépuscule de son intimité. Un court instant j’effleurai ses lèvres intimes pour enfin stimuler son clitoris, friand de ma présence. Très vite ma tante se mit à geindre, interrompant ses propres mouvements pour ne recevoir que les miens. J’entrepris de longs va-et-vient dans ce canal hostile au départ, mais finalement dompté par mon redoutable sexe.
— Patrick…oh oui, j’adore à cet endroit…encore…encore… M’implora-t-elle en étalant ses bras, la tête couchée sur le canapé.— Comme tu peux être belle. En imprimant une cadence soutenue pour obéir à mes corps caverneux impatients de passer à l’action.— Hannn…tu sais me baiser toi ! …Ooh ouiiiiiii….ouiiiii… S’écria-t-elle en ressentant mon sexe prendre du volume en elle.— Ach… M’écriai-je à mon tour foudroyé par des éclairs de plaisir.— Hannn…Hannn…salaud ! tu me baises si bien…allez défonce moi…défonce la petite sœur…oh Patrick j’adore !!! j’adore… Hurla-t-elle soudainement en se lâchant pleinement, en grognant sa jouissance devenue un bel orgasme.— Tu en as toujours rêvé de te faire sauter par moi, allez jouis ma belle ! En lui infligeant de lentes sorties pour y faire place à des entrées profondes dans son canal apprivoisé.— T’es mon Patrick ! ….hannn…j’en peux plus…c’est trop génial avec toi…trop génial…
Véro était devenue ma femelle docile. J’avais joui en elle, mais loin de me lasser de ma sublime partenaire je continuai de parcourir son orifice aux muscles détendus. Mon sexe vaincu au bureau s’éternisa dans son fabuleux cul. Ainsi il consomma entièrement son triomphe sur sa belle quadra agonisante, geignant à chaque fois qu’elle était pénétrée, parcourue par sa bête à plaisir. Durant plusieurs minutes je baignai mon sexe entre les deux fesses rebondies de ma chère tante, la limant en contemplant mon membre disparaissant dans son cul totalement féerique à mes yeux.
Tout me semblait magique en bravant les interdits. Je baisais ma tante dans un endroit défendu, tout était défendu dans ce que je faisais, autant ma partenaire que l’orifice dans lequel je m’étais introduit. Je vivais l’instant présent en me faisant plaisir, accomplissant l’impensable avec elle et au fond, c’était presque autant excitant que de la sauter.
Repus, exténué je m’affalai sur le fauteuil d’en face. Véro gonfla ses joues pour reprendre son souffle et se recroquevilla sur le canapé. Dans sa position fort érotique avec ses jambes repliées, elle exprima son ressenti.
— Oh tu ne m’en veux pas mais j’ai dit des gros mots, ce n’est pas dans mes habitudes et je ne savais plus où j’en étais…j’espère que ça ne t’a pas choqué Patrick ? En prenant un ton enfantin.— Non mais tu as eu un bel orgasme, qu’est-ce que tu as pu gémir Véronique ! C’était cool à entendre. Lui dis-je en observant ses épaules graciles.— Han c’était à ce point ! En plus faut dire que tu n’y es pas allé de main morte, ça faisait un bout de temps que tu avais envie de me prendre par-derrière…et je dois dire que tu es extrêmement doué en la matière. En passant machinalement sa main dans ses mèches blondes.— Merci mais je dois t’avouer que tu es une formidable baiseuse, on est dans une sacrée alchimie tous les deux quand on baise.— Euh oui enfin tu emploies de ces termes avec moi, ça me choque à chaque fois de t’entendre me parler ainsi…maintenant si tu le dis, c’est que je suis à la hauteur…tu sais avec toi c’est plus facile pour moi d’extérioriser mes sentiments, avant je n’y arrivais pas. Tu penses déjà à Paris ? Demanda-t-elle inquiète.— Oui et ça ne va pas être de la tarte, je pressens qu’il va se passer quelque chose. La remarque de ma mère me turlupine, si elle trouve que je passe plus de temps avec toi qu’avec ma pseudo copine, c’est qu’elle se doute que ça ne tourne pas rond. Tu vas voir qu’elle va te prendre à part et te cuisiner à notre sujet. — En plus tu ne seras pas là, oh ça m’angoisse et si elle l’apprend ? Patrick je ne saurais plus où me mettre. En triturant une de ses mèches.— N’oublie pas que nous bossons ensemble et que ça crée des liens, n’en démords pas et surtout tu n’avoues rien. Lui conseillai-je d’une voix ferme.— Oui tu es de bon conseil. Patrick on va monter se coucher et voir notre fils ? Dit-elle en se levant sans prendre la peine de mettre son chemisier.— Wouah tu te balades à poil devant moi !— Avec ce que l’on vient de faire… Me rétorqua-t-elle.
Véro se coucha aussitôt pour ronfler copieusement.Ma mère n’était pas née de la dernière pluie et cette fameuse remarque n’était pas anodine. Il se tramait un truc, un machin, un bidule… Je n’avais pas osé en parler à Véro, mais ma mère m’avait également fait une remarque du même genre à notre sujet. Elle m’avait balancé de but en blanc - mais vous êtes tout le temps fourrés ensemble, on dirait que Véronique ne peut plus se passer de toi ! -. Ce à quoi j’avais répondu selon l’expression, noyer le poisson, en parlant d’une proximité dite matérielle quant à mon linge et du fait que nous habitions à deux niveaux d’intervalle. Peu convaincant comme arguments.Peut-être que Véro avait la trouille de sa grande sœur, de se faire engueuler d’avoir couché avec son fils unique et cerise sur le gâteau, de lui avoir fait un enfant. La honte était omniprésente. Mais j’étais loin de partager cette crainte. C’était bien différent.
Je mesurais l’ampleur de cette découverte pour mes parents, s’associant dans un premier temps à un rejet de leur fiston pour faire place par la suite à une déception justifiée. Autre thème, le mensonge. Ma relation avec ma tante datait de plus d’un an, un an à vivre dans le déni, dans une sorte de trahison. L’un comme l’autre nous leurs avions menti éperdument, j’avais inventé une première histoire d’amour à Bordeaux suivi d’une autre à Hambourg et Véro avait connu un banquier fantôme père de son enfant. Nous deux rassemblés, je constatai que le courage n’était pas notre première qualité, mais n’était-ce pas la morale qui nous l’avait enlevé ?
Il était trois heures du matin, je n’arrivais pas à dormir et il fallait arrêter de penser.Dans 48 heures, une bataille des nerfs allait s’engager et mes parents disposaient sans le savoir de deux jokers, Oscar et Jules. Le premier nous en avait fait la démonstration chez Jacques. Avec l’innocence de son âge, il était parvenu à déstabiliser sa mère, bien aidé par Christine. Nous devions nous reposer sur mon argument en béton, à savoir le fait de bosser dans la même boite impliquant une proximité entre nous. Il était temps de trouver le sommeil auprès de Véronique, ma douce Véronique…
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