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Ségolène et les chiens.

Chapitre 3

Zoophilie
Le lendemain, je me suis réveillée et je ne me sentais pas très bien par rapport à ce que j’avais vécu la nuit précédente. Je ne savais pas quoi en penser, recommencer, arrêter, en parler, finalement je me suis décidée a faire des recherches approfondies sur le sujet.
Cela m’a pris du temps, beaucoup de temps, plusieurs mois en fait. C’est après la fin de mon année scolaire, le mois de Juillet était là, que j’en conclus en vouloir plus, certes c’est interdit, mais personne ne le saurait. Pour en vouloir plus, il me faudrait déjà y regoûter, et se sera facile car mes parents vont récupérer Bény et Topeur, leur maîtres partant en vacance 2 semaines.
Le matin de la venue de mes deux forniqueurs, je laissais la porte de ma chambre entrouverte, et je m’installais dans mon lit en faisant semblant de dormir pour voir s’ils allaient venir ou non. J’étais complètement nue, je mouillais déjà rien qu’en pensant à me faire prendre. Je ne sais plus vraiment pourquoi j’avais eu cette idée. J’entendis ma mère ouvrir la porte, faire entrer les chiens qui accourent dans l’escalier, au même moment, ma mère me cria qu’elle repartait faire les courses, tant mieux je serais tranquille une bonne heure !
Les deux cabots étaient dans ma chambre mais je ne les entendais plus. Après presque une minute d’attente, un des chiens se décida à monter sur mon lit, il se tenait sur moi, je ressentais ses pattes appuyer sur mon ventre et mes seins à travers la couette. J’ouvris un œil. C’était Topeur. Mon visage était en face de lui car ma tête était relevée par mes oreillers.
Et l’improbable se produisit... Je le sentis s’avancer, et poser ses pattes sur mon visage, puis redescendre et remonter cette fois si sur ma tête, j’ouvris les yeux, surprise. Son petit bout de pénis se tenait en face de moi, je ne savais pas trop quoi faire... Il commença des mouvements de bassin, sa bite tapait sur ma joue droite, puis la gauche, elle s’étalait sur mon nez ou mes lèvres... Les petits jets commencèrent à partir, j’en avais partout, et finalement j’entrebâillais ma bouche, je sortais ma langue en essayant de toucher son ogive, et lorsque je la touchais, j’essayais de l’aspirer en faisant une succion avec ma bouche. Après quelques essais infructueux, j’arrivais enfin à la diriger entre mes lèvres. Mais je n’avais pas pensé, que pour un chien, un trou humide reste un trou que se soit ma bouche, mon vagin (ou mon anus mais c’est pour plus tard ).
Topeur me pilonna la bouche sans demi mesure, je sentais que sa bite me remplissait la bouche et grandissait en rythme avec les va et viens. Par moment sa bite atteignait le fond de ma bouche, j’avais alors des contractions abdominale, je jouissais en me faisant laminer la bouche, c’est a ce moment que je me suis rappelée du nœud, j’ai eu un peu peur, mais j’ouvris bêtement ma bouche le plus grand possible et je le repoussais un peu avec mes mains, le nœud encore très loin d’être gonflé sorti aisément. Je refermais mes lèvres sur sa bite et tenait le nœud dans ma main, les véritables décharges de sperme on commencées, elles me remplirent la bouche de semence canine, chaude et intense. J’attends, je sent les palpitations de sa bite, elle enfle, j’en ai plein la bouche, j’avale mais c’est difficile, les larmes commencent à venir au bord de mes yeux. Mon petit minou était littéralement inondé.
Topeur commence à s’agiter, il se retire, sa bite est plus grande, elle me tape sur le visage. Bény monte sur le lit, il doit être jaloux. Le sperme coule hors de ma bouche, il dégouline sur mon coup.
_Tu veux me baiser toi aussi ?
Je suis complètement folle de parler comme ça. Je deviens accro, je veux me faire défoncer. Je pousse ma couette et mes draps. Je vois la bite de Bény sortir de son fourreau pour chercher sa future victime, il se dirige sans sommation pour me besogner !
_Même pas une petite léchouille ? Obsédé !
Il est déjà sur moi, mais mouline dans le vide, je relève mes jambes et je les maintiens avec mes mains, mon vagin lui, est à la merci de son membre rougeoyant. Elle me touche les lèvres, mon petit bouton, elle tape dans tout les sens.
_Et ba’h tu y arrives p..
Il est dedans.

_Aaaah, tu vois que tu peux, huu....
Il me percute comme un sauvage, mon cœur bat plus fort. Les éjaculations entrent déjà en action, elles me remplissent, un bruit de succion à chaque fois qu’il ressortait, puis quand il revenait du sperme giclait de moi, un nouvel orgasme. J’avais un peu honte, mais je devenais une vrai chienne, j’en voulais toujours plus ! Son nœud entrait en moi, je le sentais se gorger d’envie et me combler l’orifice. Les mouvements s’arrêtaient, alors je me masturbais le clito en même temps, qu’il finissait de se décharger en moi. Je jouis de plus belle, son jus ruisselle hors de moi, et court le long de mes fesses et de mon anus. Je m’affale sur mon lit, les draps me colle, une bonne suée.
Bény se retire, la fierté du travail bien fait. Je m’apprête à me lever, lorsque Topeur se précipite la bite droit devant sur moi, je redresse alors mes jambes une nouvelle fois, et il me pénètre, c’est bon, je jouis rien qu’au moment de la pénétration.
_Il te restait du jus alors !
Mais finalement pas temps que ça, sont nœud grossis extrêmement rapidement, et il se déchargea en moi, comme si de rien n’était, le sperme de Bény ne le dérangeant pas. Et moi, je me sentais partir dans le vague en pensant que j’avais en moi le sperme de deux individus, de deux chiens...
Lorsqu’il se retira, une douche s’imposait, j’étais recouverte de sperme, mon visage collait, et ma chatte pleurait du sperme de joie. J’avais été comblée, prise comme une chienne.
Vers midi, ma mère revenait des courses. J’allais pour l’aider.
_Tu veux de l’aide pour ranger ?
_Oui je veux bien. Les chiens ne t’ont pas réveillée ?
_Non pourquoi ? ( J’étais déjà réveillée, et ils m’ont défoncés....héhé )
_Ils avaient l’air un peu excités.
_Un peu ? Nan aucun problème. ( Un peu tu parles, ils m’ont juste remplis la chatte de sperme... )
La conversation dériva sur ma futur année scolaire, et les vacances.
Les 2 semaines passèrent à une vitesse folle, et je ne me suis finalement fait prendre qu’une seule fois, le premier jour. J’étais déçue de ne pas avoir eu plus de temps avec eux. Mais je n’avais vraiment pas eu une minute à moi ces derniers jours.Le soir de leur départ au repas, un événement majeur intervint dans ma vie.
Alors que je réfléchissais en mangeant, sur le fait d’abandonner cette pratique que je venais à peine de découvrir. Dans mes souvenirs mon père m’interpella.
_Ségo ?
_Oui, qu’est qu’il y a ?
_Tu as l’air une peu pâlotte, tu es triste de voir partir les chiens ?
_Oui, un peu, j’aime vraiment les chiens, je m’en rend juste compte...
_Ba’h c’est ce que je voulais entendre.
_Pardon ?
_Et bien on va prendre un chien !
_C’est vrai ? Tu me mens pas ?
_On en prend un, mais à la SPA, j’en peux plus de voir des chiens malheureux.
Et ma mère eut, je crois la meilleurs idées de tout les temps pour moi.
_Pourquoi ne pas faire comme Fred et sa femme, un chien chacun, on a du terrain, je pense que sa irait ?
Mon père acquiesça, on allait avoir trois chiens, trois chiens qui pour sûre allaient me défoncer prochainement.
Je ne pouvais influencer sur le choix des chiens de mes parents, mais moi je voulais un chien gentil, donc je voulais prendre un golden si il y en avait.
Le jour J arriva, nous étions dans le refuge, j’ai vu un Golden, mon choix était fait je voulais celui la ! Il venait d’avoir 4 ans selon le gérant. Moi choix donc arrêté. Mais mes parents eux, cherchaient. Après une dizaine de minutes, mon père choisit un Boxer de 3ans, un petit coup d’oeil, c’était un autre mâle.
_Cool papa, il a une bonne tête ! ( et probablement un bel engin )
Ma mère choisit une chienne, mais le gérant lui suggéra un autre mâle, pour éviter qu’ils veuillent la saillir tout les jours... J’aurais bien embrassé se type car il venait de rajouter une bite à la maison. Ma mère opta pour un Border Collie qui avait 4ans lui aussi. Le gérant nous expliqua que ces trois chiens étaient très obéissant, qu’il n’y aura aucun problème à se faire respecter.
[ Comme je change le prénom des gens et des chiens, et que j’ai la flemme de chercher, ils s’appelleront : Gold, Box et Collie ^^ de plus se sera plus simple pour repérer de quel chien je parle...]
Les trois chiens étaient vraiment obéissant et comprenaient tout ce qu’on leur disait, j’étais assez étonnée, et agréablement surprise.
Durant l’été je guettais le moindre moment de libre, ou mes parents sortiraient et me laisseraient seule dans la maison. Comme ils avaient pris leur vacance, j’attendais. Le jour fatidique arriva, il partirent en ville se pavaner avec Box et Collie. Un peu déçu j’aurai bien voulu que les chiens restent mais bon, Gold était toujours la.
J’avais lu sur internet comment il fallait se préparer ( a peu près ), mais je ne m’attendais pas à me faire prendre si puissamment ! Je m’en doutais un peu, JR et Golden ne sont pas du même gabarit, mais la différence fût énorme si je puis dire.
Alors, je préparais ma chambre, je ne ferai pas ça sur le lit, marre de devoir laver mes draps à chaque fois. J’étalais une grande serviette sur le sol, et en mettais une sur le bord de mon lit pour plus tard. Je me déshabillais, puis une fois complètement nue, j’appelais Gold dans ma chambre et refermais la porte à clef derrière lui. Je rougissais de honte, de stress et d’envie devant lui, je devenais bouillante, je mouillais abondamment. Il s’approcha doucement pour poser sa truffe entre mes jambes. Je jouis presque instantanément. Je dégoulinais encore plus lorsqu’il entreprit de me lécher. Sa grande langue recouvrait mes lèvres et mon clito a chaque tentative. Mes jambes me maintenaient tout juste debout.
Je vacillais et devais me retenir sur le lit. Il s’arrêta. Je le regardais les yeux remplis des vapeurs de mon excitation. J’attrapais la serviette posée sur mon lit, et je me positionnais à quatre pattes sur l’autre serviette. Je disposais la serviette sur mon dos pour éviter les griffures. J’écartais mes cuisses pour laisser béante l’entrée de mon anatomie face à son futur bourreau. Car je ne savais décidément pas l’ampleur de se que j’allais devoir encaisser.
J’abaissais mon buste, mes coudes reposais enfin sur le sol, mes seins touchaient presque le sol eux aussi, mes tétons étaient durs, j’étais une chienne, prête à la sailli, prêtre à recevoir son dû, prête à jouir comme jamais. Je ne réfléchissais plus, perdue dans mes pensées, mais j’en fût tirée lorsque les pattes de Gold me saisirent sans que je puisse m’en échapper, plus le droit au doute, je vais être prise par lui.
Comme d’habitude, tout les commentaires sont bon à prendre ^^ Et merci à ceux qui me lisent ;)See ya!
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