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Un séjour à l'auberge de jeunesse

Chapitre 1

Hétéro
Nous sommes six dans la chambre. On m’a assigné le lit 2. Problème : quelqu’un s’y trouve déjà étant donné les affaires qu’il reste. Bon, tant pis ! Je me dirige vers le dernier lit libre et commence à m’y installer. La porte se déverrouille pour laisser entrer une charmante jeune fille au teint mat. Je m’aperçois qu’elle galère pour faire entrer ses deux sacs tout en laissant la porte ouverte.— Thank you ! dit-elle quand je viens l’aider.— De rien.— Oh tu es français ? Je connais un peu.Elle est légèrement plus petite que moi, les cheveux longs et bruns. Son débardeur blanc est trop petit et on peut clairement voir son soutien-gorge rose dépasser. Elle se penche pour ramasser sa carte d’accès qu’elle vient de faire tomber. Ses seins ne sont pas énormes mais ils en imposent ! J’en vois un bon échantillon de mon point de vue. Quand elle se redresse, elle remarque que je la mate et sourit.— Je croyais que les français étaient plus romantiques que les autres mais en fait ils sont pareils ahah !Son visage n’est pas particulièrement attirant, sans non plus être repoussant. Son sourire par contre est très joli et illumine l’ensemble. C’est une belle Latina.— Sorry euh… D’où viens-tu ?— California ! Je suis née au Mexique mais j’ai vécu aux États-Unis. Je suis Ana ! Humm… Je crois que c’est mon lit !Elle pointe du doigt l’endroit où je me suis installé. Je lui explique la situation mais elle semble plutôt catégorique.— Ah mais c’est mon lit donc il faut que tu t’en ailles.— Oui mais je ne peux pas, une personne occupe déjà ce lit !— Pas mon problème. Il faut que tu t’en ailles.Elle me gonfle.— Non, je ne pars pas. Pas pour l’instant.Une autre personne joue les médiateurs.— Vous n’avez qu’à tous les deux vous rendre à l’accueil et leur expliquer.Ana lève les yeux au ciel, agacée, mais nous descendons. Dans l’ascenseur, ses seins attirent particulièrement mon regard mais je m’efforce de ne pas le montrer. Pourtant, mes yeux dévient irrésistiblement.— Eh oh lève les yeux, puceau !Je soupire, cette fille m’agace. Le mec à l’accueil est compréhensif et monte avec nous. Il enlève les affaires de la personne du lit 2.— Je les emmène en bas. Si la personne vient, dites-lui de descendre.— Humm… Est-ce que je peux avoir le lit 4 ?Elle fait référence au lit dans lequel je me suis déjà installé. Elle m’énerve mais je dois bien avouer que la meilleure solution est qu’on retrouve les lits qu’on nous a assignés.— Ok ça ne me dérange pas. Faisons comme ça.— Cool !
Son visage se fend à nouveau d’un large sourire. Je déplace donc mes affaires et m’apprête à me coucher. J’enlève mon t-shirt, mets un caleçon et me brosse les dents. Je remarque du coin de l’œil le regard un peu trop insistant d’Ana. Je possède un corps mince et musclé, soulignant mon caractère sportif sans pour autant être un adepte des salles de sport. Au moment où je me tourne vers elle, Ana détourne son regard et s’affaire à autre chose. Quand je me glisse dans les draps, Ana s’approche de la porte.— Je vais boire un verre et trainer un peu dans la salle commune.— Ok. Good night !Elle fait la moue et sort. Je crois qu’elle espérait que je l’accompagne. J’hésite un peu puis me retourne dans mon lit. Après tout, malgré la beauté de ses courbes, elle m’avait quand même bien agacé tout à l’heure. Je lis un peu à la lumière de ma veilleuse, puis éteins. J’ai un peu de mal à trouver le sommeil à cause de la chaleur mais finis par m’endormir.Quelques heures plus tard, la porte s’ouvre. La personne fait pas mal de bruit et glousse lorsqu’elle enlève et fait tomber son débardeur au sol. À demi éveillé, je garde les yeux fermés. Je sens mes draps bouger, se soulever. Soudain, une douce chaleur irradie le bas de mon ventre. La sensation est divine. J’ouvre doucement les yeux et tombe sur Ana qui me caresse la verge. Elle l’a extirpé de mon caleçon.— Hey french guy…Elle veut m’embrasser mais je la repousse doucement avec mes mains qu’elle prend et place sur ses seins. C’est vrai que sa poitrine est terrible ! Mon érection se fait plus vive. Elle le remarque et fait lentement glisser mes doigts dans son dos, vers l’attache du soutif. — Non non.— Come on ! s’agace-t-elle. Je suis moche ?— Non mais…Elle m’embrasse.— Alors, dépêche-toi… me chuchote-t-elle ensuite à l’oreille.Elle se redresse pour que j’admire mieux les courbes de son corps. Putain c’est vrai qu’elle est fraiche ! Je ne peux plus me retenir et libère ses deux globes de chair. Je l’attire à moi et lèche ses tétons qui ne tardent pas à pointer. Elle gémit.— Haan ! Do you want me ?— Yes !Elle me plaque contre mon lit, se met à califourchon sur moi et fait glisser d’avant en arrière sa chatte, encore protégée par un short, sur ma bite. Je ne tiens plus. Je veux enlever ce rempart qui me bloque l’accès. Ana retire mes mains et enlève l’obstacle d’elle-même. Elle ne porte pas de culotte. La jeune mexicaine se penche vers moi pour me chuchoter à l’oreille, tandis que la mouille de sa chatte coule sur mon gland, je n’en peux plus.— Tu m’as agacé tout à l’heure.— T’étais énervante aussi !Elle sourit.— Dis-moi que tu avais tort, et que j’avais raison.— Je… Elle fait rentrer une petite partie de mon gland dans son antre mais s’arrête là.— Dis-moi.— Je… Ok ok c’est ma faute, j’avais tort et tu avais raison.— Tu ne t’excuses pas ?— Si. Pardon. Je n’aurai pas dû être si insistant.Ana sourit, satisfaite de mon aveu.— Tu vois ? Ce n’était pas difficile. Tu vas te faire pardonner n’est-ce pas ?— Quoi ?Elle remonte vers moi et place sa chatte juste au-dessus de ma bouche.— Lèche !J’hésite une seconde et lape timidement sa mouille avant d’y prendre goût. J’y vais alors avec plus d’entrain et commence à lui bouffer la chatte. J’ai une trique énorme ! Je lèche. Je change de rythme, j’augmente l’intensité, j’explore les recoins de son puits d’amour et ses lèvres s’ouvrent en grand alors que j’avale son abondante cyprine.Elle gémit mais je sens qu’elle se retient pour éviter d’attirer l’attention. Après tout nous sommes six dans cette chambre ! Et il est interdit de faire ce que nous faisons dans cette auberge de jeunesse.Elle laisse échapper un petit cri.— Haa !Sa jouissance approche. Je le sens. Elle plaque sa chatte contre ma bouche et bouge d’avant en arrière. Ana se mord les lèvres pour ne pas crier. Ses va-et-vient sont plus rapides, elle tremble. Son antre déborde de mouille que je ne parviens plus à avaler. J’en ai plein les joues. Elle se cambre en arrière et maintient ma tête contre elle de sa main en poussant fort contre ma bouche. Elle jouit.— HAA ! HAAN !Son orgasme est puissant. Elle serre ses jambes autour de ma tête et reste quelques instants dans cette position. Quelques secondes après, elle s’effondre sur le lit, toujours tremblante. Elle revient lentement à elle, calmant le feu qui s’est emparé de son corps. Dans la pénombre, je remarque ses yeux vitreux qui s’éclaircissent peu à peu. Finalement, elle regarde ma bite toujours dressée en souriant.— Ah ! On se servira peut-être de ton jouet la prochaine fois.Je la regarde, frustré. Elle rigole et dépose un baiser sur mon gland avant de rejoindre sa couche. Ce geste m’électrifie, je frissonne. Je brûle d’envie pour cette fille agaçante et hautaine. Trop excité pour m’endormir, je commence à me branler.— Don’t ! me lance-t-elle.Je m’arrête.Je soupire et tâche de trouver le sommeil, frustré et débordant d’une envie folle de baiser cette Latina qui m’a dompté cette nuit.
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