Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 142 J'aime
  • 4 Commentaires

séjour imprévu

Chapitre 2

il ne l'avait pas prévu

Hétéro
Piégée par Jean en m’offrant à son père et si je ne le regrette pas, j’ai décidé de me venger et de profiter de la situation ; même s’il avait convenu avec son père que je serais à lui, il pensait qu’ensuite, je leur appartiendrai toute la nuit, profitant à deux de mon plaisir.Jean, à son retour, me trouve nue, les cuisses couvertes de jute, mais il ne s’en offusque pas bien au contraire, satisfait de son joli coup ; s’approchant de moi, il veut me prendre dans ses bras ; je me recule et le regardant fixement :
— Tu voulais que je lui appartienne ; tu as réussi, mais tant pis pour toi ; il m’a pris, me faisant jouir plusieurs fois ; grâce à toi, il va pouvoir faire ce qu’il veut de moi ; je vais m’offrir à lui sans réserve, mon corps est pour lui et je sais qu’il va en profiter, mais à ton détriment car tu devras rester derrière la porte.
Je me dirige vers la chambre de Paul, qui, allongé sur le dos, m’attend le sexe tendu. Il a entendu sans aucun doute mes propos et un grand sourire éclaire son visage ; il sait que je vais lui appartenir et j’avoue que mon plaisir est grand de savoir que je vais être à lui pour le reste de son séjour. Excitation d’autant plus grande que Jean reste dehors et qu’ainsi je me venge de lui, car il va pouvoir m’entendre jouir, et cela plus vite qu’il ne le pense.La porte à peine refermée, Paul me tend la main et je me précipite sur lui ; pas besoin de préliminaire, ma chatte a encore le souvenir de cette colonne qui l’a rempli plusieurs fois et grimpant sur le lit, je m’empale sur le membre bandé. Il est surpris, mais m’agrippant les hanches, il me donne un grand coup de bassin et son vit vient percuter le fond de mon col ; ma chatte est comblée et sous l’effet de cette vigoureuse saillie, mon plaisir grandit ; je le chevauche vigoureusement.Sur son visage, le sourire de la victoire ; il sait que je suis toute à lui et que son fils vient de perdre la partie ; quittant mes hanches, il m’attire vers lui pour un vrai baiser ; sa langue me fouille, ses lèvres se collent aux miennes pour un baiser d’amant fougueux. Maintenant ses mains s’occupent de mes tétons, il a compris que cela me fait grimper aux rideaux et cela marche, sous le double traitement de sa queue et de ses mains, il me faut peu de temps pour crier ma jouissance, et Jean, sans aucun doute, doit les entendre, ce qui me stimule encore plus.C’est un véritable étalon ; son sexe long et dur me pourfend encore de longues minutes, puis se retirant sans avoir juter, il m’allonge sur le dos et m’écartant les cuisses, ce qui sans aucun doute doit dévoiler la chatte encore plus, il me pénètre d’une seule poussée, pénétration accompagnée d’un cri de bonheur de ma part; infatigable, il m’amène plusieurs fois à la jouissance, faisant dédoubler mes vociférations de plaisir, pour enfin me féconder. Je ne peux retenir mes cris de bonheur, avant de m’écrouler, épuisée par cette chevauchée.« Ce soir, tu es à moi, totalement, sans restriction et ce que ton homme n’a pas su te faire apprécier, tu vas le vivre et en profiter. » Je sais ce qu’il va faire et de nouveau je l’appréhende, car s’il m’a déjà sodomisée, j’en garde encore le souvenir. « Détends-toi, je vais y aller doucement ». Son doigt commence à investir mon sillon et l’anneau est bientôt atteint ; à nouveau je me crispe. Prenant un peu de semence, il me taquine la corolle, avant d’y faire pénétrer un, puis bientôt deux doigts. Il y va plus doucement, et finalement l’idée de lui offrir un domaine, presque interdit pour Jean, cela a facilité l’acceptation ;
Me mettant à quatre pattes, son gland se frotte sur l’entrée et petit à petit à petit, il pousse pour ouvrir le passage. Je le supplie d’arrêter car douleur est intense. « Tu veux m’appartenir totalement et faire cocu ton homme, alors il te faut tout accepter. Je hoche la tête en guise d’accord. Une grande claque s’abat sur mes fesses et il en profite pour me pénétrer profondément ; sa queue est en entier dans mon conduit, mais je ne peux retenir un hurlement ; pour la deuxième fois, en une nuit, il vient de me sodomiser.Soudain la porte s’ouvre ; c’est Jean, qui, sans doute effrayé par mon hurlement, vient de rentrer. Le tableau qu’il découvre doit le laisser stupéfié, car si la douleur est intense, je tiens ma vengeance :« Tu vois ton père me sodomise, c’est un cadeau pour lui seul » je ne peux en dire plus car Paul a commencé son pilonnage et sa queue me perfore méthodiquement ; son bassin vient percuter mes fesses et Jean peut voir la queue qui me possède, constater la possession totale, d’autant plus que la douleur diminuant, je commence à ressentir les prémices du plaisir anal. Mes gémissements et mes encouragements pour qu’il m’encule plus fort lui prouvent que mon plaisir est total et que son père me possède, rien que pour lui ; possession que lui rappelle son père en lui rappelant que je suis à lui, à sa demande, pour toute la nuit, soumise à ses envies, et cela marche et que le plaisir que je prends restera à jamais marqué dans la tête ».Sans mot dire, Jean quitte la pièce, la tête basse, pris à son propre jeu, lui qui m’a délibérément offerte, et jeu qui durera toute la nuit. J’avoue que je suis surprise de sa vitalité, de son endurance, car il me fera jouir encore trois fois, avant de me féconder, ce qui m’apportera une jouissance totale. Au matin, c’est Paul qui me réveille et me prenant par la main, il se dirige vers notre chambre. « Allons rejoindre ton mari, je vais te prendre devant lui, te faire crier de bonheur. Arrivés dans la chambre, où jean ne dort pas, il m’allonge sur le lit et m’écartant à nouveau les cuisses, il me plante son dard pour la énième fois, sous le regard médusé de mon mari qui peut voir le sexe me labourant le ventre. Je crie mon plaisir et mon bonheur d’être dans les bras de cet amant et m’adressant à jean :
— Je suis à lui et rien qu’à lui ; je suis pleine de sa semence ; s’il le veut, tu pourras me prendre, mais toujours en sa présence. Tu as voulu qu’il me possède et c’est le cas maintenant. C’est un amant merveilleux, qui toute la nuit et encore maintenant m’a fait jouir, tu as dû l’entendre et pour cela, même si je t’en veux de ta fourberie, je t’en remercie, et tant pis pour toi.
Me prenant par les épaules, Paul me redresse la tête et fougueusement m’embrasse marquant ainsi définitivement son emprise sur moi.
Diffuse en direct !
Regarder son live