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Sentiments et Châtiments

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Pourquoi me fait-elle ça ? Pourquoi je ne peux pas me détacher d’elle ? Elle est si anormale. Il est impossible que je sois amoureux d’elle... Pourquoi accepte-t-elle que je la traite comme ça ? Je ne suis que ça pour elle : un gars qui fait ce qu’il veut d’elle... Un gars qui la baise !
J’aurais tant aimé qu’elle refuse de me ramener, qu’elle m’oblige à rester près d’elle... Pourtant j’aime tant qu’elle soit à moi, qu’elle m’obéisse... Tout se passait si bien au repas. Et nous avons baisé... Non, nous avons fait l’amour. Nous avons fait l’amour ensemble... Mais si c’est ce qu’elle veut, elle n’aura rien d’autre. Mon cœur ne s’attachera pas. Seul le sexe comptera entre nous.
Le lendemain, eu bureau, j’ai tenté de l’ignorer mais c’était impossible. Elle avait attaché ses cheveux ce qui lui donnait un côté faussement sévère. Elle avait mis des chaussures plates, ça ne lui ressemblait pas. Et j’aimais tant le bruit de ses talons qui rythmaient sa marche d’habitude. Je pense qu’elle le savait. Elle avait du le faire exprès... La chienne ! Et que dire de sa tenue ? Informe. Un vieux jean qui ne la mettait pas en valeur, un haut trop large. C’était la première fois que je la voyais si mal habillée... Non, en fait, c’était la seconde fois. Foutu jogging. Même lui avait réussi à m’exciter. Et pourquoi elle m’évite ? Impossible de me trouver dans la même pièce qu’elle.
Trop tard, il était déjà l’heure de partir en week-end... Son bureau est vide... Sa voiture n’est plus là... Elle n’est plus là... ELLE ME MANQUE ! Foutu week-end...
Ces deux journées furent interminables. Le souvenir de son odeur, de sa peau, de son plaisir. Tout ça me hantait. J’avais envie d’aller chez elle et de la prendre... Je dus me masturber durant ces deux jours. Je crois que depuis l’adolescence, je ne m’étais jamais autant masturbé. Je n’ai même pas osé compter. A chaque fois, c’est son visage, son plaisir qui me donnaient le mien. Putain mais j’ai envie d’elle...
Je m’étais décidé à mettre les pieds dans le plat. Il fallait que je la serre contre moi. C’était vital...
Je suis arrivé tôt ce matin là et les bureaux étaient encore vides. Comment allais-je m’y prendre ? Je ne savais pas... Les gens arrivaient les uns après les autres. Je me suis levé à de nombreuses reprises. Son bureau est toujours vide. Pas de Mademoiselle Craux. La matinée commençait à être assez avancée quand un e-mail retint toute mon attention.
« Salut Damien,Je ne sais pas ce que tu as fait mais on a un rendez-vous urgent avec le père de Mademoiselle Craux, un des responsables des ressources humaines. Je pense que je peux essayer de te trouver une nouvelle mission.Quoi que tu aies fait, prépare un argumentaire solide... »
Mon commercial venait de m’annoncer ma rupture... Sauf qu’on ne formait pas vraiment un couple. Éloïse redevenait Mademoiselle Craux et c’est tout. Elle aurait pu me dire que son père était celui qui signait les chèques ! Et un consultant de plus à son tableau de chasse. Foutue... jolie femme...
Elle apparut à ce moment là. Une robe légère aux motifs clairs dessinant parfaitement ses courbes, ses si jolies courbes. Les cheveux lâchés, un peu plus court. Elle était passée chez le coiffeur. Une paire de sandales beiges qui laissaient apparaître ses doigts de pieds maquillés complétaient magnifiquement le tableau. Et merde, je me suis mis à bander... Ma verge est intenable. Mais elle a raison. C’est au prix d’un effort surhumain que j’ai réussi à ne pas lui sauter dessus.
Après l’heure du déjeuner, mon commercial arriva.
« Alors ? Qu’est-ce que tu as fait ?
— Je n’en sais rien...— Pour être convoqué comme ça, tu as fait une connerie !— Non, le projet avance.— Ça se passe mal avec Mademoiselle Craux ? dit-il en insistant lourdement sur le ’Mademoiselle’— Ça ne peut pas bien se passer avec elle, tu le sais...— Oui, mais à ce point ! A moins que tu ne te la sois faite dans un couloir et que vous ayez été attrapé... »
En disant cette phrase, il me donna un petit coup de coude. Fallait-il que je rie à cette idiotie ? Et faisait-il cette blague souvent ? Elle ne méritait pas... Pourquoi mon esprit la défendait. Après tout, elle était en train de me faire virer cette... Putain qu’elle était belle ce jour-là...
Dans la pièce sans âme, nous nous sommes retrouvés face à Monsieur Craux, le père. Mon commercial débuta un léchage de bottes de haute voltige. Il ne savait pas pourquoi nous étions là mais ma société s’en excusait déjà. C’était une vaste blague. J’aurais aimé qu’Éloïse soit là. Je l’aurais prise sur le bureau devant tout le monde...
« Damien ? Damien ?— Euh... Pardon, j’étais ailleurs...— Donc, si vous êtes là, c’est que j’ai un gros problème. Ma fille me dit le plus grand bien de vous et je pense que vous pouvez nous apporter bien plus sur un poste avec un peu plus de responsabilité. Mais elle ne veut pas vous lâcher. Ce qui est assez rare pour être signalé.— Votre fille est une femme exigeante. C’est à porter à son crédit. »
Non, mais il va se taire cet idiot ! Elle veut me garder ! Elle me veut ! La robe, c’est pour moi... Ça ne peut être que pour moi. C’est impossible autrement. Le reste de la conversation me toucha à peine. Le nouveau job, je ne m’en occupais même pas.
« Vous devriez en discuter avec ma fille.— Je ne suis pas sûr que ce soit judicieux. Damien est assez...— Oui, je vais en parler avec elle. Il me semble important que je me rapproche d’elle.— Très bien. Je comprends pourquoi elle apprécie votre travail. Même si elle est dure avec vous... Messieurs, je crois que nous avons fait le tour de la question.— C’est parfait pour moi, lâcha toujours aussi dépassé par les événements mon commercial. »
Et nous nous sommes quittés. J’étais sur un petit nuage. Je renvoyais mon commercial qui semblait en colère contre moi. Peu importe. Arrivé à mon bureau, je décrochais mon téléphone.
« Mademoiselle Craux.— C’est Damien. Pouvons-nous nous voir ? Je sors d’une entrevue avec votre père.— Pas de soucis... Venez à mon bureau, Monsieur. »
Elle devait y être seule pour qu’elle me réponde ainsi. Il fallait que j’y aille tout de suite. D’un bon, je me suis levé et me suis précipité vers son bureau. Derrière moi, elle ferma la porte. Elle s’approcha de moi. Alors qu’elle allait prendre la parole, je la coupais.
« Tu as mis un soutien-gorge aujourd’hui ?— Euh... Oui... Mais c’est de ça que vous voulez parler, Monsieur ?— Et tu as mis une culotte ?— Oui... Pardon mais pour le boulot...— Approche. »
Elle vint vers moi, assis sur le siège des invités face à son bureau. Elle resta debout à côté de moi. Je posais alors ma main sur son genou. Doucement, je remontais sous sa robe. Mes doigts caressèrent sa cuisse. Je remontais de plus en plus et finis par toucher le fin tissu qui séparait ma main de son sexe. Je découvrais avec bonheur son humidité. Quelques pressions suffirent à accélérer la respiration d’Éloïse.
« Arrêtez, s’il vous plaît...— D’accord mais donne-moi cette culotte.— Tout ce que vous voudrez. »
Elle passa ses mains sous la robe. Elle commença à faire glisser le linge le long de ses belles jambes jusqu’à ses sandales. Cette petite culotte violette atterrit dans mes mains. Elle était effectivement humide. Je la sentis et la glissais dans ma poche.
« Vous restez dans mon service, Monsieur ?— Il est plus intelligent de mettre un peu de distance entre nous non ?— C’est vrai. Vous avez raison...— Au passage, le boulot que me propose ton père, tu peux m’en dire un peu plus ?— Non. Mais je vais lui demander. On en reparle ?— Ce soir, chez toi ?— Si vous voulez, murmura-t-elle. »
Je lui ai dit que j’allais passer chez moi et que je passerais chez elle après. Elle semblait ravie. Je filais sous la douche pour tenter de me calmer mais c’était impossible. Arrivé chez elle, j’ai pris une grande respiration avant de frapper à sa porte. Elle m’ouvrit avec un grand sourire.
« Bonsoir Damien. J’ai préparé un repas. J’espère qu’il sera à ton goût.— Bonsoir Éloïse. »
Et elle s’écarta pour que je puisse passer. Elle m’invita à prendre place à table. Nous avons commencé le repas en discutant tout à fait normalement. Elle m’expliqua le travail que me proposait son père, les raisons pour lesquelles le précédent partait, etc. Puis nous avons parlé de nous. Je fus subjugué par l’intérêt que je portais à ses souvenirs d’enfance. Elle me plaisait, c’était indéniable. J’avais envie de l’embrasser... Là... Tout de suite... De lui dire que je l’aim... Mais nous avons atteint la fin du repas et son attitude changea.
« Monsieur. Souhaitez-vous passer au salon pour... un café ?— Non, on va le prendre là. Débarrasse. »
Pendant qu’elle débarrassait, j’ai posé la culotte qu’elle s’était retirée au centre de la table. Le café fut avalé rapidement. Je passais derrière elle. Posant les mains sur sa poitrine, je m’aperçus qu’elle ne portait plus de soutien-gorge. Je commençais alors à caresser sa poitrine puis à la malaxer moins tendrement. Je voulais savoir ce qu’elle voulait. Sa respiration de plus en plus forte me laissait penser que c’était ce qu’elle souhaitait. Elle ne voulait pas que je sois son amant... Pourquoi cela m’excitait autant que ça me désespérait ?... Elle me voulait brutal, je le serais.
L’attrapant fermement par le bras, je la levais. Je la conduisis dans la chambre et m’assis sur le lit. D’un geste, je lui signifiais mon ordre de retirer sa robe. Elle passa les mains dans son dos et baissa la fermeture éclair. La robe tomba à ses pieds. Mais qu’elle est belle ! J’avais envie de la serrer dans mes bras, de l’embrasser tendrement... Mais ce n’est pas ce qu’elle voulait. Je passais ma main entre ses cuisses. Son sexe était trempé. J’humidifiais mon doigt avant de me lever pour le diriger vers sa bouche. Elle le suça doucement. J’attrapais ses seins à pleine main puis commençais à la tordre violemment. L’obligeant à me regarder, j’ai pu voir un rictus de douleur sur son visage. J’arrêtais mon mouvement quand elle poussa un petit « Aïe » lourd de sens.
Agrippant ses cheveux, je la fis se mettre à genoux devant moi. Sans un mot, je défis mon pantalon et baissais mon boxer. Mon sexe érigé comme jamais se dressa alors devant le visage d’Éloïse. Sans douceur, j’enfonçais mon gland dans sa bouche. J’aurais pu venir tout de suite tant j’étais excité de la situation. Je sentais avec délectation ses lèvres et sa langue, ses succions et ses caresses. Mais je décidais de m’en arracher.
La relevant et la jetant à quatre pattes sur le lit, je pus observer avec bonheur son corps nu juste souligné par ses sandales qu’elle portait encore. Jouant le rôle qu’elle voulait que j’endosse, je frappais ses fesses. Je l’obligeais à compter mes claques. Ce n’est qu’à la vingtième que je me décidais à stopper cette douce torture. J’enfonçais deux doigts dans son sexe. Elle était liquide, signe de son plaisir pris à être utilisée de la sorte. Mes doigts glissèrent ensuite vers son petit trou.
« S’il vous plaît, Monsieur...— Quoi ?— Baisez-moi... normalement... s’il vous plaît...— Je fais ce que je veux. Si c’est ton cul qui m’attire, c’est ton cul que je prends !— Oui, Monsieur... Faites comme vous le désirer... »
Sa résignation m’excita encore davantage. Après un peu de préparation, je présentais mon sexe devant son petit trou ouvert. Fermement, je m’enfonçais en elle. Elle criait de douleur mais aussi, j’en étais sûr, de plaisir. Une fois bien en elle, je commençais à aller et venir entre ses fesses. Ses mains s’agrippaient à ses draps, les froissant. J’attrapais ses cheveux et l’obligeais à tourner la tête. La bouche et les yeux grands ouverts, elle semblait chercher de l’air avec un rictus de plaisir incontrôlable. Gémissant à peine, elle était figée. Cette vision aussi touchante qu’excitante était trop pour moi. Je me déversais à grand flots en elle. J’avais l’impression d’avoir des litres de plaisir pour elle. Exténué, je m’écroulais sur le lit.
Éloïse était toujours à quatre pattes. Soudain j’eus peur de ne pas avoir tenu assez longtemps pour elle. Je lui demandais si elle avait pris son plaisir aussi. Un petit hochement me signifia une réponse positive. Puis, dans un souffle, elle précisa « deux fois »... Ravi, je me levais en direction de la salle de bain. Je me rafraîchissais et me nettoyais. A mon retour, Éloïse s’était mise sous les draps.
« Vous voulez rester, Monsieur ?— Oui, répondis-je en essayant de cacher au mieux mon enthousiasme. »
Me mettant nu, je rejoignis Éloïse sous les draps. Elle vint se coller à moi, la tête sur mon épaule. Un coup d’œil à son réveil m’indiqua qu’il n’était que 22 heures, ce qui était bien tôt pour moi. Malgré cela et ma position bien inconfortable, je m’endormis très vite.
Je me sentais bien, très bien... Une douce chaleur m’envahissait, m’englobait. J’étais apaisé... Et je prenais... du plaisir... Quel doux rêve... Rêve ? Mais était-ce un rêve ? Je n’arrivais pas ouvrir les yeux, toujours pris dans mon sommeil... J’avais l’impression de me réveiller doucement... Cette chaleur... Autour de... de... mon sexe ? Oui, je le sentais de plus en plus distinctement. Des lèvres ? Une langue ? Forçant mon réveil, j’ouvris les yeux. Une belle chevelure semblait posée sur mon ventre. Éloïse me suçait. C’était maintenant clair autant dans mon esprit que dans mon corps. Je n’osais bouger. Je n’avais rien ordonné et elle m’avait pris en bouche. Elle me donnait le plus doux des réveils. Elle était si douée... Si le titre d’experte ne comportait pas une connotation liée à des années d’expérience et de pratique, je le lui aurais donné. Incapable de me contrôler, je jouis à grand jets entre ses lèvres. Elle aspira tout mon jus. Ses lèvres et sa langue finirent de me nettoyer extirpant de ma verge toute trace de mon plaisir. Elle vint alors se coucher contre moi... Sans un mot... Et le réveil nous reprit...
Au rythme d’une chanson bien connue mais que je n’arrivais pas à identifier, mes yeux s’ouvrirent. Face à moi, la belle chevelure d’Éloïse comblait mon champ de vision. Collée à moi, elle me tournait le dos et je l’agrippais de mon bras droit. Ses jambes épousaient à la perfection les miennes et ses fesses étaient contre mon sexe... qui... ne put s’empêcher de se dresser, doucement mais irrémédiablement. Éloïse sembla s’en apercevoir puisqu’elle se courba légèrement faisant tourner ses fesses. J’attrapais ma verge et la dirigeais vers les cuisses d’Éloïse. Mon gland rentra alors en contact avec son sexe qui était déjà chaud et humide. D’un doux coup de rein, j’entrais dans Éloïse. Ce mouvement fut ponctué par un soupir de ma belle. Lentement mais avec fermeté, je commençais à aller et venir en elle. Ses soupirs furent vite remplacés par des gémissements légers, presque inaudibles. Éloïse et moi ne prononcions aucun mot, presque aucun son. Seule la musique qui s’échappait du réveil rythmait nos ébats. Ma main glissa vers son petit bouton que je me mis à caresser. Ses gémissements prirent alors de l’ampleur. Quelques minutes après, son sexe se contracta par spasmes autour de moi. Puis sa main bloqua la mienne. Elle venait de jouir. Je continuais mes mouvements pendant quelques secondes puis sortis de son sexe pour répandre mon plaisir sur ses cuisses.
Éloïse se tourna alors vers moi.
« Enfin, tu m’as fait l’amour. Si tu savais à quel point j’espérais ce moment...— Bonjour... Pas de Monsieur ce matin ?— Non, Damien. Ça te gêne?— Pas le moins du monde... »
Elle approcha sa bouche de la mienne. Pour la première fois, nos lèvres se rencontraient. Nous nous sommes embrassés avec tendresse... Avec amour ? Éloïse mit fin à ce moment, se levant pour passer à la salle de bain. Je ne pus décoller mon regard du corps nu de ma belle sortant de la chambre, plus belle que jamais...
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