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Chapitre 5

SM / Fétichisme
Jour 11
Le lendemain et le surlendemain je partis en déplacement professionnel. Je profitai d’être dans une ville où personne ne me connaissait pour réaliser quelques emplettes et coucher quelques idées sur le clavier de mon ordinateur. C’était bien également pour Gaëlle de faire une pause, de ne pas trop brusquer les événements, afin qu’elle s’habitue peu à peu, sans s’en rendre compte, au mélange de plaisir et de souffrance que je lui infligeais depuis le début de notre relation.
Le jeudi, je m’étonnai de l’absence de Gaëlle. Puis je me souvins que c’était son jour de RTT. La journée se passa donc normalement, réunion, gestion de dossiers complexes, je fis un tour du plateau pour qu’on ne me soupçonne pas de m’occuper d’une personne plutôt qu’une autre, je pris même à part quelques conseillers et conseillères dans mon bureau pour traiter des cas particuliers, et par là-même ne pas éveiller les soupçons.
Le vendredi, Gaëlle se présenta au travail avec un tailleur chocolat et un chemisier rose pâle (l’association était osée), ses cheveux blonds impeccablement coiffés et retenus sur le côté par une barrette, une jupe assortie tombant jusqu’au genou, ses escarpins « classiques » mettant ses mollets en valeur, rehaussés par des bas noir à fine couture. Son visage était poudré discrètement, faisant ressortir davantage sa bouche ornée d’un rouge à lèvre rouge vif et ses yeux bleus qui n’avaient besoin de rien pour être remarqués tant ils étaient beaux.
Je la salue comme les autres, elle me répond par un de ses plus beaux sourires, un de ceux qui m’avaient fait craquer. En passant à son bureau, je lui laisse discrètement un papier sur son plan de travail avec un lieu et une heure, sans autre indication ni signature. Elle regarde le papier sans rien dire et acquiesce discrètement de la tête.
Deux heure plus tard, je m’absente de mon bureau comme pour me rendre aux toilettes. Après avoir jeté un regard à droite puis à gauche, j’ouvre à la place une petite porte avec le passe que je m’étais procuré et je m’y engouffre discrètement. Je suis accueilli par une température nettement en-dessous de celle de mon bureau ainsi que par un ronronnement omniprésent. Je me trouve dans la salle des serveurs informatiques. A part les racks de serveurs et les câbles électriques et informatiques, la pièce ne comporte qu’une petite table, et une chaise. Des gros crochets au mur face à l’étagère des serveurs permettent de fixer des tableaux dont je ne voyais pas trop la signification. Néanmoins je note mentalement leur présence pour une utilisation future. La pièce était aveugle, et avait été renforcée au niveau de l’isolation, en plus d’être climatisée par une machine spéciale, pour préserver une température de moins de 18°C.
J’attends quelques minutes, le temps pour moi de dissimuler au mieux mon appareil photo et de vérifier que la télécommande fonctionne toujours, puis deux coups discrets frappés à la porte me signalent l’arrivée de Gaëlle. Je lui ouvre et elle entre à mon invitation, étonnée de se trouver dans cette pièce dont manifestement elle ne connaissait pas l’existence. Pas plus que la plupart des membres de l’immeuble, d’ailleurs, à part le personnel informatique. Je prends soin de refermer à clef la serrure et de laisser la clef à l’intérieur. Ainsi, même si par malchance quelqu’un venait, il ne pourrait débloquer la serrure et nous aurions le temps de ressortir, pendant qu’il irait chercher de l’aide.
« C’est bien, tu as suivi mes instructions et tu es à l’heure » lui dis-je avec un demi sourire.
Elle répond par un sourire timide, yeux baissés, jambes légèrement écartées et mains derrière le dos. Son éducation commence à porter ses fruits.
« En début de semaine, nous avons commencé à entraîner ton corps afin que tu puisse le maîtriser. En effet, c’est important que tu en connaisses ses réactions. Qu’as tu retenu de notre dernière session ? »
Elle relève un peu la tête et cherche mon regard, comme pour vérifier si je plaisantais ou si je lui posais une question sérieuse. « Je …je ne sais pas trop, Maître…. »
« Ca ne t’a donc rien appris sur toi et ton corps ? »
« Si, Maître ! Mais, heu.., c’était plutôt bizarre…. »

« C’est-à-dire ? Poursuis, je t’écoute »
« En fait, c’était très difficile de me maîtriser car je n’avais jamais rien ressenti de tel ». Silence de ma part. Elle continue « le frottement des boules en moi devenait de plus en plus intense au fur et à mesure que je marchais, et à la fin …. ».
« Oui ? »
« Hé bien, c’est comme si mon esprit se détachait de mon corps et qu’il était entièrement focalisé dans mon bas-ventre. Je n’arrivais plus à me concentrer sur autre chose, mon corps avançait mécaniquement mais mon esprit était tout entier sur ce que faisaient ces …choses…. »
« Te souviens-tu de ce que tu as ressentie à la fin lorsque je les ai retirée ? »
« Oh oui ! » S’exclama-t-elle un peu malgré elle ? Puis, se rendant compte qu’elle était un peu trop enthousiaste, elle rosit un peu –qu’est-ce qu’elle était belle lorsque cela lui arrivait !- et se reprit « Enfin, heu…je ne m’y attendais pas du tout : c’est comme si un feu d’artifice avait explosé à l’intérieur de mon corps et dans ma tête. Je ne savais plus où j’étais. »
« Bref, tu ne contrôlais plus rien ? »
Silence puis finalement elle lâche « Non, Maître »
« C’est bien, j’apprécie ta franchise. Rassure-toi, c’était normal, et cet exercice avait pour but de te faire prendre conscience de cela » Elle a l’air soulagée lorsqu’elle entend mes paroles…qui n’ont pour autre but que de la préparer à ce qui s’ensuit. « Aujourd’hui, nous allons continuer dans cette voie. Mais après avoir exploré le plaisir, nous allons explorer la douleur »
Un voile d’inquiétude passe sur son visage. Elle ne sourit plus du tout à présent.
« Rassure-toi, ce n’est qu’une première approche, comme pour les boules de geisha. Mais elle est indispensable à ta formation »
Elle en doute probablement, à voir son visage, mais elle n’ose pas broncher.
« Lève la tête et regarde-moi » Je tiens devant son visage deux petites pinces dont les mâchoires sont plates et gainées de caoutchouc transparent. « Déboutonne ton chemisier »
Elle a l’air un peu choquée de ma demande abrupte et ne s’exécute pas immédiatement
« Allez, dépêche-toi ! » je la relance de manière abrupte
Elle défait lentement le premier bouton, puis plus rapidement le deuxième et le troisième, arrivant ainsi à la hauteur de son nombril.
« Stop ! Ca suffira. Maintenant, retire ton soutien-gorge »
Elle ne comprend décidément pas où je veux en venir et cela l’inquiète de plus en plus. Elle pense peut-être que je veux abuser d’elle, mais dans ce cas pourquoi ne pas la faire se déshabiller complètement. Ma voix la tire brusquement de sa rêverie « Bon, on ne va pas y passer la journée ! Tu te dépêches un peu, oui ?! »
Elle s’exécute alors, non sans réticence, et en réussissant l’exploit de ne me montrer que le minimum de sa poitrine. Dès qu’elle a retiré son soutien-gorge, elle le tient dans sa main gauche, ne sachant pas trop quoi en faire, et de sa main droite tient son chemisier fermé du mieux qu’elle le peut.
« Donne-le moi, tu n’en auras plus besoin pour l’instant » Elle tend lentement son bras gauche et je lui prend rapidement le morceau de dentelle noire. Je le replie et le pose sur la table, hors de sa portée.
« Reprends la pose…de suite ! » Elle comprend qu’elle doit lâcher son chemisier, quitte à le laisser s’entrebâiller, et le fait, non sans réticence, et après avoir pris une légère tape sur sa main droite. Je la sens nerveuse.

Sans bouger, car je suis assez près d’elle, je prends les deux pans de son chemisier et les écarte pour dévoiler sa poitrine « Tu ne dois pas avoir honte de ton corps, qui est par ailleurs très beau. Tu dois plutôt savoir t’en servir pour qu’il te permette d’atteindre tes objectifs, et qu’il aide ta réussite professionnelle. Je n’ai pour but que de t’y aider. Pour cela, tu dois me faire confiance, et suivre mes instructions à la lettre. Nous avons passé un accord : si tu respectes ta part, j’honorerai la mienne et tu seras cadre avant la fin de l’année » Tout en parlant, j’admirais ses deux seins en forme de poires, légèrement tombant (après deux grossesses, le contraire m’eut étonné) mais qui avaient gardé un caractère juvénil, un peu adolescents. Sa peau était rose comme son visage, et la fraîcheur de la pièce – le trouble qu’elle éprouvait ?- lui donnait une légère chair de poule. Ses auréoles étaient assez petites et ses tétons semblaient durcis pour les mêmes raisons. « Tant mieux, ça me facilitera le travail » pensès-je . J’en profite pour activer la télécommande dans ma poche de pantalon et prendre quelques clichés en prenant soin de ne pas me trouver dans le cadre de la prise de vues.
Elle ne peut s’empêcher de reculer lorsque je prends son sein gauche dans ma main gauche. « Ne bouge pas ! Regarde-moi dans les yeux ! » J’emploie le ton le plus assuré et le plus professionnel que je peux, mais je sais que je suis à un tournant et mon cœur s’accélère. « Comme je te l’ai dit, tu dois mieux maîtriser ton corps, et cela passe par la gestion de la douleur. C’est pourquoi tu vas porter ces petits outils qui t’y aideront jusqu’à ce que je te donne d’autres instructions. Laisse tes mains là où elles sont ! » Tout en lui parlant, j’ai appliqué une des pinces sur le téton érigé de son sein gauche, et elle a eu le réflexe d’y porter sa main droite pour la retirer, avant que je ne l’écarte vivement. Assez rapidement, je referme les mâchoires de la deuxième pince sur son téton droit puis je me recule d’un pas, après avoir vérifié qu’elle n’ait pas de nouvelle velléité de rébellion. Ses mains semblent crispées et je sens qu’elle hésite encore à supporter cette douleur volontairement. A nouveau j’active la télécommande, afin d’immortaliser la scène. J’espère que j’ai bien cadré !
« Referme les boutons de ton chemisier » lui dis-je à présent, presque à regret car je ne vais plus pouvoir profiter du spectacle de sa poitrine offerte et torturée, pour occuper son esprit et ses mains de manière utile à mon dessein. « Débrouille-toi pour qu’on ne voit pas les pinces, je les ai choisies afin qu’elle puissent être portées verticalement et assez petites. Avec ta veste de tailleur elles seront invisibles. Non, ne boutonne pas ceux du haut, on doit toujours bien voir ton décolleté »
« Mais, Maître, on risque de voir que je n’ai pas de soutien-gorge ! » Ose-t-elle me répondre
« Ca, c’est ton problème ! » je lui réponds d’un air amusé. « Ca te fait mal ? »
« Oui, Maître, ça pince le bout de mes seins et c’est très désagréable »
« Tant mieux ! Tu dois apprendre à maîtriser cette douleur et à faire comme si de rien n’était. Tu vas d’ailleurs reprendre ton poste dans une minute mais auparavant je vais te faire un cadeau ». Je lui tends un téléphone portable, tout petit et arrondi comme un galet. « Cela nous permettra d’être en contact direct. Tu ne dois l’utiliser que pour m’appeler si besoin est, et cela me permettra de te contacter lorsque je le désirerai. Bien entendu, tu devras suivre à la lettre et instantanément tout message que tu recevras, oral ou écrit. C’est bien clair ? »
« Oui, Maître » répond-elle en grimaçant légèrement et en portant une main à sa poitrine.
« Pas de ça ! » je prends son poignet et le rabaisse de force « Tu dois nourrir ta volonté, et pour cela, tu dois d’abord accepter la douleur. Tu ne touche donc pas à ta poitrine, tu fais comme si tout était normal. Sinon tout sera à refaire. D’accord ? D’accord ?? »
« Oui, Maître » souffle-t-elle
« Bien, remets ta veste, prends ton téléphone et reprend ton poste, après avoir vérifié en entrebâillant la porte que personne ne passe par là. Ah, j’allais oublier ! Tiens, une clef de la pièce, comme ça tu pourras m’y attendre la prochaine fois » Elle s’exécute et disparaît.
J’attends deux minutes puis je me rends dans le bureau d’un de mes collègues pour lui poser une question professionnelle et débattre avec lui du sujet un quart d’heure. Puis je reviens à mon bureau. Gaëlle est à son poste, elle est en conversation téléphonique avec un client. Son nouveau téléphone est posé devant elle, à côté de son écran. Je me mets à travailler sur un dossier que je devais boucler cette semaine sans davantage me préoccuper de son sort durant une bonne heure. Au bout de ce laps de temps, je ne peux m’empêcher de relever la tête et constater qu’elle esquisse une grimace de temps en temps. J’imagine que les mâchoires font leur effet et que le bout de ses seins doit la lancer. Il est temps de renforcer un peu les désagréments. Je pianote un SMS sur mon propre téléphone et appuie sur la touche « Envoyer ». Quelques secondes plus tard je la vois prendre le téléphone en main puis appuyer sur un touche pour lire mes instructions. Elle jette un coup d’œil furtif vers mon bureau puis se lève quelques instants plus tard pour se diriger vers les toilettes. Je relis le message sur mon téléphone dans le dossier « envoyés » avant de le supprimer « Va dans les toilettes avec ton téléphone. Prends la petite boite noire dans le meuble sous le lavabo et enferme-toi dans une cabine. Attends mon appel. »
Une minute plus tard, je l’appelle sur son téléphone toujours réglé en mode vibreur
« Ne parle pas et écoute : ouvre la boite noire….oui, ce sont des plombs, comme ceux qu’on utilise pour la pêche…sauf que ceux-là sont conçus pour s’adapter sur les pinces que tu as sur les tétons. Tu vas donc lâcher le téléphone et en mettre un sur chaque pince et me dire doucement « oui, Maître » lorsque ce sera fait ».
J’entends le bruit du téléphone posé sur un tablette de la cabine des toilettes, puis un bruit de vêtements et plus rien pendant une bonne minute. Puis la voix de Gaëlle résonne doucement à mon oreille « Oui, Maître »
« Bien ! Tu peux raccrocher et reprendre ton travail »
Je la vois revenir et s’installer sur sa chaise, et j’aimerais bien savoir ce qu’elle ressent et ce qu’elle pense à cet instant. Le poids accroché à chaque pince, elle-même mordant dans chacun de ses tétons, doit commencer à être désagréable, lui tirer le sein tout entier vers le bas, d’autant qu’en l’absence de soutien-gorge la gravité doit faire son œuvre.
A l’heure du déjeuner , je laisse Gaëlle partir puis lui envoie un message une demi-heure après (un temps que j’estimais suffisant pour se restaurer) afin qu’elle me rejoigne à nouveau dans la salle informatique. Cette fois, je la laisse entrer la première et la fais patienter plusieurs minutes avant de m’y introduire à mon tour. Elle m’attend, assise sur la table. Dès qu’elle me voit entrer, elle se remet sur ses pieds rapidement, et prend la pose attendue.
« Alors, ça ne tire pas trop ? »
« Si, Maître. Ca fait assez mal, je ne sens plus le bout de mes seins »
« Très bien. Le but est que tu explores les réactions de ton corps en situation de souffrance. Ainsi tu pourras davantage te maîtriser et ne pas te laisser perturber »
« Puis-je poser une question, Maître ? »
« Oui, vas-y » je suis assez surpris et je me demande ce qu’elle souhaite connaître
« En quoi cela pourrait-il m’aider, Maître ? » Dit-elle sur un ton un peu de défiance ; peut-être la douleur sourde lui donne-t-elle le courage d’oser remettre en question mes ordres
« C’est simple : imagine que tu sois en période pré-menstruelle et que tu aies à conduire une négociation délicate, interne ou externe. Si tu es habituée à la douleur et aux réactions de ton corps, tu ne seras pas gênée et tu auras un avantage sur les autres personnes avec toi. »
Elle réfléchit à mes paroles et ne trouve rien à redire, peut-être parce que son esprit est concentré en partie sur les tiraillements que subit sa poitrine.
« Je vais te confier un secret de management : la confiance n’exclue pas le contrôle. Ca signifie que même si tu as confiance dans l’un de tes collaborateurs, tu dois le contrôler de temps à autre. C’est pourquoi…je te demande d’ouvrir ta veste et ton chemisier, afin que je puisse vérifier que tu n’as pas enlevé les pinces »
« Mais, Maître …. »
« Quoi ? » Lui réponds-je un peu brutalement. « Qu’est-ce que je viens de t’expliquer ? Je m’évertue à mettre en pratique ce que je t’explique, afin que tu le retiennes mieux. Allez, montre-moi que tu as compris et que je ne perds pas mon temps avec toi. N’oublie pas une chose : c’est que j’évalue également ton comportement durant ton entraînement, et que c’est moi qui déterminerai lorsque tu seras prête. Jusqu’à présent tu te comportes assez bien, mais tu as un défaut : tu te laisses facilement décontenancer par des situations jusqu’alors inconnues. C’est un défaut qu’il faudra corriger. Bon, j’attends toujours….et je te signale que j’ai déjà eu un large aperçu de ta poitrine tout à l’heure, alors pour la pudeur, c’est un peu tard ! »
Plus convaincue que persuadée, elle déboutonne la veste de son tailleur puis l’ôte pour la poser sur la table. On voit nettement les pinces sous son chemisier rose dont le tissu est assez fin, mais je ne vais pas lui dire. Je la laisse donc déboutonner cette fois son chemisier, puis l’écarter assez largement pour que je puisse admirer l’effet de mon imagination. Mon sexe gonfle dans mon pantalon et je me délecte du spectacle de ces deux seins distendus , de leur bout violet car engorgé de sang par les pinces auxquelles sont accrochées les poids. Je m’approche d’elle et me baisse à hauteur de sa poitrine pour mieux l’examiner.
« Ca fait mal ? »
« Oh oui, Maître ! »
« Désolé mais ce n’est qu’un début. Alors il va falloir t’habituer » Ce disant, je prends deux plombs dans mes poches identiques à ceux déjà accrochés et les fixe à leur tour aux pinces. Elle ne peut s’empêcher de gémir sous la tension supplémentaire infligée à ses mamelles mais n’ose rien dire.
Je me recule un peu pour admirer l’effet produit. La forme de poire de ses seins est maintenant accentuée par la tension qui leur est imposée, et ils semblent un peu aplatis. Ca me donne une idée pour une autre séance..mais je ne vais pas brûler les étapes. Je prends une nouvelle fois plusieurs clichés d’elle avec ses nouvelles parures sans qu’elle s’en rende compte.
« Tu peux refermer ton chemisier et remettre ta veste. Tu es très élégante, permets-moi de t’en faire le compliment »
« Merci, Maître » grimace-t-elle en se rhabillant.
« Il va falloir que tu fasses un effort pour masquer ta souffrance sinon tes collègues vont se demander ce qu’il t’arrive. Et il serait un peu gênant qu’ils connaissent la raison véritable de ton état, n’est-ce pas ? »
« Oui, Maître, je vais essayer »
« Non ! Tu vas y parvenir ! Répète après-moi : je vais surmonter ma gêne et me comporter normalement »
« Je … je vais surmonter ma gêne et me comporter normalement » répète-t-elle d’une voix un peu rauque.
« C’est bien. Attends ici. Je vais sortir le premier, tu compteras jusqu’à cent et tu sortiras à ton tour, en prenant soin de bien refermer derrière toi. A tout à l’heure et bon après-midi ! »
Une fois sorti je décide d’aller déjeuner à mon tour. Je n’ai pas très faim car je suis excité par ce que doit subir dans le même moment Gaëlle, et j’ai hâte de la revoir. Je repasse après mon repas frugal dans la salle informatique pour récupérer la carte mémoire de l’appareil photo et la remplacer par une autre. De retour dans mon bureau, je n’ai pas le temps de m’investir dans une nouvelle tâche que j’entends toquer à la porte. J’ai la surprise de voir entrer Gaëlle qui referme la porte derrière elle et se tient devant moi.
« Je vous prie de m’excuser, Maître, mais j’ai un problème… » dit-elle timidement la tête baissée
« Oui, je t’écoute ? » réponds-je avec curiosité
« Hé bien, lorsque je me déplace, les poids que vous avez fixé s’entrechoquent avec les autres et …ils font du bruit ! C’est très gênant car les gens que je croise se demandent d’où cela peut bien venir » Elle rougit en prononçant ces dernières paroles, et je me doute donc que ça a déjà du lui arriver en chemin. J’avoue que je n’avais pas pensé à ça et ça me fait plus sourire que cela me pose un problème.
Je décide de m’amuser un peu avec elle « Fais-moi donc entendre cela » lui dis-je
Elle ne comprend pas ma demande et relève la tête pour me fixer d’un regard interrogateur
« Bouge un peu, marche d’avant en arrière par exemple, afin que je me rende compte du volume sonore ! »
Cette fois elle comprend –ou crois comprendre- la raison de ma demande, et fais quelques pas en avant puis quelques pas en arrière. Effectivement on entend un petit cliquetis, comme des clés qui s’entrechoqueraient dans une poche assez large…sauf que le bruit est dédoublé et que son tailleur ne comporte pas de poche ! Elle me regarde avec l’espoir que je mette fin à sa gêne et sa souffrance par la même occasion. C’est mal me connaître !
« Effectivement, on entend un cliquetis….Hé bien, ça sera pour toi un apprentissage supplémentaire : apprendre à marcher de manière assez fluide pour ne pas faire s’entrechoquer tes passagers mammaires ! A moins que tu en décides autrement et que tu fasses comme si de rien n’était, dans ce cas tu apprendras à accepter un inconvénient réel et à t’y adapter. Bref, rien que du positif »
Elle me regarde en se demandant si je me moque d’elle ou si je suis sérieux (en fait c’est les deux !) et, comprenant que je ne lui apporterai pas de soulagement, elle baisse la tête, vaincue, en laissant pousser un petit soupir.
« Tu peux t’entraîner un peu ici, si tu veux ! »
Je joins le geste à la parole en faisant tournoyer ma main pour lui indiquer de faire le tour de mon bureau. Elle hésite un peu puis commence à marcher doucement, comme si elle se déplaçait sur des œufs. Le cliquetis est moins audible à présent, ou en tous cas les poids s’entrechoquent moins souvent, mais sa démarche est comique car pas vraiment naturelle. Elle s’en rend compte et essaie de glisser sur la moquette, mais là aussi c’est plus visible que le cliquetis était audible. Après plusieurs essais, elle trouve un compromis entre le bruit et la gestuelle.
« Bon, si tu es satisfaite, va donc reprendre ton poste, je pense que tu as du travail, non ? »
« Oui, Maître. J’y vais de suite » C’est bien, tu es une bonne petite employée modèle, pensè-je alors. Tu vas surtout devenir une bonne petite chienne ! Mais tu ne le sais pas encore …. Je la regarde sortir en me léchant les lèvres par anticipation, puis le téléphone se met à sonner et je m’affaire à tout autre chose de plus professionnel durant deux bonnes heures.
Deux bonnes heures durant lesquelles Gaëlle a continué de souffrir en silence, en essayant d’oublier la pression exercée par les pinces, et les poids qui tirent ses seins vers le bas. En faisant attention lors de ses mouvements de buste, pour ne pas provoquer trop de bruit. En essayant en vain de se soulager en voulant soulever les poids avec deux doigts à travers son chemisier mais en se rendant compte que ses collègues la regardaient en coin d’un air bizarre. En tentant de se concentrer sur les conversations avec ses clients, mais en ratant quelques informations qui lui valurent des agacements au bout du fil de personnes obligées de se répéter.
Je décide de m’octroyer une petite pause et j’en profite pour visualiser les cliché pris précédemment ; certains sont moyennement cadrés mais d’autres sont parfaits : on distingue bien Gaëlle, le poitrail dénudé, tête baissée ou droite, les mains derrière le dos ou le long de son corps, puis ses tétons pris en tenaille par les pinces, enfin ses seins pendants sous le poids des plombs. Il y a au moins une excellente photo de chaque sujet. Je réalise un petit diaporama express et prépare l’objet qui va me servir pour la suite, puis j’expédie un nouveau SMS sur le portable de mon employée. Elle sursaute lorsque le sien se met à vibrer sur le bureau, puis semble soulagée à la lecture de son écran. Elle se lève quelques instants plus tard, et commence à quitter le plateau. Tout à coup je la vois s’arrêter car elle vient d’être interpellée par Karine, sa responsable d’équipe. Cette dernière s’approche de Gaëlle et semble la réprimander, probablement à cause des ses « pauses » un peu trop fréquentes car Karine lui montre l’heure à son poignet. Gaëlle baisse la tête et répond doucement. Mais Karine insiste et Gaëlle doit finalement retourner à son poste de travail. Je n’avais pas prévu ça. Il faudra que je trouve une solution…ou alors que j’exploite la situation, à terme…une nouvelle idée germe dans mon esprit pervers…oui, plus tard….mais pour l’instant Gaëlle est immobilisée pour une durée indéterminée , aussi je dois reporter mes projets pour elle. D’un autre côté, ce n’est pas forcément négatif puisque cela la fait souffrir plus longtemps que je ne l’avais prévu. Je vais simplement devoir modifier quelque peu mes plans pour tout à l’heure….
Je lui envoie un nouveau message au bout d’un quart d’heure, et au moment de le faire partir, je m’assure que Karine ne la regarde pas pour qu’elle ne soit pas tentée d’être trop curieuse. J’ordonne à Gaëlle de rester à son poste jusqu’à la fin des heures d’ouverture et de se rendre dans mon bureau une fois que tout le monde sera parti. Soit un long moment de souffrance supplémentaire pour la pauvre Gaëlle, désespérée de ne pouvoir quitter son bureau. Au moment de la fermeture, les employés partent les uns après les autres. Je vois Karine qui, au moment de partir, semble s’inquiéter du fait que Gaëlle est encore là, et échange quelques mots avec elle. Je vois Gaëlle secouer la tête pour répondre par la négative, le visage fermé. Finalement, Karine hausse les épaules et décide de partir à son tour. Elle passe par mon bureau pour me souhaiter une bonne soirée
« J’ai du réprimander Gaëlle cet après-midi car elle a tendance à s’absenter un peu trop souvent du plateau » me confie-t-elle
« Ah bon ? » Je fais mine de n’avoir rien remarqué « Et que donne son travail en ce moment ?» je lui demande de manière neutre
« Hé bien, le plus étonnant est qu’elle est plus productive malgré tout. C’est probablement parce qu’elle arrive tôt et qu’elle reste tard le soir. Elle compense comme ça. Néanmoins, je ne sais pas ce qu’elle a cet après-midi : elle paraît absente. J’ai comme l’impression qu’elle ne se sent pas bien, c’est pourquoi je me suis inquiétée pour elle ce soir ; mais elle n’a rien voulu me dire » elle hausse à nouveau les épaules
« Bah, c’est peut-être, enfin tu sais….une affaire de femmes ! » Lui dis-je en souriant
« Oui, tu dois avoir raison, ça doit être ça » répond-elle également avec un sourire. « Mais il ne faudrait pas qu’elle prenne un peu trop ses aises sous prétexte qu’elle travaille en extra-horaires. Il faudra la mater un peu ! » Poursuit-elle en me faisant un clin d’œil
Un peu surpris, je prends sa réplique comme une demi-plaisanterie et lui répond « Tu as raison, il va falloir s’en occuper d’un peu plus près. Ne t’inquiète pas je vais m’en charger et la convoquer un de ces jours dans mon bureau ! »
« Bonne idée. Ca lui remettra les idées en place. Une bonne fessée, ça lui fera du bien » Elle s’esclaffe sur cette image, sans penser une seule seconde que ce soit déjà fait !
« Bon, allez, bonne soirée ! » sur cette dernière parole elle quitte mon bureau, me laissant songeur. Karine était une jolie jeune femme, bien qu’un peu maigre et avec une trop petite poitrine à mon goût. De toute manière, je connaissais assez son penchant pour la gent féminine pour savoir que je n’avais aucune chance avec elle. Du coup je la traitais comme un mec et nous étions assez complices, même si j’étais son supérieur hiérarchique. Il m’est même arrivé de lui faciliter la tâche avec une jolie intérimaire qui semblait lui plaire particulièrement. Elle se sentait redevable envers moi et appréciait le fait que je ne faisais jamais de remarque déplacée sur ses penchants sexuels. Il nous arrivait même de plaisanter sur telle ou telle employée, dans des termes un peu plus osés que la déontologie professionnelle ne l’y autorise.
J’attends que le dernier employé ait quitté le plateau, me laissant seul avec ma proie. Sans avoir besoin de me lever, je dis à voix haute « Gaëlle, dans mon bureau de suite ! ». Au moment de passer la porte, je rajoute « ferme la porte derrière toi ». Elle ne semble pas rassurée par ce dernier ordre mais s’exécute, une légère grimace déformant son beau visage.
« Alors, comme ça tu te fais réprimander par ta responsable d’équipe ? »
« Mais, Maître, c’est vous qui …. »
« Tais-toi ! Et tu cherches des excuses en plus ?! »
Elle semble désorientée par mes propos « Mais … » Je frappe du plat de ma main mon bureau en me penchant vers elle, d’un air menaçant. « Tu vas apprendre à te taire, oui ! » Cette fois elle ravale ses paroles et ses yeux se mettent à briller devant la fureur de mon ton de voix et l’injustice qu’elle subit.
« Est-ce que ça te fait mal ? » je désigne sa poitrine
« Oh, oui, Maître ! »
« Tu veux qu’on mette fin à cela ? »
« Oui, Maître ! »
« Mauvaise réponse ! » Elle me regarde à nouveau sans comprendre. « La bonne réponse aurait été : si vous le désirez, Maître ! Répète ! »
« Si…si vous le désirez, Maître ! » A son ton je perçois de la désapprobation dans sa voix, et un début de révolte. Poussons un peu plus loin.
« J’ai décidé de mettre fin à cette épreuve, mais en te faisant découvrir autre chose. » Je me penche vers un objet dissimulé sous mon bureau, branché au secteur par un fil électrique, et je le pose sur mon bureau. « Sais-tu ce que c’est ? »
Son étonnement est total : visiblement elle n’a jamais vu ce genre d’instrument « Non, Maître »
L’objet est un demi-cylindre en plastique mou dont la base est élargie, ce qui permet une meilleure stabilité, d’environ 40-50 centimètres de longueur sur 20-25 centimètres de largeur et 10 centimètres de hauteur. Au milieu de la longueur un trou permet de fixer un autre objet. Lorsqu’elle découvre quel est l’objet que je compte fixer, elle se relève et a un mouvement de recul : je viens de sortir d’un tiroir un phallus en caoutchouc dur d’environ 25 centimètres et de 3-4 centimètres de diamètre, et je l’ai vissé sur le trou prévu à cet effet.
« Que… que ….comptez-vous faire avec ça ? » Elle en a oublié le « Maître » tellement elle est horrifiée à la vue de l’instrument monté et prêt à fonctionner.
« Pour te récompenser d’avoir enduré la souffrance sur le haut de ton corps, j’ai décidé que le bas de ton corps connaîtrait un peu de plaisir. » Je me lève et prend le mini cheval d’arçon avec moi pour le poser sur la chaise qu’elle vient de quitter « Tu vas enlever ta culotte et t’asseoir sur ce gode vibrant, et ça te fera oublier toutes tes peines de la journée »
« NON ! » Elle est elle-même surprise de la violence de sa réaction. Pourtant elle recule encore d’un pas en continuant « Il n’en est pas question ! Ca suffit ! C’est n’importe quoi ! Ca n’a rien à voir avec un quelconque entraînement professionnel ! Vous essayez seulement de …. »
Je la coupe en haussant la voix à sa hauteur « Stop ! Arrête ça de suite et calme-toi »
« Non, je vais sortir d’ici et je ne veux plus que …. »
« Que quoi ? Avant de prendre une décision qui modifiera certainement le cours de ta vie, je voudrais que tu regarde ça » Ce faisant je tourne mon ordinateur portable que j’avais préparé dans cette éventualité et je lui montre les images qui défilent en plein écran
Elle stoppe net son débit oral et semble choquée par ce qu’elle voit. C’est à dire elle le chemisier largement ouvert, la poitrine nue, puis ses seins ornés des pinces, puis avec les poids ajoutés, les mamelles pendantes sous la force de la pesanteur. Sur un cliché ou deux on voit largement son visage, et on constate que ses mains sont le long de son corps, non restreintes. Elle comprend vite où je veux en venir.
« Tu vois un peu ces photos tomber en de mauvaises mains, passer sur le Net et atterrir sur les ordinateurs de tes collègues de travail ou pire, de ton mari ? Peut-être même de tes enfants ou de ta famille. Comment te percevrait-on alors ? Comme quelqu’un d’ambitieux qui veut réussir à tout prix ou comme ….je ne préfère pas nommer ce qu’ils penseraient. Ils ne comprendraient pas que ça fait partie d’un entraînement, n’est-ce pas ? »
« Je leur dirai que vous m’avez forcé ! Je porterai plainte contre vous ! » Elle laisse éclater sa rage
« Contre moi ? Tss Tss ! Et où suis-je sur les photos ? On n’est même pas dans mon bureau ! Je dirai que tu étais très ambitieuse et prête à tout pour grimper dans la hiérarchie, que tu m’as fait des avances que j’ai refusées et que c’est pour cela que tu me dénonces de manière calomnieuse. Et avec ces images, qui croira-t-on d’après toi ? Mmhhh ? »
Elle se tait durant de longues secondes, le temps pour elle d’assimiler la situation. Je retiens mon souffle car nous venons de passer un premier tournant important et la suite va se jouer maintenant.
« Je ne te veux pas de mal, au contraire » j’adopte un ton doucereux maintenant, pour la rassurer et lui faire prendre le bon choix « c’est normal que tu ne comprennes pas tout, mais dis-toi que je fais ça pour toi, pour que tu puisses t’assurer une meilleure carrière. Et donc un meilleur salaire. Que tu emploieras pour faire plaisir à ton mari et à tes enfants, et leur permettre un bon avenir. » Le dernier argument semble avoir fait mouche, car je la vois revenir lentement, la tête baissée.
« Vous m’assurez que vous n’allez pas profiter de la situation ? » Demande-t-elle d’une voix mal assurée
« Bien sûr que non ! C’est uniquement pour te faire comprendre une notion importante »
« Laquelle ? » Renchérit-elle
« Je ne peux pas te le dire maintenant. Bon, avons-nous un accord et vas-tu faire ce que je te demande maintenant, ou …. ? »
« ……Oui….Maître » reprend-elle, vaincue.
Si je pouvais sauter en l’air de joie à cet instant, je le ferais. Mais il faut que je continue de rester impassible et que je me maîtrise. « Vas-y, enlève le bas » Elle hésite encore quelques secondes puis, toujours tête baissée, elle relève un peu sa jupe et passe ses mains par-dessous, pour enlever sa culotte en ne laissant voir que le minimum. Je souris intérieurement devant cette pudeur mal placée mais ne réagit pas. Ne la brusquons pas.
« Bien. Tu vois, ce n’est pas compliqué » dis-je pour la rassurer, tout en la prenant par les épaules et la dirigeant lentement vers la chaise. « Attends un instant, j’ai oublié quelque chose… » Elle me regarde étonnée retourner à mon bureau et prendre un petit flacon dans mon bureau. Puis je reviens vers la chaise et l’objet qui est posé dessus.
« Je ne voudrais pas que tu t’irrites les muqueuses en t’introduisant ce gode, c’est pourquoi il faut qu’il soit bien lubrifié » elle rougit très fort en imaginant la suite des événements mais ne dit rien, pendant que je verse de l’huile d’amande douce sur l’ensemble du phallus en caoutchouc.
« Tu peux t’installer maintenant, c’est prêt ! » je me suis essuyé les mains avec un mouchoir en papier et je la positionne devant la chaise. Problème pour elle : elle va devoir écarter les jambes suffisamment pour chevaucher l’engin et la chaise, et sa jupe est trop serrée. Elle s’en rend bien compte, et moi aussi. « Peut-être faudrait-il enlever ta jupe, sinon tu vas devoir la relever très haut et elle risque de se salir avec le lubrifiant…. ? »
Elle comprend que sa pudeur de tout à l’heure était inutile et qu’elle va devoir se dénuder devant moi malgré tout. Elle hésite encore. « Allons, si tu veux je me tourne pendant que tu la défais. Tu peux la poser sur la table, elle ne sera pas abîmée » Je lui tourne alors le dos, en souriant largement. J’entends le bruit d’une fermeture éclair qui s’ouvre, puis le froissement de l’étoffe sur le nylon de ses bas. Deux pas feutrés, elle doit poser la jupe sur la table, puis je l’entends revenir et probablement se demander comment enjamber l’engin. « Assied-toi dessus, tout simplement. Quant au gode, hé bien….tu sais où il faut l’introduire. Si tu as besoin de t’humecter, n’hésite pas ! » Je souris encore largement en disant cela, et prenant bien soin de rester de dos à la fois pour ne pas l’effaroucher mais aussi pour qu’elle ne me voit pas sourire trop largement. Néanmoins je surveille sa forme en regardant une partie de son reflet dans la vitre latérale de mon bureau, au cas où elle reculerait au dernier moment. Je la vois soulever sa jambe droite pour se caler au-dessus du cheval d’arçon, puis attraper le phallus de sa main droite pendant que sa main gauche se faufile entre ses cuisses. Elle doit certainement être en train d’écarter ses grandes lèvres, mais je ne le distingue pas bien. Puis, peu à peu, elle s’assied et s’engouffre le sexe en caoutchouc, centimètre par centimètre. Malgré la lubrification abondante que j’ai déposé, je l’entends gémir un peu, elle devait être sèche. A un moment elle semble faire une pause, le temps de reprendre son souffle. « Pour que ce soit efficace, il faut que tu sois complètement assise dessus » Traduction : que le braquemart soit bien au fond de ton vagin. Elle ne répond pas mais continue sa lente progression. A un moment, j’entends un « Aahh ! » et je me dis que c’est le signal m’indiquant qu’elle est prête. Je me retourne alors et je la vois, assise les jambes écartées mais seulement à un angle de 60°, probablement pour me montrer le moins possible son sexe. Effectivement je ne vois que le triangle de vénus mais j’arrive quand même à savourer sa position, empalée sur un sexe factice, devant moi, dans mon bureau.
Je n’attends pas pour appuyer sur l’interrupteur et mettre en route l’appareil. Un « brrrrrrrr » se fait entendre et en même temps Gaëlle ne peut s’empêcher de pousser un « Aaahhh ! » d’étonnement. Le centre du cheval d’arçon s’était mis à vibrer en même temps que le phallus dans son ventre, qui s’animait d’une vie propre. Gaëlle n’était visiblement pas une adepte de ce genre de gadget, et découvrait des sensations nouvelles. Ses yeux étaient écarquillés et elle se penche sur son bas-ventre pour se rendre compte exactement de ce qui lui arrivait. Elle reprend ses esprits et commence à se lever pour se dégager. Je m’y attendais et j’avance rapidement pour appuyer sur ses épaules et la maintenir en place « Oh non, pas de ça ! Tu y es, tu y restes ! Tu ne vas quand même pas abandonner maintenant, alors que tu commences à peine à en profiter ? ». Elle tente de résister et de se soulever en s’appuyant sur ses mains posées à l’avant de la chaise, et réussit à dégager son sexe. Je décide alors de passer au plan « B ». Je lâche ses épaules et le plus rapidement possible sort les menottes que j’avais cachées dans ma poche droite. Avant qu’elle ne réalise, je crochète son poignet droit puis ramène violemment son bras dans son dos. Elle est obligée de se pencher en avant et du même coup se retrouve assise à nouveau sur l’engin vibrant, sans pour autant s’empaler à nouveau, mais mettant ainsi l’entrée de son vagin en contact avec le phallus. Ca la déconcentre suffisamment pour que je passe derrière elle et ramène son bras gauche à son tour dans son dos et réussisse, en employant toute ma force car elle résiste et tente de se dégager, à lui passer la deuxième menotte au poignet. Ouf ! J’ai réussi ! Je n’ai plus qu’à continuer d’appuyer sur ses épaules pour qu’elle profite pleinement des vibrations du godemiché qui vient à présent directement masser son clitoris au travers de ses lèvres bien ouvertes et commençant à suinter. Je le vois précisément maintenant car, sans s’en rendre compte, elle a plus largement ouvert ses cuisses et j’ai remonté plus haut sa jupe avec mon genou. « Lâchez moi, Mhhh, oohh, lâchez-moi tout de suite » elle essaie encore de résister mais un peu plus mollement à présent. Néanmoins elle crie presque à présent et il va falloir que je m’assure que cela n’attire pas un membre du personnel de nettoyage, même si mon bureau est fermé. C’est pourquoi je sors le baillon-boule que j’avais mis dans ma poche gauche et profite qu’elle ait la bouche ouverte pour le placer entre ses lèvres et l’accrocher rapidement derrière son crâne. Elle me regarde et fronce les sourcils pour montrer sa désapprobation, et tente de se relever à nouveau « mmmmhhh nnnnnn mppffffff ! ». « Oui, je sais, ce n’est pas agréable, mais c’est toi qui m’a forcé à le faire ! Tu allais attirer les vigiles de nuit à ce rythme là ! Maintenant je vais pouvoir entièrement me consacrer à ta leçon. » Ce faisant je continue de la maintenir assise de force.
Au bout de quelques minutes de ce régime, je sens sa résistance faiblir, puis peu à peu son bassin onduler légèrement et sa tête se pencher en arrière. Je soulève sa jupe complètement pour vérifier ce que je devine déjà : son sexe est largement ouvert et ses grandes lèvres gonflées de plaisir. Il enveloppe la hampe du godemiché et fait de petits aller et retour. Son clitoris doit être bien écrasé et malaxé par ces allées et venues. Elle est en train de se branler comme une chienne, la petite salope ! Et je peux constater que les produits de son plaisir se déposent peu à peu sur le manche de caoutchouc, qui se recouvre peu à peu d’une mouille luisante qui le lubrifient encore davantage. Je crois qu’il est possible à présent de revenir à la leçon initiale. Je lâche ses épaules, et vérifie qu’elle n’essaie plus de se dégager. Elle semble trop occupée à chercher à atteindre son plaisir, et malgré ses mains menottées dans son dos et ses mâchoires écartelées et bâillonnées, elle se frotte maintenant sans retenue.
Je profite de son inattention pour ouvrir largement son tailleur, puis déboutonner entièrement son chemisier et écarter les deux pans pour découvrir complètement sa poitrine. Au bout des pinces, les deux poids s’entrechoquent et cliquètent furieusement, ses seins douloureusement attirés vers le bas. Mais elle ne s’en rend pas compte, tout occupée à chercher son plaisir. Je m’écarte un peu et appuie sur la télécommande du caméscope que j’ai caché sur l’étagère de mon bureau pour enclencher un film qui sera un must dans mes archives. Je reviens vers elle en prenant soin de ne pas cacher la prise de vue. Je m’agenouille à côté de son bassin, qui ondule en petits mouvements réguliers et constate que son sexe ressemble à présent à un fruit mûr exotique qui dégage une odeur caractéristique de plaisir. Le phallus est penché en avant et ses lèvres l’entourent comme une ventouse. Elle est entièrement accaparée par ce qui se passe dans son bas-ventre, et ne se rend même pas compte que je la regarde de si près que je peux constater tous les détails de son sexe, ses fins poils pubiens aussi blonds qu’on les dirait presque transparents, ses grandes lèvres et ses petites lèvres finement dessinées et vibrant à la cadence du godemiché, ses cuisses tendues, ses jambes largement écartées pour lui permettre un meilleur accès. Je me relève à moitié, toujours sur son côté, et passe mon bras droit autour de sa taille pour la soulever un peu. Maintenant elle résiste dans l’autre sens, grognant à travers son bâillon de quitter le contact qui lui procure ces sensations. Avec ma main gauche je prends le phallus factice en main et le guide vers l’entrée de son vagin, puis je la fais se rasseoir. Un grand « Mmmmmmpppppffffhhhhh » me signale que le gode a bien pénétré sa proie. Je lâches mes prises et la maintiens encore un peu par les épaules pour m’assurer qu’elle ne cherchera pas à se relever mais cette fois je n’ai pas de résistance dans ce sens. Gaëlle roule des yeux et de la tête, empalée qu’elle est sur son phallus vibrant, et semble découvrir des plaisirs insoupçonnés.
Je me place derrière elle et garde mes mains sur ses épaules, et approche mon visage de son oreille et lui susurre « Alors, je n’avais pas raison d’insister ? Tu n’as jamais connu ça, n’est-ce pas ? »
Elle ondule du bassin pour frotter son clitoris pendant que son vagin est empli du sexe et que ses parois intimes vibrent à l’unisson de la machine.
« Prends conscience de ton corps, ressent pleinement le plaisir dans ton ventre pendant que la douleur continue de se diffuser dans ta poitrine » pour souligner mes propos, je prends en main ses seins l’un après l’autre pour les soulever et les malaxer puis les laisse retomber. La douleur se ravive d’autant et elle laisse échapper un cri masqué par le bâillon.
« Tu sens bien à présent le mélange de plaisir et de douleur. Tu vas bientôt comprendre que les deux sont intimement liés, et que tu peux en tirer un énorme plaisir »
Je scrute les signes annonciateurs de l’atteinte de l’orgasme, sa respiration qui accélère, sa peau qui se couvre d’une fine pellicule de transpiration, ses va et vient (elle essaie de donner des petits coups de butoir avec son bassin pour s’emplir complètement et frotter encore davantage son clitoris sur le phallus), son sexe largement ouvert et abondamment mouillé qui laisse échapper ses sucs jusque sur les côtés du cheval d’arçon, sa tête qui se balance d’avant en arrière…..
Lorsque j’estime que le moment est venu je retire les pinces de ses tétons. Elle ne réagit pas tout de suite et continue d’onduler. Au bout de peut-être deux secondes (j’ai du mal à estimer le temps, concentré que je suis sur ses réactions) le sang ayant afflué brusquement dans ses terminaisons nerveuses, elle s’arc-boute et ouvre des yeux exorbités par la douleur. Je la maintiens de force par ses épaules sur son pieu et appuie de toutes mes forces. Et il se passe ce que j’espérais : le mélange de l’explosion de douleur dans sa poitrine et du plaisir dans son sexe la fait expérimenter un orgasme incroyable, comme elle n’en a probablement jamais eu. Elle hurle dans son bâillon et son corps est parcouru de soubresauts, comme si des fils électriques avaient été en contact avec elle. Je suis obligé de peser de tout mon poids pour qu’elle reste empalée et qu’elle ne se blesse pas. Durant plus de 20 secondes (une minute ?) elle s’agite ainsi en mouvement incontrôlés, comme une poupée folle qui aurait échappé à tout contrôle. Puis, finalement, elle s’affaisse en avant, et je sens son corps devenir mou sous mes mains. Je la relâche alors précautionneusement, appuie sur l’interrupteur du cheval d’arçon et revient vers elle pour ouvrir ses menottes et la libérer. Elle ne tente pas de se lever, et reste en place, le buste en avant, reposant à présent qu’elles sont libres sur ses mains posées sur le rebord de l’engin. Je la délivre également de son bâillon boule et, après avoir photographié mentalement la scène (elle le buste dénudé largement, la poitrine et les tétons comme deux mines de crayon arrondies, la respiration haletante, la jupe relevée autour de sa taille, toujours empalée et le sexe largement ouvert, mouillée jusqu’en haut des cuisses par ses sécrétions, les jambes se resserrant lentement pour former un compas plus étroit que précédemment) je reviens au fauteuil derrière mon bureau.
Je la tire de sa rêverie au bout d’un court instant « Alors, n’avais-je pas raison d’insister ? »
Elle ne répond pas et reste hagarde, le regard dans le vague.
« Ton corps viens d’expérimenter pour la première fois la notion d’être à la fois un objet de souffrance et de plaisir, et d’après ce que j’ai pu comprendre, il a aimé, n’est-ce pas ? »
« N’EST-CE PAS ? » je répète plus fort
Elle sort brusquement de sa torpeur et semble étonnée de se trouver à cet endroit dans cette position, puis regagne ses esprits. « oui…. » souffle-t-elle d’une voix faible
« OUI, QUI ? »
« oui…. Maître ! » répète-t-elle d’une voix à peine plus assurée. Elle est en quasi-état de choc et a du mal à retrouver son état normal. Je la laisse récupérer à son rythme, et me délecte toujours du spectacle de cette jeune femme dans cette position dans mon bureau. J’ai failli exploser dans mon pantalon, et je suis toujours dur comme du bois, mais je dois encore tenir un peu. Après plusieurs minutes, elle se rend compte finalement de sa position et de son état vestimentaire, et commence curieusement par caresser doucement les pointes de ses seins, s’assurant ainsi de leur sensibilité, puis referme les pans de son chemisier et le reboutonne. C’est seulement une fois fait qu’elle se lève lentement et s’extrait comme à regret du pieu de caoutchouc dans lequel elle était enfichée, laissant sur lui une pellicule humide en souvenir de sa jouissance. Elle cherche sa culotte, qu’elle trouve au pied de la chaise, la forçant à s’agenouiller pour la récupérer, et la remet.
Je sors d’un tiroir son soutien-gorge que je lui tends « Tu n’aurais pas oublié quelque chose ? »
Elle rougit encore un peu et tend le bras par-dessus mon bureau. J’en profite pour lui attraper l’avant-bras et la regarder dans les yeux « Alors, est-ce que j’ai profité de la situation pour abuser de toi ou te toucher ? »
Elle ne soutient pas mon regard et détourne les yeux « Non, Maître….mais…. » souffle-t-elle d’une voix rendue rauque par ses cris étouffés.
« Mais quoi ? Est-ce que j’ai abusé de toi ? Est-ce que j’ai touché tes parties intimes ? Alors même que tu prenais du plaisir et que tu jouissais devant moi dans mon bureau ? Réponds ! » Je finis ma phrase en haussant le ton
« …Non, Maître ! Vous ne l’avez pas fait, mais vous m’avez forcé à …m’asseoir sur cette …chose et à jouir de force devant vous ! C’était très humiliant et …. »
« Ah ah ah ah ! » Elle est surprise lorsque j’éclate de rire « Je t’ai forcé à jouir ? JOUIR DE FORCE ? Tu te fiches de moi ou quoi ? Je t’ai aidé à lever tes inhibitions et à découvrir ta vraie nature, OUI, mais forcé à jouir certainement pas ! Crois-tu que tu aurais ressenti ce que tu as ressenti si tu n’avais pas été consentante ? Est-ce que tu as déjà eu un tel orgasme avec ton mari ou un autre homme ? REPONDS FRANCHEMENT ! »
« Nn…non, Maître, jamais ! »
« Tu viens de découvrir la jouissance intense qu’on peut ressentir lorsqu’on mêle intimement souffrance et plaisir. Et ta nature profonde, secrète, intime, est un terrain propice à cette symbiose. Tu ne le savais pas, tu viens de le découvrir. Et c’est normal que tu n’acceptes pas encore totalement cette idée, et cette partie de ton esprit que tu ne connaissais pas. Mon travail est de te la dévoiler, et que tu l’acceptes. Car lorsque ce sera fait, tu seras parfaitement maître de toi et de ton corps, et tu seras apte à plus de responsabilités. »
Elle ne répond rien mais je vois qu’elle essaie de comprendre ce que je viens de lui expliquer.
« Je crois que tu peux rentrer chez toi à présent et profiter du week-end pour te remettre de tes émotions, mais aussi pour réfléchir à ce que tu as vécu ce soir. Lundi matin, je te veux dans mon bureau pour un débriefing, avec les idées claires. Allez, bonne soirée ! » Je la congédie en levant la main. Elle sort d’un pas mal assuré, se heurte à un meuble bas avant de chercher fébrilement la poignée de la porte et réussit enfin à l’ouvrir après avoir tourné deux fois dans le mauvais sens. Amusé, je la vois regagner son poste de travail, récupérer son sac et les quelques affaires encore sur son plan de travail, enfiler son manteau et passer devant mon bureau en jetant un regard en coin. Une fois qu’elle a disparue, je me retourne vers l’étagère où mon caméscope était caché et j’arrête l’enregistrement. J’aurai du montage à faire mais le film risque d’être passionnant, y compris la bande son ! J’ai un week-end devant moi pour le faire et préparer la semaine prochaine ….
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