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Chapitre 6

SM / Fétichisme
Jour 14
Après un week-end bien rempli à réaliser un superbe montage grâce à l’enregistrement de Gaëlle dans ses exploits de vendredi, je la vois arriver ce lundi et je ne peux m’empêcher de sourire en montrant les dents, tel un carnassier devant sa proie. Elle passe devant mon bureau en me saluant d’un bref geste de la tête et avec un bonjour prononcé timidement, et après avoir saluée également ses collègues immédiats, s’installe à son poste de travail. Je constate qu’elle ne pose pas le téléphone que je lui ai confié sur son plan de travail. Je le note mentalement et décide de laisser commencer la matinée de travail normalement, d’autant que j’ai une réunion que je dois préparer pour 11h00.
A 9h30, je demande à Karine de m’envoyer 3 conseillers successivement dans mon bureau, afin de réaliser un sondage (prétendument) sur des cas clients particuliers. Bien entendu la 3ème collaboratrice de la liste est Gaëlle. Lorsqu’elle se présente, à 10h15, à la porte de mon bureau, elle affiche une mine des mauvais jours, et un air quelque peu renfrogné.
« Entre et ferme la porte »
Elle s’exécute et se tient devant mon bureau. A nouveau je constate un air de défi, elle a les bras croisés sur sa poitrine et les jambes serrées. Et par-dessus tout elle n’est pas habillée selon nos conventions car, si elle arbore bien une veste de tailleur avec un chemisier prune, elle est en pantalon ! Je décide de ne pas laisser paraître de suite mon courroux ; je fais même semblant de ne rien avoir remarqué et prend une voix professionnelle :
« As-tu passé un bon week-end ? »
Ma demande n’est visiblement pas celle qu’elle attendait, et je la sens un peu désarçonnée
« ….O..Oui, Monsieur » Deuxième tentative de défiance, Monsieur au lieu de Maître ; je note toujours mentalement
« As-tu réfléchi à ce que tu as vécu vendredi, et de manière plus générale la semaine dernière ? » Ton un peu moins professionnel et un peu plus suave
Elle baisse la tête et n’ose pas me regarder dans les yeux « Je…je voudrais…je veux ….arrêter »
« Arrêter quoi ? » je lui demande d’un air candide
« Vous savez très bien de quoi je veux parler….je ne veux plus être votre objet….ça va trop loin ! » sa voix s’étrangle un peu en prononçant les dernières paroles et je sens sans les voir des larmes qui lui montent aux yeux
« Donc tu ne veux plus évoluer dans ta situation professionnelle ? Tu es satisfaite de ton poste et de ton salaire ? Tu ne veux plus passer cadre avant la fin de l’année ? » J’agite le grelot de la tentation comme à un enfant dans un manège

« N….non, ce n’est pas ça …mais …pas comme ça ! » dit-elle d’une voix plaintive
« Pas comme quoi ? » Je réponds de manière un peu ferme, en reprenant un peu d’ascendant au fur et à mesure qu’elle se laisse aller à geindre
« Vous savez très bien de quoi je veux parler…de ce que vous m’avez fait subir ! Je n’ose plus regarder mon mari de peur qu’il ne devine ce que j’ai fait, ce qui m’est arrivé … »
Je la tiens, elle en a trop dit, ou du moins exactement ce que je voulais entendre.
« Que regrettes-tu exactement ? D’avoir découvert que tu pouvais jouir de ton corps d’une manière que tu ne connaissais pas ? Qu’est-ce qui te dérange exactement ? De t’être laissée aller devant moi ? Ou d’avoir constaté que tu aimais ce mélange de souffrance et de plaisir ? Ou peut-être un peu de tout ça ? Et tu voudrais arrêter maintenant, alors que tu n’en es qu’au début ? Décidément, il va falloir que je t’aide contre ton gré ! »
Elle relève la tête et me regarde, les yeux embués, d’un air d’incompréhension
« Hé oui ! Tu ne crois tout de même pas que tu en es arrivée là pour laisser tomber maintenant, non ?! C’est normal que tu exprimes des doutes à ce moment de notre relation, de ton apprentissage » lui dis-je pour la rassurer. Je reprends de manière beaucoup plus abrupte et sèche « en revanche, ce qui est intolérable est que tu aies oublié les règles de base, que ce soit en tenue vestimentaire ou en posture physique ! Ou te croies-tu !! »
« Arrêtez ! » geint-elle « Ca suffit, je ne vous obéis plus au doigt et à l’œil ! » Elle tente de se rebeller mais sa voix est trop plaintive
« Petite sotte ! Tu crois que tu vas t’en tirer comme ça maintenant ! Mais c’est trop tard ! Trop tard depuis le moment où tu as commencé ! Tu dois aller jusqu’au bout et finir ton apprentissage. Et si je dois employer la manière forte pour t’y contraindre, je le ferai, car c’est mon devoir ! »
« Vous ne pouvez pas me forcer à obéir ! Je dirai que vos photos ont été trafiquées, et que ce n’est pas moi. Je porterai plainte contre vous et vous irez en prison ! » tente-t-elle à nouveau
« Tu n’as donc rien appris ces derniers jours ? Tu n’as donc toujours pas compris que rien ne me relie à toi ! Et que si ces photos se retrouvaient sur le Net et dans ta famille, on ne remonterait pas jusqu’à moi ! Et que ce sera ta parole contre la mienne ! Mais j’ai beaucoup mieux, regarde ! »
Sur ce, je tourne mon écran d’ordinateur et je clique sur le bouton lecture. Ses yeux horrifiés la voient à l’écran, le buste dénudé, en train de chevaucher le cheval d’arçon, son con se frotter frénétiquement au gode de caoutchouc, ses lèvres distendues par le bâillon-boule ; puis elle se voit s’empaler et son sexe s’emplir, ses yeux se fermer et son visage exprimer la montée de son plaisir. Son buste est dénudé, ses seins sont douloureusement tirés vers le bas par les poids qui s’entrechoquent. Enfin, après une brève coupure, ses yeux sont exorbités et son visage exprime un plaisir intense pendant plusieurs longues secondes, ses tétons tuméfiés débarrassés des pinces et des poids. Elle est accablée par le spectacle qu’elle a offert, celui d’une jeune femme qui a connu un plaisir intense, comme certainement elle n’avait jamais connu, pas même avec son mari.
Je ne la laisse pas reprendre ses esprits « Comprends-tu maintenant que tu as dépassé le point de non-retour ? Que tu as aimé ce qui t’est arrivé, même si tu ne comprends pas encore pourquoi, et que tu dois continuer ? Imagines-tu ne plus jamais connaître ce plaisir ? Retourner à ta petite vie banale, tant professionnelle que personnelle ? »
« Je…. je ….c’est …. » balbutie-t-elle
« Oui, je sais, ça heurte peut-être les principes dans lesquels tu as été éduquée, ta morale judéo-chrétienne, etc … Ce n’est pas ce que tu dois écouter actuellement, mais plutôt ton ambition d’aller plus haut, plus vite, et …ton corps »
« Mais ce n’est pas bien ! »
« Qu’est-ce qui n’est pas bien ? Le fait de vouloir assurer un meilleur avenir à sa famille ? De vouloir connaître son corps et de ne pas avoir honte de s’en servir pour découvrir de nouveaux plaisirs ? De vouloir PROTEGER sa famille ? »
« Que…protéger ? »
« Mais oui, tu imagines si cette vidéo tombait entre leurs mains, si elle était diffusée sur le Net, le dégât que ça pourrait faire, ta vie en serait sans doute brisée, et plus jamais tu ne reverrais tes enfants et ton mari. Les photos encore, tu pourrais dire qu’elle étaient trafiquées, mais la vidéo, c’est beaucoup plus difficile, n’est-ce pas ? Et puis il se rendrait compte que lui ne t’a jamais fait jouir avec une telle intensité, il ne le supporterait sans doute pas ! »
Elle a la tête complètement baissée à présent, et pleure à chaudes larmes, en comprenant qu’elle est piégée et qu’elle ne peut plus refuser de continuer.
« Vous …avez gagné, c’est bon, ne dites rien à mon mari ! Je ferai…tout ce que vous voudrez ! » laisse-t-elle échapper malgré elle.
« Dis-toi que tout ce que je fais, je le fais pour ton bien, même si c’est dans un premier temps contre ton gré ! »
Elle ne répond pas et les larmes coulent le long de ses joues jusque sur la moquette de mon bureau. Je la laisse s’épancher durant une bonne minute puis je reprends la parole, d’un ton plus vif « Bon, ce n’est pas tout ça, mais j’ai une réunion dans une vingtaine de minutes. Je te donne 5 minutes pour te sécher le visage et effacer les traces de pleur. Au moment de ta pause déjeuner, tu te rendras directement dans la pièce informatique et tu m’y attendras, dans le noir. Comme tu n’as pas la tenue réglementaire, tu te déshabilleras entièrement –oui, j’ai dit entièrement !- et tu te mettras contre le mur où il a les crochets, face contre la paroi. Tu as intérêt à m’obéir cette fois, ou sinon … » je finis en grondant et elle relève la tête pour me montrer malgré elle un visage apeuré. « Alors, que réponds-tu ? » Je lui aboie dessus à présent
« …O…oui, Maître ! » Je suis satisfait de constater qu’elle n’a pas tout oublié
Elle se sèche le visage avec un kleenex que je lui tends et je la laisse sortir après avoir vérifié que ses yeux avaient un peu dégonflé, et qu’on ne voyait pas trop qu’elle avait pleuré.
A 11h je me rends à ma réunion, et je dois déployer des efforts importants afin de me concentrer sur le sujet traité, et pas sur ce qui attend Gaëlle dans quelques minutes. A une ou deux reprises je me rends compte que j’ai décroché et je dois mobiliser tous mes esprits pour oublier les fantasmes qui vont bientôt se concrétiser. A une heure moins le quart, je n’en peux plus et je suis à deux doigts de pousser un soupir de soulagement lorsque le directeur met fin à la réunion. Il me propose de me joindre à lui et à d’autres collaborateurs pour déjeuner, mais je prétexte un travail urgent à réaliser pour m’éclipser. Et en plus je vais me faire bien voir par mon patron qui pensera que je saute des repas par conscience professionnelle.
Je me rends directement dans la petite salle et tourne la clé dans la serrure après avoir vérifié que personne n’était dans les parages. La pièce est sombre lorsque j’y pénètre, mais je distingue une forme nue debout près du mur. Je referme la porte à clef à l’intérieur, sans allumer et je farfouille dans ma sacoche. La pièce est à peine éclairée par les diodes des serveurs, et au fur et à mesure que mes yeux s’habituent, je peux mieux voir le corps de dos.
« C…c’est vous, Maître ? » souffle-t-elle, de la crainte dans la voix
« Oui » Je n’en dis pas plus pour entretenir son malaise. Je me délecte de ses formes épanouies de jeune femme qui, tout en étant mince, possède des hanches et des fesses. Elle est pieds nus et j’admire le galbe de ses mollets, sa croupe rebondie, ses cheveux qui tombent en cascade sur ses épaules. Ses mains sont placées devant son sexe, comme pour le protéger et se bras tombent devant sa poitrine. Je m’approche d’elle avec des objets métalliques qu’elle ne peut voir et reste quelques secondes très près d’elle, jusqu’à ce qu’elle puisse sentir mon souffle dans son cou. Elle tente de tourner sa tête vers moi
« Face au mur ! » Je lui souffle rageusement
Elle tourne aussitôt la tête à nouveau en direction de la cloison. Je prends son poignet droit, elle se laisse faire, et lui passe le bracelet métallique des menottes. Puis, avant qu’elle n’ait le temps de réagir, je lui passe la menotte gauche à son poignet gauche.
« Que … »
« Tais-toi et laisse-toi faire ! » je siffle entre mes dents. Je tire la chaîne des menottes vers le haut, entraînant malgré elle ses bras, et la passe par dessus un des crochets. Elle a du se hisser sur la pointe des pieds pour pouvoir suivre le mouvement, et se trouve à présent pendue par les bras à un crochet métallique fixé au mur.
Se sentant complètement vulnérable dans cette situation, elle ne peut s’empêcher de geindre « Mais que faites-vous ? Non, arrêtez ! » Je prends dans ma sacoche le bâillon-boule et lui pince le nez afin qu’elle entrouvre ses lèvres délicates. Je lui fourre dans la bouche le bâillon de force et l’attache derrière son crâne en le serrant correctement.
« Tu ne m’embêteras plus avec tes plaintes incessantes, ah mais ! Quand comprendras-tu que tu ne dois en aucun cas discuter mes ordres ?! »
Tout en la sermonnant je me suis dirigé vers le fond de la pièce. Je soulève une des dalles du faux plafond et en retire une tige métallique d’un mètre cinquante environ, terminée des deux côtés par des lanières. Je me penche entre les jambes de Gaëlle pour fixer la première lanière à sa cheville gauche, puis la deuxième à son autre cheville. Elle est désormais suspendue par les bras, bâillonnée et les jambes largement écartées ! Je regrette seulement qu’il y ait si peu de lumière dans la pièce, mais c’était volontaire, car je me suis dit qu’elle trouverait sans doute plus facilement le courage de se déshabiller entièrement si elle était dans le noir. Et par ailleurs ça donnera un aspect plus « médiéval » à la scène qui allait suivre.
Je me relève et m’écarte un peu d’elle pour admirer mon œuvre : La voir nue, attachée et sans défense, les jambes écartées, me donne une trique d’enfer ! Malheureusement elle me tourne le dos, je ne peux donc pas admirer comme je le voudrais ses beaux seins ; je ne m’en occuperai de toute manière pas aujourd’hui, alors laissons-les tranquille pour l’instant !
« Tu ne croyais pas t’en tirer à si bon compte, n’est-ce pas ? » Lui dis-je d’une voix sourde. « Tu m’as désobéi, tu as transgressé plusieurs règles, dont ta tenue vestimentaire et la manière de s’adresser à moi, tu m’as manqué de respect et, plus que tout, tu ne m’as pas fait confiance ! Tout ça mérite une punition, une de celles dont tu te souviendras ! »
Je m’approche d’elle et je commence à explorer son corps avec mes mains, tout d’abord de manière douce, je caresse ses flancs, ses omoplates, son cou, sa gorge, je passe sur ses épaules, ses aisselles, ses hanches, son ventre. Je remonte vers sa poitrine, que je ne peux m’empêcher de prendre, un sein dans chaque main, et de malaxer un peu avant de les abandonner à regret. Je me dirige vers son ventre à nouveau, ma main droite caresse sa fine toison et descend vers son entrejambe, elle ne fait qu’effleurer ses grandes lèvres pour caresser l’intérieur de ses cuisses et aller jusqu’à l’intérieur de ses genoux. Elle tremble à présent, elle a la chair de poule, et je ne sais pas si c’est seulement du à la température de la pièce ou au traitement que je lui fais subir et qui n’a pas l’air de lui déplaire. En effet sa respiration s’accélère un peu et elle étouffe un gémissement derrière son bâillon. Je continue mon traitement encore une minute puis, au moment de caresser ses seins, je m’empare de ses tétons. Je commence à faire rouler les pointes entre mes doigts, les titille avec l’ongle et joue avec quelques secondes. Elle réagit involontairement et je sens ses pointes durcir. A ce moment, j’accentue peu à peu la pression, de plus en plus fort jusqu’à les pincer très fortement. Je suis récompensé par un cri étouffé et elle tente d’échapper à l’étau qui enserre ses deux tétons. Peine perdue, je la tiens ainsi durant une bonne trentaine de secondes. Elle tire sur sa chaîne mais le crochet est solidement fixé au mur et elle est déséquilibrée par la barre d’écartement entre ses chevilles. Brusquement je la relâche et passe derrière elle. Je sens son corps se détendre un peu. Je passe alors mon bras droit autour de sa taille pour la maintenir en place et j’abats ma main gauche sur sa fesse gauche
<Clac>
La surprise ! Elle ne s’attendait pas à ça et a failli tomber en avant, mais je la retenais fermement
<Clac> Une autre claque sonore s’abat sur sa fesse droite
<Clac> <Clac> Une sur chaque fesse à présent
J’abats ainsi ma main durant plusieurs minutes, tout en la maintenant en place et l’empêchant de se dérober. Elle se plaque au mur à présent, comme si elle cherchait à le traverser pour éviter la fessée qu’elle subit.
J’arrête et me recule, j’ai la main gauche en feu, comme si j’avais applaudi de longues minutes. Ce n’est pas la première fois qu’elle subit une fessée de ma part, mais pas dans de telles conditions ! Son postérieur doit être bien rouge également, mais je ne distingue pas assez les couleurs dans cet environnement quasi-nocturne.
Après avoir soufflé quelques secondes, je me place près d’elle à nouveau et attrape la chaîne qui relie ses menottes et la soulève pour la passer au-dessus du crochet. Sans lui laisser le temps de baisser les bras, je l’attrape par la taille et la fais pivoter. Je suis obligé de la tenir car, ayant les jambes écartées par la tige de métal et les chevilles fixées, elle perd l’équilibre et manque de tomber en avant. Je le repousse dos au mur et je profite de son déséquilibre pour repasser la chaîne des menottes par dessus le crochet. Ainsi, elle se retrouve dans la même position que précédemment, mais face à moi. Je sors de ma sacoche plusieurs élastiques et m’approche tout près d’elle. Je distingue encore mieux ses formes et notamment son visage d’où ruissellent des larmes autant d’humiliation que de douleur, sa poitrine qui se soulève et hoquète encore, son ventre plat et son sexe ouvert bien malgré elle. Que n’ai-je envie de baisser mon pantalon et de la prendre ainsi, sans défense et offerte. Mon sexe est prêt à exploser rien qu’à cette pensée. Pourtant je me réfrène et me concentre sur la punition que j’ai l’intention de lui infliger. J’avais bien pensé à lui administrer une bonne cinglée sur son dos et son postérieur, avec une baguette fine, la faisant souffrir le martyr pour le reste de la journée car elle serait obligée de s’asseoir, mais j’ai ensuite pensé que son mari et ses enfants s’en apercevraient tôt ou tard. Il fallait donc trouver un supplice qui ne laisserait que le minimum de traces.
J’attrape donc son sein gauche par sa base avec ma main droite, et l’encercle entre le pouce et l’index. J’enfile le premier élastique et le fais glisser jusqu’à la base, où il enserre bien le sein en le faisant ressortir. J’enfile un deuxième puis un troisième élastique de la même manière sur le même sein, jusqu’à ce qu’il soit comme « exorbité ». J’applique le même traitement au sein droit puis je me recule un peu pour vérifier mon travail : sa poitrine est fièrement érigée, et présentent une forme de poire inversée. Elle ne comprend pas le but de ma manœuvre mais grimace (autant qu’on puisse le faire avec un bâillon-boule !) sous la morsure des élastiques sur la chair tendre. Je reviens une nouvelle fois vers ma sacoche et en sors deux pinces. Mais contrairement à celles que j’avais utilisé précédemment, celles-ci sont des pinces-crocodiles, avec des mâchoires dentées, et elles ne sont pas protégées par du caoutchouc au bout. Je lui présente en les faisant claquer, devant son visage, et j’ai le plaisir de voir ses yeux s’agrandir de peur. Puis je place la première pince sur le téton gauche et la laisse mordre délicatement dans le petit bouton de chair. Son corps se tend et elle essaie de reculer mais elle est dos au mur et sa position en équilibre instable ne lui permet pas d’éviter les mâchoires de métal. Lorsque la deuxième pince s’accroche à son tour à son téton droit, elle sait déjà à quoi s’attendre mais me donne la satisfaction une nouvelle fois d’une longue plainte étouffée et d’un frottement de la chaîne sur le crochet pour se détacher. En vain. Je lui laisse quelques secondes pour s’habituer à ses nouveaux ornements mammaire, et pour que les ondes de douleur qui doivent irradier de la base de ses seins aient le temps de se propager. Puis je m’amuse à les tapoter du bout des doigts, l’un après l’autre, puis en même temps, autant pour vérifier qu’ils sont solidement accrochés que pour la voir se tortiller et l’entendre gémir de souffrance. La pauvre croyait la dernière fois que sa poitrine avait été cruellement punie, elle ne se doutait pas qu’elle ressentirait bien pire et que ce n’était qu’une mise en bouche. Bien entendu sa souffrance est d’autant plus amplifiée que la circulation sanguine est presque coupée par les élastiques qui maintiennent ses seins gonflés et que ses terminaisons nerveuses sont plus sensibles.
Je la laisse une bonne minute se tortiller de douleur, comme si elle pensait pouvoir faire tomber les pinces qui écrasent et mordent ses chairs. Je savoure le spectacle. Puis je retire un nouvel objet de ma sacoche une fine cravache. Je l’essaie dans le vide et elle produit un « woou » sourd. Gaëlle écarquille à nouveau les yeux en entendant le bruit et en distinguant ce qui l’avait produit, et elle essaie de s’enfoncer dans le mur derrière elle pour échapper au sort qu’elle anticipe. Peine perdue. J’approche le bout plus large de la cravache de son corps, que je caresse en commençant par son plexus, je descends le long de son ventre en décrivant des cercles puis sur sa hanche et sa jambe droite jusqu’au genou. Je remonte par le genou gauche et, lorsque j’arrive au niveau du pubis, je ne peux m’empêcher de frotter le morceau de cuir sur son sexe, j’écarte une grande lèvre, puis l’autre avec la cravache, et je tapote sa vulve avec de petits coups. Je sens son corps réagir malgré le caractère inoffensif de mon petit jeu. Je pense qu’on ne l’a jamais frappé à cet endroit, même à faible puissance, et qu’elle s’attend sans doute à ce que j’augmente le niveau d’intensité. Pour l’instant, je n’en ai pas l’intention, et j’alterne les tapotements avec les caresses, et le frottement du manche entre ses lèvres. Je me délecte de ce jeu durant plusieurs minutes puis, après un dernier coup un peu plus marqué sur son mont pubien, je ramène la cravache devant mon visage. Je hume le manche et je souris en montrant les dents « Ainsi on dirait que tu aimes ça, petite garce. Nue, attachée et écartelée, le sexe offert, après avoir reçu une bonne fessée et les seins comprimés dans des liens qui te coupent la circulation sanguine, et tu mouilles lorsque je frotte la première tige de cuir venue entre tes jambes ! Décidément, on dirait que ça te plaît ! C’est ça, hein ? Malgré toi, ton corps réagit, et ton esprit te trahit, et il aime être à la merci comme en ce moment ? »
Gaëlle proteste avec des « mhmhhh mhh mpf ! » mais bien entendu elle ne peut se défendre
« Hé bien, puisque tu sembles apprécier, je vais donc continuer à t’administrer ta punition »
Je remonte la cravache et commence à tapoter le dessus de son sein gauche. Celui-ci est désormais sombre –probablement violacé mais on ne peut distinguer suffisamment les couleurs dans la pénombre – à force de retenir la pression sanguine. Même de petits tapotements font réagir Gaëlle qui essaie de déplacer son torse pour éviter le bout de cuir durci qui lui envoie des petites ondes de douleur dans tout le haut du corps. Je m’amuse à anticiper ses mouvements ; à certains moments je manque ma cible et à d’autres je tapote le côté de son sein. Je passe au sein droit et je m’amuse également avec lui quelques dizaines de secondes. Puis je retire la cravache et la tient verticale.
« Bon, assez ri ! Maintenant, je vais passer à la punition proprement dite, et je te conseille de ne plus bouger car si je rate ma cible une fois, je devrai recommencer depuis le début : tu vas recevoir 10 coups sur chaque sein. Ils ne seront pas assez forts pour te laisser des traces durablement d’autant que je frapperai avec le bout de la cravache mais ils seront suffisants, conjugués avec l’engorgement du sang et la pince crocodile qui mord tes tétons, pour que tu aies l’impression que je te marque au fer rouge. Reste immobile et compte dans ta tête. »
Terminant ma phrase, j’abats ma cravache une première fois plus violemment sur le dessus de son sein droit. « Flac »
« Mffff ! » Gaëlle réagit en se déplaçant autant qu’elle peut sur le côté, entravée qu’elle est, comme si je l’avais marquée avec un brandon enflammé. J’attends deux secondes puis j’abats à nouveau mon instrument, toujours au même endroit. « Flac ». Puis sans attendre une troisième fois, et une quatrième. A chaque coup, elle essaie désespérément de tirer sur ses liens pour échapper à la sensation horrible concentrée dans son sein, mais qui propage des ondes de douleur dans tout son corps via ses terminaisons nerveuses. Un feu liquide irradie de son sein, et chaque coup supplémentaire l’alimente comme un volcan crachant des flammes. Pendant ce temps, je continue à torturer son sein droit jusqu’à atteindre les dix coups promis. J’arrête un peu et je l’observe : elle gémit à présent et des larmes coulent le long de ses joues. Je prends son visage dans ma main gauche pour qu’elle me regarde « nous en sommes à la moitié, maintenant je vais passer à l’autre, les consignes sont les mêmes : ne bouge pas ! »
A présent, elle me regarde d’un air sincèrement apeuré, en sachant exactement la souffrance qu’elle va ressentir. Pour ne pas la décevoir, je commence avec la même intensité que précédemment, et j’obtiens le même résultat : un corps tendu comme un arc, une chair comprimée sous les liens qui réagit aux coups d’autant plus sans pouvoir éviter la morsure de la cravache, et un sentiment d’impuissance de la part de la victime, qui ne peut même pas crier sa douleur.
Elle a bougé, mais pas suffisamment pour que je rate ma cible, même dans la pénombre dans laquelle nous sommes plongés. Nos yeux sont habitués à présent, et je distingue parfaitement ma proie, attachée et offerte. Je m’écarte d’elle pour ranger ma cravache dans ma sacoche, et je reviens vers Gaëlle. Elle a bavé au travers de son bâillon et ses larmes s’y sont mélangées le long de sa mâchoire. Je passe la main sur son visage pour l’essuyer un peu, puis je descends doucement en caressant du bout de mes doigts sa gorge, son plexus, je tapote le dessous de ses seins. Elle hoquète à nouveau, plus de peur que du mal que je peux lui causer, car même sa poitrine est hyper sensible à force d’être engorgée de sang et cravachée, la pression de mes doigts s’est révélée légère à côté de ce qu’elle vient de subir. Je reprends ma descente le long de son estomac puis de son bas ventre. Je m’attarde un peu dans ses fins poils pubiens, je m’amuse à les boucler et les tirailler un peu. Il faudra que je décide si je lui laisse ou si je lui fais raser pour avoir plus facilement accès à son sexe. Il faut avouer qu’il sont si fins et si blonds qu’ils ne risquent pas de gêner les traitements que je compte lui infliger. Et en plus ça change de cette mode de pubis rasé, après tout tant que la femme n’a pas un système pileux pubien hyper développé, ça fait partie de son charme !
Au bout de quelques secondes, je continue ma descente de quelques centimètres, pour palper son entrejambe. Ses jambes sont écartées à cause de la barre attachée à ses chevilles, et ses grandes lèvres sont largement ouvertes. C’est donc sans difficulté que j’accède à l’orée de son vagin, ainsi qu’au petit fourreau de chair qui protège son clitoris. Je la fixe en même temps, mais elle n’ose pas me regarder en face, honteuse d’être ainsi accessible. Mais aussi honteuse que, malgré le traitement que je lui ai fait subir, je découvre qu’elle est humide et que son clitoris soit aisément accessible. C’est la bonne surprise de ce jour : Gaëlle réagit positivement à la souffrance et à l’humiliation et son corps la trahit en trouvant un peu de plaisir là où il ne devrait y avoir que honte et douleur. Je souris et je ne prive pas de lui faire savoir en lui susurrant « Mais c’est que tu mouilles, petite garce ; on dirait que mon traitement t’a fait de l’effet, n’est-ce pas ? Attachée, les seins torturés, cravachée, bâillonnée, écartelée, ça t’excite ? Pourtant, c’était une punition, pas une récompense ! Tu le sais, ça, non ? »
Tout en lui parlant, je masse l’entrée de son vagin avec ma main, puis j’écarte les petites chairs qui préservent son bouton d’amour pour le frotter doucement à son tour. Elle baisse toujours la tête, mais sa respiration s’accélère un peu. Je lui prends le menton avec mon autre main pour la forcer à me regarder . Je lui ordonne : « Est-ce que tu le sais ? Réponds en hochant la tête !» Elle ne comprend pas tout de suite, puis soulève sa tête lentement pour la baisser à nouveau, faisant ainsi signe qu’elle a compris. Pendant ce temps, je n’arrête pas mon massage, passant successivement de son clitoris à son vagin, le pénétrant maintenant aisément d’un doigt, puis de deux, et utilisant sa mouille pour à nouveau lubrifier son petit bouton. J’accélère progressivement le mouvement, je passe maintenant deux doigts en crochet dans sa vulve trempée, et je fais une pince avec mon pouce qui continue de faire des mouvements circulaires sur le clitoris. Elle ahane à présent, et je sens ses narines dilatées aspirer l’air tant qu’elle peut, ne pouvant respirer complètement par la bouche. Je suis attentif à la montée de son plaisir, que je maîtrise en ralentissant le rythme et l’accélérant à nouveau, faisant venir le plaisir par vagues et l’empêchant de jouir avant que je l’ai décidé. Au bout de plusieurs minutes de ce manège, je sens qu’elle est prête à exploser, son corps se tend et sa bouche exprime un début de râle de plaisir. Sans arrêter le mouvement de ma main, mon autre main en profite pour retirer la première puis la deuxième pince crocodile bien ancrées dans ses tétons, sans toutefois les arracher pour ne pas la blesser. Puis, le plus rapidement possible, je tire sur les élastiques qui compriment la base de ses seins pour les enlever. L’afflux de sang généré produit l’effet escompté : elle s’arc-boute violemment, ressentant une onde de souffrance exploser à partir de son torse et mettant à vif l’ensemble des terminaisons nerveuses de sa zone mammaire, et crie de tous ses poumons à travers l’entrave de ses mâchoires, à tel point que je m’inquiète un instant qu’elle n’attire quelqu’un qui passerait à côté du local. Je n’ai pas arrêté mon double massage, vaginal et clitoridien, et je la fais parvenir à un point où la souffrance et le plaisir se mêlent intimement, sans pouvoir être dissociés. Quelques secondes après avoir relâché la pression dans sa poitrine, je sens qu’elle se tend à nouveau, mais cette fois pour jouir en se liquéfiant sous le traitement infligé à son con. Sauf qu’elle ne jouit pas seulement : elle ressent une sensation comme jamais elle n’a connu, qui la transporte d’extase en extase, qui mêle la souffrance qui s’apaise à la jouissance qui parcourt chaque nerf de son corps, et dont le point central se situe alternativement entre son bas ventre et sa poitrine. « Mfff aaaarrrrrrhhhhhhh ! ». Gaëlle n’a jamais imaginé que de telles sensations existaient, des milliers de petites tortures mélangées à une extase si intense dans son sexe noyé et palpitant, l’amenant presque à délirer, et ne pouvant que subir toujours plus, à la merci de son bourreau de patron.
A la fin, sa tête et son corps se relâchent complètement et elle s’affale sur moi, heureusement retenue par la chaîne. Elle est à moitié évanouie et je retire ma main de ses parties génitales pour l’essuyer sur sa toison et son estomac. Puis, après avoir vérifié qu’elle respire normalement, mais rapidement, je détache ses chevilles de la barre qui retient ses jambes écartées, puis je me relève et la prend dans mes bras pour la soulever et faire passer la chaîne au-dessus du crochet. Elle se laisse aller complètement, et je suis heureux de la tenir contre moi, comme un petit animal blotti, de sentir sa poitrine contre ma poitrine, même si mes vêtements réduisent nettement ce plaisir. Que n’aimerais-je me dévêtir et sentir sa peau contre ma peau, et engouffrer mon sexe dans son puits gluant de sucs odorants. Pas encore, pas encore …..
Je l’assieds délicatement contre le mur, puis lui retire les menottes et enfin le bâillon-boule. Je prends quelques mouchoirs en papier dans ma poche pour essuyer son rimmel qui a coulé sur son visage et s’est mélangé à ses larmes, j’essaie de lui redonner figure humaine avant qu’elle ne reprenne ses esprits. Petit à petit, son corps s’anime à nouveau et elle ouvre les yeux. Elle me voit à genoux devant elle, caressant ses cheveux et son visage, et ne réagit pas de suite. Elle ne dit rien. J’en profite pour prendre les devants « J’espère que tu as compris la leçon » lui dis-je d’une voix douce et à voix basse « et que tu m’obéiras désormais sans discuter mes ordres. Mais surtout j’espère que tu as découvert ce que je voulais : que je peux te faire ressentir un plaisir incommensurable et totalement inconnu lorsque je le désire, et que ce plaisir peut passer par de la contrainte ou de la douleur. En es-tu consciente et l’acceptes-tu désormais ? »
Ses yeux me fixent dans la pénombre et au bout de quelques secondes sa bouche réussit à articuler d’une voix un peu rauque « Oui, Maître. Tout ce que vous voulez…. je le ferai. » avoue-t-elle « mais ne me punissez plus ainsi, je vous en supplie ! »
« Nous verrons bien » lui dis-je en l’aidant à se relever. Elle tient à peine sur ses jambes tremblantes, et elle est obligée de s’appuyer au mur derrière elle. Je l’aide à se rhabiller, et à se redonner une contenance, avant de lui conseiller de passer par les toilettes sans trop se faire remarquer pour se refaire une beauté. Une fois la porte refermée, j’allume la lumière, ce qui me fait plisser les yeux après être resté de si longues minutes dans la pénombre. Je reste encore quelques minutes pour finir de ranger les affaires et d’enlever toute trace (et odeur) de la scène qui venait de se dérouler, et qui était encore si présente dans mon esprit. Puis je regagne mon bureau, ayant à présent ôté de mon esprit toute idée de repas, et essaie désespérément de me concentrer suffisamment pour travailler. Vers deux heures et demi, en levant les yeux vers le plateau, je me rends compte que Gaëlle n’est pas à son poste. J’appelle Karine dans mon bureau pour lui demander son avis sur un rapport, et en profite pour lui demander si tout le monde est présent cet après-midi.
« Non » lâche-t-elle, « Gaëlle a du rentrer chez elle, elle ne se sentait pas bien. Tu aurais du la voir, elle avait vraiment une tête affreuse. Peut-être est-elle enceinte ? » un sourire moqueur ponctue son interrogation. Je lui rends son sourire, en montrant les dents, en me disant « si elle savait …. »
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