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Chapitre 7

SM / Fétichisme
Jour 15
Le lendemain matin, je viens au travail encore plus tôt que d’habitude. Je suis fébrile, car je sens que nous sommes à un point charnière de notre relation. Une nouvelle étape a été franchie : soit elle se soumet totalement, et je vais enfin pouvoir assouvir tous mes fantasmes, soit elle révèle tout à son mari auquel cas je joue ma place et de sérieux ennuis judiciaires.
J’ai malgré tout bon espoir, car j’ai vu une Gaëlle vaincue lorsqu’elle m’a quitté hier en début d’après-midi. Je me souviens de ses dernières paroles : « Oui, Maître. Tout ce que vous voulez…. je le ferai. Mais ne me punissez plus ainsi, je vous en supplie ! » et de son regard implorant. Et cela m’excite rien que d’y repenser.
C’est pour toutes ces raisons que mon cœur se met à s’accélérer lorsque je vois Gaëlle entrer sur le plateau et s’installer à sa place, bien avant que ses collègues soient arrivées. Nous sommes encore seuls, et j’en profite pour l’appeler au téléphone et lui demander de venir dans mon bureau.
Elle entre et me dit avec un sourire timide « Bonjour Maître ». Puis elle s’approche de mon bureau et met ses mains jointes derrière son dos, tout en écartant légèrement ses jambes. Elle s’est habillée strictement comme mes directives lui ordonnaient, avec une jupe courte dévoilant des bas noirs et des escarpins vernis, un chemisier blanc déboutonné suffisamment pour montrer la naissance de sa poitrine, un maquillage léger et un rouge à lèvres bien rouge, et enfin ses cheveux détachés tombant en cascade sur ses épaules.
« Que puis-je faire pour vous, Maître ? » demande-t-elle toujours avec une tentative de sourire.
« Je vois que tu es revenue dans de meilleurs dispositions, Gaëlle, et je t’en félicite. »
« Merci, Maître » elle attend que je continue
« Tu t’es absentée hier après-midi après ta punition, puis-je savoir pour quelle raison ? » je garde un ton détaché en prononçant ces paroles
Elle rougit aussitôt en repensant à ce qu’elle avait enduré la veille, et met quelques secondes à rassembler ses esprits pour répondre : « je ..n’étais pas bien, je tenais à peine sur mes jambes. Mais je vais poser une demi-journée de congés ! »
« Non, non, ce n’est pas la peine, je t’en fais cadeau. En contre partie, je veux que tu me dises ce que tu as ressenti et ce que tu as retenu de ta punition ? » lui demandès-je avec un sourire
Une fois de plus elle réfléchit plusieurs secondes avant de répondre, et continue de rougir « J’ai compris la leçon, Maître, et je vous obéirai désormais. »
« C’est bien. Mais qu’as tu ressenti ? » j’insiste sur ce point autant pour lui rappeler ma domination que pour l’amener à se dévoiler davantage

« J’ai eu mal, très mal, lorsque vous avez puni mes…ma poitrine. » Elle grimace en se souvenant des mâchoires qui mordaient ses tétons, et de la cravache qui martyrisait ses seins.
« Et puis ? C’est tout ? »
« Non. » Elle n’ose pas continuer
« J’attends …et je commence à m’impatienter ! » lui dis-je en élevant un peu la voix
Ca lui fait l’effet d’un courant électrique car elle sursaute et reprend aussitôt la parole « Je n’ai jamais ….rien ressenti de si intense. Lorsque vous m’avez …caressée… tout en retirant les pinces ….la douleur qui irradiait…je me suis sentie avilie… et en même temps je voyais des étoiles…mon corps ne m’obéissait plus….et j’ai ….joui, de douleur, de honte et d’excitation mêlées. » Elle finit ses derniers mots en baissant la tête, ressentant à nouveau cette honte qui l’envahissait à cause de la trahison de son corps et de ses sens.
« Avais-tu déjà joui de la sorte auparavant ? » lui demandès-je innocemment
« …Non, Maître » avoue-t-elle dans un souffle
« J’apprécie ta franchise. J’espère qu’il n’y aura plus désormais de nouvelle incartade, car la prochaine fois ce sera plus douloureux encore et peut-être que cette fois il n’y aura même pas de jouissance au bout. Tu as bien compris ? »
« Oui, Maître »
« Bien. Aujourd’hui, je te laisse souffler –enfin, tu as quand même du travail !-. Après-demain, je veux que tu apportes un léger changement à ta tenue vestimentaire : tu gardes tes bas et une jupe courte, en revanche ce n’est pas la peine de mettre de culotte : je te la fournirai » Elle me regarde en haussant les sourcils. Je continue « Par ailleurs, pour varier un peu les plaisirs, tu remplaces ton chemisier par un bustier qui mette en valeur ta jolie poitrine. Je veux qu’elle soit visible, du moins le dessus, et que tu aies un modèle à lacet ou à ruban, bien entendu légèrement défait. Du coup, tu n’auras pas besoin non plus de mettre un soutien-gorge ! C’est bien compris ? »
A voir son expression embarrassée, elle imagine déjà de quoi elle aura l’air. Pourtant, elle n’ose plus se révolter. Ca y est ! Je l’ai à ma merci ! Je retiens ma respiration lorsqu’elle me dit d’une petite voix « Oui, Maître. Mais je n’ai pas de bustier comme vous le désirez dans ma garde-robe ? »
« Tu partiras un peu plus tôt ce soir pour t’en acheter un. Ca tombe bien, j’ai repéré une boutique dans la rue des croix, pas loin d’ici, qui devrait en vendre. » Une idée me traverse soudain l’esprit
« En fait, j’ai décidé de te l’offrir. Mais il faut être sûr qu’il t’iras bien. Je t’attendrai donc à 17h00 sur le parking du supermarché à 500 m d’ici, près de l’entrée A. Tu laisseras ta voiture et tu monteras dans la mienne. Nous irons ensemble à la boutique, puis je te ramènerai. C’est entendu ? »
« Oui, Maître » répond-elle un peu étonnée de ma proposition, et se demandant ce que je pouvais bien lui réserver.
« Tu vois avec Karine pour sortir un peu plus tôt, je validerai ta demande. A tout à l’heure et sois ponctuelle ! Tu peux disposer. »
Elle sort du bureau après m’avoir jeté un dernier regard anxieux. Je dispose d’une vraie journée de travail, je vais pouvoir rattraper mon retard de ces derniers jours. Enfin, jusqu’à 16h45 environ ….
A 17h00, je me trouve dans ma voiture, une berline spacieuse, à l’endroit indiqué. Deux minutes plus tard, je vois Gaëlle passer devant moi dans son propre véhicule. Elle ne m’a pas vue. Apparemment, elle cherche une place. A 17h05, elle repasse une nouvelle fois, mais à pied, en regardant les voitures occupées par leur conducteur. Ca y est ! Elle m’a repérée. Elle se présente côté passager, je me penche pour lui ouvrir la portière, elle s’installe sur le siège. Elle est rouge et transpire légèrement.
« Je m’excuse, Maître ! J’ai eu du mal à trouver une place, et ensuite à vous trouver car je ne savais pas quelle voiture vous possédiez ! »
Je la reprends sur un ton sec : « On ne dit pas ‘Je m’excuse’ mais ‘je vous prie de m’excuser’. Je te saurais gré de parler correctement le français. Par ailleurs, je ne t’excuse pas car tu savais que je t’attendais pour 17h00, tu n’avais qu’à prévoir une marge de sécurité ! »
Elle baisse aussitôt la tête en m’entendant la réprimander.
« Oui, Maître. Je vous demande pardon »
« C’est mieux. Mais tu sais que toute faute mérite punition. » Elle relève aussitôt la tête et me lance un regard effrayé
« J’ai dit punition, je n’ai pas dit quel degré de punition. Hier, c’était une faute inexcusable. Aujourd’hui, la peine sera plus légère. Mais nous verrons cela plus tard. Tout d’abord, recule ton siège à fond. La manette est sous ton mollet droit. Voilà. Maintenant, glisse-toi par terre, devant le siège. Nous sommes près du travail, tu ne voudrais pas qu’on nous voie ensemble dans ma voiture, n’est-ce pas ? On pourrait s’interroger. Et puis tu pourrais croiser une de tes relations. Allez, exécution ! »
Gaëlle se laisse glisser à l’avant et s’accroupit, sans un mot, autant en réalisant la justesse de mes propos que par la peur de la punition qui l’attend. Elle me jette un regard de petit animal apeuré, étant inconfortablement recroquevillée, le visage à la hauteur du levier de vitesse. Je caresse ses cheveux blonds pour la rassurer « c’est bien, ne bouge plus, nous n’en avons que pour quelques minutes de trajet ». Elle tente un faible sourire, presque de convenance, pour signifier qu’elle apprécie mes paroles apaisantes après ma réprimande. Elle me fait penser à un jeune chien qu’on dresserait, carotte et bâton à l’appui. Mmhh, oui, c’est exactement ça, une jeune chienne en cours de dressage, qui a pour l’instant connu autant le bâton que la carotte, et qui bientôt va connaître MA carotte. Rien qu’à cette pensée, mon pantalon se met à gonfler au niveau de mon sexe. Gaëlle, qui ne peut s’empêcher de jeter des regards de temps à autre à ma braguette, étant juste au bon niveau, le remarque et se met à rosir en détournant le regard, bien consciente de mes pensées lubriques. Le coin gauche de ma joue entame un sourire en voyant son embarras, mais je me contente de conduire jusqu’à un petit parking couvert, assez ancien, que je pratique parfois lorsque je veux me garer dans ce coin de la ville. Il n’y a que quelques dizaines de places, et il est assez sombre, et donc peu fréquenté. Par ailleurs, il n’y a que très peu de caméras, et j’ai repéré où elles étaient placées.
J’arrive devant la barrière et prends le ticket, que je glisse dans ma poche de chemise. J’engage la voiture au premier, puis au deuxième sous-sol. Je gare le véhicule en marche arrière dans une place en coin et je coupe le contact, puis les feux de croisement. Autant l’allée de passage est relativement éclairée, autant la place dans laquelle nous nous trouvons est dans la pénombre.
« Tu peux te rasseoir »
Gaëlle se glisse vers le siège et dans un mouvement de torsion se rassied. Elle me regarde en attendant les instructions suivantes.
« Lorsque nous serons dans la rue, tu me suivras quelques mètres derrière moi. Lorsque j’arriverai devant la boutique de vêtements, je t’attendrai et nous rentrerons ensemble. A l’intérieur, tu ne parles que si tu es interrogée. C’est clair ? »
« Oui, Maître »
« Bien. A présent, enlève ton soutien-gorge »
« Pardon, Maître ? » Gaëlle me regarde, interloquée
« Tu n’as pas compris ce que j’ai dit ? Enlève ton soutien-gorge » lui répètès-je un peu plus fort. « Tu crois que j’ai besoin de te donner une raison pour tous mes ordres ? Tu enlève ton chemisier, tu te débarrasses de ton soutien-gorge et tu remets ton chemisier . Dépêches-toi ! »
Elle hésite encore une seconde avant d’obéir. Puis, lentement, elle déboutonne complètement son chemisier puis retire les manches l’une après l’autre. Il tire-bouchonne désormais derrière elle. Elle peut à présent dégrafer son soutien-gorge et me laisser apprécier une nouvelle fois sa peau laiteuse et sa jolie poitrine. Je ne peux m’empêcher de constater que ses pointes sont rigides et ses mamelons hérissés. Soit elle a peur, soit elle est excitée par la situation. Je lui prends le sous-vêtement des mains et le glisse dans la boite à gants. Elle remets son chemisier.
« Laisse trois boutons défaits, comme d’habitude. » Sauf que si elle se penche, ce n’est plus le soutien-gorge qu’on distingue mais le bout pointu d’un sein.
J’attends qu’elle ait terminé. Elle baisse le regard à présent, mal à l’aise.
« Maintenant, tu enlèves ta culotte. Tu vois, c’est ça qui est bien avec les bas. C’est plus facile » lui dis-je non sans humour. Enfin, l’humour du dominant, car je constate qu’elle ne sourit pas. Pour lui faire comprendre plus vite, je lui explique « Tu commences à savoir que lorsque tu commets une infraction, tu es punie. Cette fois, ta punition sera un essayage un peu exhibitionniste. Si tu ne te dépêches pas pour enlever cette culotte, je te fais aussi enlever ta jupe et tu te baladeras cul nu sous ton manteau ! »
Ma menace fait son effet, et elle se tortille aussitôt pour relever suffisamment sa jupe pour pouvoir attraper l’élastique de sa culotte, et la faire glisser en essayant de monter le moins possible son petit cul blanc. Puis elle tire sa jupe à nouveau, et fait glisser rapidement la dentelle blanche le long de ses cuisses. Elle est obligée de se pencher en avant pour la faire passer par ses pieds, les chaussures accrochant un peu, et me régale du spectacle du bâillement de son chemisier. Une fois retirée complètement, elle se relève et me la tend. Je la prend et lui fais rejoindre le soutien-gorge dans la boite à gants.
« Tu vois, nous gagnons du temps pour demain ! » Je lui lance avec un sourire sarcastique. « Sors de la voiture. A présent, plus un mot et tu me suis comme convenu. »
Elle m’obéit. Je sors à mon tour après avoir récupéré la culotte et l’avoir fourrée dans ma poche de pantalon et je verrouille le véhicule, puis emprunte les escaliers pour quitter le parking. De temps en temps je vérifie que Gaëlle me suit bien. J’emprunte quelques rues avant d’arriver à une boutique de vêtements de marques, assez modernes et typés. Je l’attends devant la porte et elle me rejoint quelques secondes plus tard. J’entre devant elle et je lui tiens la porte, galamment. Après un rapide coup d’œil pour vérifier qu’il n’y avait aucune personne de ma connaissance, je lui demande à voix basse si elle connaît quelqu’un ici. Elle me répond sur le même ton de voix « Non, Maître ». « Imbécile » lui réponds-je d’un ton dur « lorsque nous sommes en public, c’est Monsieur ! Tu as donc déjà oublié ? » « Pardon, Monsieur ! » me souffle-t-elle. « Nous verrons ça plus tard ».
« Bonjour, Messieurs Dames ! » nous lance avec un sourire commercial une vendeuse d’âge moyen. « Puis-je vous renseigner ? »
« Oui. Nous cherchons pour Madame un bustier, à lacet ou à ruban. »
« En sous-vêtement, je suppose ? Car en vêtement, je n’ai plus rien de la collection d’été » me demande-t-elle. Je n’avais pas pensé à ça, effectivement à cette période de l’année les magasins regorgent davantage de vêtements d’hiver, même si les journées sont encore très belles. Il va falloir que je revoie ma copie.
« Hé bien voyons les modèles que vous avez. » lui lancès-je d’un ton désinvolte. Après tout, l’essayage pourrait se révéler encore plus intéressant. Nous suivons la vendeuse dans un coin du magasin, dédié à la lingerie. Des modèles classiques côtoient des sous-vêtements beaucoup plus sexy, j’imagine aisément Gaëlle dans certains d’entre eux. Elle nous présente trois modèles, un assez classique, un de couleur très criarde, et un plutôt sexy et noir.
— « Avez-vous des modèles dans des matières plus rigides, et lacés dans le dos ? » — « Oui, nous avons ce modèle, basé sur les corsets anciens, mais ils sont moins confortables »— « Il faut souffrir pour être belle, n’est-ce pas ? »— « Oui, heu …. »— « Nous allons essayer celui-ci »
Je tends le dernier modèle à Gaëlle et nous suivons la vendeuse vers les cabines d’essayage, au fond du magasin. Ces dernières ne comportent pas un rideau, comme souvent, mais une porte ne laissant apparaître que les pieds et montant à 2 mètres environ.
« Aurez-vous besoin d’aide pour les lacets, Madame ? » s’adresse-t-elle à Gaëlle. Avant que celle-ci puisse ouvrir la bouche, je lui réponds avec un demi-sourire : « Non, merci, je vais m’en occuper ». Elle n’insiste pas et s’éloigne, après nous avoir assuré rester à notre disposition si nous avions besoin d’elle.
« Entre » Dis-je à Gaëlle en lui tenant la porte. Nous sommes seuls dans les cabines, il est encore tôt pour les clientes, soit au travail, soit rentrées chez elles. Je la suis dans la cabine, elle me regarde l’air un peu étonnée, mais pas interloquée. Elle commence à s’habituer à ma présence dans ses moments d’intimité, et devait se douter que je profiterais de la situation. Je tiens le bustier et j’attends qu’elle enlève son chemisier. Elle le comprend sans que j’ai besoin de lui demander, et le déboutonne lentement. Je savoure le moment où elle doit écarter les pans du vêtement et dévoiler sa poitrine nue. Elle accroche le chemisier à la potence prévue à cet effet, et se retourne en tendant les bras devant elle. J’enfile le bustier, noir et semi-rigide, puis passe dans son dos pour le lacer.
Je lui ordonne « Les mains sur la tête ! » pour avoir le champ libre.
Elle obéit aussitôt, sans un mot.
Je tire assez fort pour resserrer sa taille, l’obligeant à pousser des petits « aah ! » m’indiquant que j’atteins la limite de la contention , et passant dans les passe-lacets les uns après les autres. Lorsque j’ai atteint le haut du sous-vêtement, je le fais pivoter vers moi pour admirer le résultat, en lui ordonnant de baisser les bras : elle a une taille de guêpe, son bassin semblant être plus large du fait du resserrement juste au-dessus, et ses seins font penser à deux fruits bien ronds et prêts à jaillir de leur écrin. J’ai une vision de courtisane de la cour napoléonienne devant moi. Gaëlle n’est pas vraiment à l’aise, car le bustier l’empêche de respirer normalement, elle est obligée de prendre des petites bouffées d’air, et elle se sent étouffer à moitié.
« Il y a quelque chose qui ne va pas » je prends une moue interrogative. « Je sais : ce bustier ne va pas du tout avec ta jupe. Enlève-là, mais garde tes chaussures ! »
Gaëlle ne peut s’empêcher de rougir lorsqu’elle comprend ma demande. C’est ce genre de réflexe involontaire qui me fait vraiment craquer pour elle : elle a joui plusieurs fois devant moi, s’est retrouvée nue, attachée, et le simple fait de se retrouver cul nu dans une cabine d’essayage fermée la fait encore rougir !
Elle sait qu’elle n’a pas intérêt à me contrarier, elle défait donc la fermeture-éclair de sa jupe et la laisse glisser sur le sol. Elle ne prend pas la peine de la ramasser, sans doute parce qu’elle est vraiment comprimée dans son bustier.
« Mmmhh, c’est mieux, effectivement » La peau claire qui apparaît sur le bas et le haut du bustier ainsi que son buisson blond tranchent franchement avec les bas noirs et ceux-ci s’accordent parfaitement avec le sous-vêtement mettant en valeur sa poitrine et sa taille.
« Tourne-toi. Oui, c’est bien aussi de dos. Maintenant écarte tes jambes, un peu plus, oui comme ça. Penche-toi en avant et pose tes mains sur la potence où est ton chemisier, et ne bouge plus. »
Gaëlle m’offre sa croupe, pâle et rebondie, et le fuselé de ses jambes mises en valeur par les talons et les bas. Elle ne peut s’empêcher de tourner la tête en arborant un air inquiet.
Je lui lance rudement « Tu regardes le mur ! »
Je sors sa culotte de ma poche et l’approche de son visage. « Ouvre la bouche bien grand ! ».Comme elle tarde à s’exécuter, je lui donne une claque sur sa fesse droite
« Ah ! » ne peut-elle s’empêcher de s’exclamer et je profite du moment pour lui fourrer sa culotte en boule dans la bouche.
« Comme ça tu ne seras pas tentée d’être trop bruyante. Tu te souviens que tout à l’heure tu t’es trompée sur mes instructions en m’appelant Maître en public. Tu conviendras donc de devoir être punie comme il se doit. Je vais donc t’administrer une fessée, et tu ne devras pas bouger ni faire de bruit. Si ce n’est pas le cas, tu auras une autre punition, plus tard, que tu regretteras davantage ! »
Je commence par abattre ma main à trois reprises sur sa fesse gauche, en espaçant chaque coup de deux secondes environs. Gaëlle reçoit chaque fessée en silence pour l’instant, à part un petit bruit de gorge. Je continue sur la fesse droite, autant de coups. Puis j’alterne mes claques en accélérant un peu le mouvement, jusqu’à ce que sa peau rougisse sous l’effet de mes mains. Elle se cambre sous la pluie qui s’abat sur son postérieur. A un moment elle ne peut s’empêcher de laisser échapper un petit cri étouffé. Je m’arrête.
« J’ai dit silence ! » Je lui souffle. « Ca te vaudra une nouvelle punition, tant pis pour toi ! »
Je reprends ma fessée en alternant les mains et les cibles, ainsi que le rythme. Son cul est d’un beau rouge vif à présent, et elle commence à avoir des difficultés à respirer car son rythme cardiaque s’est accéléré et elle ne peut inspirer et expirer que par le nez. Or, comme des larmes commencent à se former sur ses yeux, son nez ne peut s’empêcher de se boucher peu à peu. Son visage s’empourpre davantage et elle est sur le point de lâcher la potence pour retirer le bâillon. Je m’arrête et l’observe, pour voir si elle continue d’obéir ou tente une nouvelle fois de se rebeller. J’imagine le conflit dans sa tête : étouffer peu à peu ou se redresser et permettre à sa bouche d’aspirer librement un air si nécessaire, mais subir les conséquences de ses actes. Finalement, elle se calme un peu et renifle pour pouvoir dégager ses muqueuses nasales. Elle obéit donc. Et se soumet. Malgré elle ou entamant le chemin de l’obédience voulue. Sa poitrine se soulève à intervalles réguliers, rapidement puis un peu plus lentement maintenant. Je me rapproche d’elle et lui souffle dans l’oreille « c’est bien, continue de garder la pose ».
A ce moment, une voix derrière la porte se fait entendre « Tout va bien ? Est-ce que c’est la taille de Madame ? Désirez-vous un autre modèle pour essayer ? »
Je réponds à haute voix « Non, il lui va très bien, mais il faut que je l’aide pour l’ajuster. Nous vous appellerons si nous avons besoin de vous ! »
« Entendu, je vous laisse essayer. Si vous désirez coordonner avec une culotte, dites-le moi ! »
« Nous avons ce qu’il faut, merci ! » je lui réponds non sans humour, puisque le sexe de Gaëlle est à l’air libre.
« N’est-ce pas que nous n’avons pas besoin de culotte » je continue de lui souffler à l’oreille. En même temps je passe ma main sur sa vulve et sent une chaude humidité se répandre sur ma paume. « D’ailleurs, on dirait que si tu en avais une, elle serait odorante, à l’heure qu’il est, mmhh ? »
Gaëlle ne peut répondre, bien sûr, mais s’empourpre violemment une nouvelle fois. J’introduis mon majeur dans son sexe et j’obtiens une confirmation de mon diagnostic. « Il semblerait que tu apprécies quelque peu la fessée que tu viens de recevoir ! Pourtant, c’était une punition, pas une récompense ! »
Je fais quelques va et vient avec mon doigt pour bien le mouiller, puis le passer sur le devant de son sexe, découvrant les petites lèvres qui protègent son clitoris. Une fois sans défense, je commence à le masser, doucement, en effectuant des mouvements circulaires. Après un moment de surprise, elle ferme les yeux, semblant apprécier la caresse et sentant une douce chaleur se répandre dans son sexe, confortée par la chaleur émanant déjà de ses fesses. Elle ne tente à aucun moment de se dérober, mais ondule du bassin, gardant ses jambes écartées et roulant des hanches. Je continue mon mouvement et, comme nous ne pourrons rester longtemps dans la cabine sans attirer l’attention de la vendeur, je l’accélère. Malgré la position inconfortable et le manque d’oxygène (ou peut-être à cause ?), je sens son plaisir monter assez rapidement. Je continue mon mouvement en l’alternant de temps en temps avec une exploration de sa chatte désormais brûlante et trempée. J’introduis deux, puis trois doigts dans son con, puis les retire pour écarter ses lèvres avec l’index et l’annulaire et frotter le clitoris avec le majeur. Au bout de quelques minutes, je sens qu’elle va soit défaillir soit atteindre l’orgasme, soit les deux en même temps. Je retire ma main brutalement et lui donne deux claques, une sur chaque fesse, ce qui la ramène brutalement à la réalité et lui fait ouvrir brusquement les yeux.
« Tu ne crois quand même pas que tu avais droit à ton plaisir après toutes les infractions que tu as commises ? Ca aussi c’est une forme de punition : s’approcher de la jouissance sans pouvoir l’atteindre. C’est frustrant, hein ? » lui dis-je avec un sourire narquois, tout en m’essuyant la main poisseuse sur ses fesses. « La prochaine fois, si tu suis à la lettre mes instructions, peut-être que tu auras droit à un vrai orgasme ? Bon, redresse-toi maintenant et remets les mains sur la tête, le temps que je t’enlève ce bustier. Tu as transpiré dedans, on va devoir le prendre ! » Je défait les lacets un à un et je sens le soulagement de pouvoir à nouveau respirer librement se mêler à une frustration de ne pouvoir aller au bout de son plaisir entrevu. La cabine sent l’odeur parfumée de sa mouille. Une fois défait, je lui ordonne de remettre les bras en avant et de se retourner. Je lui retire son carcan de tissu et le garde sur mon bras.
« Rhabille-toi ! Et dépêches-toi ! » Je lui retire la culotte de la bouche et la glisse à nouveau dans ma poche, après l’avoir repliée dans l’autre sens pour éviter de trop mouiller mon pantalon avec sa salive. Elle se rhabille aussi rapidement qu’elle peut, encore un peu hébétée. Elle finit de reboutonner son chemisier lorsque j’ouvre la porte de la cabine et me dirige vers l’entrée du magasin en lui lançant « Tu me rejoint à la caisse ! ». Je tends le sous-vêtement à la vendeuse qui m’attendait pas loin, et me jette un regard intéressé « Vous n’aviez besoin de rien d’autre ? »
Je lui réponds « Madame est très satisfaite, et moi aussi ! »
Elle me répond par un sourire et m’accompagne à la caisse. Elle dépose le vêtement après l’avoir plié et sa collègue prend mes billets après m’avoir annoncé le prix, puis l’introduit dans un sachet à l’enseigne du magasin. Entre temps, Gaëlle m’a rejointe et se tient à mes côtés, silencieuse. La vendeuse, qui ne s’était pas trop éloignée, se doute de quelque chose car elle nous lance des regards mi-soupçonneux, mi-envieux. Sans doute que le rose persistant sur les joues de Gaëlle, le fait qu’on aperçoive qu’elle ne porte pas de soutien-gorge sous son chemisier au décolleté ouvert, cumulé à la moiteur qui imprégnait le bustier lorsque je lui ai tendu et une très légère odeur féminine non masquée par l’absence de culotte, donnaient autant d’indices sur ce qui avait pu se passer dans la cabine d’essayage. Mais je pense qu’elle a plutôt pensé à une forme d’acte sexuel plus conventionnel, et moins douloureux pour la partenaire.
Après avoir récupéré le sachet, je me dirige vers la sortie, Gaëlle toujours sur mes talons et nous nous retrouvons dans la rue après un dernier salut commercial de la vendeuse.
« Comme tout à l’heure, tu me suis à une certaine distance. On se rejoint à la voiture »
Le chemin du retour se passe sans encombre, et je me retrouve quelques minutes plus tard devant mon véhicule. Je m’introduis à la place du conducteur, et entr’ouvre la porte de l’intérieur dès que Gaëlle s’en approche.
« Par terre, comme tout à l’heure ! »
Gaëlle s’y attendait, et se glisse en boule sur le tapis passager. Je lui caresse un peu les cheveux puis lui ordonne en la regardant dans les yeux « Ouvre la bouche »
Elle me lance un regard étonné mais écarte ses mâchoires. J’introduis mes trois doigts odorants de ses sucs intimes dans sa bouche. Elle a un mouvement de recul mais j’accompagne son mouvement et elle cogne sa tête sur la boite à gants. « Petite conne ! Lèche-moi les doigts ! Tu ne crois pas que je vais garder ton odeur sur mes doigts ! C’est toi qui m’a mouillé, c’est donc toi qui doit nettoyer avec ta bouche. Et appliques-toi, utilises ta langue ! »
Elle baisse les yeux et referme sa bouche sur mes doigts, s’appliquant à les sucer et les lécher, agitant sa langue d’un mouvement circulaire et ne pouvant s’empêcher de produire des bruits de succion. Une bosse apparaît aussitôt dans mon pantalon, car mon sexe gonfle instantanément. Elle s’en aperçoit et baisse le regard tout en continuant de s’appliquer. Lorsque j’en ai assez de sa caresse buccale, je retire ma main et porte mes doigts à mon nez « Ca va, ça ne sent plus. Je vais m’essuyer maintenant ». Je porte ma main à son chemisier et écarte un pan pour introduire mes doigts à l’intérieur. Je prends un sein dans ma paume et le malaxe doucement. Puis je frotte le dos de ma main sur l’autre sein, avant de la retirer. Elle n’ose pas relever la tête et continue de s’empourprer, devant l’humiliation qu’elle subit : être rabaissée à un simple objet de toilette, pas plus qu’une éponge et un torchon. Je finis de me sécher la main en lui empoignant quelques mèches de cheveux et en les lissant.
« Qu’est-ce qu’on dit ? »
« Merci, Maître » lâche-t-elle au bout de quelques secondes d’un nouveau conflit intérieur, qui oscillait entre la peur d’être punie et la honte d’être traitée ainsi, mais peut-être aussi le début de l’acceptation de sa condition, et l’éventuel plaisir qui en découlait.
Je démarre le moteur et conduit la voiture jusqu’au parking du supermarché. Après m’être garé au bout, dans un endroit où très peu de voitures se trouvaient, je lui lâche « Tu peux sortir maintenant. Non ! Tu n’as pas besoin de te relever : tu ouvres la portière et tu sors à quatre pattes, les mains d’abord ! »
Gaëlle actionne la poignée et la porte s’ouvre. Elle la repousse pour l’ouvrir plus largement et pose ses mains sur le goudron sale du parking. Il n’y a aucune voiture à côté, elle peut donc se faufiler à quatre pattes, me permettant de profiter une dernière fois de la vision de son cul ondulant. Au passage, elle accroche un de ses bas, le filant sur toute la longueur. Une fois à l’extérieur de la voiture, elle jette des regards inquiets autour d’elle pour vérifier que personne ne la remarque. J’ouvre la boite à gants et prend le soutien-gorge, que je jette dans le sachet. J’y rajoute la culotte encore dans ma poche et lui lance le tout par terre, à côté d’elle.
« Tiens, tu les laveras et je veux te voir avec ce bustier après-demain, sous un chemisier blanc. Tu peux te relever et refermer la portière ! »
Elle obéit une dernière fois et je démarre, sans lui accorder un regard ou la saluer. Pourtant je la surveille dans le rétroviseur. Elle reste là, immobile et en pleurs, serrant son sachet contre sa poitrine, et se demandant sans doute ce que je lui réserve encore. Mais peut-être aussi se demandant pourquoi elle éprouve du plaisir lorsque elle se fait humilier et violenter ainsi, et commençant à découvrir une facette d’elle-même qu’elle ignorait.
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