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Chapitre 10

SM / Fétichisme
Jour 21
J’ai passé une bonne partie du week-end à acheter des fournitures, aménager, bricoler, pour me rendre compte que je ne serai pas prêt à temps en étant au bureau toute la semaine. Je commence donc ma journée de lundi en posant un jour de congés pour le vendredi, heureusement je n’ai aucune réunion prévue ni rendez-vous important.
En début de matinée, les employés arrivent les uns après les autres. Gaëlle est à l’heure et je constate, de loin, qu’elle porte bien une jupe plus ample que d’habitude en plus de sa veste de tailleur. Je vérifie lorsqu’elle s’assied : elle regarde autour d’elle pour contrôler que personne ne la regarde puis relève sa jupe afin qu’elle ne soit pas en contact avec le siège et pose ses fesses directement sur le tissu. Je la vois sursauter : elle ne s’attendait pas à ma petite surprise, qui tient plus de la plaisanterie qu’autre chose. En effet j’ai étalé avant l’ouverture une ampoule de fluide glacial sur son siège, et je souris comme un gamin en m’apercevant que ce vieux truc est encore efficace.
Quelques minutes plus tard, Karine vient me voir pour les instructions de la semaine. Je lui demande de contrôler particulièrement les dossiers que traite Gaëlle, cette dernière devant achever son travail aujourd’hui. De plus – ce que je ne lui dis pas – cela lui permettra de profiter des poses aguicheuses de ma protégée. Je lui demande enfin de me faire un rapport ce soir pour savoir si nous pourrons lui confier d’autres missions spéciales.
Ayant beaucoup de travail ce lundi, je n’ai rien préparé de particulier pour Gaëlle, et je la laisse donc « souffler » pour se concentrer sur son travail « normal ».
Le soir arrive et Karine entre dans mon bureau après avoir demandé la permission. Je lui propose de s’asseoir à la table de travail et je me déplace à côté d’elle.
Je m’enquiers : « Comment s’est passée la mission que nous lui avions confié ? »
« Parfaitement bien. Elle a réussi à traiter tous les dossiers, j’ai pu contrôler, ils sont tous terminés »
« Bon ! Elle a donc terminé dans les temps ? »
« Même en avance : comme je te disais, en début d’après-midi elle est venue me remettre son rapport. Nous nous sommes isolées dans un bureau et nous avons fait le point sur l’ensemble. »
« Tu es satisfaite, alors ? »
« Oui …. »
« Mais ? »

« En fait …. Ce n’est pas exactement sur le travail …. » traine-t-elle sans achever sa phrase, l’air embarrassée
« Je vois…. Elle t’a fait des avances ? »
« Des avances ? Non, pas vraiment, mais …. »
« Quoi ? Elle t’a draguée ? »
« Non… enfin, pas ouvertement…. Elle est venue me voir plusieurs fois aujourd’hui, pour me demander des renseignements ou seulement discuter….Elle était souriante, très gentille…. »
« Ca, ce n’est pas répréhensible, il me semble, non ? »
« Non, mais à deux reprises elle m’a parlé en se penchant sur mon bureau et …. Tu savais qu’elle ne portait pas de soutien-gorge sous sa veste de tailleur ? »
« Oui, j’avais remarqué. Mais on ne peut pas l’y obliger, n’est-ce pas ? Tant qu’elle ne se ballade pas nue sur le plateau » je lui réponds, hypocritement, sur le ton de la plaisanterie.
« Non, c’est sûr …mais….du coup je n’ai pas pu m’empêcher de la suivre du regard à plusieurs reprises et notamment une fois où elle s’est assise à son bureau… »
« Et … ? »
« Elle ne porte pas de culotte non plus ! »
« Comment le sais-tu ? »
« En fait, elle relève sa jupe lorsqu’elle s’assied, et pose ses fesses nues directement sur le siège. Ou alors elle porte un mini string, car je n’ai même pas vu de ficelle ! »
« Pas de soutien-gorge, pas de culotte ….et elle te le montre …il semblerait que cette petite en a après toi ? »
« Je ne sais pas » répond-elle en rougissant un peu. « A ton avis, que dois-je faire ? »
« Pour l’instant, il faut d’abord vérifier que ce ne sont pas des coïncidences. Si ce n’est pas le cas, est-ce qu’elle t’intéresse ? »
« heu … comme je te l’ai dit, je n’aime pas avoir des relations avec des subordonnées, ça peut être dangereux…. »
« Ta réaction t’honore. Mais si tu étais hors du cadre du travail ? »
« …oui, dans ce cas je suppose que …elle me plaît bien ! »
« C’est vrai qu’elle est plutôt bien faite et agréable à regarder ; si en plus elle est un peu vicieuse sur les bords… ça peut être intéressant, non ? » je lui lance un clin d’œil un peu grivois.
« Mm…oui, c’est sûr ! Mais bon, actuellement, elle travaille toujours chez nous, me semble-t-il ! »
« Tu as raison, n’en parlons plus. Elle a repris son travail normal, cet après-midi ? »
« Oui, sans rien à signaler »
« Très bien dans ce cas. Ecoute, j’ai encore un ou deux dossiers à traiter, on se voit demain ? Merci pour ce rapport détaillé…et pour ta confiance ! »
« Pas de problème. A demain » me répond-elle en se levant et en retournant à son bureau prendre ses affaires. Quelques minutes plus tard elle me souhaite une bonne soirée en passant devant ma porte.
Une dizaine de minutes après, Gaëlle frappe à son tour à ma porte et me demande la permission d’entrer. Je lui accorde. Elle se poste alors devant mon bureau, comme elle sait bien le faire désormais, et se penche vers moi, me laissant admirer une partie de sa poitrine par l’entrebâillement de sa veste de tailleur. La petite garce a bien appris sa leçon et l’applique admirablement bien.
« Maître, puis-je parler ? »
« Tu viens de le faire, et tu ne m’as pas demandé en quoi tu pouvais m’être utile ou agréable d’abord ! » je lui réponds d’une voix autoritaire
« Veuillez me pardonner, Maître ! » se reprend-elle aussitôt
« Que voulais-tu dire de si pressé que tu en as oublié la politesse élémentaire ? »
« Hé bien, je voulais vous demander l’autorisation de partir maintenant, car j’ai un rendez-vous. Et puis autre chose de plus….intime ! »
« Oui ? »
« Je sais que vous ne voulez pas que je porte de culotte. Mais je vais avoir mes …règles …probablement demain ou après-demain, et j’ai peur de tâcher mes vêtements ou même mon fauteuil si je n’en mets pas ! » elle rougit et baisse la tête en finissant sa phrase, quelque peu humiliée de devoir demander ce genre de chose, et d’avouer comme une faute qu’elle entre dans la période de menstrues.
« Tu as bien fait de m’en parler. Effectivement je ne veux pas que tu tâches le mobilier de l’entreprise, ce serait inconvenant ! » un rapide calcul mental me fait penser que sa période sera juste achevée lorsque le week-end arrivera. Parfait. « Quel est ton rendez-vous de ce soir ? » j’en profite pour satisfaire ma curiosité
« Oh, simplement l’esthéticienne ! »
« Epilation des jambes ? »
« Oui, Maître. J’y vais deux fois par an environ. »
« Tu vas y ajouter le sexe, dans ce cas ! »
« Pardon, Maître ? »
« Tu as parfaitement compris. Tu lui demanderas de t’épiler entièrement les poils pubiens. »
« Mais, Maître, je ne peux pas … mon mari …. »
« Quoi ton mari ? Il ne s’en apercevras pas avant plusieurs jours, non ? Tu viens de dire que tu allais avoir tes règles …. »
« Oui, mais après ? »
« Hé bien, après, il aura la surprise… »
« Mais que va-t-il penser ? »
« Que tu veux jouer avec lui …. Et que tu es une petite vicieuse qui aime montrer son anatomie. Tu aimes montrer ton anatomie, n’est-ce pas ? »
Elle ne répond pas et garde sa tête baissé obstinément.
« N’EST-CE PAS ??! » je lui crie dessus.
Elle sursaute et répond « oui…non, Maître ! »
« Oh oui, tu aimes te montrer plus que tu ne le penses. Ne t’inquiètes pas, tu en auras l’occasion. Cette semaine, je t’accorde le port de ta culotte mais, d’une part je ne veux plus un seul poil en dessous. Si tu ne le fais pas faire par ton esthéticienne ce soir, j’aurai l’occasion de te le faire moi-même, et ça sera plus douloureux. D’autre part, tu alterneras soutien-gorge pigeonnant, et absence de soutien-gorge jusqu’à vendredi. Mais tu continueras à aller voir Karine, et tu ferais mieux qu’elle aie une vue plongeante sur ta poitrine, sinon tu auras à faire à moi. Est-ce clair pour cette partie ? »
« Oui, Maître, très clair ! » répond-elle d’une voix mi-amère, mi-soumise. Je n’arrive pas très bien à comprendre si elle se sent toujours piégée ou si elle accepte sa condition.
« Par ailleurs… » je me retourne et prend une pile de livres dans mon armoire, que je lui tend « voici de la lecture pour cette semaine : histoire, géographie, économie, géopolitique, gestion des organisations, de quoi occuper tes soirées. Tu as intérêt à bien tout apprendre, je t’interrogerai ce week-end. Je pense que nous ne verrons pas beaucoup d’ici là. Tu viendras me voir jeudi soir dans ce bureau, je te remettrai les instructions pour nous retrouver samedi, car je serai absent vendredi. As-tu tout compris ? »
« Oui, Maître. Merci pour les livres. »
« De rien, révise bien et bonne épilation ! Laisse-moi maintenant »
« Au revoir, Maître »
Je lui fais un signe de la main pour lui signifier qu’elle peut sortir et je me remets à travailler encore une bonne heure, avant de quitter le bureau à mon tour.
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