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Chapitre 14

SM / Fétichisme
Jour 24 (4ème partie)
Après la douche, j’ai autorisé Gaëlle à retourner dans sa chambre pour se rhabiller et se reposer un moment, le temps que je prépare le repas (en fait, j’avais acheté des plats chez un traiteur pour le repas du soir, pour le midi j’avais prévu une salade composée, qui nécessitait tout de même un peu de préparation).
Lorsque je vais la chercher, j’ai la surprise de la trouver endormie. La tension accumulée depuis ce matin a du se relâcher brutalement et l’a emportée dans les bras de Morphée. Je la regarde quelques instants, et suis émerveillé par ce visage d’ange, ces cheveux blonds comme les blés épars sur le traversin, la bouche à peine entrouverte. Elle a enfilé un jean et un pull en laine. Malgré ces habits ordinaires, elle dégage une sensualité étonnante, et j’éprouve des fourmillements au creux du ventre. Je me penche sur elle et caresse son visage du dos de mon index. Elle bouge un peu. J’approche ma bouche de son oreille et lui souffle « Debout ! ». Elle ouvre les yeux et ne semble pas reconnaître tout de suite où elle est. Puis elle me voit et me sourit « Je crois que je me suis assoupie. Pardon, Maître » avoue-t-elle.
« Tu es pardonnée, tu avais besoin de reprendre un peu de forces. Viens manger. Je veux que tu sois en forme pour le reste de la journée ! »
Je l’entraîne dans les escaliers, telle quelle, sans qu’elle n’ait le temps d’enfiler de chaussures. J’ai dressé une table sommaire dans la cuisine et deux assiettes contiennent une salade composée, avec plusieurs légumes et des morceaux de charcuterie. Gaëlle apprécie le mélange des couleurs et l’aspect appétissant, et me remercie d’un de ses sourires qui me font craquer. Elle s’assied à la chaise que je lui indique et je m’installe à côté d’elle, sur un banc. Nous sommes de chaque côté de l’angle de la table.
« Excusez-moi, Maître, mais je n’ai pas de couverts. Pouvez-vous me dire où ils se trouvent ? »
« Ce n’est pas un oubli. Tu n’en as pas besoin. Ton apprentissage continue, y compris durant les repas. Mets tes bras derrière ton dos comme tu l’as appris » Je lui réponds d’une voix mesurée mais ferme.
Elle me regarde, un peu surprise, mais fait comme je lui ai demandé. Elle commence à obéir sans discuter, même lorsqu’elle ne comprend pas la raison de mes ordres. Un bon point, me dis-je en pensée. Je prend un morceau de carotte que j’ai découpé en longueur, comme des frites, le trempe dans une sauce au yaourt et aux fines herbes contenue dans un des petits récipients sur la table et l’approche de sa bouche. Elle ne se fait pas prier et écarte ses lèvres en sortant un peu la langue pour happer le légume, puis le croque et le mâche avec appréciation. Pendant qu’elle mange ce morceau, je prends mes couverts, pour bien lui montrer la différence, et je pioche un morceau de salade que je déguste avec un morceau de pain. Je prends désormais une tomate cerise entre deux doigts, et l’approche à nouveau de ses lèvres. Elle ouvre bien grand pour l’engouffrer en entier et croquer seulement après dans le fruit pour éviter qu’il ne gicle sur elle. Je mange un petit morceau de jambon serrano agrémenté d’un morceau de pain tout en la regardant savourer sa tomate. Je m’attaque désormais à plus difficile : j’approche d’elle un morceau de scarole préalablement trempé dans une sauce moutardée. Cette fois elle ne peut l’avaler tout entier,et est obligée de mordre dedans, puis de procéder à un mouvement avec ses lèvres et sa langue pour continuer de happer le morceau, ce que je trouve très érotique. Elle fait mine de mordre mes doigts lorsque ceux-ci touchent presque sa bouche, et je les retire prestement, en souriant. Elle répond à mon sourire par des yeux espiègles, tout en mâchant sa nourriture.
Le repas se continue ainsi, en alternant les différents légumes prédécoupés (sauf les feuilles de salade) et les morceaux de charcuterie, agrémentés de petits morceaux de pain. De temps en temps je lui fais boire un peu d’eau, et j’essuie sa bouche du dos de ma main.
Lorsque l’assiette est terminée, je lui demande « Ca t’a plu ? »
« Oui, Maître. J’aime beaucoup les légumes. »
« As-tu encore faim pour un dessert ? »
« Oui. Avez-vous préparé quelque chose ? »

« Oui, mais c’est une surprise. Je vais te bander les yeux et tu te mettras à genoux à côté de ta chaise. Lorsque je serai prêt, je te dirai d’ouvrir la bouche et tu goûteras. »
« Comme il vous plaira, Maître »
Je prends une serviette propre et je la noue autour de ses yeux, en veillant qu’il soient bien occultés. Puis j’allume un des feux gaz, en posant une casserole dans laquelle je verse ce que j’avais préparé avant et mis de coté. Pendant ce temps je prends une banane que je pèle entièrement. Je fais cuire ma préparation à feu doux et une odeur de chocolat se répand dans la cuisine.
« Mmhhh, ça sent bon le chocolat ! »
« Tu aimes ? »
« Oh oui, je suis gourmande comme une chatte »
« Tant mieux, je l’ai préparé en pensant à toi ! »
« Merci Maître, vous me gâtez ! »
« Echange de bons procédés… » je lui réponds de manière énigmatique.
Lorsque le chocolat est bien fondu, je pose la casserole sur un dessous de plat, sur la table, et je trempe le bout de la banane dedans. Puis j’ordonne à Gaëlle d’ouvrir la bouche, après avoir patienté quelques secondes afin qu’elle ne se brûle pas la langue.
Gaëlle, à genoux entre mes cuisses, yeux bandés, se régale de ce fruit chocolaté oh combien symbole phallique, et ça réveille mon propre membre. Je décide alors de pimenter un peu le jeu et je défais les boutins de mon jean pour extirper mon sexe tendu. Une fois la deuxième bouché de banane avalée, je caresse son nez avec le bout de mon gland, afin qu’elle ne confonde pas et ne me morde pas, puis je descends mon phallus vers ses lèvres entrouvertes. Gaëlle ne se fait pas prier et engouffre mon membre aussi goulûment que s’il s’agissait d’un nouveau morceau de banane. Sa langue s’active sur mon gland, puis ses lèvres parcourent le long de mon sexe dans un mouvement de succion très agréable.
« Mmhhh, j’apprécie mon propre dessert au moins autant que le tien ! Ta bouche est chaude et accueillante, et ta langue est encore chocolatée. Continue ! »
Après plusieurs mouvements de va et vient je me retire à regret avec un bruit de succion, pour tremper le bout de la banane une nouvelle fois dans le chocolat et lui tendre. Désormais, pour ne commettre de méprise, Gaëlle ouvre la bouche et explore avec la langue ce que je veux bien lui offrir, avant de mordre le bout s’il s’agit bien de la banane. J’alterne ainsi mon sexe et le fruit chocolaté jusqu’à ce que ce dernier soit mangé dans son intégralité. Je ne jouis pas dans sa bouche et, au contraire, je remets mon sexe encore très dur dans mon pantalon. Gaëlle s’en étonne « Pourquoi ne voulez-vous pas continuer, Maître ? Vous ai-je déplu ? »
« Non, mais je suis un peu fatigué et j’ai besoin de faire une petite sieste. Lève-toi et enlève la serviette autour de tes yeux. Voilà. Tu vas débarrasser et faire la vaisselle. Puis tu me rejoindras à côté, dans le salon. »
« Bien, Maître. »
Elle me rejoint comme convenu quelques instant plus tard, j’ai eu le temps de revigorer le feu dans la cheminée et de m’installer confortablement dans un fauteuil placé devant l’âtre, à quelques mètres, mais suffisamment près pour ressentir une douce chaleur. Elle se place devant moi, entre la cheminée et le fauteuil, en prenant la pose qu’il convient pour son statut.
« Déshabille-toi ! » lui ordonnès-je. Une fois nue, je lui tends une paire de menottes en acier. « Mets tes bras derrière ton dos, et passe-toi ces menottes ». Elle m’obéit avec un peu d’appréhension et de difficulté, mais s’auto-immobilise, en faisant ressortir sa poitrine. Pendant ce temps, j’enlève mon pantalon, en restant assis confortablement, et découvre mon sexe qui s’est rendormi.
« Je vais faire une petite sieste. Pendant ce temps tu vas me garder dans ta bouche. Tu sais ce qu’on dit à propos du sommeil masculin ? Que nous pouvons avoir plusieurs érections pendant que nous dormons. Si c’est le cas, tu me suceras jusqu’à ce que j’éjacule et tu me garderas dans ta bouche jusqu’à ce que je me réveille. Tu as bien compris ? »
« Oui, Maître. Je dois me mettre à genoux entre vos jambes ? »
« Oui, bien sûr »
Elle s’installe sur le tapis devant mes jambes, que j’écarte pour lui permettre de me prendre en bouche. Elle doit pencher sa tête car j’ai complètement débandé. J’écarte ses beaux cheveux de la couleur du soleil pour admirer une dernière fois son visage et je m’installe confortablement pour passer la meilleure sieste de ma vie.
Mon sommeil fut rempli de rêves érotiques surréalistes. Je me souviens seulement qu’il y avait la jeune fille aux long cheveux blonds dont j’étais éperdument amoureux adolescent, sans que cet amour soit payé en retour ; mais cette fois nous nous embrassions et nous plongions dans un bassin de crème fraîche. Nous étions nus et ne faisions plus qu’un et j’explosais en elle à plusieurs reprises pendant qu’elle hurlait sa jouissance. Bizarre, comme la plupart des rêves.
Lorsque je me réveille, je me retrouve un peu avachi sur le fauteuil, les jambes écartées, mon sexe toujours dans la bouche de Gaëlle, qui me regarde m’étirer avec soulagement en levant les yeux. Je ne suis pas en érection, et je me retire doucement de son fourreau humide. L’horloge m’indique que j’ai dormi une bonne heure, mais je suis reposé comme si j’avais dormi la nuit entière.
Je lui demande : « Est-ce que j’ai joui ? »
« Oui, Maître. Une fois. » me répond-elle avec un demi-sourire, comme si elle était fière de ce résultat.
« En tous cas, j’ai vraiment apprécié ma sieste. Elle fut très agréable. Grâce à toi. » lui dis-je en lui caressant la joue, et en jouant avec ses lèvres de l’index. Elle entrouvre la bouche pour me laisser l’introduire et le titille avec sa langue comme s’il s’agissait de mon sexe. « Merchi Maître » arrive-t-elle à articuler.
« Ta mâchoire ne te tire pas un peu ? » j’ai retiré mon doigt et lui prend le menton
« Si Maître, un peu. Mais ça passera. »
« Tu verras, c’est comme le reste : on s’habitue peu à peu et tu auras de moins en moins mal »
Elle ne répond pas et analyse ce que j’insinue dans ma phrase.
« Bon, maintenant, passons aux exercices de l’après-midi. Nous allons tester ta résistance. Viens. » Je ne prends pas la peine de lui enlever les menottes qui maintiennent toujours ses bras derrière son dos, ni de la rhabiller. Je vais directement dans la partie gauche de la cave, qui est restée telle qu’à la fin de la matinée, avec les chaînes et les cordes encore en place, ainsi que le préservatif souillé.
« Bon, je m’occupe de ranger les chaînes et les cordes, tu t’occupes de mettre à la poubelle qui est dans le coin le préservatif et ranger le bustier sur la table.»
« Mais, Maître, je suis encore attachée »
« Et alors ? Tu as une bouche, non ? »
Gaëlle ne répond pas et rougit un peu devant l’humiliation. Pendant que je m’affaire, je la vois s’agenouiller devant le bustier en cuir et le prendre avec la bouche pour le déposer sur la table. Puis elle revient devant le préservatif souillé contenant du sperme désormais sec et l’attraper du bout des lèvres, et elle se dirige dans le coin où se trouve une petite poubelle. Puis elle attend en me regardant, intriguée par la structure que je suis en train de mettre en place.
Un trou dans le sol prévu à cet effet me permet de placer un tube en métal vertical d’un mètre de hauteur environ et de diamètre d’une bonne dizaine de centimètres. En haut du tube j’adapte un autre tube de même diamètre horizontalement, afin de former une croix. Je prends des cordes que je dépose sur le tube horizontal, puis je fais signe à Gaëlle de s’approcher, ce qu’elle fait avec une certaine réticence.
« Tourne-toi » Je défais ses menottes et la force à se placer à genoux, dos à la croix, les bras passés derrière le tube horizontal et ramenés sur ses côtés. J’attache avec un premier jeu de cordes fines ses bras au tube horizontal, en passant par son buste et en faisant un huit autour de ses seins, les faisant saillir comme elle l’a déjà subi à plusieurs reprises. Une fois bien liée à sa croix par le haut de son corps, je passe un autre jeu de cordes autour de ses chevilles en les faisant remonter dans son dos, ce qui fait reposer son poids seulement sur ses genoux, et en nouant ses cheveux tirés en arrière avec la même corde. Ainsi, elle souffrira de deux manières différentes : inéluctablement ses genoux sur le sol dur seront meurtris par son poids, certes léger, et la cambrure de ses reins avec sa tête forcée de rester en arrière, le regard vers le plafond, tirera sur plusieurs muscles et son dos. Elle est totalement immobilisée. J’en profite pour parcourir son corps et caresser sa poitrine qui recommence à être gonflée par ses liens, son ventre tendu par sa cambrure forcée, son sexe largement offert. Je caresse son clitoris suffisamment longtemps pour la faire mouiller, et je la pénètre de mon majeur quelques dizaines de secondes. Une fois qu’elle est bien excitée, je vais chercher un chiffon noir sur la table, que je passe autour de ses yeux pour l’aveugler. Puis ramène deux des grand projecteurs de l’autre côté de la pièce, que je place assez près d’elle, et que je branche à une rallonge.
« Je vais devoir te laisser car j’ai quelques préparatifs à effectuer pour ce soir. Mais comme je ne voudrais pas que tu aies froid, je t’ai placé devant deux projecteurs halogènes. Comme tu as les yeux bandés, tu ne les verras pas, mais tu ressentiras leur douce chaleur. Le première partie de la leçon traite de l’endurance. Je sais que tu es dans une position très inconfortable. Mais dis-toi bien que ça peut toujours être pire. Donc je veux que apprennes à dépasser ton simple inconfort physique et surmonter cela par ton esprit. Il n’y a qu’avec de l’entraînement que tu y parviendras ».
« Ne me laissez pas, Maître ! Qu’est-ce que j’ai fait de mal ?» implore-t-elle
Je la regarde d’un air surpris « Mais rien. Ce n’est pas une punition, mais un entraînement. Maintenant tais-toi sinon tu découvriras ce que le mot punition veut dire ! A tout à l’heure ». Elle referme sa bouche, et je la quitte sans un regard. Ce soir j’ai une invitée, et il faut quand même, même si le repas provient d’un traiteur, que je prépare quelques petites choses, en plus de la journée de demain.
Au bout d’une bonne demi-heure, je redescend et je trouve Gaëlle transpirant légèrement, mais sans doute plus de l’effort qu’elle fait pour déplacer la tension de ses muscles de ses épaules à ses genoux, successivement, que de la chaleur des spots, qui contrebalance juste la fraîcheur de la cave.
« Tout va bien ? Tu es bien installée ? »
« Non, Maître, vous le savez bien ! »
« Dans ce cas, que désires-tu ? »
« Que vous me détachiez, s’il vous plaît ! »
« Mauvaise réponse ! » je lui aboie dessus. « Une esclave n’a pas à avoir de volonté propre. Elle obéit à son maître, point. Donc tout ce que son maître veut, elle l’exécute. Et si son maître ne lui donne pas d’ordre, elle attend ! Tu vas donc comprendre pourquoi tout à l’heure je te disais que ce n’était pas une punition : la punition tu vas l’avoir maintenant. Mais comme c’est une première leçon, elle sera légère »
« Excusez-moi, Maître, je ne voulais pas… ! Je ne savais pas …. ! Ne me punissez pas » me répond-elle d’un air un peu paniqué
« Arrête : Tu aggraves ton cas ! Deuxième règle : lorsqu’une esclave va être punie par son maître, elle l’accepte, sans discuter. Sinon il renforce la punition. Est-ce que tu as bien compris ? »
« …Oui…Maître. J’ai bien compris » Elle s’abstient de tout commentaire supplémentaire.
Je vais chercher le vibreur électrique de ce matin avec un pied métallique réglable en hauteur, et je l’y attache. Il ressemble à un gros micro placé sur une mini-perche. Je place le tout entre les jambes écartées de Gaëlle, sans qu’il ne touche encore son sexe. Puis, en fouillant dans l’armoire, je récupère un martinet aux lanières souples, qui est censé infliger quelques douleurs mais sans laisser de marques sur la peau. Gaëlle est toujours aveugle et ne peut savoir quel sort je lui réserve. Je m’approche d’elle et m’intéresse à son sexe glabre en écartant ses petites lèvres. Je découvre ainsi le petit bonbon de chair que je caresse de mon majeur pour peu à peu écarter la calotte qui le protège. Je continue ma caresse jusqu’à ce qu’il soit érigé tel un petit pénis. J’approche alors très près le vibreur, que je mets en marche. Gaëlle sursaute une première fois en entendant le bruit vrombissant, puis une deuxième fois –beaucoup plus violemment et en laissant échapper un petit cri- lorsque le vibreur entre en contact avec son clitoris. Je fais en sorte que la tête ronde du vibreur soit bien entourée par la chair de ses lèvres intimes et que les vibrations lui soient transmises dans tout le corps à partir de son bouton de plaisir. Puis, une fois bien calée, je commence réellement la punition. Je commence les coups de martinet sur les parties les moins sensibles de son corps, comme son ventre, ses épaules, ses cuisses. Elle crie un peu, plus par surprise que par la douleur. Le vibreur continue son office entre ses jambes, et annihile une partie du choc des lanières contre sa peau. Elle commence à s’échauffer. Je le constate car sa respiration s’accélère et sa bouche s’entrouvre. Je décide de briser sa concentration en lui donnant cette fois des coups de martinet sur ses seins, ce qui la fait hurler vraiment, car ils sont prisonniers des cordes depuis assez longtemps pour les rendre hypersensibles. J’arrête mes coups pour la laisser récupérer et reprendre son souffle. Le vibreur reprend son avantage sur son sexe désormais bien ouvert et avide de sa caresse. Je la punis là où elle tire son plaisir : directement sur son sexe. Elle ne s’y attendait pas et hurle à nouveau. Quelques coups vicieux atteignent son pubis puis la cinglent près de son clitoris. J’alterne ainsi durant plusieurs minutes les moments de répit et les coups sur son torse, ses genoux, son ventre, ses cuisses, sa poitrine, son sexe. A plusieurs reprises elle a crié de douleur, et ne parvient pas à tirer parti des vibrations qui contribuent à la montée de son plaisir. Son pubis est rougi, et en même temps de la cyprine s’écoule sur la tête du vibreur. Je lâche le martinet et je vais chercher une fine baguette souple
« Mais on dirait que tu mouilles malgré tout, petite salope ! Je vais te faire passer l’envie, moi ! »
Ses plantes de pieds font l’objet de mes attentions : de par sa position, elle me les offre largement. Je les cingle de plusieurs coups de baguettes. Elle crie à nouveau, n’ayant jamais été frappée à cet endroit. Elle ressent comme une marque de feu à chaque coup et recroqueville ses pieds, mais ne peut éviter les coups suivants.
« Aïe ! J’ai trop mal ! Pitié, Maître ! Votre esclave sera obéissante ! Arrêtez de me frapper avec cette baguette ! Pitiééééé ! »
En réponse, je lui donne plusieurs coups sur le pubis et quelques uns –plus retenus – sur ses seins. Elle hurle à nouveau sa douleur. Puis je jette la baguette et je lui crie « Qu’est-ce que tu crois ? Bien entendu que tu va obéir ! Mais je ne veux pas que tu me fasses honte en implorant ainsi ma clémence : tu n’obtiendras en retour que plus de punition ! C’EST COMPRIS ? »
« Oui … Maître » hoquète-t-elle entre deux sanglots. Des larmes coulent sur ses joues malgré le foulard sur ses yeux, qui doit donc être déjà imbibé.
Je la laisse reprendre un peu son souffle …et profiter du vibreur qui continue inlassablement son office. Quand je constate que le plaisir a repris le dessus, je le coupe, ayant la satisfaction qu’un « Non ! » de frustration s’échappe de ses lèvres.
Je récupère la baguette à terre et lui enlève le foulard sur ses yeux, encore mouillés. Je lui essuie et lui tapote le visage « Ce n’est pas terminé. Comporte-toi correctement, je ne voudrais pas devoir t’infliger une vraie punition. Ce soir, je veux que tu m’obéisse au pied et à la lettre »
« Oui, Maître. Je suis à vous, Maître. »
« C’est une bonne réponse. Mais ce n’est pas suffisant pour terminer ton entraînement de cet après-midi. Néanmoins elle te vaudra une petite récompense ». Je détache la corde qui passe autour de ses seins, les libérant peu à peu et la soulageant ainsi d’une partie de sa souffrance, même si dans l’immédiate elle serre les dents et gémit lorsque le sang afflue à nouveau dans ses extrémités mammaires. Je les caresse un peu pour activer la circulation et elle pousse de petits cris de douleur car sa sensitivité est exacerbée. Pourtant je n’en ai pas fini avec elle.
Je détache à présent ses épaules et défait la corde qui relie ses cheveux à ses chevilles, et la soutient pour ne pas qu’elle tombe en avant brusquement. Je la dépose sur le sol après avoir écarté le vibreur et lui passe un harnais de visage avec bâillon boule incorporé. Elle écarte les lèvres en grognant, sachant qu’elle va sans doute encore souffrir. Elle préférerait sans doute que je me serve de sa bouche pour mon plaisir. Puis je la rattache un peu comme tout à l’heure, mais de manière plus lâche, afin que le poids de son corps repose sur le haut de ses cuisses, ses jambes pliées à nouveau, ses pieds attachés autour du tube vertical et reliés à l’arrière de son crâne via le harnais par la corde qui les maintient ensemble. Son sexe ouvert entoure le tube vertical. Dans une telle position, j’ai accès à l’ensemble de son corps à part son sexe. Je reprends le martinet et je commence à la fouetter un peu sur tout le corps, sur ses pieds, ses jambes, ses fesses, ses seins. Des cris étouffés me parviennent lorsque je touche cette dernière partie de son anatomie, signe qu’ils n’ont pas encore récupérés de leur traitement de ligotage serré. Après quelques minutes, je fais chauffer son postérieur à mains nues, et je lui administre une bonne fessée. A chaque coup, je constate que son sexe mouillé butte contre le métal du tube vertical, et la fait se frotter contre lui. Ainsi son clitoris et l’entrée de son sexe doivent s’écraser sur le métal froid –mais qui doit se réchauffer à la chaleur de son con- tandis que ses fesses ondulent sous mes claques. Je continue jusqu’à ce qu’elles soient bien rouges. Je m’arrête et je passe ma main sur sa fente : elle est trempée.
« On en profite pour mouiller ? Tu vas apprendre une troisième règle : une esclave ne jouit que lorsque son maître lui en donne la permission. »
Je la laisse quelques secondes pour ouvrir un tiroir de la table et en ramener une dizaine de pinces à linges que je lui montre « Ca, c’est pour tes seins, et pour te faire passer l’envie de jouir sans permission » Ses yeux s’écarquillent et elle tente de secouer sa tête, mais elle ne fait qu’aggraver la tension entre son crâne et ses pieds. Je commence par installer les pinces à linge sur son sein gauche. Les premières mordent simplement dans les chairs fines du sein, les suivantes autour du mamelon et la dernière sur le téton. J’entends avec satisfaction un « Mmmmfffff ! » qui accompagne l’installation de la pince de plastique. Je procède de même avec le sein droit. Je m’approche de son visage.
« Sois sage maintenant. Je vais m’absenter quelques dizaine de minutes. Mais je te laisse en bonne compagnie. N’oublie pas : interdit de jouir en mon absence ! »
Je remets en route le vibreur sur son pied métallique, que j’abaisse afin qu’il soit à la hauteur de son sexe. Mais je le positionne juste assez loin pour qu’elle ne puisse pas, comme tout à l’heure, s’écraser dessus, mais seulement l’effleurer, en tendant son corps tout entier. Ainsi, elle ne pourra expérimenter que quelques secondes de plaisir avant que son corps tendu comme un arc ne la rappelle à l’ordre et ne l’oblige à s’écarter pour détendre ses muscles. Je suis à peu près certain qu’elle n’arrivera jamais à rester suffisamment longtemps sur l’engin diabolique pour avoir un orgasme.
Je remonte les marches en me rappelant que mes caméras continuent d’enregistrer en continu tout ce qui se passe dans la cave, et qu’il me faudra des heures de travail pour effectuer un montage intéressant.
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