Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 37 J'aime
  • 7 Commentaires

Service clients

Chapitre 15

SM / Fétichisme
Jour 24 (5ème partie)
Après une nouvelle demi-heure, je reviens voir si mon esclave est toujours en forme. Elle semble fatiguer et ne fait même plus d’effort pour approcher son sexe du vibreur, elle a transpiré et des gouttes de sueur se son accumulées sur son cou, sous ses aisselles et sur son aine.
« J’espère que tu as retenu la leçon. NE JAMAIS CHERCHER A JOUIR SANS MON AUTORISATION ». J’examine son sexe : ses grandes lèvres sont largement ouvertes autour du tube métallique et l’entourent, ses petites lèvres sont écartées et rougies du frottement à plusieurs reprises contre le vibreur. Je passe deux doigts sur son clitoris qui durcit aussitôt, et le frotte quelques instants. Sa respiration s’accélère et elle halète rapidement. Je m’arrête alors et elle ouvre des yeux implorants en croisant mon regard. Je lui rappelle d’une voix plus douce « JE décide si c’est le moment pour toi de jouir. Et ce n’EST PAS le moment. Tu dois l’accepter, tu dois t’abandonner à moi pour ça aussi. Et tu ressentiras encore plus de plaisir lorsque je t’autoriserai un orgasme. Fais-moi confiance. »
Pour toute acceptation, elle ferme les yeux. Je le prends comme une marque de soumission. En récompense, je lui caresse la joue et je retire les pinces à linge de sa poitrine, celles des tétons en dernier, ce qui tend son corps dans un arc de douleur. Puis je calme les mamelons en les massant doucement et en les prenant successivement dans ma bouche pour les lécher et les suçoter. Ses seins sont assez menus mais encore fermes, et c’est un plaisir de les sentir palpiter entre mes lèvres, les pointes érigées par leur double traitement.
Je détache ensuite ses liens un par un en terminant par le harnais de visage, et je la laisse à genoux. Elle ne cherche pas à se relever. Je range les affaires et je reviens vers elle. Elle s’approche de moi et frotte son visage contre mon pantalon. Je tapote son visage et caresse ses cheveux, comme on ferait d’un chien obéissant. Elle me jette des regards interrogateurs, attendant mes instructions. Cela me donne une idée.
Je la regarde en la montrant de l’index « Reste comme ça ne bouge pas ». Je vais à l’armoire et je prends quelques accessoires. Puis je reviens vers elle et jette devant elle mon attirail.
Je lui ordonne « Enfile ça ! ». Elle jette un regard sur les habits en cuir en vrac et s’assied pour commencer par les cuissardes à hauts talons. La pointure est juste en-dessous de la sienne, afin que ses pieds soient un peu comprimés à l’intérieur et qu’elle ne puisse pas marcher vite. Puis elle doit se mettre à genoux pour enfiler le bustier qui ne gaine que son ventre et qui laissent libres et accessibles son sexe et sa poitrine, en soutenant cette dernière afin qu’elle soit pigeonnante. Enfin elle reste perplexe devant le dernier accessoire : il s’agit d’un collier en cuir, terminé par une longue lanière. Puis elle rougit en comprenant son usage : il s’agit d’une laisse ! Elle le passe néanmoins et attend.
Je la regarde avec gourmandise, le cuir lui va si bien et me donne envie d’elle à nouveau. Je vais chercher une cravache dans l’armoire et revient en cinglant l’air
« Je vais t’apprendre une nouvelle position de soumission. Lorsque tu es à genoux, tu dois écarter les cuisses. Voilà, comme ça. Puis tu mets tes bras derrière ton dos, comme lorsque tu es debout. Bien. Cela fait davantage ressortir ta poitrine et te fais un dos droit. Enfin, tu attend dans cette position les ordres de ton maître. N’oublie pas : ton maître te dit quoi faire, quand le faire et comment le faire. Acceptes-tu cela ? »
« Oui, Maître » répond-elle sans hésiter
« Pourquoi ? » lui demandès-je pour vérifier sa compréhension autant que son degré de soumission
« Parce que …ça …m’excite ! » avoue-t-elle.
« Intéressante réponse … mais ce n’est pas la bonne ! » je finis la phrase en haussant le ton et cinglant l’air juste sous son nez avec la cravache. Je vais chercher un tabouret posé à côté de la table et le pose devant Gaëlle, et je m’y assied. Je prend ses tétons entre le pouce et l’index de chacune de mes mains, et je lui dis

« Je te le redemande : Pourquoi acceptes-tu de faire ce que ton maître te demande ? »
Elle réfléchit quelques secondes avant de reprendre
« Parce que …j’aime vous faire plaisir »
Je pince fortement les deux tétons entre mes doigts, lui arrachant un « Aïïeee » de surprise autant que de douleur. Je la gronde « ce n’est toujours pas la bonne réponse, même si on s’en approche un peu plus. Je te le redemande une troisième fois : pourquoi acceptes-tu tout ce que ton maître te demande ? »
« Aïe…parce que… ssss.....c’est ce que vous voulez, c’est votre volonté ! »
Je relâche aussitôt la pression, sans pour autant lâcher les tétons.
« Bien ! Tu vois, avec un peu de stimulation, tu arrives à te concentrer davantage ! Si tu m’es totalement soumise, ta seule volonté est de m’obéir. Maintenant, si nous poursuivons cette logique, et que je pars du principe que tu m’obéis en tout, pourquoi devrais-je te punir à certains moments ?»
« …Pour …me rappeler les règles ? Aïe, non ! »
J’ai aussitôt commencé la pression sur ses tétons. Elle garde néanmoins les mains sur ses coudes, derrière son dos, et ne tente pas de déplacer mes mains de ses seins.
« Je repose la question : pourquoi te punirais-je même si tu m’obéis parfaitement ? »
« Parssssse que …..c’est vous qui décidez ! »
« Bien ! » je suis surpris qu’elle ait compris si vite et je relâche une nouvelle fois la pression. « Effectivement, si je te punis, c’est ma décision, et tu n’as pas à te demander pour quelle raison, seulement à accepter ta punition. Bien, nous allons maintenant effectuer une petite promenade »
Je prends la laisse et je commence à m’éloigner de Gaëlle, toujours à genoux. Aussitôt elle se lève pour me suivre. Je l’arrête d’un léger coup de cravache sur les cuisses, qui la stoppe net. « T’ai-je dit de te lever ? Non, nous allons nous promener comme un maître promène son esclave : JE suis debout et TU es à quatre pattes ! ». Je la regarde dans les yeux. Elle baisse le regard après m’avoir dévisagé pendant une seconde. Puis, lentement, elle se baisse pour se mettre à quatre pattes. De la voir ainsi, de cuir vêtue, les fesses et les seins à l’air, avec son collier de chienne, me donne une érection naissante. Celle-ci se confirme lorsque je tire doucement sur la laisse et qu’elle se laisse mener, avançant avec ses mains et ses genoux. Je lui fais faire le tour de la cave, ce qui dure quelques minutes. Puis je décide de monter les marches, lentement afin qu’elle puisse suivre malgré les cuissardes et les marches assez étroites. A un moment elle fait mine de se lever un peu pour mieux grimper, je l’en dissuade d’un coup de cravache sur ses seins, qu’elle a de fait exposés en redressant son buste. Arrivés au rez-de-chaussée, je lui fais faire un tour dans le salon.
« Ta promenade te plaît ? Tu n’as sans doute jamais vu une maison à ce niveau, n’est-ce pas ? C’est une perspective intéressante, autant pour toi que pour moi. Tu es belle comme ça, tu le sais ? Oui, je suis sûr que tu le sais. Ebroue-toi un peu, voilà, comme ça. Oui ! Ca fait remuer tes seins, c’est excitant ! Viens, on va faire une pause. »
Je la conduis jusqu’au tapis du salon, où se trouve une table basse carrée.
« Monte sur cette table, à genoux, en te tournant vers la cheminée, et prosterne-toi, les mains sur tes fesses »
Pendant qu’elle m’obéit, je déplace un peu le fauteuil dans lequel j’ai fait ma sieste mémorable afin qu’il se trouve devant son cul offert.
« Ecarte tes fesses avec tes mains ! »
Je suis étonné de la rapidité avec laquelle elle a intégré sa nouvelle condition, et par son obéissance sans discussion à mes ordres les plus humiliants. Elle place ses mains bien à plat sur ses fesses et s’écarte pour me laisser découvrir son anatomie intime. Je constate, à la manière dont s’écartent un peu ses lèvres vaginales, que la situation l’excite. J’en obtiens la confirmation lorsque je pose un doigt à l’entrée de son vagin et que je l’enfonce doucement. Il ne rencontre guère de résistance dans les premiers centimètres.
Je siffle « Mais c’est que tu mouilles ! Tu aimes ça, d’être traitée comme une chienne en laisse et d’être promenée dans toute la maison ? Et ça aussi, tu aimes, je crois » tout en parlant, je fais des lents va et vient avec mon majeur et je caresse son clitoris qui s’offre à moi, provoquant une lubrification plus importante au fur et à mesure de mon mouvement. Ses mains se crispent sur ses fesses pour les maintenir ouvertes. Je continue mes mouvements lentement, trop lentement pour qu’elle puisse jouir mais assez pour que son plaisir monte peu à peu. Je sens sa respiration s’accélérer, ses yeux doivent être fermés. Elle est offerte sur cette table, à genoux et prostrée en avant, tel un bibelot de chair, et je la fouille et la caresse à mon rythme. Au bout de quelques minutes, je décide d’explorer une partie de son intimité qui n’a pas encore fait l’objet de mes attentions. Peu à peu, je remonte mon doigt plein de mouille sur sa fente culière, sans l’atteindre, puis je redescend et m’introduit à nouveau dans son sexe. Puis je recommence, une fois, deux fois, trois fois, à chaque tentative je m’approche davantage de son petit trou et elle doit se douter de ma destination finale. Ses mains se crispent un peu plus mais ne lâchent pas prise. Puis vient le moment où j’atteins enfin mon objectif. Mon doigt se pose sur la petite entrée brune, à l’heure actuelle fermée. Il pousse un peu, et rencontre de la résistance. Il n’insiste pas et revient se nicher dans la cavité humide qui l’accueille avec soulagement. Pourtant il n’y reste pas longtemps et revient faire une incursion devant l’entrée récalcitrante. Cette fois il insiste davantage et arrive à passer la première phalange, au prix d’un grognement de la gardienne du lieu. Une fois dans la place il se laisse enserrer et bouge à peine un peu, pour que son environnement s’habitue à lui. Je l’aide en prenant le manche de la cravache et en l’introduisant peu à peu dans le sexe offert et maintenant mouillé, puis en lui imprimant des mouvements de va et vient. Ma respiration s’accélère un peu, mais moins que la sienne, qui halète à nouveau. Peu à peu, mon doigt reprend son exploration dans son anus, et s’enfonce un peu plus, un peu plus, encore un peu plus.
Distraite par le plaisir ressenti dans son vagin, Gaëlle s’est détendue et s’est laissée envahir dans son orifice sans doute encore vierge, jusqu’à ce que je ne puisse aller plus loin. Pour en être certain, je lui demande, en arrêtant mes mouvements : « Il semblerait que tu aimes ce que je te fais, je me trompe ? »
« Non, Maître, c’est boonn ! Ne vous arrêtez pas, s’il vous plaît ! »
« Justement, je recommencerai lorsque tu auras répondu à ma question : as-tu déjà goûté aux plaisirs de Sodome ? »
« N…non, Maître »
« Aucun de tes amants n’a essayé de te prendre par là ? »
« Si…mais je n’ai jamais voulu »
« Tu es donc vierge de cet orifice. Avec moi, tu sais que tu n’auras pas le choix : la question n’est pas de savoir si je te sodomiserai, mais quand je le ferai. »
« Oui, Maître » répond-elle d’une voix soumise.
« C’est bien. Tu as mérité une petite récompense » Je reprends ma double caresse, en faisant onduler mon doigt dans son anus, tout en recommençant de la branler avec le manche de la cravache. Quelques minutes plus tard, Gaëlle ne peut s’empêcher de gémir de plaisir et mouille tant qu’elle peut. Je retire mon doigt de son cul ainsi que le manche, elle ne peut s’empêcher de laisser échapper un « Nooon ! ». Aussitôt je lui donne une bonne claque sur chaque fesse.
« Comment oses-tu ? Tourne-toi vers moi, mets-toi dans la position que je t’ai apprise, à genoux, jambes écartées, bras dans le dos ! » Ma voix s’est durcie instantanément. Elle se tourne lentement vers moi, sortant de son nuage de plaisir, et prends la pose demandée. Son sexe est toujours accessible et de la cyprine s’écoule un peu sur le haut de l’intérieur de ses cuisses.
« Pour ta peine, tu vas nettoyer les instruments de ton plaisir ». Je tends la cravache par le bout, lui présentant le manche devant la bouche. Elle sait ce qu’elle doit faire pour se racheter. Elle ouvre la bouche et je l’enfourne sans ménagement. Elle a un léger mouvement de recul, que j’accompagne avec la tige. Une fois bien en bouche, je tourne plusieurs fois l’instrument en lui ordonnant de bien lécher partout pour remplacer les traces de mouille par sa salive. Une fois bien léchée, je retire la cravache et l’essuie sur ses seins. Puis j’approche mon doigt odorant de sa bouche. Cette fois elle ne peut s’empêcher de reculer franchement le buste, en grimaçant. Lorsque j’approche mon doigt à hauteur de sa bouche, elle fronce le nez et reste les lèvres pincées.
Je lui ordonne d’un ton impérieux « Ouvre la bouche et suce ! ». Elle recule la tête et la secoue en dénégation. Je lui répète sur le même ton : « Suce mon doigt ! ». Elle garde les lèvres pincées et murmure un « non ! » dégoûté.
« Ah tu veux jouer à ça ….Très bien, suis-moi ! »
Je prends la laisse et tire dessus en me levant. Déséquilibrée, elle tente de me suivre en se mettant debout. J’attendais sa réaction et je cingle son bas-ventre d’un coup de cravache en lui criant « A quatre pattes ! Tu as donc tout oublié en si peu de temps ?! La prochaine fois tu t’en prends deux de plus sur le sexe ! ». Elle comprend qu’elle n’a pas intérêt de pousser trop loin et se met aussitôt sur le sol, sur ses mains et ses genoux. Sans ménagement, je la conduis jusqu’aux escalier de la cave, et je la maintiens dans la même position devant les marches afin qu’elle n’ait pas la tentation de se relever.
« Tu as intérêt à faire attention sinon tu vas dégringoler jusqu’en bas. Mais tu descends à quatre pattes, n’essaie pas de te relever ou il t’en cuira »
Elle pose ses mains sur les premières marches, mais s’aperçoit rapidement que si elle tente de descendre la tête la première elle va glisser et se casser la figure. C’est pourquoi elle change de tactique et se met en arrière, en descendant une par une les marches. Je l’encourage en lui donnant des coups de cravache sur les fesses mais sans tirer sur la laisse pour ne pas la faire tomber. Lorsqu’elle parvient en bas, son postérieur est rouge, et ses genoux sont à vif d’avoir frotté sur les marches en béton dur. Je la mène vers la partie gauche de la cave, la moins éclairée.
« Enlève tes botte ! » Elle m’obéit aussitôt, trop heureuse de se débarrasser de ces cuissardes qui comprimaient ses jambes et ses pieds.
« A genoux en position ! » Elle se met sur ses genoux, jambes écartées et bras dans le dos, et attend. Je me dirige vers la partie droite de la cave et revient en portant un banc de gymnastique, dont deux des pieds sont prolongés par des barres verticales jusqu’à deux mètres de hauteur. Je pose le banc près de l’armoire et de la table, pour m’éviter d’inutiles aller-retour, et je lui ordonne de s’y coucher, les fesses à la limite de l’extrémité du banc. J’attache tout d’abord ses bras, chacun à un pied du banc. Puis je passe une autre corde à hauteur de son plexus pour bien l’immobiliser. Enfin, j’attache ses chevilles chacune à une des barres verticales. Son corps ne fait donc plus qu’un avec le banc, sauf ses jambes qui forment un V et qui sont à la perpendiculaire de son bassin. Ainsi liée, elle m’offre autant son cul que son con, et je compte bien en profiter. Je prends un écarteur de mâchoire que je place dans sa bouche, pour lui maintenir son orifice buccal grand ouvert. Elle n’apprécie pas trop et tente de me le faire savoir mais elle ne produit que des « hon hon » ou des « han han ». Une petite gifle et un « tais-toi » la stoppent net. Elle pensait sans doute que j’allais en profiter pour introduire de force mon doigt toujours odorant dans sa bouche. Elle se trompe lourdement, j’ai bien pire en préparation pour elle.
Je prends un très gros entonnoir que je fixe en hauteur à une cale de bois elle-même attachée à une des barres verticales qui est liée à une de ses jambes. Je fais en sorte qu’il soit à peu près droit, et je passe en force un tuyau souple assez long, qui pend presque jusqu’au sol. De temps en temps Gaëlle relève la tête, par curiosité, mais elle ne comprend pas encore le but de ces préparatifs. Au bout du tuyau, j’insère une canule dont l’extrémité libre est plus fine que l’autre bout. J’ouvre l’armoire et en sort un bidon de plusieurs litres sur lequel est inscrit « Glycerol buvable » et le pose par terre, entre les jambes de ma victime. J’ouvre le bouchon et y trempe l’extrémité de la canule, pour la lubrifier. Puis je pose le bout de la canule sur l’anus sans défense.
Gaëlle comprend alors le destin qui l’attend et commence à s’agiter dans ses liens. Mais elle est attachée suffisamment serrée pour que ça ne fasse que bouger un peu le banc.
« Arrête de bouger ! » elle continue de remuer les fesses pour que je ne puisse pas correctement viser, et laisse échapper des protestations inintelligibles« Ca suffit ! » Je me suis levé et suis revenu avec un martinet. J’ai commencé aussitôt à lui en appliquer plusieurs coups sur le sexe ouvert et en ai retiré des cris de douleur. « Tu vas te tenir tranquille, maintenant ? »
Elle essaie de me répondre par l’affirmative (du moins c’est ce que je comprends) et ne bouge plus. Je dépose le martinet au sol et reprend la canule en main. Elle a changé de tactique et je constate qu’elle contracte ses muscles afin que son œillet soit bien fermé. Je pose l’embout dessus et commence à pousser un peu. Elle continue de résister. Je décide de commencer par la méthode douce, et je chatouille l’intérieur de ses cuisses, son aine, et même l’entrée de son vagin. Elle ne peut s’empêcher de se contracter et de pousser des petits cris, puis de relâcher ses muscles. Je guette ce moment et enfonce un bon centimètre de la canule, aidé par la glycérine qui l’enduit. Je continue ma poussée en la chatouillant à nouveau. Son pertuis s’écarte devant l’intruse, et elle proteste avec des « hon ! Hon ! Ha cha ! » mais je n’en tiens aucunement compte et continue ma progression. Elle doit avoir l’impression d’un très gros suppositoire qui s’enfonce dans son fondement, puis qui continue sa progression dans ses entrailles. J’ai passé la zone où elle pouvait facilement se contracter, et la canule est désormais fichée dans son colon. Il n’y a plus que son extrémité du côté du tuyau qui dépasse un peu. J’arrête la progression, satisfait : elle ne pourra l’enlever.
« Tu es prête maintenant à une expérience sans doute nouvelle : je vais te faire un lavement. Visiblement tu ne supportes pas ce qui sort de ton cul, ça te dégoûte. Nous allons donc faire en sorte que ton corps soit également nettoyé à cet endroit. J’avoue que ton manque de coopération va te valoir une punition : ça aurait été plus agréable si j’avais employé un liquide à la température de ton corps, voire un peu plus chaud. Là, tu vas avoir l’impression de geler de l’intérieur, mais je compte sur toi pour le réchauffer ! »
Ses yeux se sont écarquillés d’effroi pendant que je parlais et elle secoue la tête et se met à essayer de s’exprimer malgré son écarteur. Je comprends vaguement qu’elle demande que je la détache, que j’arrête, elle supplie, elle implore, mais pour toute réponse je reprends le martinet en main et la menace avant de la fouetter quelques secondes pour la calmer. Puis je prends le bidon de glycérine et commence à le déverser dans l’entonnoir. Le liquide coule lentement le long des parois puis descend le long du tuyau pour enfin atteindre la canule. Gaëlle a pu suivre sa progression tout le long car le tuyau est translucide, malgré la luminosité assez faible. Quand le liquide commence à couler dans ses entrailles, elle se raidit. Je sais que, pour être agréable, un lavement doit être administré à la température du corps. Et c’est encore mieux un peu plus chaud, vers 40°C. Mais si on injecte un liquide froid dans le fondement d’une personne, de plus inexpérimentée dans le domaine, elle ressent une sensation atroce, son ventre se fige, comme s’il devenait de pierre. Cela la fait frissonner généralement des pieds à la tête, le liquide monte dans les intestins et partout où il passe, ce n’est que glace et douleur. Certains s’imaginent même que leur sang se glace dans leurs veines. Gaëlle ne fait pas exception à la règle : lorsque la glycérine à la température de la pièce commence à réellement couler dans son colon, elle se met à hurler comme une folle en agitant la tête. Elle ne pouvait pas imaginer une telle sensation, comme si elle gelait de l’intérieur peu à peu. J’ai prévu deux litres, et je les passe peu à peu dans le tuyau, en massant le ventre de Gaëlle en mouvement circulaires. Son corps est recouvert de chair de poule. Elle s’est un peu calmée, mais ne peut s’empêcher de frissonner devant la sensation de prise de possession de son corps. Lorsque le liquide est entièrement passé par son anus, je prends un plug dans ma main et retire doucement la canule. Puis je la remplace par le plug, mais celui-ci est plus gros et passe difficilement malgré la glycérine qui tapisse son anus. Je force et lui arrache un nouveau cri, mais finalement il s’engouffre dans les chairs distendues et bouche son orifice. Je suis à genoux entre ses jambes écartées, et je contemple son ventre distendu.
« On dirait presque que tu es enceinte. Maintenant, pour que tu sois parfaitement nettoyée, il va falloir que tu gardes tout ça en toi une vingtaine de minutes. Tu vas ressentir d’énormes crampes en étant obligée de te contenir si longtemps. C’est pourquoi je te propose de te distraire un peu pendant ce temps. »
En finissant ma phrase, j’ai enduit ma main des restes de glycérine qui s’écoulaient par la canule et j’ai introduit deux doigts dans son vagin, le pouce me servant à caresser son clitoris. Je me mets à la caresser et à la branler comme tout à l’heure, sauf que de deux je passe à trois doigts. Puis à quatre. Ses chairs se distendent, ses sucs intimes se mélangent à la glycérine et elle ne sait plus si elle doit gémir du plaisir qui provient de son sexe ou des douleurs de ses entrailles. Je mets ma main en poinçon et j’essaie de la pénétrer entièrement, mais je n’y parviens pas : elle est trop étroite et pas encore assez élargie par mes mouvements. Je décide alors de plutôt caresser ses parois vaginales, autant l’antérieure que la postérieure. Je déclenche des vagues dans son ventre, qui se répercutent dans ses entrailles, et qui lui arrachent des cris à moitié de plaisir à moitié de douleur. Je continue à la travailler ainsi pour l’amener au bord du plaisir mais lorsqu’elle s’en approche de trop je lui rappelle ses douleurs intestinales , ce qui la déconcentre totalement. Finalement, je la détache, en commençant par ses bras, puis en finissant par ses jambes. Elle tient à peine debout devant les crampes qui la plient en deux. Je lui ai également enlevé l’écarteur de mâchoires, elle s’en est à peine aperçue, entièrement concentrée sur la douleur dans son ventre. Je la prends dans mes bras pour la monter directement au premier étage, et je la dépose sur la cuvette des WC. A elle d’enlever seule le plug, je l’y autorise verbalement, et j’attends derrière la porte. Un cri et un bruit de liquide giclant dans la cuvette m’indiquent qu’elle a réussi. Lorsque elle tire la chasse d’eau, au bout d’une bonne minute, je lui ordonne de sortir sans plus attendre. Dès qu’elle me voit elle se jette sur moi en me criant « salaud ! » et me refaisant une crise comme ce matin dans le salon. Je la maîtrise en grondant « ça suffit ! ».
Je tiens ses poignets entre mes mains, et je les passe dans son dos, l’obligeant à se coller à moi. Je lui répète, en approchant mes lèvres de son oreille et sur un ton plus doux « Ca suffit. Tu vas te calmer maintenant. Tu sais que tu ne dois pas refuser un de mes ordres. Tu as voulu tester les limites, tu les as trouvées. Il fallait que je te punisse durement, je voulais que tu comprennes bien ce qui t’arriverait, à chaque fois que tu ferais la forte tête. »
Elle sanglote entre mes bras « Jamais je n’ai ressenti une telle sensation, j’ai cru geler de l’intérieur, et ces crampes ! Ca faisait horriblement mal ! Mais vous vous en foutez ! »
« Non, au contraire, mais il fallait que tu comprennes que jamais, j’ai bien dit jamais, tu ne dois refuser un de mes ordres. Tu es allée trop loin maintenant pour revenir en arrière. Regarde-moi dans les yeux : est-ce que tu obéiras sans discuter dorénavant ? ». Je recule ma tête pour croiser son regard.
Elle soutient mon regard quelques secondes, d’abord d’un air encore furieux, les sourcils froncés, puis ses traits se détendent, et enfin elle baisse les yeux. D’une voix mal assurée, elle répond « Vous savez que je vous obéirai. Mais je ne suis pas prête à tout »
Je la reprends instantanément « Pas encore. Mais ça viendra ! »
« N..non ! »
« Oh si ! Et sois assurée qu’à chaque fois, si tu ne te soumets pas de suite, la leçon sera désagréable à retenir. Mais tu la retiendras. Tu peux me faire confiance. Viens maintenant, nous retournons en bas, nous n’avons pas tout à fait fini ta leçon »
« Q..que …voulez-vous dire ? »
« Tu verras » et je l’entraîne par la main dans les escaliers.
Elle ne peut s’empêcher de résister un peu en suppliant « Non…pas encore un lavement ! »
J’éclate de rire en continuant de la tirer par la main « Non, ne t’inquiète pas : pour le lavement, c’est terminé ». Je sens alors sa résistance mollir et elle se laisse mener jusqu’à la cave une nouvelle fois. Le banc et tout l’attirail sont encore sur place. Je lui ordonne de prendre les cordes et l’écarteur de mâchoires et de me suivre dans le côté « gymnastique ». Elle semble soulagée de passer dans cette partie, mieux éclairée et ressemblant moins à une salle de torture. C’est pourquoi elle m’obéit sans discuter lorsque je lui indique de se coucher sur un banc de musculation en forme d’escalier. Ses genoux reposent sur des supports rembourrés et sont écartés de quelques dizaines de centimètres. Son ventre et sa poitrine sont horizontaux et reposent sur la partie supérieure du banc. Je lie ses bras dans son dos, les avants-bras l’un contre l’autre. Puis je veille à ce que son ventre soit bien fixé au banc, ainsi que ses mollets. Enfin, je ramasse l’écarteur de mâchoire et me place devant elle. « Ouvre la bouche ! » Elle me sonde du regard puis baisse les yeux devant mon air déterminé et écarte ses lèvres. Je place l’appareil métallique qui lui maintient la bouche grande ouverte et lui donne un air un peu grotesque. Je lui tapote la joue gauche pour lui signifier que je suis satisfait de son obéissance. Puis je caresse son visage de mes deux mains, ses cheveux. J’introduis deux doigts dans sa bouche et l’explore en caressant sa langue, ses gencives, son palais. Elle a un petit haut le cœur lorsque je touche sa luette. Je retire ma main pour la poser sur mes boutons de jean et les défaire un par un devant son visage, puis extraire mon sexe à moitié tendu de son carcan de tissu. Je l’approche de sa bouche et l’introduis dans cette cavité chaude et humide, en passant la barrière métallique. Cet anneau qui empêche sa bouche de se fermer me permet d’aller et venir à ma guise mais la sensation n’est pas extraordinaire car il ne lui permet pas du coup de me sucer réellement. Tout juste peut-elle passer sa langue sur mon membre. A cet instant, ce n’est pas ce que je recherche. Seulement me lubrifier un peu et de manière agréable, et bien raidir ma queue. Ainsi, au bout de quelques secondes de ce petit jeu, je me retire et vais me positionner derrière elle. J’écarte ses fesses de mes mains pour que son petit trou soit bien visible et légèrement ouvert. Elle comprend vite où je veux en venir et s’écrie « Hon ! Ha cha ! »
« Mais si ma belle, tu es peut-être vierge par cet orifice mais plus pour longtemps ! ». Mon gland se pose à l’entrée de son anus encore graisseux du contenu de ses intestins, et je lui permets de commencer son intromission en maintenant ses fesses largement écartées, ainsi que l’entrée de son cul du bout d mes doigts. Je m’enfonce assez facilement de plusieurs centimètres, et lui arrache un cri de surprise autant que de douleur. Elle est étroite mais son corps se laisse envahir sans trop de difficulté, trahi par la glycérine. Je continue de pousser, et de m’enfoncer dans son fondement, millimètre par millimètre. La sensation est extraordinaire, mon sexe est serré comme dans le vagin d’une vierge. Elle essaie au début de résister mais le lubrifiant a fait son effet, et je pousse encore plus fort. Elle ne peut maintenir ses muscles en contraction si longtemps et je continue ma progression au moindre relâchement. Finalement, mes poils pubiens atteignent l’orée de son anus et je savoure cet instant, alors que Gaëlle n’a cessé de pousser des râles durant toute la durée de son viol anal. Elle bave copieusement, ne pouvant fermer sa bouche. Je caresse son clitoris pour la détendre, tout en restant planté en elle. Au bout de quelques dizaines de secondes, je sens qu’elle ressent les premiers émois et qu’elle commence à sentir monter son plaisir. Je continue à rouler son petit bouton entre mes doigts, et peu à peu ses râles initiaux se sont transformés en gémissements de plaisir. Je commence à bouger un peu dans son cul, en commençant par des va et vient limités, que j’augmente en intensité progressivement. Je persiste à la câliner de mes doigts, en commençant à l’enculer franchement. Ma queue est enserrée mais pilonne son cul en ressentant un maximum de sensations. Ce cul qui est désormais franchement offert et qui fait ressentir pour la première fois à Gaëlle un plaisir différent, où la douleur s’est effacée pour faire place à une sensation de remplissage de son corps, de prise de possession totale. Elle m’appartient totalement, elle le sait mais je veux lui prouver que, quelque soit ce que je lui ordonnerai, elle devra s’y soumettre, même si ça la répugne de prime abord. Après quelques coups de boutoir supplémentaires, je me retire totalement. Son anus reste ouvert, comme pour regretter mon départ. Il me reverra bientôt.
Je me place devant elle, la queue rougie des efforts qu’elle a produit et luisante des lubrifiants qui tapissent ses entrailles.
« C’est là que tu vas regretter de ne pas avoir sucé mon doigt tout à l’heure, quand tu en avais la possibilité ». Elle me regarde et comprend à son air horrifié quel est mon projet. Elle secoue la tête dans tous les sens en m’invectivant à nouveau autant que sa bouche grande ouverte lui permet. Je prends sa tête entre mes mains pour la bloquer et approche lentement mon phallus de la cavité béante. Sa respiration s’accélère et elle pousse des petits cris. Mon gland a passé la barrière de métal et elle tente de le repousser avec sa langue. Sans le savoir elle m’excite encore plus et surtout met en contact sans le vouloir sa bouche avec mon sexe encore dans son cul quelques secondes auparavant. Je continue de la pénétrer plus avant, jusqu’à atteindre l’entrée de sa gorge, avant de faire en sorte de bien mettre en contact toute la longueur de mon membre avec son palais, ses joues, sa langue. Elle exprime son dégoût en ayant plusieurs haut le cœur, et finit même par vomir en me laissant à peine le temps de me retirer vivement avant qu’un jet nauséabond se répande devant le banc, entre mes pieds. Elle est secouée de soubresauts et crache plusieurs fois encore, ce qui me fait rapidement débander. D’autant que l’écarteur l’a empêchée de refermer la bouche et que des vomissures se sont déposées sur son menton et ont coulé dans son cou.
Cela ne me dérange pas outre mesure, l’objectif étant atteint, et je ne m’en cache pas tout en la détachant : « Ce n’est pas grave. Ce n’est que la première fois. Tu t’y habitueras. D’autant que je sais que tu as apprécié ta sodomie, n’est-ce pas ? ». J’essuie son menton et son cou et j’enlève l’écarteur avant de finir de détacher ses mollets mais elle ne me répond pas pour l’instant. Elle doit certainement analyser son conflit intérieur, entre son dégoût et son plaisir, sa volonté qui l’abandonne et qui est remplacée par un désir d’obéir.
Diffuse en direct !
Regarder son live