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Chapitre 20

SM / Fétichisme
J’avais bien fait de placer une caméra avec fonction « Night shot » dans l’escalier. J’ai pu assister, tranquillement, à ses pitoyables tentatives de se maintenir le plus haut possible sur la rampe. La lubrification de celle-ci était une idée diabolique, car tout centimètre gagné est très rapidement reperdu à cause de la pente, son corps glissant inexorablement.
Je dois reconnaître que sa force de caractère m’impressionne car, malgré tout, elle lutte durant plus d’une heure. Mais l’absence de nourriture, la fatigue, l’absence de repères à cause du noir dans lequel elle est plongée ont raison de ses forces qui l’abandonnent. Les muscles de ses bras tressaillent encore lorsque je repère qu’elle s’empale peu à peu. Je vois l’énorme phallus l’embrocher, écarter ses fesses et s’enfoncer de plus en plus loin dans son ventre. Elle doit souffrir malgré la progression lente et la lubrification, car les chairs de son vagin n’ont jamais du être autant éprouvées dans leur élasticité. Finalement, lorsque le processus s’achève, elle doit avoir une bonne trentaine de centimètres dans son sexe ! Elle a à peine la force de remonter de quelques centimètres mais elle abandonne bientôt, car tout centimètre gagné est rapidement reperdu. Obturée par tous ses orifices et laissée à l’abandon, elle ne peut que subir, sans espoir d’amélioration. Je ne sais pas ce qui est le plus terrible : la douleur dans ses mâchoires, ses seins dont les tétons sont écrasés, ses conduits dilatés ou l’absence de repère temporel. Toujours est-il que j’ai décidé de la laisser une partie de la nuit ainsi, pour qu’elle comprenne une nouvelle fois que son intérêt est dans l’obéissance aveugle. Après m’être délecté encore un moment des images maintenant fixes, je décide d’aller me coucher. Je mets le réveil à deux heures du matin, heure à laquelle je décide que ce sera la fin de sa punition.
Lorsque ce dernier sonne, j’ai un peu de mal à émerger et je mets plusieurs secondes à me remémorer pourquoi je dois me lever en pleine nuit. Puis la vision de Gaëlle s’impose à mon esprit et je descends dans l’escalier torse nu et en caleçon. Lorsque j’allume la lumière dans la cave, deux yeux rougis m’accueillent comme le Messie, implorants. Je m’approche d’elle, et je caresse son dos puis ses fesses, constatant qu’elle est totalement emplie par le phallus artificiel. Elle gémit pour me signaler –sans doute- qu’elle fera tout ce que je veux si je la libère. « Oui, je vais te libérer. J’espère que tu as compris pourquoi j’ai du te punir et que tu m’obéiras sans discuter. La prochaine fois, bien entendu, ce sera encore un cran au-dessus. »
Je retire d’abord les pinces de ses seins, laissant ses tétons aplatis et tuméfiés. Puis je détache ses jambes, et ses bras. Je la tiens fermement pour la retirer doucement de son pal –laissant son sexe largement béant- et la prendre dans mes bras. Elle est encore bâillonnée et totalement épuisée. Elle se laisse aller, comme une poupée de chiffons, et me regarde comme une prisonnière regarderait son libérateur. Je la porte jusqu’à ma chambre et l’assied sur mon lit, afin de libérer sa bouche, puis la fait se coucher sur le ventre pour retirer son plug anal. Elle se laisse faire, sans esquisser un mouvement, même lorsqu’elle gémit un peu de douleur à cause de la largeur du plug. Puis, je ramasse une chaîne attachée au pied de mon lit, qui se termine par un collier métallique. Je lui passe autour du cou et le referme, le verrouillant avec un cadenas intégré à code. Enfin, je lui indique le sol « Je t’autorise à finir ta nuit au pied de mon lit. Demain matin, lorsque le réveil sonnera, tu sais ce que tu dois faire pour me réveiller de bonne humeur ? »
Elle me répond d’une voix lasse et rauque « Oui Maître. Merci Maître de m’autoriser à finir la nuit avec vous »
« De rien. Bonne nuit ! » Je suis satisfait par sa réponse et par le fait qu’elle a intégré qu’elle doit me remercier pour tout ce que je l’autorise à faire, y compris ce que je lui demande. Je me couche sur le matelas après lui avoir jeté une couverture car elle est encore nue, et m’enfouit dans les draps pour finir ma nuit, après avoir réglé à nouveau mon réveil vers 9h00.
Lorsque le réveil sonne à nouveau, mon esprit est cette fois plus alerte que durant la nuit. Les rayons du soleil qui ont filtré par les volets m’avaient déjà réveillés en partie, mais je savourais la douce chaleur de mon couchage et profitais de ces moments où on est encore somnolent bien qu’à moitié conscient. Au bout d’une bonne minute passée à profiter ainsi du simple plaisir de la grasse matinée, j’entends un bruit de chaîne me signalant que Gaëlle s’est également réveillée et qu’elle s’active comme elle en a reçu l’ordre. En effet, je sens son corps svelte ramper sur les couvertures tire-bouchonnées sur mes jambes, écarter doucement les draps qui couvrent le haut de mon corps et baisser mon caleçon pour découvrir mon sexe à moitié durci par un reste de rêve érotique. Je n’ouvre pas les yeux et profite de mon demi-sommeil. Je sens ses lèvres se poser sur ma hampe et la picorer de petits baisers, remontant des bourses jusqu’au gland. Puis sa bouche s’ouvre et m’engloutit doucement, lentement, jusqu’à la moitié. Je ne peux m’empêcher d’exhaler un soupir de satisfaction devant la sensation extraordinaire de ce fourreau chaud et humide. Sa bouche me suce doucement, lentement, puis de plus en plus profondément. Sa langue s’active autour de mon membre, et je suis rapidement en pleine érection. Elle continue son traitement délicieux et alterne des mouvements de sa langue avec des va et vient profonds qui m’amènent jusqu’à l’entrée de sa gorge. La petite garce ! Elle a bien appris et s’applique à me faire jouir comme une vraie pro ! Je ne me maîtrise plus et décharge un long jet de sperme au fond de sa bouche puis un second et un troisième, inondant son gosier rapidement et la forçant à avaler rapidement pour ne pas s’étrangler. Elle a appris également à ne pas recracher…. Elle continue de me lécher et me sucer jusqu’à ce que mon membre redevienne flasque. C’est presque avec regret que je quitte sa bouche, la queue parfaitement propre, avec un dernier petit bruit de succion, et que j’ouvre les yeux. Elle me regarde, la tête à la hauteur de mon sexe, attentive, attendant mon approbation.
Je lui souris : « C’était un des meilleurs réveils que j’aie eu depuis bien longtemps. Et toi sans doute le petit déjeuner le plus salé que tu aies jamais consommé ! Mais tu devais avoir soif depuis hier soir, non ? »
« Oui, Maître. Merci, Maître, pour m’avoir permise de sucer votre queue au réveil. Que puis-je faire d’autre pour votre plaisir ? »
Je siffle entre mes dents « Hé bien, on dirait que cette nuit t’a bien faite réfléchir et t’as inculqué des bonnes manières ! Pour l’instant, je me contenterai de prendre un bain avec toi. Tu me savonneras, et tu pourras te frotter à moi pour te laver à ton tour. Puis nous prendrons un vrai petit déjeuner : nous avons une bonne journée qui nous attend. Viens ici, que je t’enlève ton collier ».
Elle s’approche aussitôt et me sourit malgré ses cernes et ses yeux encore un peu rougis par le manque de sommeil. Je compose la combinaison et retire le collier, le jetant au sol. J’en profite pour caresser un peu sa joue. Elle ferme les yeux et se laisse faire. Ma caresse se porte sur une boucle de ses cheveux blonds, et je passe ma main doucement dans sa chevelure. Puis je la retire et lui dit doucement « Viens à présent ». Je la conduis dans la salle de bains où je fais couler de l’eau chaude. J’en profite pour me raser. Gaëlle a eu la permission d’aller assouvir ses besoins naturels, je pense qu’elle en avait vraiment besoin depuis hier soir. Elle revient au bout de 5 minutes, juste au moment où l’eau finit de couler.
« Va dans le bain et attend-moi ». Pendant qu’elle m’obéit après avoir répondu un « Oui, Maître » maintenant bien assimilé, je vais à mon tour aux toilettes. De retour, elle m’attend, couchée dans le bain, les yeux mi-clos, les cheveux mouillés. J’entre à mon tour dans l’eau et savoure la douce sensation. La baignoire est assez grande et je m’installe face à elle. J’admire la beauté de la jeune femme qui, il y a quelques semaines, n’était qu’une de mes collaboratrices et qui, à présent, est prête à assouvir le moindre de mes désirs d’un claquement de doigt. Son visage, son corps, son esprit m’appartiennent, il ne tient qu’à moi d’en faire bon usage. Une minute plus tard, je sors de ma rêverie lorsque Gaëlle me demande « Souhaitez-vous que je vous savonne, Maître ? »
« Mmhh ? Ah, oui ! Tu as le savon derrière toi. » Je me retourne pour qu’elle commence par mon dos, puis me lève pour qu’elle continue par mes fesses et mes jambes. Je pivote à nouveau pour qu’elle remonte le long de mon sexe pendant, qu’elle masse doucement, puis sur mon ventre et mes épaules, en se levant à son tour. Je reste debout afin qu’elle puisse se frotter à moi, entièrement savonné, pour à son tour se nettoyer. Une fois qu’elle est enduite également, je lui ordonne de se pencher en avant en écartant un peu les jambes. Je prends un peu de savon et lui frotte les fesses, caresse un peu la vulve puis introduit un doigt dans son anus. Elle se laisse faire sans broncher. Satisfait, je me couche dans la baignoire et lui indique de se coucher à son tour sur moi, dos sur mon ventre, mon sexe se frottant au sien mais pour l’instant sans le réveiller. Nous restons plusieurs longues minutes ainsi, à profiter de l’instant présent, ma main vagabondant un peu sur son sexe et caressant un peu nonchalamment son clitoris, pendant que l’autre s’attarde sur ses seins en jouant un peu avec les tétons.

« Les meilleures choses ont une fin. Allons prendre notre petit-déjeuner ! » C’est sur ces paroles que je me lève et que j’enfile mon peignoir. Je lui en passe un identique qu’elle met à son tour et c’est les cheveux encore humides et pieds nus que nous descendons à la cuisine.
Le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée et je ne le rate jamais. Gaëlle a davantage l’habitude de se contenter d’un bol de thé et d’un fruit. Je la force à s’alimenter un peu plus, prévoyant une matinée sportive. Quant à moi, fruit, pain beurré et yaourt sont avalés arrosés d’un thé glacé. Une fois rassasié, j’entraîne à nouveau Gaëlle à l’étage pour nous brosser les dents puis, toujours en peignoir, nous revenons dans la cave qu’elle commence à redouter, sachant ce qu’elle y a vécu jusqu’à présent. A son grand soulagement, nous nous rendons dans la partie droite, où sont disposées les machines de sport. Je rallume les spots halogènes pour que la pièce se chauffe rapidement.
« Enlève ton peignoir et donne-le moi »
« Oui, Maître » elle me le tend non sans appréhension, la peau se couvrant rapidement de chair de poule, autant à cause de l’air encore frais de la pièce que de la peur de ce que je vais lui ordonner après. Pourtant, je décide seulement de l’échauffer un peu et la faisant sautiller sur place comme hier, en écartant bras et jambes puis en les rejoignant, et ce sur cinq séries de vingt mouvements.
Une fois cette centaine de mouvements effectués, Gaëlle n’a plus du tout froid. Elle est même un peu rouge et respire rapidement. Je la laisse reprendre un peu son souffle, le temps de préparer son entraînement suivant. Je dispose un tapis de gymnastique sur le sol et vais prendre le vibreur électrique que je branche. Puis je la fais s’asseoir sur le tapis, les mains derrière elle. Cette fois, elle doit se soulever, jambes pliées et écartées, puis tenir 5 bonnes minutes ainsi. Pour réveiller son esprit et ses sens, je la force à me réciter les capitales du monde ou les différentes théories économiques, pendant que je passe le vibreur sur son sexe épilé. Au bout de deux séries, elle commence à se fatiguer un peu et montre des signes de faiblesse. Pour la forcer à tenir, je la stimule avec une badine sur ses seins, et sur son sexe nu, en lieu et place du vibreur. Ses petits cris me confortent dans le traitement et, effectivement, la troisième série est mieux exécutée.
Je passe une bonne partie de la matinée à lui faire exécuter différents exercices, dont certains qui n’ont pour but que de me faire parcourir son corps tout en la chauffant. Par exemple, debout, je la force à se pencher pour faire passer sa tête à hauteur de ses genoux tout en passant ses avant bras derrière ses genoux. J’ai ainsi une superbe vue sur son sexe ouvert et ses fesses. Je lui ai fait repasser auparavant les bracelets en cuir aux poignets, que j’ai accrochés par le mousqueton aux anneaux du collier qui orne à nouveau son cou. J’en profite pour chauffer ses fesses avec la badine tout en excitant son sexe avec le vibreur, et ce durant de longues minutes.
Un peu plus tard, je la fais s’asseoir à nouveau et lui ordonne de se tenir immobile 3 minutes jambes pliées et écartées, mains derrière la tête, sexe offert à mes petits coups de baguette, poitrine disponible à ce que je pince ses tétons comme bon me semble.
A deux reprises je dois la punir, car j’ai jugé qu’elle ne s’appliquait pas suffisamment à un exercice.
La première fois, ce fut pour muscler ses bras, qu’elle ne faisait pas suffisamment forcer. Pour ce faire, je l’ai attachée à un banc incliné au-dessus d’une bac d’eau, la tête vers le bas et maintenue par le bassin et les jambes. Pour ne pas se noyer, elle doit tenir sur ses avant-bras pour soulever son buste. Au bout de quelques minutes, ses bras tremblent et elle doit les laisser se reposer. Sa tête plonge dans l’eau froide et c’est assez rapidement qu’elle réussit à repousser avec ses bras pour pouvoir respirer à nouveau. Au bout de trois fois dans l’eau, je juge qu’elle a atteint ses limites, car ses muscles commencent à être tétanisés.
La seconde fois, ce fut pour muscler ses jambes. Attachée au même banc inclinée, sur le dos, elle doit repousser une charge de plusieurs dizaines de kilos avec ses jambes, pour éviter de se faire empaler par deux godes légèrement introduits, l’un dans son vagin, l’autre dans son anus. Cette punition est plus ludique pour moi car elle me rappelle –elle aussi !- son châtiment de la première partie de la nuit. Et bien sûr, ce n’est qu’une fois qu’elle se fait doublement pénétrer, à bout de force, et après quelques minutes passées ainsi, que je décide de la délivrer.
Elle termine la matinée d’entraînement sur une machine pour muscler les jambes, où j’attache ses cuisses. Les ressorts de la machine l’obligent à s’écarter largement, presqu’en grand écart. Elle doit resserrer ses cuisses durant de longues séries et finit par ne plus pouvoir faire le mouvement, des crampes annihilant ses efforts. Voir son sexe largement ouvert me donne des idées et je m’approche d’elle, un gode à la main. Après l’avoir forcée à le lécher, je l’introduis peu à peu dans son rectum, et le laisse en place une fois planté aux trois quart. Puis, je me débarrasse de mon peignoir et présente mon sexe à nouveau érigé à l’entrée de son vagin. Je m’enfonce en elle jusqu’à la garde d’une seule poussée, sans difficulté car elle a été maintenue régulièrement lubrifiée par le vibreur qui excitait son clitoris tous les deux exercices. Ce n’est pas pour autant qu’elle ne ressent rien : en effet elle ne s’attend pas à une telle invasion et pousse un cri de surprise, rapidement étouffé par ma bouche qui écrase la sienne. Ma langue parcourt sa langue et s’enroule autour, pendant que je commence de larges mouvements de balanciers avec mon bassin. Elle gémit rapidement et commence à haleter lorsque j’accélère mes mouvements. J’explose en elle quelques minutes plus tard, en même temps qu’elle pousse un râle de plaisir et expérimente son premier orgasme de la journée.
Après l’avoir délivrée et l’avoir accompagnée à la salle de bains du premier étage pour se rafraîchir, je l’autorise à se vêtir du peignoir pour m’accompagner dans le salon. J’ai refait le feu dans la cheminée car la journée s’annonce plutôt fraîche. Plusieurs livres sont disposés sur la table basse, portant sur des sujets comme l’économie, la littérature, l’histoire, la gestion et la finance, la géopolitique.
« Pour finir cette matinée, et avant de se restaurer, nous allons passer une petite heure sur des sujets plus intellectuels. Je vais te faire la lecture de certains chapitres, puis je te poserai des questions pour vérifier si tu as bien écouté et compris. Chaque bonne réponse te vaudra une récompense, chaque mauvaise une punition. » Tout en lui disant cela, je pose à mes pieds une valise remplie d’instruments pouvant servir aux châtiments, comme un martinet, une badine, des pinces de plusieurs sortes, mais aussi des flacons emplis de liquides de couleurs différentes, et d’autres ayant l’air moins effrayants comme de simples crayons de bois, des plumes, quelques godemichés, et quelques autres dont elle ne comprend pas l’usage.
Je commence par lui lire un passage portant sur la géographie en Amérique du nord et la question qui en découle se révèle assez simple. Je lui sers donc un verre de jus de fruit, qu’elle déguste avec plaisir.
Puis je continue avec de la géopolitique, sur les relations entre les pays du golfe persique. Cette fois elle ne comprend pas bien le sujet et ne sait donc pas répondre.
« Enlève ton peignoir » l’ordre est aussitôt exécuté. Ses pointes de seins sont érigées, signe qu’elle éprouve une certaine excitation par anticipation, et qu’elle prend goût à obéir. « Mains sur la tête et reste ainsi pour la suite ». Elle paraît presque déçue que je ne sois pas plus sévère. Patience ….
La suite de mes lectures porte sur la gestion, avec un sujet assez pratique qu’elle peut être amenée à rencontrer dans son travail quotidien. Elle répond logiquement correctement à ma question. Pour la récompenser, je me lève et passe derrière elle, très près. Puis je parcours son corps de mes mains en l’effleurant seulement et en la caressant très doucement. Sa peau se hérisse à nouveau de chair de poule, et elle frémit même lorsque mes doigts frôlent la peau délicate sous ses seins, ses auréoles se picotent et elle écarte d’elle-même ses jambes pour que je n’oublie pas son sexe en passant. Je me contente seulement de le frôler, même si je m’attarde quelques secondes sur les petites lèvres qui protègent son clitoris.Elle ressent une certains frustration lorsque je regagne mon fauteuil pour lui lire un nouveau paragraphe sur la littérature. Ce n’est visiblement pas sa matière de prédilection, et elle ne comprend pas où l’auteur veut en venir.
Je dispose plusieurs des crayons de bois sur le sol, en trois lignées, devant elle. Puis je lui explique qu’elle continuera l’exercice les genoux posés sur ces crayons, les mains toujours sur la tête. Je continue sans attendre et elle alterne ainsi les récompenses et les punitions.
Au rang de ces dernières, je lui inflige bien entendu des coups de martinet et de badine sur les fesses et les seins, mais assez légers pour ne pas la marquer, je dois donc viser avec précision –notamment son entrejambe – pour la faire glapir malgré tout. Les pinces sur ses seins ne sont pas oubliées, j’inaugure de même une petite pince à linge sur son clitoris, ce qui semble la faire souffrir bien davantage. Enfin, j’avais prévu un petit raffinement auquel elle ne s’attendait pas : en effet j’ai trouvé sur Internet un liquide sans danger mais qui a la particularité de chauffer très fortement la peau là où il est appliqué. J’ai donc trempé un pinceau et j’ai commencé naturellement par la peau fine de ses mamelons. Au bout de quelques secondes, Gaëlle a poussé un petit cri et a fait mine de porter ses mains à sa poitrine pour les essuyer. Quelques coups de badine sur ses mains l’en ont rapidement dissuadée. J’ai poussé le sadisme jusqu’à utiliser le liquide autour de son anus, elle n’a pu retenir de nouveaux cris, et a laissé couler des larmes. Chaque nouvelle punition était aggravée par la douleur qui s’amplifiait dans ses genoux : à force de reposer sur les crayons, qui roulaient sur eux mêmes lorsqu’elle bougeait pour se soulager, elle ressentait de plus en plus de souffrance à rester dans cette position.
Au chapitre des récompenses, qui diminuent au fur et à mesure que sa concentration est perturbée par les multiples douleurs qui parcourent son corps, elle a droit à une stimulation plus poussée de son clitoris –après avoir enlevé la pince qui l’enserrait-, que j’abandonne lorsqu’il durcit nettement, puis à un massage de ses épaules, tendues à force de rester dans cette position, au passage d’un gode vibrant à la fois sur son clitoris et l’entrée de son sexe.
Au bout du temps imparti, la souffrance semble l’emporter mais ses cuisses sont humides d’excitation. Je mets fin à sa leçon en la félicitant pour son endurance et la débarrasse des quelques pinces sur ses tétons encore en place.
Un « Merci, Maître » me confirme qu’elle est désormais bien conditionnée.
Je lui permets de remettre le peignoir pour se rendre à la cuisine et lui fait préparer notre repas, assez simple mais suffisamment copieux. J’en profite pour la questionner sur son passé, son environnement familial, ses ami(e)s, ses loisirs, ses goûts. Elle se livre à moi avec une franchise désarmante, ne me cache rien, rougissant certaines fois lorsqu’elle se rend compte qu’elle dévoile des détails très intimes sur elle. Elle m’avouera un peu plus tard qu’elle ne s’était jamais mise à nue ainsi devant personne, cette fois intellectuellement, mais que cela lui avait paru naturel devant moi, qui l’avait dépouillée physiquement de toute pudeur à mon égard.
J’apprends ainsi qu’elle a toujours éprouvé une certaine fascination et un respect inné de la hiérarchie, autant familiale, sociale ou professionnelle, et qu’elle avait été troublée par des films mettant en scène des situations de manipulations mentales. Qu’elle vivait chez elle une vie bien tranquille et rangée, et qu’elle s’en était contentée jusque là, n’imaginant pas le dixième de ce que je lui avais fait découvrir. Que, même si elle n’avait pas éprouvé que des moments agréables depuis qu’elle était entièrement à mon service (ce sont ses propres termes) elle referait le même choix si elle revenait en arrière de 25 jours.
Toutes ses réponses me confortent bien entendu mais ne m’étonnent plus guère. J’ai senti un changement en elle et ce week-end l’a vraiment faite basculer totalement du côté de la soumission. Mais une forme de soumission amoureuse, ce n’est plus seulement son plaisir final qui la motive, mais le fait de me rendre fier d’elle. Et je suis aussi tombé dans le même piège, car même si c’est moi qui dirige, j’éprouve bien plus pour elle que du simple désir. Pourtant nous savons tous les deux qu’elle a une famille, et à ce stade de notre relation je ne veux pas la mettre en danger. C’est pourquoi il faut que son compagnon ne se doute de rien, et cela passe entre autres par une absence de marques trop visibles sur sa peau.
Nous mangeons d’un certain appétit tous les deux, surtout elle après les dépenses physiques de ce matin. Je me régale toujours autant de voir ce beau visage encadré par ce casque d’or, le peignoir qui s’entrebâille à plusieurs reprises, dévoilant la naissance de la poitrine que je connais maintenant fort bien mais qui m’inspire toujours autant de désir, ces chevilles délicates à la peau blanche qui se croisent sous la table.
Lorsque le repas est terminé, Gaëlle se lève et, sans que j’ai besoin de lui demander, s’applique à faire la vaisselle. Elle ne peut s’empêcher de bailler à plusieurs reprises durant sa corvée. Il faut dire que la veille a été physique pour elle et qu’elle n’a pas beaucoup dormi cette nuit.
« Tu es fatiguée ? »
« Oui, Maître. Veuillez me pardonner. »
« Je comprends, la nuit a été courte. Lorsque tu auras fini, je t’autorise à te reposer. Une demi-heure, pas plus. Puis nous irons faire un tour dans les bois, le ciel commence à se dégager. »
« Oh, merci Maître ! » Elle me décoche un de ses sourires qui me font craquer et qui l’illuminent.
Une fois montée, je vais à la cave commencer le rangement, car la maison ne servira plus avant quelques semaines. Lorsque je regarde ma montre, la demi-heure est largement passée. Gaëlle n’est toujours pas descendue. Je m’en doutais un peu. Lorsque je monte la voir, elle dort profondément, le peignoir découvrant le haut de son buste et ses jambes. J’ai pris avec moi le liquide chauffant de ce matin et un autre qui provoque des démangeaisons très désagréables tant qu’on ne le rince pas à grande eau. J’ai également pris des menottes et des cordes. Je me mets à califourchon sur elle et commence à passer une des menottes à son poignet droit pour l’attacher à un des barreaux de la tête de lit lorsqu’elle se réveille. Sa première réaction, une fois la surprise et la désorientation passées, est de se faire pardonner, un peu inquiète que je l’attache sans la regarder.
« Excusez-moi, Maître ! Je n’avais pas de réveil. J’ai dormi longtemps ? »
« Trop longtemps. Tu as un téléphone portable, que je sache ? Ils font tous réveil, tu n’avais qu’à le programmer ! »
« Je ne sais pas ! » gémit-elle. « Je sais que je mérite une punition… » Tiens, c’est nouveau ça, me dis-je en pensé « …mais peut-être que je peux me faire pardonner ! » minaude-telle en me regardant avec des yeux de chatte implorante. Chatte lubrique, aussi ! Pendant ce temps j’ai attaché son deuxième poignet à la tête de lit, et j’ai commencé à lier ses chevilles chacune aux pieds du lit. Puis j’ai largement écarté son peignoir pour pouvoir accéder à son corps.
« On verra ça plus tard. Tu as cinq minutes de retard –et encore estime-toi heureuse que je sois monté te chercher- alors tu vas pouvoir compter combien cinq minutes peuvent être longues » elle tremble comme une feuille et m’implore lorsqu’elle me voit approcher un pinceau trempé dans le liquide chauffant qu’elle a pu tester ce matin de son sexe. Je badigeonne bien ce dernier, passant largement dans sa fente et allant jusqu’à son anus. La réaction chauffante est quasi-immédiate et elle éprouve une sensation proche de la brûlure qui la font gémir. Mais c’est lorsque je badigeonne sa poitrine et son torse de la solution urticante qu’elle crie vraiment, tirant en vain sur ses liens pour pouvoir se soulager en se grattant. Elle se tords dans tous les sens et tente avec son menton d’atteindre le haut de son buste, sans grand succès. Je la regarde, montre en main.
« Plus que quatre minutes ! »
Elle m’implore une nouvelle fois de la détacher, tout en sautant sur place et en tirant sur ses liens. Elle me jure qu’elle rampera à mes pieds, que plus jamais elle ne dormira en ma présence, que …que …. Elle est prête à tout que je la soulage de cette horrible démangeaison, doublée de la terrible chaleur qui irradie sur ses zones génitales.
« Plus que trois minutes ! »
Elle tente de rester quelques instants immobiles et de se calmer, mais n’y parvient pas et reprend ses mouvements effrénés, en se secouant.
« Plus que deux minutes ! »
Elle soulève son bassin comme si l’air déplacé le rafraîchirait. Elle joue des épaules pour essayer de les frotter à son buste. Pour rien. Elle crie à présent, ne pouvant plus se retenir.
« Encore une minute ! »
« Comment …. Comment ça s’enlève ? C’est horrible ! Je n’ai pas mérité ça ! Pitié, enlevez-moi ce truc de ma peau ! Elle doit être toute rouge ! » Et elle continue de s’agiter dans tous les sens. Effectivement la peau a rougi aux deux zones visées, mais je sais que les rougeurs disparaîtront en une heure ou deux une fois les liquides lavés.
Au bout de la dernière minute, je défais ses liens des jambes, puis je détache les menottes mais seulement la partie passées dans le lit. Puis je la conduis dans la baignoire, où je l’attache aux robinets avec les menottes. Elle crie à nouveau lorsque je la rince ….à l’eau glacée.
« De quoi te plains-tu ? Tu avais trop chaud tout à l’heure. Arrête de crier, tu vas me percer les tympans ! »
Une fois bien rincée, les effets des liquides commencent à s’estomper. Je la fais sortir de la baignoire après avoir enlevé complètement les menottes puis je la sèche vigoureusement avec une serviette. Sa peau est rouge écrevisse des traitements successifs qu’elle a subie. Après deux bonnes claques sur les fesses qui la font crier une nouvelle fois, mais de surprise, je lui ordonne d’enfiler le jean avec lequel elle était venue et un pull, bien entendu sans rien dessous à part des chaussettes, puis de remettre des tennis. Je suis moi-même habillé pour sortir et nous partons nous promener dans les bois sur un des sentiers que nous avons emprunté la veille pour courir.
Elle se remet peu à peu de son dernier traitement de choc, et ne peut s’empêcher de temps en temps de passer la main sous son pull pour se gratter la poitrine, ce qui lui vaut à chaque fois une tape sur les mains. Tout en marchant, je lui explique que dès demain nous devrons reprendre une certaine distance, et qu’elle devra m’appeler Monsieur comme avant devant ses collègues. Qu’elle devra obéir à Karine comme si c’était moi qui lui donnait un ordre. Et qu’elle devra toujours rester la dernière le soir pour attendre mes ordres, sauf si je ne suis pas là ou que je l’ai autorisée à partir. En contrepartie, je lui confierai des missions transverses dans un premier temps et, si elle les réussit, je la proposerai d’ici quelques mois à un poste de cadre, comme je lui ai promis. Ce sera d’autant plus facile que je suis certain maintenant que Karine confirmera ma demande si ma hiérarchie veut mener une petite enquête de confirmation.
Elle m’écoute avec la plus grande attention et sourit lorsque j’évoque ses nouvelles responsabilités et son évolution prochaine. Elle me remercie avec effusion.
« Ne me remercie pas. C’est toi qui l’auras mérité. Et ce n’est pas encore fait ! »
Après nous être dégourdis les jambes une bonne heure, nous rentrons car le temps tourne à nouveau à la pluie. Nous avons juste le temps de rentrer dans la maison avant que les gouttes ne commencent à tomber et à s’écraser sur les feuilles et la terre encore humide.
« Prépare tes affaires. Tu as un quart d’heure. Je ferme la maison et je te ramène à la gare. Le week-end touche à sa fin et tu dois rentrer chez toi pas trop tard pour ne pas éveiller les soupçons. »
Elle a l’air presque déçue de devoir terminer ainsi presque deux jours d’une telle intensité, pourtant son entraînement reprend le dessus lorsqu’elle me répond simplement « Oui, Maître. J’y vais. » et grimpe les escaliers. Je finis de préparer à mon tour mon sac et je vérifie que rien ne traîne avant de fermer les volets et nettoyer les restes de bois dans la cheminée. Un dernier tour à la cave et je suis dans le couloir. A l’heure dite, Gaëlle descend les marches avec son sac. Elle s’est rhabillée « normalement » et a même remis un soutien-gorge, car j’aperçois une bretelle lorsque son pull découvre son épaule. Je lui demande de m’attendre là et je vais chercher la voiture car il pleut désormais franchement. Je la range juste devant la porte d’entrée et je vais chercher nos sacs pour les mettre sur la banquette arrière, puis je lui ouvre la portière côté passager pour qu’elle s’engouffre dans le véhicule. Après avoir donné un double tour de clef, je cours à mon tour pour m’installer au volant et nous démarrons en direction de la ville.
« Comme à l’aller, tu dois t’installer par terre. Simple précaution. »
« Oui, Maître » elle se laisse glisser et me regarde avec des yeux de biche. Tout en conduisant, je pose ma main sur sa tête et caresse ses cheveux, son visage. Lorsque mes doigts passent sur ses lèvres, elle sort sa langue pour les lécher. J’introduis mon index et mon majeur dans sa bouche, elle les accueille sans rechigner, et se met à les sucer comme s’il s’agissait d’une gourmandise. Ceci m’excite à nouveau, à tel point qu’une bosse se forme dans mon pantalon. Elle s’en aperçoit et me dit :
« Puis-je sucer votre belle queue, Maître ? »
Je suis surpris par sa demande mais je réponds comme si je m’y attendais : « D’accord, mais tu vas déboutonner un peu ton pantalon et tu te caresseras en même temps. Mais attention ! Tu ne jouiras que lorsque je te le permettrai. C’est compris ? »
« Oh oui, Maître. Merci, Maître ! »
Elle remonte un peu pour se mettre à genoux et atteindre ainsi les boutons de mon pantalon qu’elle commence à défaire, pour extraire mon membre qui s’érige tel un Diable sortant de sa boîte. Elle le prend dans sa bouche après avoir donné quelques petits coups de langue, et baisse la fermeture-éclair de son jean pour y passer sa main droite en écartant sa culotte. Elle m’engouffre dans un océan de plaisir immédiatement, en allant presque jusqu’à sa glotte, et il faut que je concentre toute mon attention sur la route pour ne pas lâcher le volant. Puis elle commence de longs va et vient qui me font soupirer rapidement de plaisir. Elle y met tout son cœur et s’y je n’avais pas une partie de mon cerveau accaparée par la conduite, j’aurais sans doute déjà explosé. Elle ne s’oublie pas non plus et rapidement mon excitation est encore accrue par ses gémissements car son orgasme est également en train de monter. Je regarde le compteur : nous ne sommes plus qu’à 5 kilomètres. Je pose ma main à nouveau sur sa tête, et elle prend ce geste comme une invitation pour accroître encore sa pression. Elle masse mon gland avec sa gorge, je ne peux plus me retenir et je pousse un cri rauque « Maintenant ! Tu peux jouir ! ». Je n’ai pas terminé ma phrase que le premier jet de sperme atteint son gosier. Elle l’avale et à son tour pousse un cri étouffé et se tétanise : elle aussi atteint l’orgasme, tandis qu’un deuxième jet, puis un troisième plus faible la force à avaler pour ne pas devoir recracher et salir ainsi mon pantalon. Elle continue de me sucer pendant une bonne minute, afin d’être sûre que plus une goutte ne pourra s’échapper. Je caresse ses cheveux durant tout ce temps, reconnaissant, et lui souffle : « C’était très bon ! Tu deviens une experte ! Nous arrivons dans quelques minutes, tu devrais refermer ton pantalon…et le mien ! ». Elle quitte ma queue pour m’obéir et quelques instants plus tard, la gare est en vue. A ma demande elle se rassied normalement puis prend son sac sur ses genoux. Elle sait qu’elle ne doit pas s’attendre à une quelconque démonstration d’affection de ma part en public, aussi un simple « A demain » nous sépare. Une porte ouverte, puis un claquement quelques secondes plus tard, après m’être assuré que sa voiture était bien là, et me voilà seul à nouveau, en direction de mon appartement. Il va me sembler bien vide ce soir.
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