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Au service (pas st secret) de Madame

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Je sens Madame troublée par mes aveux. C’était aussi la toute première fois que je lui avouais verbalement mon amour. Dehors, avec un peu d’avance, les amies de Madame arrivent. Le temps que je passe mon peignoir et me voilà presque nue devant ces trois femmes si majestueuses et si belles. Trois paires de mains inspectent mon corps des pieds à la tête. J’écoute les commentaires faits sur ma personne. On propose à Madame de me tatouer de sa marque, rien que cette idée j’en mouille mon entrecuisse. L’idée d’être entièrement annelée m’excite au plus haut point. Depuis ce jour, j’ai enfin trouvé, auprès de Madame, ma place. Une main glisse entre mes fesses, un doigt force mon anus.— Hum, elle est très étroite du cul. Il te faudra y remédier ma puce.— Je te rappelle que je ne fais que commencer son éducation. Cela ne fait qu’un an qu’elle est à mon service. Demain, je fais venir Jumbo pour lui faire connaitre un homme doux et prévenant. De plus, j’aime cette petite et elle me le rend au centuple.— Ouah, elle ne devrait pas détesté. Jumbo est le plus doux des esclaves mâles. Sa queue me fait mouiller rien qu’à la voir.— Je ne crois pas qu’elle va détester, en effet. Dommage que je ne puisse être présente. Un cadeau comme ça, ça ne se refuse pas.La dernière ne disait pas un mot, me tournant autour, suivant les traces laissées par le martinet de ses doigts. Elle me mit sur orbite, mon râle de plaisir fit sursauter Madame et ses amies. Je me suis écroulée sur le sol à demi-inconsciente. Madame me relève, m’embrasse tendrement comme à son habitude.— Bon les filles, je ne vous ai pas faites venir ici pour boire que du thé. Je veux en faire une servante digne de moi avec des tenues de soubrette qui doit me laisser un libre accès à son sexe et les anneaux que je vais peut-être lui imposer sur son joli corps. — Tu veux aussi percer sa cloison nasale ?— Oui, ainsi, je pourrais la promener en ville en laisse.— Ok, tu me feras penser à anneler mon toutou de la même manière. Après tout, nous sommes en l’an 2815, non ?— Justement ! Il est temps de faire bouger ces crétins du gouvernement.— Ils ont bien fait quelques progrès, mais pas assez à mon gout. Parce s’ils font de la politique comme ils baisent leur femme, je crains le pire.Les femmes rirent à ce bon mot. Puis, les deux amies de Madame allèrent prendre ce qu’il fallait dans leur véhicule. De retour, elles ouvrent trois grosses valises. Je peux y voir du cuir, du latex et tant d’autres vêtements, tous sont diaboliquement somptueux et si terriblement sexy pour une esclave comme moi. On prend mes mesures sous toutes les coutures, je réponds à chaque sollicitation de leur part. Très vite, on m’habille, on me change, passant de tenue en tenue. On me caresse, m’embrasse, je découvre un peu du monde de la nuit de Madame.— Stop, je crois que voilà ce que je veux pour elle. Mouais, c’est pas mal du tout. Son sexe est libre, comme son petit cul adorable. Je peux palper ses seins, les faire voir aussi. C’est une tenue pour faire les courses, je la prends. Cette tenue de soubrette débauchée, je la veux aussi et vous me mettrez ces tenues de latex, la noire et blanche. Oh, la rouge aussi ! Pour les chaussures, je veux celle avec la chaine, les cuissardes, les escarpins transparents. Il me faut aussi une laisse en cuir et une autre, celle-ci, là, la courte avec la chaine. Pour ses supplices, je veux cette culotte, oui, la blanche avec ces deux vibros. Ma chérie, je vais faire de toi celle que tu désirs être, ma petite putain.Je me sentais bien quand, à mon cou, elle referma un collier fait d’une chaine fermée par un gros et lourd cadenas. Sur mon unique anneau pend une courte laisse que Madame fait rapidement passer entre mes fesses. Elle en profite pour me les pincer avec force, entrainant un nouvel orgasme dans mon corps électrisé et ravi de se sentir enfin dominer par cette femme.— Ton africaine est une merveille ma chère. Sa peau noir avec ce collier blanc en fait la parfaite soumise. Pour un peu, j’en serais jalouse. — Tu la veux pour une nuit ?— Non, tu es gentille, j’ai mon chien pour ça.— C’est vrai qu’il est bougrement bien monté ton mâle.— Et il encule merveilleusement. Bon, ce n’est pas tout, mais je vais devoir faire quelques commissions.— C’est quand ta prochaine soirée ?— Dans trois semaines, mais attention les filles, elle va durer une semaine entière et plus s’il y en a qui tienne le coup.— Miam, on se réjouit. On y va, j’ai envie de baiser. Une dernière chose ma chérie, rase le crâne de cette sublime négresse, cela ne fera que renforcer sa sensation de soumission.Les deux amies quittèrent Madame. Je restais seule avec Madame. Dans ma nouvelle tenue de soubrette en latex, je me sentais comme un poisson dans l’eau. Mais Madame cru bon d’ajouter un accessoire sur mon corps. Elle retira la courte laisse, m’enfila cette culotte très spéciale, faite de deux godes vibrants que Madame pouvait actionner à distance. Je me retrouvais merveilleusement remplie. Elle fit un petit trou dans le cuir de ma culotte pour y accrocher l’autre laisse, la longue en cuir. Dans mes escarpins transparents, elle me fit faire le tour de sa maison.— Maintenant, ma belle, tu devras toujours être parée de la sorte. — Avec grand plaisir Madame. Madame est trop bonne avec sa pute.— Il te faudra une aide désormais et je sais où je vais la trouver. Après demain, chez le ministre du travail à lieu une vente de soumis et j’y ai vu un joli petit lot de ton âge. Elle a l’air d’une véritable petite salope, tout comme toi !— Madame a bon gout, son type asiatique en fera une belle compagne. Elle possède de jolis petits seins et un cul aussi beau que le vôtre.— T’es gentille ma fille. Bon, on sort faire ces courses ?— Bien Madame. Que Madame n’oublie pas de raser mon crâne surtout. Elle me décocha son plus beau sourire pendant que j’enfilais mes nouvelles chaussures, celles reliées par cette courte chaine. Madame m’imposa une autre tenue, moins provocatrice, je regrettais son choix. Dans le coffre de son minibus, je me roule en boule sous les yeux émerveillés de Madame. Elle en profite pour me menotter mes mains dans le dos et de les joindre à mes chaussures.— J’aime Madame, elle sait y faire pour me donner du bonheur.— Je me trompe ou je découvre une nouvelle jeune femme avec toi. En tout cas, cela me ravi ma belle Manon.— Que Madame se rassure. Depuis que je suis à son service, je suis profondément amoureuse de Madame et Madame le sait désormais. Elle posa ses lèvres sur les miennes, la porte se ferma, le véhicule roulait juste après. À peine dans la rue marchande, Madame me sort du coffre tel un bagage. Une fois sur le sol, elle délivre mes mains. Debout, elle m’attache à nouveau tout en fixant la laisse à mon collier. Je me sens fière de lui appartenir, moi, sa négresse de vingt ans. Cela se voit aussi dans ma démarche fière. Dans la rue que nous arpentions, les regards se portent sur nous. Madame ne semble nullement gênée par ces yeux posés sur nous. Moi, si, au tout début, je me suis sentie somptueusement honteuse, humiliée même, mais cela passa bien vite. Je suivais Madame dans chacune des boutiques. Elle commença par une boutique animalière. Elle se dirigea vers les équipements pour chevaux. Là, parmi les nombreuses cravaches, elle sembla choisir celle qui allait me perfectionner dans ma servitude. Je me permis de donner mon avis sur une longue et fine cravache très souple en cuir rouge. Sur mon cul offert volontairement, elle l’essaya sur le champ. La douleur fut délicieusement vive. Sa main caressa la trace laissée. Je remerciai Madame en embrassant sa main avec déférence et amour. Plus tard, sa cravache à la main, je marchais devant elle, toujours en laisse. Elle n’hésitait pas à me fustiger si je ne marchais pas comme elle le désirait, tel un mannequin de mode. Je pris rapidement et fièrement le pli. Ma démarche digne lui plait, elle caresse ma joue juste avant de pénétrer dans cette épicerie de luxe. Elle passe commande pour un grand buffet froid pour chaque soir de sa semaine de luxure. Puis, chez un fleuriste, elle passa commande de douzaine de rose blanche pour sa fête. Puis, après quelques courses pour la semaine, nous rentrions à la maison, moi dans le coffre en bonne soumise que j’étais heureuse d’être devenue par amour pour Madame.Une fois à la maison, je refuse que Madame me donne le moindre coup de main. Dans la cuisine, dans ma tenue de soubrette en latex, je range toutes les commissions et commence la préparation du repas de ma Maîtresse. Dans ma tête, je me pose quelques questions sur demain et cet homme, ce Jumbo comme elle l’appelle. En la servant, je reste à la droite de Madame, prête à lui remplir son verre, son assiette. Sa main, parfois, passe entre mes cuisses. Pour lui faire plaisir, j’ai accroché la courte laisse à mon unique anneau entre mes cuisses. À la fin de son repas, je dessers la table. Dans la cuisine, je fais la vaisselle quand elle arrive. Elle me couche en avant sur le plan de travail, sa langue vient me darder mon cul, un délice.— Tu as le plus beau cul que je connaisse, petite salope. J’aime à te le brouter de la sorte. J’ai bien fait de te choisir.— Oh Madame, je vais jouir. — Alors jouis ma belle. Tu es si belle en jouissant !Je jouissais de la bouche et des mains de Madame. Mon travail fut vite terminé, je me retrouvais dans sa chambre à lui faire l’amour comme très souvent. Ma bouche buvant sa liqueur, je m’en gavais à outrance. Ma langue ne tarda pas à donner ce plaisir dont Madame est si friande quand je lèche son anus. Je n’hésite pas à la plonger ma langue dans cet orifice, Madame jouit rapidement. Je continue à me délecter de son intimité quand Madame se venge sur mon sexe de sa bouche, tirant sur mon anneau unique. Nous nous aimons jusqu’à ne plus pouvoir jouer de nos langues engourdies par tant d’excès. Couchée l’une contre l’autre, enlacée, nous nous endormons.À mon réveil, je suis seule dans le lit. J’entends Madame chanter dans la salle de bain. Je me rends auprès d’elle, je me glisse dans son bain et commence à laver ses pieds que j’honore de ma bouche. Elle glisse son autre pied entre mes cuisses, je lui rends la pareille. J’aime laver Madame, nous en jouissons toujours. Pendant que je sèche ses longs cheveux d’or, je ne peux m’empêcher de les embrasser avec tendresse. Madame sent bon maintenant, je l’habille de son soutien-gorge à picot, celui qu’elle préfère pour jouir en se les caressant et d’une robe d’été légère qui me donne accès à son intimité quand elle me l’ordonne, ordre que je prends comme une bénédiction, une grâce qu’elle me fait. Pendant que je lui fais son café, elle choisit ma tenue pour la journée. Dans la salle à manger, je dépose son repas du matin, elle me montre ma toilette. Elle m’a choisi une très courte jupe noire, mon tablier blanc et un chemisier blanc transparent qui fait ressortir ma peau d’ébène. Dans mes mules, je commence à faire mon ménage. Depuis sa chambre à l’entrée des caves, je nettoie tout. En fin de matinée, je suis derrière les fourneaux à nous faire un bon petit diner en tête à tête. Ce tête à tête se fait deux fois par semaine avec Madame, quand elle ne reçoit pas.Après ce repas saphique et tout aussi jouissif, Madame me prépare pour recevoir Jumbo. Dans la salle de bain, elle rase enfin mon crâne. Sa langue vérifie chaque parcelle de mon crâne. Satisfaite, elle prend ma main qu’elle pose sur mon crâne enfin lisse. Madame, dans sa bonté, me branle de son autre main. Mais la peur s’empare de moi, je hais les hommes et Madame en connait la raison, mon viol par deux barbares. Quand une grande limousine arrive, je n’en crois pas mes yeux. Un homme attaché est sorti brutalement de voiture. Entravé, il peine à se relever. Une femme sort derrière ce monstre d’homme. Je n’ai pas d’autre mot pour le décrire, c’est un géant de presque deux mètres et d’une carrure de bucheron. Il est poussé par sa Maîtresse. Il ne semble pas détester ce traitement humiliant, bien au contraire. Je me mets sur le côté pour les laisser pénétrer dans la demeure de Madame en m’inclinant avec déférence. Très rapidement, je les devance pour les conduire sur la terrasse où Madame les attend, vautrée sur sa romaine, à se dorer sa peau de pêche. Madame se redresse quand j’annonce la visite de Madame.À peine l’homme devant Madame, sa Maîtresse arrache l’unique vêtement de son esclave. Je découvre un sexe énorme, hors gabarit. Madame le caresse déjà en lui tournant autour.— Tu vois ma belle, cet homme va te faire jouir.— Madame, il va me déchirer !
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