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Au service (pas st secret) de Madame

Chapitre 9

SM / Fétichisme
Satisfaite, Madame retire mon visage de la vulve de Châu, lèche mon visage humide de mouille et m’embrasse tendrement. Puis, me repoussant entre ses cuisses, Madame me remplace sur le sexe de Châu. Paul se déplace pour me darder mon anus de sa langue. Je l’apprécie de plus en plus et ce n’est pas peu dire. Enfin, Châu, fatiguée par tant d’attentions si agréables, voit ses jambes repliés sur son ventre, écartées et Paul de se glisser sur Châu. La belle Châu ne semble plus éprouvé de crainte. Elle enlace son futur bienfaiteur pendant qu’il glisse son sexe dans celui de Châu. Madame me redresse, me susurre les nouvelles toutes fraiches apprises du ministre. Je ne peux que coucher violemment Madame en les entendant et me donner à elle sans compter. Mon bonheur est total, sublime, merveilleux. Dans mon accès de joie, je plonge ma main toute entière dans le sexe de Madame qui hurle son bonheur au moment précis où Paul s’enfonce entièrement en Châu. Les deux femmes exultent de plaisir en même temps en se tenant par la main. Femme, Châu ne cesse de retenir Paul en elle, ne voulant plus que le subir pour le meilleur et pas le pire. Ce n’est qu’en toute fin de journée que Paul, complètement vidé, s’endort aux côté de Châu. Madame et moi en profitons pour gagner la pièce des plaisirs. Nos orifices intimes remplit par de gros godes, nous nous aimons à en perdre connaissance jusque tard dans la nuit.— Que Madame m’excuse de la réveiller de la sorte, mais il est temps pour Madame et ses soumis de parer la maison de ses décorations pour la fête de Madame. — Manon ? Quelle heure est-il ?— Plus de midi Madame !— Mince, ok, rassemble Châu et Paul dans le salon et coule moi un bain vite fait. — Bien Madame encore toutes mes excuses pour le réveil. — Tu as bien fait ma chérie. Dans le salon, devant Madame, Madame nous distribue nos tâches. Même Madame met la main à la pâte. En une après-midi, tout est en place, les meubles sont écartés pour ne laisser de la place qu’é des coussins, des matelas neufs et autres objets de plaisirs. Le donjon est nettoyé par le moins-que-rien sous ma surveillance. Son corps lacérer de coup de fouet, il se montre à la hauteur de sa tâche. Dehors, on délivre la vieille rombière malfaisante pour qu’elle se soulage suspendue à un arbre la tête en bas. Au moment du repas du soir, Madame ne cesse de nous congratuler. Un cri de femme nous surprend, je me porte à la porte d’entrée et découvre une femme sergent de police. Belle dans son nouvel uniforme. Elle se présente comme la nouvelle cheffe du poste de quartier. La reconnaissant, je me colle contre son uniforme et l’embrasse avec amour en la remerciant encore pour le parking. Sa main sur ma croupe me dit qu’elle désirait me voir de toute urgence. Je la fis entrer en lui prenant sa main. Nos doigts croisés, je l’entraine dans la cuisine où Madame l’accueille comme une amante. Voyant nos mains soudées l’une à l’autre, Madame me montre l’étage de ses yeux expressifs. J’invite Jeanne à me suivre, son sourire ne laisse planer aucun doute.— Jeanne, je devais vous revoir après le parking car je n’ai aucun souvenir de votre baiser sur ma bouche. — Ta Maîtresse me l’a dit. Je regrette seulement de n’avoir pu rester et t’en donner davantage. Tu es réellement belle. Pendant ces derniers jours, j’ai eu peur d’oublier ton corps, ta peau si douce. — Venez-vous étendre près de moi, je veux vous dire combien j’apprécie vous dires. — Ne me vousoies plus, j’ai la permission de ta Maîtresse. — Je l’ai aussi, Madame est une femme tellement généreuse. Mes mains commençaient à retirer ce bel uniforme. Chaque parcelle de peau qui se dévoilait à moi était minutieusement embrassée, léché avec amour. Je ne lui laissais aucune chance de profiter de mon corps le temps de la mettre nue devant moi. De ses pieds divinement odorant, je remontais le long de son corps, je pris mon temps de l’aimer, de la faire jouir. Je voulais ne plus la voir me quitter. Pourtant, à l’aube, imposant son pouce entre mes fesses, baisant ma bouche avec cet amour qui nous unissait, elle me quittait non sans que je lave son pouce de ma bouche.— Je reviendrais plus souvent te voir ma chérie. Je voudrais tellement t’avoir près de moi.— Il est impossible que je quitte Madame et tu le sais, mon aimée. Toi et Madame sont les plus belles choses qui me soi jamais arrivées et je ne peux quitter l’une sans en être trop triste. Il me faut me partager entre vous deux. — Ma chère Manon. Laisse-moi te dire une bonne chose. Jeanne m’a confié t’aimer. Je t’aime autant qu’elle peut t’aimer. Je te donne la liberté de la rencontrer à chaque fois que l’envie vous prendra. Jeanne, j’ai la permission de ton ministre, la semaine prochaine, j’organise une fête, tu en as vu les décorations, aussi, je te demande, au nom de Manon, de moi, de venir passer une semaine entière avec nous et, par la suite de venir nous voir chaque fois que tu le désires.— Madame, je vous remercie et j’accepte votre invitation avec joie. Si vous me le permettez, je voudrais vous faire une demande un peu particulière et le ministre a déjà donné son accord. — Dites, nous piaffons d’impatience !— Manon, tout comme vous, Madame, je vous aime. J’ai eu le coup de foudre sur ce parking. Aussi, je voudrais vous louer une chambre. — Putain ! Oh, pardonnez-moi ! Manon, dix coups de cravache sur mon cul et dix autres sur ma poitrine. Pour me louer une chambre, sachez, sergent, que je refuse, mais vous en donner une, nous, ma petite Manon et moi sommes prête à sacrifier une place dans notre lit pour vous accueillir. Manon, prends ma cravache noir, la longue et fine dans le donjon, tu sais laquelle. — Oui Madame. J’embrassais Jeanne, mon beau sergent et Madame avec amour. Je les abandonnais le temps de quérir cette délicieuse cravache que mes fesses connaissent si merveilleusement bien. De retour, devant mon beau sergent, Madame retire ses vêtements et place ses mains derrière sa nuque. Devant Jeanne, je fustige Madame avec force selon ses désirs vicieux et pervers. Jeanne n’en croit pas ses yeux. Madame compte chacun des coups que je lui assène. Je me permets d’embrasser son corps, là où la cravache a blessé sa chair. La punition terminée, je couche Madame avec douceur sur mon lit. Je raccompagne Jeanne à la porte. Châu et Paul sont présents quand j’embrasse Jeanne en massant sa très généreuse poitrine. D’une main discrète, j’attire Châu près de moi. À son tour, Châu embrasse amoureusement Jeanne, Paul fait de même.— Jeanne, avant que tu ne partes, si tu as un soumis ou une soumise à ton service. Amène-les avec toi. Je t’attends ma belle policière. Je compte bien à ce que ta matraque se fige dans mon anus entièrement. — Tu es un amour et mon cœur ne s’est pas trompé en vous voyant toutes deux sur ce parking. Pour ta gouverne, j’ai un mâle, il baise à merveille et est endurant comme ce n’est pas permis. Je vous le confierai à vos bons soins. À ce soir ma chérie.
Émue par cette femme, je léchais sa main, ce qui pour nous, les soumis, volontaire ou pas, est un signe de soumission pour qui reçoit cet hommage. Après avoir partir Jeanne, je demandais à Châu d’aller s’occuper de Madame et prenais Paul avec moi.— Mon beau Paul, il te plairait de violer cette salope à la porte ?— Je vais lui démolir son cul et après, j’ai envie de te faire l’amour avec un grand A. — Tu sais que tu commences sérieusement à me plaire, toi. — Et toi, tu es la plus merveilleuse négresse que je connaisse. Viens, on va s’en payer une bonne tranche. — Hé, ne faut pas oublier le moins-que-rien. Il doit recevoir sa part de coup. — Là, je te laisse le soin de le punir. J’adore ta façon de sévir sur cette chose. L’une à côté de l’autre, nous nous occupons de nos larves. Suspendue par sa grosse poitrine pendante, la femme est sodomisée de force par Paul qui se régale. Je lui demandais d’en garder sous le coude, je voulais qu’il me possède devant Madame et devant Châu. De mon côté, le mal moins-que-rien subissait sa flagellation. Mes mains frappaient durement cet homme déshonoré, il avait tout bafoué, il méritait ce qu’il lui arrivait. Les lanières du martinet lacéraient son dos. Puis, je me souvins de ce gode énorme. Solidement fixé à cet arbre, j’allais le prendre. Dans son anus, sans préparation, je le lui enfonçais à coup de genou. Paul, me traitait de salope en jouissant dans le cul de cette ancienne dignitaire. Il se retirait, prenait mon martinet pour fustiger la poitrine de cette femme qui n’avait que pour femme que son physique. Une fois mon gode bien au fond de ce cul, je me posais sur le sol à quatre patte, invitant Paul à me prendre. Il le fit, en douceur. Il ne me baisait pas, il m’Aima. Il mit toute sa passion pendant cet acte d’Amour. Il me fit jouir à trois reprises avant de se répandre en moi de son sperme bien chaud. Nous avons délaissé ces deux moins-que-rien. Madame allait certainement les rendre au ministre pour qu’il les enferme. Nous savions qu’ils termineraient leur vie au cours d’une chasse. Nous n’avions aucune compassion pour eux.Une invitée surprise arrivait. Châu me l’amena sur la terrasse où Madame, Paul et moi prenions un bain de soleil. Jeanne était là, avec son esclave. Un homme fort bien bâti. Madame et moi, nous nous sommes précipitées vers Jeanne. Nous l’avons embrassée.— Mes amies, j’ai congé dès cet instant. Devant la porte, il y a mes bagages. Si Paul, avec l’aide de Roger pouvaient…— Paul s’il te plait mon amour, occupe t’en. — Avec plaisir Madame. — Je vois que le statut de Paul a évolué. — Oui, il est bon amant. Mais ton Roger. — Attendez qu’il revienne Madame, il se fera une joie de vous honorer. — Plus de Madame entre nous, Jeanne. Colette, pour vous. — Alors Colette, permets-moi de baiser tes mains. — Mais pourquoi donc. — Parce que je vais faire la chose la plus stupide de ma vie de femme, de policière. — Mais parlez, ma chère, je vous en prie. — J’ai envie de quitter la police pour me joindre à Manon, Châu et Paul pour vous servir. Voilà ce que j’ai envie de faire. — Mais vous êtes folles, vous y perdriez toutes vos prérogatives. — Et alors, si c’est pour servir la plus belle femme que je connaisse. Manon, Châu, aidez-moi à convaincre Jeanne de ne rien changer, de rester cette belle policière. — Je dois dire à Madame que j’étais au courant de la demande de Jeanne de vous servir. Elle vous aime d’amour comme nous tous. Il faut que Madame sache que nous sommes tous prêt à donner notre vie pour Madame. Même Roger, l’esclave de Jeanne, y consent. Cependant, comme vous, Madame, je suis contre, son uniforme me manquerait dans nos jeux amoureux— Toi, ma Manon d’amour, pourquoi tu me dis des choses aussi horribles que mourir pour moi ?— Il fallait que Madame le sache. Vous comprendrez, maintenant, pourquoi j’ai toujours refusé de sauter le pas, de devenir l’égal de Madame. Nous vous aimons, nous vous vénérons, c’est plus fort que tout au monde. Ni vous, ni personne ne pourrait nous dissuader de changer. — Merde et merde, je ne sais pas comment prendre tout ça. — Avec dix coups de cravache, Madame, dix coups sur votre merveilleux derrière, et dix autres sur votre sublime poitrine pour avoir exprimé par deux fois des grossièretés.— Je sais, tu as raison ma douce Châu. — Que Madame me pardonne encore, mais si vous étiez une reine, nous serions vos esclaves. Pour nous, vous êtes cette reine. J’ajouterai que déesse serait plus approprié. — Manon, si tu continues à me lancer ce genre de compliment je vais te punir. — Une punition de vos mains n’en serait que plus jouissive, Madame. — Arrêtez avec vos Madame. Et toi, tu ne dis plus rien, la policière ?— C’est que je ne le suis plus depuis hier au soir. — Pardon ?— Oui, j’ai renié ma profession pour venir vous offrir notre entière soumission. Celle de Roger et la mienne vous sont acquises pour toujours. — Me voilà bien, je me retrouve avec cinq personnes. Cinq personnes civilisées, que je voulais libre de penser, d’agir et je me retrouve avec cinq esclaves prêtent à se mettre à mon service et perdre leur liberté. Non, je refuse cette vision. Pour moi, je ne vous vois plus comme des esclaves. Je vous vois comme mes employés. — Je crains que cela ne suffise pas, Madame. — Pardon Manon. — Oui Madame, nous ne voulons rien, nous avons tout. Ce tout que nous chérissons, que nous aimons plus que notre propre vie, c’est vous. Vous servir est ce qui compte le plus pour nous. Nous ne voulons aucune faveur, aucun salaire, nous voulons uniquement servir Madame, l’aimer, la chérir et la protéger au péril de nos vies s’il le faut. — Mazette, Manon, tu me trouble, vous me troublez tous. Et moi, grande folle, je n’ai rien vu venir… Laissez-moi, allez-vous occuper de la fête. Je dois réfléchir. — Bien Madame.
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