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Seul avec trois filles

Chapitre 2

Divers
Marie a sa bouche au ras de l’abricot de sa partenaire qui sent son souffle chaud.Elle plaque son museau sur sa fente, et la fouille comme un chien qui cherche des truffes. Il y a trop longtemps qu’elle en a envie pour garder sa sérénité. Elle est folle d’excitation à l’idée d’avoir cette chatte à elle, et rien qu’à elle. Elle embrasse, lèche, fourre sa langue longue et musclée au plus profond de son intimité. Elle est particulièrement douée, et l’envoie très vite au septième ciel. Elle ne s’occupe que de la fente, et ignore le bouton. Joëlle est autant clitoridienne que vaginale, et s’occupe de son bourgeon pour doubler son plaisir. Elle le décalotte, l’astique, le fais reluire à l’aide de sa salive. Elle se tortille comme un ver, gémit et crie de plaisir. Marie se désaltère de ses orgasmes qui s’enchaînent et se relève enfin pour reprendre son souffle.Elle tombe en extase sur le petit gland gonflé de plaisir. Elle pose ses lèvres dessus et le tête amoureusement. Elle enfonce quatre doigts dans son intimité, jusqu’au milieu de la paume, et va et vient. Ma petite se cambre pour mieux t’offrir :— Tu me fais du bien Marie, c’est trop bon. Je veux ta main entière, tes doigts longs et fins qui m’explorent. Fiste moi chérie, je veux ton poing fermé dans mon ventre.Elle ne cesse de gober son clito et enfonce son pouce. Elle tourne sa main qui progresse pour bientôt disparaître jusqu’au poignet. Elle réalise ses souhaits, la visite de ses longs doigts, puis ferme son poing et le tourne, frottant ses parois vaginales. Elle soulève sa vulve de l’intérieur pour encore mieux s’offrir son gland. Joëlle hurle de bonheur, l’encourage à bouger encore plus en elle.Marie a envie elle aussi de se faire fister, son premier fisting.Elle libère sa friandise, garde sa main au creux des cuisses de son amante et s’allonge sur le dos, ses épaules à hauteur de ses genoux et inversement :— Je veux ta main moi aussi, défonce moi la chatte, fais moi jouir comme tu jouis, je veux être ta petite salope.Elle est toute mouillée, et Joëlle n’a aucun mal à glisser sa fine main dans son huître chaude bouillante. Elle la branle tout comme l’autre la branle, s’astique son petit gland toute sorti de son orbite, celui de Marie est trop sensible et elle se l’astique sans le décapuchonner. Elles s’aiment ainsi jusqu’à épuisement. Elles retirent leurs mains, se caressent leurs propres seins avec comme pour les imprégner de la liqueur de l’autre, puis s’offrent un petit 69 pour se nettoyer.L’appartement de Patricia est heureusement très bien insonorisé, mais après tous ses cris de jouissance il règne un silence dans lequel on se repose.
Patricia ma parlé de Marie. Elle n’est plus vierge du fait des godes, mais n’a jamais connu d’homme. Elle veut qu’elle ait une expérience, qu’elle ne soit plus « pucelle », ce qui leur permettrait dans leur week-end ou vacances de se faire des plans hétéros, d’accepter les mecs qui les draguent. Je suis de passage, trop vieux pour qu’elle s’attache, et elle a de suite pensé à moi. J’en suis honoré, seul hic, je suis épuisé. Elle me dit qu’elle a convaincu la petite, qu’elle est prête, et qu’il ne faut pas rater l’occasion.Elle se lève et me dit d’attendre. Elle rejoint les deux nymphes et les trouve dans les bras l’une de l’autre :— Ca va les filles ? Et puis je me demande pourquoi je pose la question. A vous voir, et à vous avoir entendues, vous avez dues vous éclater comme deux petites salopes. Pas vrai ?Elles font toutes les deux oui, d’un mouvement de tête. Elle prévient Marie que l’heure est arrivée et lui demande si elle est toujours d’accord, ne veut pas la forcer. Cette dernière en a parlé à Joëlle alors qu’elles se reposaient, et elle l’a convaincue de mon attention et de ma douceur si besoin, du plaisir d’être prise par un mâle sans renier les filles pour autant, et elle est partante.Joëlle suit Patricia dans l’autre chambre, et je rejoins mon ingénue, le drapeau en berne.Elle a éteint la lumière et je la devine dans l’obscurité. Je m’allonge prés d’elle et lui fait un bisou :— Ca va ?— Oui.— Patricia m’a expliqué. Tu n’as jamais connu de mec ?— Non, que des filles et des godes.— Et il paraît que tu es experte. Si tu aimes les godes, une vraie queue devrait te plaire. Patricia souhaite que tu me suces et me fasses jouir. Et toi, qu’est ce que tu en penses ?— Je lui ai promis d’essayer, et puis votre amie m’a dit que c’était très agréable et qu’il faut que je connaisse ce plaisir. Et puis j’ai vu votre sexe tout à l’heure et il me plait. Alors je ferais ce que vous voulez, je serais votre petite salope.— Tu es mignonne. Je te préviens que ma queue est fatiguée, que j’ai beaucoup joui, et que tu risques avoir du mal à me satisfaire. Ne t’inquiètes surtout pas, c’est ma faute et tu n’y seras pour rien. On descend du lit, je suis debout, elle à genoux devant moi, toujours dans la pénombre.
Je lui donne quelques petits conseils pour ne pas la laisser seule devant cette épreuve, mais je suis persuadé qu’elle s’en sortirait aussi bien sans. Elle me caresse de ses deux mains hésitantes, le manche et les couilles, et j’adore sa douceur. Elle avance sa bouche, m’embrasse partout, et entrouvre ses lèvres pour engloutir ma bite ridicule. Elle me suce avec application, mais rien n’y fait. Je me retire, la rassure, me décalotte et lui demande d’emplir sa bouche de salive avant de me reprendre. J’éprouve une délicieuse sensation et mon gland double de volume. Sa langue habile étale sa salive dessus et me ravit le bourgeon. Elle se recule et mon manche court et mou pend sous le poids de son gros bout. Elle le devine à peine dans le noir et allume la lumière. Elle me lèche et est émerveillée de mon chapeau qui ne cesse de s’épanouir, alors que ma hampe n’évolue pas. Je lui demande de me laisser faire, recalotte, et me branle énergiquement. Je recommence à bander et revient dans sa bouche qui m’attend. Elle me suce et me branle en même temps, retire ma queue pour voir la progression, la reprend, recommence. Je finis par triquer comme un âne:— Ouah ! Qu’elle est belle votre bite, j’ai eu peur de ne pas vous faire bander. Je suis contente de moi, trop bien.— Tu peux, tu es très douée. Avec le traitement qu’elle subit depuis quelques temps, ce n’était pas gagné. Reprends moi ma chérie, j’adore comme tu suces.
Joëlle est avec Patricia, mais tiens à mettre les choses au point avant leurs ébats qu’elle espère chauds. Quand elle est venue la chercher, elle l’a vue dans les bras de Marie, a sans doute surpris leurs baisers ardents, et elle a senti comme un reproche, de la jalousie. Elle lui précise que Marie est formidable, mais qu’il n’était question que de sexe et non de sentiments. Elle l’aime bien mais c’est tout. Elle aime trop le sexe, les hommes, pour s’attacher à quelqu’un. Marie par contre, avec qui elle a parlé, semble amoureuse de sa patronne. Patricia tient beaucoup à Marie, et la remercie pour ses paroles qui lui vont droit au cœur. Le malentendu est oublié et elle lui roule une pelle reconnaissante. Sa cuisse se fraie un chemin entre les siennes et vient frotter sa chatte, tandis que sa propre chatte se frotte à elle.Elle se sépare de Joëlle et attrape un coffret dans son armoire. Il y a deux très beaux godes ceintures dont elle a modifié les fixations. Elle lui en passe un et se fixe l’autre solidement sur le haut de sa cuisse droite. Joëlle en fait de même, sans vraiment comprendre. Elles sont face à face, Patricia saisit son long et gros manche et frotte le bout entre les lèvres de sa partenaire. La position est telle que tout naturellement l’appareillage de celle-ci se trouve pointé vers sa moule qu’elle frotte à ton tour. Elle a de l’imagination la salope, et elles sont toute excitées de ce nouveau jeu. Petit à petit ces superbes engins pénètrent leurs chairs jusqu’aux portes de leur utérus. Elles restent quelques instant immobiles, les matraques entièrement enfouies, puis commencent de lents et longs vas et viens. Cette baise réciproque est torride et leurs bouches hermétiquement soudées ne laissent transparaître que quelques soupirs et gémissements.Patricia est désolée, ses parents l’ont invitée à la dernière minute, elle n’a pu refuser et elles doivent écourter. Elle défait son gode dégoulinant de ses orgasmes et le nettoie de sa langue gourmande en la fixant dans les yeux. Joëlle fait de même.Elles sont maintenant sur le lit pour un 69 rapide.Elle viennent nous rejoindre.Patricia s’adresse à moi :— Alors, elle s’en sort comment ma petite Marie ?— A merveille, elle est trop mignonne, trop gentille et très douée. Elle suce mieux que certaines professionnelles.— Et est ce qu’elle t’a fait jouir ?— Non, mais ce n’est pas sa faute, je t’avais prévenue.Elle nous dit alors qu’elle est invitée, que l’on doit partir, nous confie Marie pour la raccompagner, et nous invite à continuer. La proposition est acceptée à l’unanimité, on discute un bon moment, et fait de chaleureux au revoir à notre hôtesse à qui je jure de repasser à l’occasion.Joëlle part devant dans la voiture de Marie, et je les suis jusque chez elle.On est dans la chambre de Joëlle pour se changer. Elles essuient leurs entre cuisses avec leurs strings qu’elles échangent en cadeau. Joëlle attrape deux petites culottes et deux nuisettes assorties et hyper sexy et dans lesquelles elles enfilent leurs corps de rêve. Je mets mon short du sex-shop. Il est 18h passé et on prend l’apéro. Elles sont sur le canapé, collées l’une à l’autre, et je suis en face sur un fauteuil, le short gonflé de leurs tenues transparentes. Marie prend une olive, murmure quelques mots à l’oreille de sa copine, un truc de Patricia, qui enlève sa culotte. Elle met l’olive dans sa bouche pour la nettoyer, la recrache, la glisse dans la fente de sa voisine, la récupère et la mange. Joëlle prend une olive, et Marie ôte sa culotte. Elles grignotent ainsi à plusieurs reprises, et je défais ma braguette pour libérer mon pieu. Joëlle finis son verre, nous ressert, et va au coin cuisine préparer un petit repas rapide. Marie veut l’aider mais elle lui demande de rester avec moi.On est face à face, les yeux rivés sur le sexe de l’autre. Je me lève et me plante devant elle, le membre en érection, les couilles pendantes :— Elle te plait ma queue. Tu vas l’avoir tout à l’heure, mais d’abord je voudrais te bouffer la chatte, elle est trop belle. Tu veux bien que je te lèche ?Elle me répond un petit oui timide et je m’agenouille. Je lève ses jambes sur mes épaules, la saisis par la taille pour ramener ses fesses au bord du canapé, et plonge ma gueule sur son adorable petit minou. Elle a une chatte ravissante, délicatement parfumée, délicieusement mouillée. Je la lèche de mon mieux, et ma langue de vieux parvient à satisfaire sa jeune minette. Elle jouit et m’abreuve de son plaisir.Joëlle nous rejoint, voit nos verres pleins, s’en sert un autre. Je regagne ma place et on termine l’apéritif et olives bien assaisonnées. Elles remettent les culottes, j’ai du mal à ranger mon oiseau dans sa cage, et on passe à table. Un simple repas froid, rien à redire.On est à nouveau dans la chambre.
A suivre…………………………………………………………
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