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Séverine

Chapitre 7

Hétéro
Lundi matin, le réveil est difficile. Il est 6h00, je bois mon café devant Euronews. Je prépare mon sac quand mon téléphone sonne, c’est Séverine.
Sév- Hervé, c’est Sév, tu es prêt ? Je viens te chercher car il faut que l’on parle.
Moi- OK, à 7h00 le temps de prendre une douche et je serais à l’entrée du camping.
Douche prise, je me mets en tenue militaire, c’est-à-dire short en jean, chemisette bleue ciel (pas celle de l’armée de l’air mais de la tenue de travail Marine) et les sandalettes réglementaires. 7h00 elle arrive je monte et l’embrasse. Elle me rend mon baiser. Ouf, je pensais qu’elle regrettait, mais apparemment pas. Elle porte la même tenue que moi à la différence des galons. Deux chevrons or pour elle, trois pour moi.
Sév- Hervé, j’ai adoré ce weekend ….Mais….
Moi- Ecoute, Sév…
Sév- Attend, laisse-moi finir. Je ne voudrais pas que cela s’ébruite au boulot et dans la vie privée. Je veux que cela reste entre nous. Je ne suis pas une salope. Mais ce que tu m’as fait vivre ces derniers jours est vraiment surprenant. Surprenant dans le sens que j’ai aimé cela. J’ai envie que cela continue et toi, qu’en pense tu ?
Moi-Sév, je t’ai dit dès le départ que notre relation me plait…
Sév- Non tu ne me l’as jamais dit.
Moi- Bon, je te le dit. Je suis bien avec toi et on est deux adultes consentants, alors je te propose, si tu veux de continuer. Ne t’inquiète pas pour le boulot, tes parents, tes amis ou les miens, ils ne sauront rien. Je te le jure.
Sév pose sa main sur ma cuisse. Je bande. Elle s’en aperçoit. Elle sourit, se redresse et gonfle sa poitrine, fière de l’effet qu’elle me fait. La journée se passe comme les autres journées. On n’est pas dans le même bureau mais on se voit grâce à de brefs passages dans l’un ou l’autre. Puis vient le « dégagé », terme Marine pour nous dire de rentrer chez nous. Dans la voiture l’ambiance est coquine. Elle qui ne voulait pas que notre relation soit affichée au grand jour, elle recommence comme au matin, sa main s’égare sur ma cuisse.
Moi- On repasse au camping, je prends une douche, je me change et ensuite on va chez toi ?
Sév- OK, si tu veux, mais pourquoi chez moi ?

Moi- C’est plus intime et j’ai un cadeau pour toi, il faut que je le récupère dans ma voiture.
Le passage au camping est des plus bref, le cadeau récupéré (cf. Séverine 3). On arrive chez Sév. Elle disparaît pour se doucher. Quant à moi je sors l’objet de mon sac et le pose à la verticale sur la table basse du salon. J’en profite pour ouvrir la fenêtre et mettre à claire-voie les persiennes, ce qui a pour effet de laisser rentrer la chaleur et de plonger l’appartement dans une pénombre intimiste. Ensuite je prends deux verres et les remplis d’un rosé de pays bien frais. Elle apparaît vêtu d’un paréo multicolore. Elle me félicite pour le rosé et se retourne et aperçoit le vibromasseur fièrement exposé.
Sév- Waouh, c’est quoi que cette engin ?
Moi- Mon petit cadeau que j’ai pris au sex-shop de Kate.
Sév-Putain, il est monstrueux…
Se saisissant du sexe de latex, elle l’inspecte dans tous les sens, le retournant, le palpant, mimant même un branlette espagnole.
Sév- Il est super beau, et tu veux me le faire essayer, je suppose ?
Moi- Moi ou toi toute seule, comme tu le sens.
Sév- Je n’ai jamais eu de gode, mais là, il est fameux…. Énorme !!! J’aimerai que tu me le fasse essayer mais pour l’instant j’ai faim. On commande une pizza ?
Commande est passée, réceptionnée et avalée, tout ceci accompagné de vin. Séverine ôte son paréo et se met dans la même position que la première fois. C’est-à-dire, en levrette sur la table du salon.
Sév- Vas-y. je suis folle, tu me rends folle.
Moi- Tu es sure de vouloir que cela soit moi qui t’initie au plaisir solitaire ?
Sév- Oui, je le veux. J’ai envie de jouir sous tes mains et mon gode, allez !!!!
Je m’approche de Sév qui, bras tendu, me tend son jolie fessier et son tendre minou déjà humide. Je décide de la préparer en lui prodiguant un léchage en règle de son con et de son petit trou, tout en jouant avec ses tétons. Elle gémit déjà.
Moi- Chut, la fenêtre est ouverte.
Sév- Pas grave, il n’y a personne en ce moment, allez !!!! Bouffe-moi bien, c’est trop bon !!!
Je retourne donc à mes occupations préférées. Faire gueuler une femme juste sous l’action de ma langue a toujours été une fierté. Sa fente devient fontaine, son jus lui coule le long des cuisses. J’en récupère un maximum pour lui mettre sur sa petite rondelle qui s’ouvre de plus en plus. Puis c’est avec le gode que je commence à titiller les parties intimes de ma belle. Clito, lèvres et anus, tout y passe. Je place le faut pénis à l’entrée de sa vulve. Je pousse lentement et je vois l’énorme gland artificiel disparaître, comme aspiré par le sexe dégoulinant de Sév. Le pénis est à moitié rentré quand vient buter le second sur sa rosette. Je force un peu. Le sphincter de Sév s’ouvre sans difficulté. Ma progression est lente. Sév halète de plus en plus fort. Elle e se cambre un peu plus en posant ses avant-bras sur la table. Puis la petite langue de latex vient au contact du bouton d’amour. Celui-ci est complètement sorti de son fourreau, gonflé et dardant comme un petit pénis. Séverine bave.
Sév- Putain que c’est bon, ouiiiiiii !!!!!
Moi- attend, il ne fonctionne pas encore.
Le tourne la molette, qui compte six positions, sur « 1 » et un doux ronronnement se fait entendre, discret mais ô combien pervers. Sév remue ses fesses d’avant en arrière, mimant un rapport.
Moi- Ce n’est qu’un début. Interdit de le ressortir. Je veux qu’il reste planté en toi. Je déciderai quand il aura le droit de bouger.J’ai comme pour toute réponse un gémissement. Tenant l’objet enfoncé d’une main, je me dessape à mon tour. Une fois nu, je tourne et présente mon sexe face à la bouche de ma complice. Elle sort la langue et entre deux respiration, me lèche le gland, me le tète comme un nourrisson tétant le sein de sa mère. Position « 2 ». Les vibrations augmentent et les soupirs de Sév deviennent de petits gémissements. Le gode est toujours fiché au plus profond de son intimité. Position « 3 ». Elle ne bouge plus.
Sév- Putain, y a un truc qui… bouge… putain que c’est bon…
Moi- Comment « un truc qui bouge » ?
Sév- Oui, Y a comme un anneau qui descend et remonte !!!
Je prends le carton du jouet et m’aperçois, qu’effectivement, à la vitesse 3, il y a un anneau du diamètre du gland qui effectue des allez retour le long de la hampe. Et qu’à la position 4, le gland se mettra à faire de petits mouvements de haut en bas et de droite à gauche. Leur vitesse augmentant dans les deux dernières vitesses. C’est donc renseigné sur les variations du gode qui je le place en position « 4 ». Elle se cambre, Posant sa tête sur la table, haletant comme une petite chienne. Elle se concentre sur les mouvements de son amant artificiel. Elle a lâché ma queue et part en transe.
Sév- han, han, putain que c’est… bon, hum, han.
Moi- Je passe à la vitesse supérieure ?
Sév- Oui, vas-y… Je veux qu’il me défonce… han, han, c’est…divin, trop…bon…
J’avoue être un peu jaloux de se pieu en plastoc. Alors je décide de passer directement à la vitesse maximale. Là, c’est un festival de bruits incongrus. Des floc-floc, le bruit de la machine, les cris de Séverine emplissent l’appartement. Je fais maintenant aller et venir l’objet de la jouissance, sortant entièrement à chaque fois le phallus et le rentrant jusqu’en butée. Elle se tortille. Je me repositionne derrière elle pour profiter du spectacle. Ses deux trous sont irrités, dilatés et sont clito est devenu rouge écarlate. Elle jouit plusieurs fois de suite. Elle est en transpiration. Elle est inondée de partout. Je me branle tout en la fessant.
Sév- Oui, hum, han, han, han, J’en peu plus…. Arrête, Hervé, arrête….
J’obéi, mais la vue de se trou du cul ouvert et offert est trop tentant, je plonge mon sexe dedans. Après trois allers-retours, excité comme jamais, je lui déverse un flot de sperme impressionnant. Puis je me retire et je lui file ma queue à nettoyer, ce qu’elle s’empresse de faire.
Moi- Tu as bien mérité une petite douche. J’irai ensuite.
Sév se lève difficilement, pataugeant dans un mélange de sueur et de cyprine. Elle me dépose un bisous sur la joue et se dirige vers la salle de bain en tenant une main sur son trou du cul.
Sév- Putain, j’ai pris sévère…
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