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Séverine

Chapitre 9

Hétéro
Isa a disparu dans la foule des danseurs et des baiseurs. Caro se rapproche de moi avec un sourire ravageur.
— Alors mon petit chou, demande Caro, on s’est éclaté ? Vous avez offert un spectacle ravissant…
— Oui, mais je crois que je vais le payer cher. Je lui ai tellement mis que ça risque fort de me brûler d’ici pas longtemps…
— Mais non, quel idiot tu fais. Tu ne vas pas souffrir. L’épilation a été bien faite et Sév le savait. C’est juste pour t’embêter qu’elle a inventé des effets secondaires. Elle me plaît réellement ta p’tite amie. Mais j’ai un truc à te demander…
— La garce, elle ne perd rien pour attendre.
— Justement, tu veux lui rendre la monnaie de sa pièce ?
— Non, elle joue, et cela me plaît. Du moment qu’elle s’amuse et prend son pied, cela me fait plaisir.
— Justement, elle m’a demandé que vers 2h00 du matin tu l’attendes dans la salle des tortures, elle a la clé, et que tu te mettes à poil. Le reste, c’est une surprise.
— Aïe, ça sent le piège !!!
— Du tout, fais-moi confiance, tu ne le regretteras pas. Elle a de l’imagination cette petite. Et puis n’oublie pas, ce que femme veut....
— Oui, c’est vrai. On verra bien.
Caro s’éloigne du bar en rigolant. Elle se dirige vers Sév, lui parle à l’oreille et lui claque les fesses. Elles me regardent en souriant.
— Hervé ! s’exclame Kate. T’es avec moi ou quoi… Un whisky-coca, un gin-to, un bailey’s sans glace et un rhum arrangé…

— Oups !!! J’étais ailleurs… Excuse-moi…
— Il paraît qu’à 2h00 je dois te remplacer au comptoir, tu me diras ce qui est payé et ce qui ne l’est pas… Veinard !!!
Encore une qui est au parfum. Je lui sers ses verres. 01h50, la passation est faite. Je fais signe à Caro, elle me tend le pouce en me faisant un clin d’œil.Je passe par le couloir qui mène à la salle, passe devant les alcôves. Dans la première, une partouze est un cours. Dans la seconde, une femme seule se fait mettre par trois loustics. Aux Glory Hole, deux salopes sucent quatre bites à travers les trous prévus à cet effet. J’arrive à la salle, la porte est ouverte. Il y fait une chaleur pas possible. L’éclairage est tamisé rouge. La musique y est moins forte. Je me déshabille. L’effet de l’air au contact de ma peau nue est des plus divins. Je bande à nouveau, cela malgré le traitement déjà subi. Pas de rougeur. Pas de démangeaison. Ouf, je respire. Sév apparaît dans l’embrasure de la porte et m’admire.
— Humm, tourne-toi et ferme les yeux pendant une minute, s’il te plaît…
Je m’exécute. J’entends alors des gloussements, des rires étouffés. Puis ce sont des chaînes. On attache quelqu’un à la croix de St André. Séverine me tapote les fesses.
— Tu peux te retourner et admirer.
Il y a Sév et Isa nues comme au premier jour. J’ai du mal à voir la personne attachée. La fumée de l’encens allumé depuis peu me masque le visage de la proie de Sév. Il y a Isa qui se tient à côté de Sév. Je m’approche et je reconnais Brigitte, nue, attachée fermement, sur la pointe des pieds et les yeux bandés. Elle est grasse, le sexe poilu, pas entretenu. Les seins sont lourds, avec de larges auréoles, des tétons énormes qui pointent vers moi.
— Voilà, explique Sév. Madame veut baiser avec toi. Je lui ai dit que cela se mérite. Donc voilà une grosse chienne à ta disposition et deux soubrettes à ton service. Ah, il y a une règle, comme avec moi, elle ne veut pas souffrir, pas de marque, juste jouir. Tu as à disposition tous les objets de la chambre… Des questions ?
— Non, mais enlevez-lui son bandeau. Je veux qu’elle voie ce qu’elle va devoir subir.
Isa s’empresse de le lui ôter tout en l’embrassant à pleine bouche. Je m’approche et je peux voir de plus près le physique de cette mature légèrement obèse.
— Alors Brigitte on me veut ? Mais avant quelques questions. Réponds-moi sans détour, on est là pour se faire du bien. Quel âge as-tu ?
— 52 ans, Monsieur.
— Pas de Monsieur, pas de Maître, juste Hervé.
— Si, Monsieur, je vous en prie. Je veux être une gentille femme docile… Pas une esclave mais juste une femme soumise à vos désirs.
Allons bon, voilà qu’après être devenue un prof avec Sév, me voilà avec une nana qui désire se soumettre. Je regarde Sév et demande son approbation. Son air surpris et décontenancé me fait sourire. Isa est morte de rire. Je m’approche de Bri et saisis sa toison pubienne.
— Et tu ne te rases jamais…
— Non, je n’aime pas…
— Si tu me veux, il va falloir que cela change. Sev, Isa, occupez-vous de cette truie, elle a besoin d’une douche et d’un bon coup de rasoir. J’attends.
Sév et Isa se prennent au jeu. Elles la détachent et l’emmènent en dehors de la pièce, certainement aux douches du couloir. Pendant ce temps, j’inspecte les « jouets » mis à ma disposition. Des pinces à tétons, à clitoris, des boules-baillons, des spéculums professionnels, des bougies de massages, des poires de lavements, des paddles, des cravaches. Avec les attentes de Bri, je suis limité aux pinces, baillons, spéculums et bougies. Enfin de quoi m’amuser un peu avec une couguar qui cherche des sensations fortes. Cela fait une demi-heure qu’elles sont parties. Je tourne comme un lion en cage, ne sachant comment m’y prendre. La croix, non, trop vulgaire. La table de gynécologie, trop classique. Alors, sur la table, à quatre pattes…. Oui, cela me plaît. Les trois donzelles réapparaissent enfin.
— Et bien, j’ai failli attendre !!!
— Y’avait du boulot, mais je pense que cela va te plaire.
Effectivement, le sexe de Bri est bien rasé. Son visage démaquillé accuse les années. Je demande à mes deux complices de mettre Bri sur la table dans la position que j’avais choisie. Elles l’attachent fermement aux poignets et aux chevilles. Ses seins pendent outrageusement. Ses tétons ont doublé de volume. Son ventre flasque me dégoûte. Alors je prends un petit pouf et le place au niveau du nombril.
— Allez, les filles faites-la mouiller. Je veux qu’elle jouisse sous vos mains, vos langues. Vous avez carte blanche.
Il n’en faut pas plus pour qu’elles se transforment en de véritables furies. Isa s’occupe de la bouche et des seins, tandis que Sév se met à lécher, sucer les fesses, la raie, la chatte de Bri.
— Putain, elle mouille déjà, s’exclame Sév. Quelle grosse cochonne.
Isa, trop occupée à manger la bouche de notre victime, a lâché ses seins. Elle lui tient le visage à deux mains, forçant ses lèvres. Bri commence à réagir. Elle ronronne. Je vois ses seins bouger d’avant en arrière. Je me saisis d’une paire de pinces reliées entre elles par une chaîne assez lourde. Ce ne sont pas des pinces pour faire mal, étant gainées de caoutchouc, mais pour saisir fermement les tétons. Je fais remarquer à Bri ce que je vais lui faire. Elle a un geste de recul mais Isa la maintient fermement. L’application n’est absolument pas douloureuse. Bri se détend.
— Sév, je veux que tu dilates ses trous. Ils y a des spéculums, tu sais comment ça marche ?
— Je trouverai bien, hihihi !
— Quand à toi, Isa, je veux qu’elle te lèche ton minou. Tu as le droit de la gifler si cela ne te convient pas. Enfin lécher, je veux dire manger…
Une fois installés et positionnés, je prends mon portable et commence une série de clichés. Isa en train de se faire littéralement dévorer la chatte et Sév qui joue à ouvrir et à refermer les objets de torture. Je crois qu’il s’est passé dix minutes. Dix minutes d’un traitement bestial.
— Sév, enlève-les lui. Isa, tu la détaches et vous l’attachez fermement sur le dos à la table gynéco.
La pauvre Brigitte ne sait plus marcher. On l’attache, pieds aux étriers, bras en croix, le bassin sur le bord. Dans cette position elle est offerte à tous mes caprices.
— Isa, j’ai cru comprendre que tu aimes fister les grosses cochonnes, alors donne-t-en à cœur joie. Quant à toi, mets-toi dessous Isa, il doit avoir encore un peu de mon jus à récupérer.
Encore une série de photos, puis je me mets à califourchon au-dessus de la tête de la suppliciée et lui fourre la bite dans la bouche jusqu’à la garde. Le visage de Brigitte est rouge cramoisi. Elle suffoque et recrache de longs filets de bave à chaque fois que je ressors. Mais j’y retourne, à chaque fois plus fort et plus longtemps, attendant qu’elle soit à la limite de l’étouffement. Elle aime ça, la Brigitte, puisque c’est elle qui lève sa tête pour me gober.
— Quelle bande de salopes, lance Isa. J’en ai une qui mouille comme une fontaine et une qui me bouffe l’abricot comme une reine….Han, Han, Putain de merde. Je jouis, oui, Han, Hum…
Effectivement, en regardant par-dessus mon épaule, je vois son visage déformé par la jouissance. Brigitte veut me dire quelque chose. Je me retire.
— Hum, Han, Han, Han, que c’est bon. Donnez-moi votre jus Mons…
Pas le temps de finir sa phrase, je repars à l’assaut de sa bouche gourmande et baveuse. Elle jouit sous les coups de boutoir d’Isa. Je sens le jus monter. Ça vient.

— Han, oui, oui, oui, je viens, que c’est bon… Oui, oui, hum…
Je maintiens la tête de ma salope de Brigitte bien contre mon pubis et lui décharge de longues giclées de nectar. Elle ne peut pas avaler. Du sperme coule par la commissure de ses lèvres. Je retire mon sexe, elle déglutit et sourit.
— Allez les filles venez laver la bouche de la grosse Brigitte. Vous l’avez mérité.
Je redescends, prend mes vêtements et pars à la douche.
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