Caro me dit de me mettre nu. Elle a une tenue pour moi. Elle décadenasse une des deux portes et fouille dans un stock de vêtements divers. Elle est magnifique dans sa robe rouge. Je suis sortie de mes rêves par Caro qui me demande d’enfiler une espèce de pantalon leggings en latex noir. Une tenue très souple et moulée sur le devant pour accueillir un sexe tendu. Je me regarde dans les miroirs, pas mal. Elle me tend un tee-shirt rouge en résille. — Voilà un beau garçon, me dit-elle. Tu as une ouverture devant pour pisser ou pour…hihihi. Une fois équipé, je vais pour mettre mes chaussures, elle me dit que cela ne va pas avec ma tenue. Elle me tend une paire d’espadrilles noires. On rejoint Sév qui a débarrassé le comptoir de la cuisine d’été. Elle m’inspecte et m’embrasse amoureusement en me touchant l’entrejambe. Caro nous sert un petit verre, puis nous partons vers le lieu de perdition. Séverine est toute excitée à l’idée de retrouver cet endroit. Elle s’y plait et le fait savoir en se trémoussant comme une ado. Elle monte devant et moi derrière. — Non, je t’ai déjà expliqué comment ne pas froisser ta robe, dit Caro d’un ton courtois mais autoritaire. — Pardon, j’avais oublié. Elle remonte sa robe et pose son cul nu sur le cuir du siège. La circulation est dense. Les vitres à l’avant n’étant pas teintées, bon nombre d’automobilistes ont une vue imprenable sur les décolletés de mes deux charmantes complices. On arrive au club. Isa rentre suivie de Sév. Elles ont des culs superbes, cambrés et rebondis. Je leur caresse le fessier et les embrasse dans le coup. — Vous êtes magnifique, je vous adore habillée comme ça. Elles entrent et vont directement dans le petit bureau, quant à moi je vais réapprovisionner le bar et faire la mise en place. Kate arrive, accompagnée d’Isabelle et d’une nouvelle que je ne connais pas. Elles me regardent avec un air envieux. Kate me fait un petit bisou et va préparer le buffet. Isa se rapproche de moi et m’embrasse. — Bonjour toi, me lança-t-elle, je te présente Florence, Flo pour les intimes. C’est ma petite sœur chérie. Ce soir je te la confie, elle servira avec toi et Sév. Pas de bêtise… Hihihi. Flo me fait la bise. Elle doit avoir à peine 18 ans et mesurer 1m65 à tout casser. Un visage fin, les yeux noisette, cheveux blond très court à la garçonne et une poitrine quasi inexistante. On devine deux petits œufs sur le plat. Par contre, quel cul ! Deux beaux lobes fessiers, comme j’aime. Elle est habillée d’un tee-shirt blanc sans manche, d’un mini short en jean noir et de nu-pieds de cuir. — Je te préviens, malgré son air de sainte nitouche, elle n’est pas farouche, me précise Isa. Mais doucement quand même, elle n’a pas encore 18 ans. Elle les aura que dans deux mois. Je prends Flo par la main et l’emmène derrière le comptoir. Je lui explique le fonctionnement des pompes à bières, coca et autres jus de fruits. Sév nous rejoint, fait la bise à notre petite nouvelle. La soirée débute calmement. C’est samedi. La soirée est réservée aux couples et femmes seules. Flo ne prête pas attention aux regards qui se portent sur nous. Elle est à fond dans son travail. Kate et Isa servent en salle, tandis que Caro est à l’accueil.La musique est moins forte qu’hier soir. On peut entendre le léger brouhaha engendré par tout ce petit monde. Deux femmes sont déjà sur la barre de pool-dance, mimant des actes plus qu’explicites. Bientôt tous les coins banquettes sont pleins. Les mange-debout également. L’ambiance est Chaude. Les mains des mecs se perdent sur les rondeurs de leurs partenaires multiples. Sév et Flo Discutent ensemble en me regardant. Sév m’appelle.
— Oui, ma chérie, que me veux-tu ? — Flo est impressionnée par ton engin… Hihihi. Elle dit que j’ai de la chance de t’avoir. — Et ? — Je lui ai dit que tu ne m’appartenais pas, que l’on est ensemble mais que tu ne m’appartiens pas. Voilà, elle est très curieuse de voir ton sexe. Je lui ai dit, pas de problème… — Flo, viens me voir, s’il te plait. Flo, timidement, approche, les yeux évitant mon regard. Isa s’est aperçue que quelque chose était engagé entre nous trois, Flo, Sév et moi. Elle me fit un signe OK et d’y aller doucement. Je prends le doux visage de Flo entre mes mains et lui dépose un baiser sur la joue puis sur les lèvres. Je sens sa bouche s’ouvrir et sa petite langue venir à la rencontre de la mienne. Je jette un coup d’œil à Sév qui est en grande conversation avec un couple. Le baiser est interminable, intense. Je la repousse un peu. — Hum, tu embrasses divinement bien. — Merci, me fit elle, j’avoue que cela m’a plu mais j’aimerai un endroit où il y a moins de monde, ça me gêne un peu. Pour toute réponse elle reçoit un second baiser, plus hard celui-là, plus torride. Mes mains sont descendues sur son fessier. Je malaxe fermement ses lobes de chair bien fermes. Elle gémit et commence à onduler son bassin. Je la plaque fermement contre moi, contre ma queue. — Tu veux de moi ? Lui dis-je à l’oreille. — Oui mais il y a un problème, je suis mineure, et il y a ma sœur… Je sais qu’elle a raison. Mais je suis trop excité pour laisser passer une occasion pareille. J’appelle Isa et lui fait part de la situation. — Alors là, c’est un faux problème, me dit-elle. Elle fait ce qu’elle veut. De toutes manières, mes parents sont au courant de sa vie sexuelle. Il n’y a pas si longtemps, son petit copain dormait à la maison. Non de ce côté-là, pas de soucis, elle fait ce qu’elle veut avec son cul. — Alors j’ai le feu vert de sa grande sœur ? — Pas de problème mais vas-y doucement. Ne fait pas comme avec moi et surtout pas ici, pas en public, elle est timide. Flo a entendu la conversation avec sa sœur. Elle est écarlate. Je la trouve attendrissante. Je la coince dans l’angle du bar et je l’embrasse d’un long baiser. Nos langues jouent une dance interminable. Timide ? Peut-être pas tant que ça. — Hervé, j’ai envie de toi mais pas ici. Il faut un coin plus calme, plus intime. — Ne T’inquiètes pas, on trouvera bien, en attendant, on bosse, allez viens. Le reste de la soirée se passe comme hier. Les couples se mélangent ou s’isolent dans les espaces réservés aux copulations. Quand Sév viens me parler. — Hervé, alors avec Flo, c’est bon ? Qu’est-ce que tu as prévu ? — Rassures toi. Tu es de la fête, mais pas maintenant, il faut un endroit plus calme que derrière le comptoir. — Bien, si tu veux je réserve le coin là-bas, derrière les baffles. J’en parle à Caro si tu veux ? — Tu fais comme tu veux, je veux que ce soit toi qui mènes la dance. Mais tu fais attention, que Flo, toi et moi. — Tu me fais confiance ou quoi ? Flo n’a rein capté, trop occupée à servir les cocktails et autres boisson. Quand tout à coup, raisonne un « Halala, putain…. ». Effectivement, Flo vient de se faire copieusement arrosée par la pompe à bière : fin de fut. Cela fait rire les quelques clients accoudés au comptoir. Sév, toujours prévenante, s’affaire à essuyer son torse. Elles partent dans un fou rire communicatif. Bientôt, cet essuyage se transforme en caresse sensuelle. — Ma pauvre chérie, dit Flo, tu es dans un état, viens avec moi, il faut te changer. Elles partent main dans la main sous les applaudissements de la foule. Caro, qui n’a rien perdu du charmant spectacle, m’envoie changer le fut. Pendant notre absence, elle prend le relais. Je me dirige donc vers la sortie des employés et je passe devant le petit bureau. Quel Spectacle charmant. Flo est totalement nue, Sév lui séchant le corps. Elle a dû prendre une douche. Je file vite fait changer le fut et à mon retour elles sont toujours dans le bureau. Elles s’embrassent furieusement. Flo étant dos à moi, elle ne peut me voir. Flo me fait signe de partir, ce que je fais. Je reprends ma place derrière le bar.Flo et Sév reviennent. Flo s’est changée et porte une mini-jupe de cuir noir et un tee-shirt sans manche ultra-court de la même couleur. — Dessous, elle est nue, me dit Sév. Je vérifie en posant ma main sur sa cuisse et en remontant celle-ci. La douceur de ses fesses est étonnante. On dirait de la soie. Flo me sourit, et se cambre. Elle lâche un petit soupir qui en dit long sur le déroulement de la soirée.04h00, les couples de danseurs s’en vont petit à petit. Il reste quelques couplent sur les sofas et poufs de la discothèque. Caro fait le tour des chambres et revient souriante. — Excellente soirée. On me dit que du bien de Sév et de toi. J’ai bien fait de vous embaucher. Tu me feras rappeler de vous faire signer les contrats demain. Ah, au fait, demain je n’ouvre pas. Pas de réservation, donc demain soir, quartier libre. Et puis on a très bien travaillé ce soir et hier. Elle fait quelques pas et revient me voir. — Je ne rentre pas avec vous, je suis sur un coup. Les clefs de la voiture sont dans le bureau ainsi que celles de la villa. Allez, à demain mon cœur. Estomaqué par la confiance que nous fait Caro, je m’empresse de relater la conversation à Sév. — OK, attend moi. Elle va vers Flo et discute avec elle. Puis elle se retourne vers moi et me sourit en clignant de l’œil. Alors, quoi ? Que manigancent-elles ? Les derniers clients s’en vont. Plus de Caro. Kate et Isa nous disent que l’on peut y aller. Flo adresse deux mots à sa sœur, qui lui sourit, se font la bise. — A demain, soyez sage, me dit-elle en rigolant. Je vois alors Sév, les clés à la main me faire signe de les suivre. Le voilà le fin mot de l’histoire. Nous voilà tous les trois, une voiture et une villa à disposition. Sév prend le volant, Flo à ses côtés. Je décide d’interrompre le silence établit. — On rentre et on va se baigner ? Pour nous remettre en forme. — OK, disent-elles de concert. On rentre. Flo et Isa partent dans la maison. Moi je me déshabille et plonge. L’eau et à bonne température.Elles reviennent main dans la main. Elles posent les serviettes sur un transat et viennent me rejoindre. Flo et Sév s’approchent de moi. Flo passe dans mon dos et enserre ma taille à l’aide de ses jambes. Flo est devant Moi. — Flo, tu ne devrais pas te baigner. Tes piercings !!! — Ce n’est pas grave, il y a du chlore dans l’eau et puis je désinfecterais après. Flo me saisit la queue et commence un lent va et viens. Elle est positionnée sur mon dos et m’embrasse le cou. Sév vient près de moi et m’embrasse. On reste ainsi pendant de longues minutes, puis n’y tenant plus, je prends Flo par la main, la sort de l’eau et l’installe sur le transat. Elle écarte instinctivement les jambes. Son sexe est glabre. Des grandes lèvres sont serrées et on ne voit pas son clito. Ses petits seins sont ornés de petites auréoles brunes, surmontées de tétons fiers. Je me mets à quatre pattes entre ses cuisses mais la position et instable et inconfortable. Je la prends donc dans mes bras et me dirige vers le baisodrome de Caro. Je l‘installe au milieu du matelas d’eau et allume les lumières. Elles éclairent au plafond d’un rouge discret. Sév, qui nous a suivis, s’installe à côté, à genou. Je me remets en position et commence à lécher, téter ses seins. Ils ont beau être petits, ils sont très sensibles. Elle commence déjà à gémir et à arc-bouter. Sév pendant ce temps se masturbe en admirant le corps fin de ma partenaire. — Mange-lui le minou, je m’occupe de ses seins. Alors, doucement, je quitte la petite poitrine de Flo et descends lentement vers son mont de vénus. Sév, quant à elle, elle se penche sur les tétons de Flo. Elle étire ses petits bouts de chair comme une folle. Flo gémit sous les assauts de Sév. Je passe par son nombril, par ses cuisses et remonte lentement vers le mont du bonheur. Je n’y mets pas les mains. Seule ma langue fouille à présent son puits d’amour. Elle est cambrée, voûtée. Est-ce la première fois que l’on lui fait minette ? Fouillant ses lèvres, je trouve enfin son clitoris. Il est gonflé comme un minuscule pénis. Je le gobe. Flo pose alors ses mains sur ma tête. — Continue, Hervé, c’est trop… trop bon… Han, han, oui, c’est trop bon, dit-elle d’une voix tremblotante. En tenant Flo fermement par les cuisses, je m’efforce de la maintenir ouverte. Elle se contorsionne sous la jouissance. Elle part dans une transe incroyable. Même Sév s’arrête et admire le corps ruisselant de ma prisonnière. Je ne m’arrête pas en si bon chemin, je descends, abandonnant son clitoris, pour m’attarder sur son sexe, devenue béant. Ma langue s’introduit comme une bite à l’intérieur. Elle est toute gluante. Ma bouche récupère un maximum de son jus. Je la bois, l’aspire. — Oui, han, han, han, j’en peu….plus…tu me tues… Arrêtes, arrêtes, deux minutes, s’il te plaît, arrête… Ne voulant pas la brusquer, je la relâche et m’allonge à côté d’elle, imité par Séverine.
