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Séverine, directrice et esclave.

Chapitre 6

Avec plusieurs hommes
Suite :
En arrivant sur place, je me rends compte que l’homme bien en question est un immense black ! J’espère sincèrement qu’il sera en effet un homme bien parce que sinon, il va me déchirer en deux !
La discussion s’engage entre lui et le Président et, régulièrement, le SDF me regarde comme si j’étais un casse-croûte dans une vitrine qu’il s’apprêtait à dévorer. Et c’est exactement ce qu’il a fait ! Après que Robert lui ait donné le feu vert, l’homme s’est approché de moi et s’est excusé au nom de la « communauté des clochards » pour le comportement de ses collègues envers moi aujourd’hui.
Puis, sans rien me demander, il s’agenouille, soulève ma jupe et contemple mon sexe nu et offert. Il le sent de très près, passe un doigt entre mes lèvres puis me retourne et fait de même avec mon anus qu’il sent et caresse.
— Je sens que la journée a été longue pour vous, très chère. Mais je sens aussi que vous êtes une grande amatrice de sexe et que, même si vous semblez excitée, le plaisir vous a fait défaut aujourd’hui.— Ce n’est pas entièrement faux… répondis-je, un peu surprise par un langage si soutenu.— Dans ce cas, laissez-moi m’en charger, voulez-vous ?
A peine ai-je acquiescé de la tête que le SDF pose un premier baiser sur mon sexe. La suite n’a été que pur plaisir, pour la première fois de l’après-midi. Il a été très doux et a pris son temps car j’avais du mal à retrouver le chemin de l’excitation. Mais finalement, ses baisers, ses caresses et surtout sa manière de renifler mes effluves intimes et de s’en extasier ont fini par me libérer.
Il m’a léché divinement le sexe ainsi que l’anus sur lequel il s’est attardé très longtemps. Il m’a doigté et caressé, jouant comme un pro avec un orgasme qu’il faisait monter puis descendre en moi. Ces doigts longs et épais, endurcis par la vie dans la rue, me fouillaient en profondeur, c’est à la fois dans ma chatte et dans mon cul qu’il me pénétrait sans aucune douleur. 
Il a enfoncé jusqu’à trois doigts dans mon sexe et deux autres dans mon anus si bien que je me sentais autant pénétrée que durant une double pénétration, mais sans la moindre once de douleur, de soumission ou de brutalité. Ses doigts entraient en moi avec une légèreté et un érotisme qui tranchaient terriblement avec le contexte, à savoir une ruelle sombre et puante.
C’est finalement avec une langue diabolique sur mon clito et des doigts profondément enfoncés dans mes deux orifices que j’ai joui, incapable de résister à autant de plaisir venant d’autant de secteurs de mon intimité.
Encore tremblante de plaisir, je me redresse pour m’approcher de la bosse monstrueuse qui déformait son pantalon afin de lui rendre la pareille. Mais le SDF me retient en me disant :
— Non, merci, Séverine. Vous m’avez offert un plaisir immense aujourd’hui en me permettant de profiter de vos charmes. Je n’ai besoin de rien d’autre. — Mais… si vous ne le faites pas pour vous, faites-le pour moi… Vos… charmes m’intéressent également, insistais-je en pointant son sexe du doigt.— Alors un autre jour, si cela vous convient. Et dans un endroit plus approprié.
— C’est entendu. Je vous remercie pour votre galanterie et je vous promets que nous nous rêverons bientôt.
 Après avoir échangé quelques politesses, le Président, François et moi-même retournons enfin à la voiture pour clore cet après-midi chargé.  Arrivés dans le bureau du Président, j’allais prendre congé quand celui-ci me retient en me disant :
— Chère Séverine, vous nous avez comblés de plaisir aujourd’hui en nous offrant un spectacle des plus excitants. Pour ma part, cela me suffit. Mais j’ai peur que François ne soit dans un état qu’il serait correct d’arranger, voyez-vous ?
Ayant déjà baisé avec François, et celui-ci étant plutôt bien membré, la perspective d’une petite pétée pour la route ne me déplaisait pas. Mais je me sentais terriblement sale, souillée de toute part, et je me demandais comment François avait envie de moi.
— Robert, vous avez assisté à ce que vos amis m’ont fait… Je dois être dans un état épouvantable…— Justement, François a remarqué qu’à part avec les doigts experts de notre dernier ami, votre… anus… n’avait pas été visité ou souillé aujourd’hui.— Je vois… Allons-y, François… dis-je en soulevant ma minijupe, toujours sans culotte en dessous, enculez-moi !
Cela dura moins de 5 min… François m’a penché sur le bureau de son patron alors que celui-ci était aux première loges, m’a humidifié l’anus avec sa salive et m’a pénétré directement. Il a commencé par de lents allers-retours, juste histoire de me laisser le temps de m’habituer à l’intromission. Comme la plupart des mecs m’ayant pris par cet orifice, il s’est retiré régulièrement pour observer le résultat de son action, c’est-à-dire mon anus grand ouvert, laissant entrapercevoir une petite partie de l’intérieur mon intestin.
Il m’a ensuite retournée une ou deux fois pour profiter de cette sodomie dans plusieurs positions et également pour s’acharner sur mes seins et plus exactement sur mes tétons qu’il s’amusait à pincer et à tirer vers lui. Puis, à peine au bout de quelques minutes, il m’a limé furieusement pendant un bref moment et a craqué en se vidant dans mon colon.
Une fois son affaire faite, il s’est retiré sans un mot, a rangé le matériel et est sorti du bureau sans même croiser mon regard. Cela m’a vraiment donné l’impression d’être un mouchoir !
C’est d’ailleurs avec un mouchoir que le Président a essuyé le sperme qui coulait le long de ma cuisse lorsque je me suis redressée. Après m’avoir encore chaleureusement remerciée, je remonte dans ma voiture pour rentrer enfin chez moi.
Épuisée, souillée et endolorie, j’ai eu à repousser les propositions libidineuses de mes deux fils qui s’étaient mis dans la tête qu’ils prendraient en sandwich leur mère adorée ce soir ainsi que celles de mon voisin avec qui j’entretenais une relation purement sexuelle depuis un moment. J’avais juste envie d’une longue douche et d’une bonne nuit de sommeil sans que rien d’autre aujourd’hui ne rentre en moi.
Ainsi s’achevait ma première séance de soumission totale à mon Président, première d’une longue liste me permettant d’honorer le contrat que j’avais passé avec le diable pour accéder et rester à la tête de l’entreprise. 
Dans les chapitres qui vont suivre, je vais vous raconter certaines d’entre elles, les plus marquantes, les plus extrêmes.
Je vous raconterai également les étapes clés concernant l’évolution des mes relations avec mon voisin, mes enfants et Virginie durant ces semaines qui m’ont vue être l’esclave de mon Président.
A suivre...
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