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Séverine, une mère de famille attentionnée...

Chapitre 10

Inceste
Suite :
Je me précipite donc dans la salle de bain. Hugo est en train de pisser tandis que se Théo rince le visage au lavabo. Sans parler, je me mets à genoux devant Théo, lui attrape son sexe mou et le suce comme une folle pour le faire rebander. Il commence à durcir quand, du coin de l’œil, je constate qu’Hugo est en train de finir de pisser. Je lui saute dessus et commence à le sucer sans même me demander s’il avait complètement finit. Un fort gout d’urine accompagne les premiers coups de langue et m’oblige à cracher dans les toilettes. Mais je ne ralentis pas pour autant la cadence et continue de le pomper comme une hystérique. Il commence à durcir alors que Théo se met à coté de lui. Je change donc de bite et suce une fois l’une, une fois l’autre. Je suis accroupie, cuisses écartées et ne j’ai jamais été aussi excitée. Ma chatte est grande ouverte et dégoulinante, mes lèvres pendent et sont remuées par les mouvements dû à la fellation. Je sens que de la mouille s’échappe de mon vagin et coule par terre. Tout en prenant à fond dans ma gorge les queues de mes fils, je me branle comme une sauvage et m’enfonce autant de doigts que je peux.
Ils sont tous les 2 à présent bien durs. J’assois Hugo sur les toilettes et m’empale à cheval sur lui. Je suis si trempée et dilatée que sa grosse bite me pénètre sans aucune résistance. J’attrape Théo par la queue et le dirige derrière moi, au niveau de mon cul. Je n’ai pas besoin de parler pour qu’il comprenne et j’en serais d’ailleurs incapable, étant juste bonne à gémir et à couiner comme une truie. Il m’enfonce donc sa queue dans le cul, là non plus sans difficulté. Ils me besognent bien tous les deux ensembles. J’hurle de plaisir, ne me retenant absolument pas. Je tiens des propos indécents, incitants mes propres enfants à me baiser comme la pire des salopes, toujours plus fort, toujours plus brutalement. Je suis comme possédée…
A ma demande, Théo change de trou de temps en temps et me l’enfile aussi dans la chatte. Cette alternance de double classique et de double vaginal me comble de plaisir et me donne un premier orgasme.
Mais j’en veux toujours plus. J’ordonne à Théo de me doigter le cul alors qu’ils sont à deux dans ma chatte. Je lui demande toujours plus de doigts mais dans cette position un peu bancale, en équilibre sur les toilettes, il ne peut que m’en rentrer que 2, et encore pas à fond. C’est excellent mais ça ne me suffit pas.
Comme une furie, j’hurle alors en direction de ma fille, encore dans ma chambre :
— Chloé ! Viens ici tout de suite ! Chloé !!
Elle apparait à l’entrée de la salle de bain et me demande ce que je veux.
— Viens ici et fiste moi le cul ! — Maman… Heu… je…— Ne réfléchi pas ! Viens me remettre ton poing dans le cul tout de suite, lui ordonnais-je, hystérique.
Et alors que les garçons continuaient de me ramoner la chatte, Chloé insère ses doigts dans mon cul, puis pousse pour faire rentrer tout sa main. Gêné par la position de Théo, elle ne peut pas aussi bien l’enfoncer comme tout à l’heure mais mon anus est tout de même écartelé, autant que ma chatte. Cette séance de sexe est absolument divine mais aussi destructrice. J’avoue à posteriori avoir mis plusieurs jours à m’en remettre, mais sur le moment, c’était du pur bonheur !
J’avais donc 2 bites dans la chatte et une main dans le cul. Etait-ce l’alcool… mais toujours est-il que je voulu teste autre chose ! Complètement en transe, je retire la main de Chloé de mon fion, me soulève pour faire sortir les queues des garçons de ma chatte, attrape celle de Hugo en dessous et l’enfonce dans mon cul directement. J’attrape ensuite celle de Théo et la place au même endroit.
— Vas-y, Théo, mets-la moi aussi ! J’ai envie d’avoir 2 bites dans mon cul !
— Je ne peux pas, maman… je vais te faire mal !— Mais non, mon chéri, ça va passer, j’en suis sûr !
Théo appuie donc finalement son gland contre le sexe de son frère et finit par se faire une place entre Hugo et le haut de mon anus. L’entrée de son gland a été la plus douloureuse pour moi mais, une fois cette étape passée, le reste de son sexe entre sans trop de difficulté.
Mon dieu ! C’est tellement meilleur qu’un vulgaire poing ! Même s’ils ne peuvent pas me les enfoncer totalement à fond, mon côlon est distendu par 2 sexes sur une quinzaine de centimètre et j’adore ça ! Je ne comprends pas pourquoi mais je suis folle d’excitation à l’idée de faire un truc dont seules quelques rares nympho sont capables ! Comme dans ma chatte, les sexes se chevauchent et se croisent dans mon fion en allant et venant, parfois ensemble, parfois en décalé.
Théo est collé à mon dos et me pétris les seins tandis qu’Hugo, sous moi, m’écarte fortement les fesses. Coincée ainsi entre les 2, je me laisse totalement aller et gémis comme une folle, presque au bord des larmes. Théo pince un peu mes tétons et, voyant que je ne conteste pas, comme à les tirer, les pincer plus fort. Il malmène mes seins en les pressant de toutes ses forces alors qu’il tape à présent comme un malade dans mon cul.
Hugo, qui ne peut guère faire de mouvement dans cette position et qui a le poids de 2 personnes sur lui demande alors à changer de place. Ils sortent donc tous les 2 de mon cul et alors, qu’il est plus dilaté que jamais. L’hystérie règne dans le groupe et mes enfants m’emmènent alors dans la cuisine… à quatre pattes, comme une chienne. Chloé, au milieu du couloir, m’arrête, enfile son poing dans mon trou béant, cette fois-ci bien profond et me demande d’avancer. A chaque pas, je sens son poing au plus profond de moi. Les garçons me mettent des claques sur les fesses pour me faire avancer. Les mètres qui nous séparent alors de la cuisine me paraissent bien longs… pourtant j’en redemande et incite les garçons à me fesser toujours plus fort !
Nous arrivons enfin dans la cuisine et je m’assois sur un tabouret haut près du bar. Je mets mes fesses bien en arrière pour que dépasse mon trou de balle. Théo et Hugo passe alors derrière moi et se succèdent dans mon cul. Prise dans cette position, j’ai vraiment l’impression d’être une reine sur son trône se faisant baiser à volonté par ses sujets. Mon anus est totalement ouvert et n’offre plus aucune résistance. Chloé, sans doute lassée de nous regarder, s’assois dans la même position que moi sur le tabouret d’à coté et offre son cul à qui voudra le prendre. Nous ne sommes alors plus que 2 fions béants se faisant remplir à tour de rôle. Il y a quand même une différence de rythme entre nous deux car, là où les garçons liment, tapent et défoncent sans ménagement pour moi, ils y vont plus doucement pour Chloé.
Alors qu’il m’encule, Théo m’attrape par-dessous les genoux et me soulève. Il m’expose ainsi suspendue cuisses ouvertes à Hugo qui saisit l’occasion. Il sort du cul de Chloé et rentre dans ma chatte dégoulinante de mouille, un peu délaissée ces dernières minutes. Je suis ainsi perforée en l’air, agrippée à mes fils pour ne pas tomber.
Toujours portée par Théo, celui-ci m’emmène vers le canapé, s’assoit et expose bien haut mon entrejambe en m’agrippant par les genoux. Chloé s’approche et, comme Hugo lui avait parlé la veille, m’enfonce sa main dans la chatte. Je ne sais pas d’où leur vient cette obsession de m’enfoncer leur poing… mais on dirait qu’ils le font à la moindre occasion, comme s’ils voulaient profiter du fait qu’avec moi, ça passe !!
Toujours est-il que sa main est bien plus petite que celle d’Hugo ou des autres ayant déjà fait ce truc sur moi et s’incère donc facilement. C’est absolument divin, d’autant que de l’intérieur, elle semble masser le sexe de Théo qui continue d’aller et venir dans mon cul. Je voudrais hurler de plaisir, mais je ne peux que gémir car Hugo vient me remplir la bouche avec son gros membre. Comme affamée, je le suce goulument.
Chloé se retire de mon vagin dans un gros « slorp » disgracieux tandis qu’Hugo s’approche de mon entrejambe. Et plutôt que de viser mon sexe, il s’engouffre dans mon cul… et c’est parti pour ma deuxième double anale de la journée ! Il s’appuie sur mes jambes et me lime furieusement le fion. Chloé me masturbe le clito me faisant ainsi jouir pour la énième fois aujourd’hui. Pour la première fois, je pleure de jouissance.
Le traitement qui m’est imposé (et que j’ai bien cherché) en continu depuis plus d’une demi-heure commence à avoir raison de mon excitation et de mes orifices qui deviennent sensibles, voire douloureux. Au bout d’un long moment durant lequel les 2 garçons se contentent de me ravager le cul sans en sortir pendant que Chloé m’embrasse et me caresse, je finis par demander :
— Ooohh, stop, s’il vous plaît… je n’en peux plus… Les garçons continuent quand même un peu puis finissent par accepter mes supplications. En se retirant, Hugo me dit :
— Alors viens par là, on va te recouvrir de foutre !
Il m’attrape par les cheveux, me retire de la queue de son frère et me place à genoux devant lui. Il m’enfourne son sexe dans la bouche pour se faire sucer. Théo se place à coté et, sitôt ma bouche libérée pour respirer, m’enfile lui aussi son sexe. A nouveau j’ai perdu le contrôle et à nouveau ma gorge est abusée sans ménagement. Puis, enfin, Hugo me jute sur le visage, suivi de près par Théo. Leur sperme est chaud et abondant et j’ai l’impression d’être recouverte.
Epuisée, souillée, dilatée et dégoulinante de partout, je me rends péniblement à la douche et y reste une bonne demi heure. Je m’allonge ensuite dans mon lit pensant pouvoir m’y reposer. Mais les garçons font irruptions dans la chambre, et, prétextant vouloir en profiter avant que leur père ne rentre, me demande de remettre le couvert. Je n’ai absolument pas envie de me faire défoncer à nouveau comme tout à l’heure mais n’est pas non plus la force de retenir leurs ardeurs.
Sans conviction et sans qu’on m’ai réellement demandé mon avis, je me fais donc rebaiser dans le lit conjugal par mes fils. Un peu calmés par 2h de baise et plusieurs orgasmes, ils me prennent moins sauvagement mais ne m’épargnent quasiment rien : ils me prennent la chatte dans tous les positions, m’enculent à la chaine, me prennent en double, me baisent la bouche et au final me souillent à nouveau de sperme, en se vidant dans ma chatte cette fois.
Ils me laissent ainsi ravagée sur le lit, nue, jambes écartées, chatte débordant de foutre. Je m’endors dans cette position et après un moment, je ne saurais dire si ce fut 1 minute ou 1 heure, je suis réveillée par des cris… les cris de Chloé. Je me lève avec peine, suis les bruits à l’oreille et me dirige vers sa chambre. Je la découvre sur son lit, prise en sandwich par ses 2 frères, Hugo en dessous dans sa chatte et Théo au dessus dans son cul. Les cris que j’avais pris pour de la douleur et qui m’avaient inquiétés sont en fait des cris de jouissances… de plaisir bestial ! Théo lui défonce de toutes ses forces le cul pendant que les hanches d’Hugo bougent à une vitesse impressionnante. Je n’imagine que trop bien ce que ma fille ressent à ce moment et elle semble adorer cela. Elle hurle comme une chienne, la langue pendue, et bave de plaisir. Ces pervers ne font même pas attention à moi et je repars vers ma chambre en me disant que mes enfants sont des obsédés… au moins autant que moi !
Je tente de me rendormir mais les gémissements de Chloé qui atteignent ma chambre m’excitent. Je me caresse sous les draps en écoutant ma fille crier « défoncez-moi le cul », ou « allez-y plus fort » ou encore se plaindre de ne pas avoir d’autres bites sous la main… Je jouis en même temps que Chloé et commence à sombrer dans un profond sommeil. Chloé entre alors dans la chambre, nue et décoiffée, et se glisse sous les draps avec moi.
— Ca va ma chérie ? — Oui, tu sais, ils voulaient à nouveau te baiser mais je leur ai dit que ça suffisait, que tu ne pourrais plus…— Tu as bien fait Chloé, merci. Tes frères sont des animaux aujourd’hui ! — Sauf qu’ils n’ont acceptés que s’ils baisaient avec moi et…— Et quoi ?— Bin… je les ai laissé me prendre en double…— Oh, dis-je en feignant la surprise, et… c’était comment ?— Exceptionnel, maman… dit-elle un peu honteuse. J’avais jamais autant pris mon pied avant !— Et tes frères sont où, là ?— En train de regarder la télé, je crois…— Dormons un peu avant que ton père ne rentre. — Bonne idée… ils m’ont épuisé !
Nous nous embrassons tendrement et nous caressons. Nos jambes s’entrecroisent, nos seins se frottent, nos salives se mélangent. Mais la fatigue l’emporte et sans même aller plus loin, nous nous endormons ainsi, l’une contre l’autre. La journée se finit comme elle a commencé.
Mon mari est rentré très tard, alors que les enfants étaient déjà au lit, le lendemain étant jour de classe. Nous avons brièvement parlé de son weekend et je lui ai dit que le mien avait été tranquille. Une fois au lit dont les draps avaient été changés, il n’a même pas essayé de me toucher et s’est endormit très vite. Je n’ai pas trouvé cela bizarre et ai mis ça sur le compte de la fatigue. Même en étant une salope de compétition, ont peut rester décidément très naïve !!
A bientôt.
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