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Séverine, une professionnelle dévouée

Chapitre 4

Avec plusieurs hommes
Suite :
Le lendemain aillait être une journée calme, je n’avais qu’un rendez-vous à mon bureau. Ne voulant pas être obligée d’aller trop loin dans le locaux de la boîte, j’ai tout misé sur l’habillement avec un ensemble mini-jupe chemisier relativement sobre mais pouvant faire un beau décolleté si j’enlevais un bouton, des portes jarretelles et surtout, pas de culotte, ce qui rendrait les croisements de jambes plus efficaces ! Pour l’occasion, j’ai aussi mis une paire de lunette (avec des verres de repos, donc non corrigés…) pour renforcer le coté « patronne sexy » ! Si l’on me pose des questions sur ces lunettes, je dirai que les écrans d’ordinateurs me donnent des maux de tête en ce moment.
Le début de la journée se passe sans évènement particulier et nous discutons agréablement avec Virginie, mon assistante, devenue une amie. Elle trouve d’ailleurs que mon comportement à changé depuis quelques semaines. Je la rassure en lui disant de ne pas s’inquiéter.
Mon rendez-vous arrive à 10h et la négociation débute plutôt bien. Je sens d’entrée que mon allure, les lunettes et le bouton de mon chemisier enlevé juste avant font leur petit effet. Assise à coté de lui pour consulter ensemble les contrats, le client a du mal à se concentrer et est hypnotisé par mes jambes que je croise et décroise nonchalamment. Je fais en sorte que les attaches de mes portes jarretelles se voient mais sans en faire trop pour le moment.
De son bureau en face, Virginie observe la scène et je vois qu’elle prend un air sévère à chaque croisement de jambes. Elle n’est pas dupe et elle a bien remarqué mon chemisier plus décolleté maintenant qu’à mon arrivée au travail.
A un moment, je me lève pour consulter un plan et pointer du doigt un endroit en exposant sans complexe mon profond décolleté à 20 cm du visage de mon client… qui regarde à peine le plan en question ! Il faut dire que dans cette position, il apercevait une belle partie de mes gros seins joliment emballés dans un soutien-gorge noir à dentelle.
10 minutes et quelques coups d’œil à mon entrejambe plus tard, le client mettait sa signature en bas à droite du document et quittait mon bureau, apparemment ravi du rendez-vous. Une fois la porte refermée, je sentais le poids du regard de Virginie dans mon dos.
— Quoi ? lui fis-je un peu agacée— Rien… — Mais si vas-y ! Tu trouves que je me comporte comme une pute, c’est ça ?— Pas du tout ! C’est juste que tu me dis que tout est normal dans ton comportement et là, j’ai assisté à une scène qui n’a rien de normal…— Et qu’est-ce qui te choque ?— Enfin, Séverine ! Exposer ton décolleté, croiser les jambes pour montrer tes dessous… tout ça pour un client, ça ne te ressemble pas ! Je suis sûr que quelque chose ne va pas dans ta vie…— Je… je t’assure que tout va bien, dis-je alors que les larmes montaient.
Virginie se lève alors de son bureau, s’approche de moi et pose une main sur mon bras.
— Tu peux me parler, tu sais. Je vois bien que ça ne va pas.
— C’est juste que… c’est… mon mari me trompe, avouais-je en éclatant en sanglots non simulés.— Mon dieu, je suis désolée… Comment l’as-tu appris ?— Je l’ai surpris dans son bureau avec une stagiaire…— Quel salaud ! Vous êtes séparés ?— Non, j’ai décidé de rester pour les enfants, mais nous ne nous parlons plus du tout. Du coup je suis paumée et je me réfugie dans mon travail, tu comprends ?— Oui, bien sûr ! Ma pauvre, viens là…
Et sur ces mots, elle me prend dans ses bras et me sert fort en me disant des mots réconfortants. Je n’avais jamais évoqué cette tromperie avec quiconque et en parler me soulageais. Par ailleurs, la tendresse et la chaleur de Virginie me faisaient énormément de bien et j’aurais pu rester des heures ainsi serrée contre mon amie.
Elle me libère de son étreinte et hôte mes lunettes pour essuyer mes larmes tendrement avec son pouce. Elle laisse sa main sur ma joue et la caresse en continuant à me chuchoter des gentillesses. Ses yeux sont plongés dans les miens et sans que je m’en rende compte, son visage semble se rapprocher du mien. Elle me pose un baiser sur la joue en me disant :
— Tu es très belle Séverine et tu n’as pas besoin d’en faire autant pour plaire aux hommes… ou aux femmes. Une femme ne te ferait pas souffrir comme ton mari l’a fait.
Elle hésite un instant, puis pose un tendre baiser sur mes lèvres. Je suis alors prise au dépourvu et ne peut rien faire ni dire. Cette jeune femme est absolument magnifique et pourrait avoir tous les hommes du monde. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle aime les femmes en général et moi en particulier.
Suite à ce petit baiser, nous nous regardons intensément en attendant que l’une ou l’autre prenne la parole. Mais au lieu de ça, il se passe comme un éclair, un « instant » et nous nous jetons l’une sur l’autre. Nos lèves se touchent d’abord timidement, puis s’ouvrent pour que nos langues se mêlent. Elle passe sa main dans mes cheveux pendant que nous nous embrassons fougueusement. Je commence à m’allonger avec elle sur le bureau lorsque quelqu’un frappe à la porte.
Nous nous séparons en une seconde, moi réajustant mon coiffure et elle retournant à son bureau.
— Entrez ! La secrétaire du patron passe alors la tête dans le bureau.— Séverine, M. Roland demande à vous voir. — Merci, j’arrive.
Je m’empresse alors de sortir du bureau pour éviter toute situation embarrassante avec Virginie, repoussant les explications sur ce qui vient de se passer, un dérapage comme je le pensais alors.
M. Roland ne voulais pas spécialement profiter de mes « compétences » (il y avait du monde dans les locaux à cette heure de la journée) mais m’a demandé de me rendre, demain, à une réunion de chantier, a priori sans problème particulier à traiter. Il m’a demandé comment s’était passé mon rendez-vous. J’ai soulevé ma jupe pour lui montrer mes portes jarretelles et mon absence de culotte en répondant « plutôt bien… ».
A mon retour dans le bureau, l’ambiance était glaciale avec Virginie… Nous étions toutes les 2 horriblement gênée. Je trouvai une excuse pour m’absenter le plus longtemps possible, espérant qu’à mon retour, elle serait partie. A 18h, alors que les bureaux étaient presque tous vides, je retourne dans le mien et constate que Virginie est toujours là et apparemment m’attend.
— Il faut qu’on parle, Séverine…— Hum… si tu veux. Je suis désolée pour ce qui c’est passé tout à l’heure. Je…
Mais Virginie, au lieu de me laisser finir ma phrase, se jette sur moi et m’embrasse à nouveau fougueusement. Je ne peux retenir son élan me laisse totalement submerger. D’abord surprise, je réponds à son baiser en enfonçant profondément ma langue dans sa bouche. Aussitôt, elle commence à déboutonner mon chemisier et fait apparaître mon soutien gorge. Elle me masse les seins au travers du tissu et passe délicatement ses mains sur mes cotes et ma taille.
Moi-même je caresse son magnifique corps, notamment ses fesses, rebondies et musclées, au travers de son pantalon. J’essaie de le déboutonner à l’aveugle (ma bouche est toujours collée à la sienne) avec un peu de difficulté… Décidément entreprenante, Virginie me repousse sur le bureau, ferme la porte de la pièce à clé et commence à se déshabiller devant moi. Elle ne me fait pas vraiment un show mais elle retire ses vêtements avec énormément de sensualité. Je comprends mieux l’excitation des ados qui avaient assistés, il y a un moment déjà, à mon striptease…
Elle commence par enlever son haut en révélant sa poitrine. Elle est magnifique… Puis elle déboutonne son pantalon et se retrouve donc en sous-vêtements. Ils ne sont pas particulièrement sexy : un soutien gorge standard et un slip en coton blanc. Son corps est absolument superbe et je me mords la lèvre de désir et un peu de jalousie pour cette plastique parfaite. Ses long cheveux blond viennent entourer ses énormes seins, son ventre est plat, ses jambes sont longues et fines, ses fesses bien rondes et fermes. Sa paire de lunettes noire vient couronner ce magnifique tableau de secrétaire sexy. Elle dégrafe son soutif, me le jette à la figure et me montre enfin ses seins. En plus d’être beaucoup plus gros que les miens, ils se tiennent mieux (elle a 15 ans de moins que moi…). Ses tétons pointent déjà au milieu de petites auréoles sans défaut.
Alors qu’elle est à présent topless et en culotte devant moi, elle me demande :
— Tu es sûr de vouloir aller plus loin ?— Absolument… lui répondis-je en me débarrassant de mon chemisier ouvert en guise de preuve.
Alors que je commence à dézipper ma jupe, Virginie me demande d’arrêter et me dit qu’elle s’en chargera. Elle commence alors à baisser sa culotte et révèle doucement un sexe parfaitement glabre. Sa petite fente est tout juste visible dans cette position mais la culotte qu’elle me lance à la figure témoigne d’une excitation et d’une chaleur certaine.
Elle s’approche de moi et m’embrasse à nouveau langoureusement. De mon coté je peux enfin palper ses magnifiques seins à même sa douce peau. Mon pouce passe sur l’un de ses téton, très dure et je fais descendre une main le long de son ventre jusqu’à son sexe. Elle écarte un peu les jambes et me laisse la caresser doucement, passer un doigt sur son orifice déjà très humide et stimuler son clitoris.
Tout en soupirant de plaisir, elle passe ses main dans mon dos et dégrafe mon soutien gorge. Mes seins que je considérais comme gros paraissent tout de suite moins impressionnants à coté des siens. Cela n’empêche pas Virginie de les peloter avec plaisir et de les embrasser. Alors que sa bouche (et ses dents) s’attardent sur mes tétons, j’insère un doigt dans son sexe et commence quelques petits vas-et-viens. Son vagin est trempé et bouillant, elle dégouline de mouille à chaque fois que mon doigt sort de son sexe.
Moi-même je suis en transe, totalement trempée et elle ne s’est toujours pas décidée à me retirer ma jupe. Elle retire ma main de son sexe, me lèche le doigt enduit de cyprine en me regardant avec un regard de tigresse et s’accroupit à hauteur de ma taille. Elle baisse le zip sur le coté de ma jupe et la laisse tomber par terre. Devant mon sexe dépourvu de culotte et mon porte jarretelles, elle parait surprise :
— Ah oui, quand même ! Tu t’habilles toujours comme ça quand tu as une réunion ?— Heu, ça dépend de quelle réunion, répondis-je, gênée par la question— Il faudra quand même que tu m’explique pourquoi tu fais cela…
Sentant mon embarras, Virginie n’insiste pas et pose un premier baiser sur mon sexe, puis un deuxième. Suit un petit coup de langue sur mon clito et un deuxième entre mes lèvres. Je m’appuie sur le bureau dans mon dos et soulève une jambe pour lui facilité l’accès. Ses coups de langues se font précis et insistants et je sens le plaisir monter rapidement en moi. Il est clair qu’elle est très expérimentée dans ce domaine et pourrait me faire jouir en 2 minutes. Elle enfonce sa langue loin dans mon vagin, pénétration inédite pour moi, avale sans gêne ma mouille abondante, faire des cercle sur mon clito tout en m’enfilant 2 doigts. C’est absolument divin, et je dois l’avouer, beaucoup plus efficace que ce que j’ai connu avec Chloé et les garçons…
Elle passe à la vitesse supérieure et m’invite à m’allonger sur le bureau, me soulève les jambes et se remet à me brouter le minou de plus belle. Mes gémissements se font de plus en plus forts et rapprochés et je sens l’orgasme monter. Je me palpe les seins et me pince les tétons tant l’excitation est forte. Alors que je suis à 2 doigts de craquer, elle redouble de vigueur en faisant de rapides allers-retours avec sa langue sur mon clito. Je jouis dans un cri de plaisir digne d’un film porno, mais non simulé, tandis que Virginie lèche avec gourmandise la cyprine coulant de mon vagin.
Elle me relève et m’embrasse amoureusement et me fait ainsi profiter du gout de ma mouille. Notre baiser est long et passionné et je sens à ce moment que j’ai plus de tendresse pour cette collègue que pour mon mari.
Nous nous allongeons ensemble sur le bureau, faisant tomber feuilles et stylos, et nous entre-lassons ainsi durant de longues minutes. Voulant lui rendre la pareille, je descends au niveau de son sexe et commence un cunilingus. Mais, n’ayant pas spécialement profité de son corps sous tous ses aspects, je l’invite à se mettre à quatre pattes sur la table, la tête posée sur le bureau et me place ainsi derrière ce magnifique cul tendu.
Sa chatte m’est complètement exposée. J’ai peu d’éléments de comparaison (la mienne et celle de Chloé) mais je trouve ce sexe parfait. Des lèvres lisses et légèrement charnues, un orifice bien ouvert et humide, d’un beau rose. Je prends ses fesses à pleines mains et je les écarte bien fort pour contempler un peu mieux ce magnifique spectacle. Son anus est également superbe et bien serré et je me demande d’ailleurs si quelque chose est déjà rentrer dedans.
Je donne un premier coup de langue sur sa chatte et constate qu’elle mouille abondamment. J’insiste ensuite sur son clito et fait gémir Virginie immédiatement. Vu son état d’excitation, elle ne sera pas longue à venir… Je passe ainsi de son orifice à son clito avec ma langue et m’attarde parfois aussi sur son petit œillet. Je me rends compte que, en plus d’adorer me faire défoncer le fion, j’adore lécher et doigter cette partie du corps chez mes maitresses… Ma langue se fait plus précise et plus avide, je tournoie sur son clito et m’enfonce loin dans son vagin. J’introduis un doigt dans sa chatte tout en la léchant et de temps en temps un doigt dans son cul. Elle ne réagit pas spécialement à cette intromission et se contente de gémir de plaisir.
Mais soudain, elle se redresse et stoppe mon cuni.
— Qu’est-ce qu’il y a ? Ça te ne plaît pas ? m’inquiétais-je— Si bien sûr… c’est excellent ! Mais je veux jouir en même temps que toi. Viens tu vas voir.
Elle me fait alors m’allonger par terre, jambes écartées et vient se mettre en face de moi. Nous emboitons nos jambes afin de nous mettre chatte contre chatte. J’ignorais tout de cette position mais Virginie semblait la maîtriser parfaitement. Puis, ainsi en contact, elle se met à bouger légèrement, frottant son sexe contre le mien. Je réponds immédiatement à ce mouvement en bougeant à mon tour. Mon dieu que c’est bon ! Une sensation toute nouvelle car c’est quelque chose de tendre, chaud et humide qui me stimule le clito et non un doigt ou une langue. Par ailleurs, je peux contempler son magnifique corps en mouvement juste devant moi, ses gros seins remuants de gauche à droite et son regard de braise me fixant alors que le plaisir monte rapidement.
Notre mouvement s’accélère et nos gémissements deviennent des cris. Nos deux sexes se frottent l’un contre l’autre violemment, nos clitoris se touchent et nos mouilles se mêlent. Cette scène de nos corps ainsi emboités est magnifique, nos jambes se mélangent et seul mon porte-jarretelles permet de distinguer les miennes des siennes. Nous nous caressons mutuellement nos cuisses, nos ventres, nos pubis, le sien parfaitement glabre et le mien orné d’un petit ticket de métro.
— Oh oui, mon dieu, tu vas me faire jouir, dis-je en criant de plaisir— Mmmhh toi aussi, ma chérie, tu vas me faire jouir ! me répondit-elle en me regardant par-dessus ses lunettes lui donnant un air de petite salope.
Le plaisir continua de monter jusqu’à ce qu’un orgasme puissant nous foudroie en même temps et nous arrachent un énorme gémissement de jouissance. Le frottement de nos sexes se calme un peu et mais nous restons encore dans cette position le temps que les derniers spasmes de plaisir cessent.
Puis Virginie vient s’allonger contre moi et, le souffle court, m’embrasse amoureusement. Nous nous enlaçons encore de longues minutes, ainsi nues sur le sol de mon bureau, avant de nous rhabiller.
Virginie finit par me dire qu’elle est bisexuelle mais qu’elle ne sort qu’avec des filles depuis plusieurs années suite à plusieurs déceptions avec la gente masculine. Elle n’a pas renoncé aux hommes, elle s’en est « éloigné » pour le moment. Puis elle me demande si j’avais déjà fait cela avec une femme.
— Non, c’était la première fois, répondis-je en mentant. Mais c’était excellent, Virginie ! Tu es une femme superbe.— Toi aussi, Séverine, tu es magnifique. Mais tu n’as vraiment pas besoin de te comporter comme cela avec les clients pour oublier ton mari. Je vais m’en occuper…— Tu sais, c’est plus compliqué que cela… Mais je veux bien que tu essaies !
Après un dernier baiser, nous rentrons chacune chez nous. Dans la voiture, mon cœur battait très fort en repensant à Virginie, à son corps et à cette séance de sexe lesbien extraordinaire, uniquement faite de tendresse et de jouissance… comme dans un rêve. Je ne le savais pas encore, mais le lendemain allait me ramener à une réalité plus bestiale…
A suivre
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