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Séverine, une professionnelle dévouée

Chapitre 9

Avec plusieurs hommes
Suite :
M. Diallo se fige alors immédiatement et se retourne vers moi.
— Vous êtes sérieuse ? Jamais une Blanche n’a accepté que je la prenne par là… — C’est que vous ne me connaissiez encore pas ! Restez, reconsidérez votre décision et je vous promets que vous pourrez me défoncer le cul comme vous ne l’avez jamais fait à personne !— Hum… j’admets que c’est extrêmement tenant. Mais je vous préviens, si vous échouez, cela coutera très cher à votre patron !— Séverine, vous êtes sûr que… me demande alors mon patron, un peu inquiet. — Ne vous inquiétez pas, M. Rolland, lui dis-je alors discrètement, avec ce que j’ai pris avant-hier, je pense que ça peut le faire.
En fait, je n’étais pas du tout sûr de moi, mais je voulais tenter le coup. Pour être honnête, j’étais devenue totalement accro de ce genre de pénétration et ne voulais pas louper une occasion pareille de me faire ramoner par un sexe si énorme ! J’avais encore mal au cul de l’autre jour mais au moins, mon anus n’aurait pas de difficulté à s’ouvrir largement…
— Par contre, dis-je fermement, je veux que M. Roland me prenne d’abord pour… faire le chemin. Vous comprenez ?— Ok, mais je ne veux pas qu’il jouisse avant moi… je ne veux pas d’un cul souillé, c’est clair ??— Très clair, répondit M. Roland.
M. Diallo se rassoit donc sur le canapé pendant que mon patron passe derrière moi et me place à quatre pattes, la tête entre les jambes immenses de notre futur client. Cette dispute avait coupé un peu l’excitation de tout le monde mais le membre noir que je ressortis du pantalon alors restait énorme, même ramollit. Il me suffit de quelques coups de langue pour le faire rebander et j’essaie cette fois de mieux m’appliquer pour le sucer. Pendant ce temps, mon patron me lèche la chatte et le cul par derrière en m’enfonçant sa langue habile dans mes 2 orifices pour les détendre.
Alors que ma bouche allait et venait goulument sur environ 1 tiers de la bite de cheval, et avec apparemment du succès, M. Roland commence à faire pression avec son gland sur mon petit trou. Sans trop de résistance, vous vous en doutez depuis le temps, il s’enfonce dans mon côlon et commence aussitôt à me limer. D’abord timide, il accélère la cadence à ma demande, tant pour me détendre le cul avant l’engin qui va suivre que pour mon simple plaisir. Puis il se lâche complètement et me défonce le fion sans ménagement, tapant sur mes fesses à chaque coup de boutoir.
Il se retire parfois pour écarter mes fesses, contempler mon trou bien ouvert et y retourne après un petit crachat lubrifiant. Il me lime ainsi pendant quelques instants, profitant de son plaisir et, à mon avis, oubliant sa mission première : faire le passage et c’est tout !
M. Diallo, impatient d’enculer une blanche, commence à trouver le temps long demande à M. Roland de lui laisser la place. Celui-ci se retire donc mais insiste pour me dilater d’avantage l’anus, de peur que ça ne passe tout de même pas. Comme c’est attentionné… Il commence donc à jouer avec mon anus en y enfonçant ses doigts, d’abord 2 puis 3 et enfin 4. Il tourne sa main dans tous les sens pour m’élargir en long et en large. Il se sert de ses deux mains pour écarter mon sphincter à fond en tirant du bout des doigts sur les parois. J’ai l’impression d’être un objet qu’on façonne à volonté… et ça me plait !
Enfin, admirant mon anus « où on peut s’y mettre à trois », selon ses propres propos, M. Roland, a priori fan d’elmer food beat, passe le relais à M. Diallo. Celui-ci ne se lève pas du canapé mais me saisit par les aisselles et me place accroupie sur lui, les talons plantés dans le cuir du siège hors de prix de mon patron. Il me saisit les fesses et, dans cette position peu confortable pour moi, peu faire de mon cul absolument ce qu’il veut !

Du bout de ses doigts, je le sens fouiller dans mon anus.
— M. Roland, dit-il alors, elle est effectivement bien ouverte mais un peu sèche, il me semble. Avez-vous quelque chose ici pour la lubrifier ?— Oui, du lubrifiant, tout simplement, répondit mon patron en allant vers sa chambre.
Il revient rapidement et, à la demande de M. Diallo, me lubrifie généreusement le fion. Ils auraient pu tout aussi bien récupérer de la mouille s’échappant en quantité de mon sexe…
— Heu… vous ne comptez pas que je vous enduise le sexe, j’espère ? demande-il au client.— Non, non, ça ira, répondit M. Diallo en rigolant. Mettez-moi en une bonne dose dans la main…
Pendant que je m’accroche péniblement à mon beau Black, genoux fléchis et cul tendu, je le sens dans mon dos se lubrifier la queue et commencer à la frotter entre mes fesses. Dans ma tête c’est à la fois la panique de me faire déchirer et l’excitation de me faire défoncer par la plus grosse queue qu’on puisse imaginer. Et du coup, l’occasion de confirmer mon statut de salope de compétition !
Puis le moment tant attendu arrive. Il place son gland en face de mon trou et fait pression. Je sens immédiatement que la taille est très différente et mon anus ne s’y trompe pas : il a beaucoup de mal à l’avaler. Mais en insistant, il finit par enfoncer le bout de sa queue. Je serre les dents et fronce les sourcils pour endurer l’épreuve.
— Mon dieu, c’est superbe ! s’écrie M. Roland dans mon dos.
De mon coté, je me contente de fixer M. Diallo dans les yeux qui s’applique à s’enfoncer doucement en baissant ma croupe sur son pieu immense. Je gémis, je soupir, je pousse des petit cris, mais rien ne tient du plaisir pour le moment, juste de l’impression d’être empalée. La sensation est très similaire aux poings que je me suis pris dans le derrière à plusieurs reprises mais je sais que là, il reste encore plus de 30 cm à enfoncer !
M. Diallo s’y prend délicatement. Il fait de petits allers-retours en s’enfonçant un peu plus à chaque fois. Il me demande régulièrement si ça va et m’embrasse tendrement pendant que son énorme queue me déchire le cul. Pour moi, le sentiment de déchirement et d’écartèlement est plus intense que jamais et j’ai sincèrement l’impression que son gland est dans mon estomac ! Je crois mourir un peu à chaque fois qu’il enfonce un centimètre de plus dans mon intestin.
Alors que l’intromission dure depuis quelques instants déjà, je constate en palpant sa bite du bout de ma main qu’il n’en a pas encore enfoncé la moitié. Je demande alors une pause. Il se retire donc dans un mouvement ample qui semble durer une éternité et me libère le fion.
— Ooohhh j’ai besoin d’un instant, s’il vous plaît, implorais-je alors à M. Diallo— Vous avez tout le temps que vous voulez… vous allez en avoir besoin !— Mon dieu c’est vraiment magnifique ! s’exclame M. Roland. Vous devriez voir votre anus, Séverine, il est totalement dilaté ! C’est incroyable!— Mais… mais qu’est-ce que vous faites, M. Roland ?? demandais-je alors en me retournant vers lui. Vous nous filmez ??— Une sodomie comme ça, il fallait absolument que je l’immortalise !
J’étais alors à la fois excitée et épuisée par ces premiers instants d’enculage et je n’avais pas la force de discuter de cela. Je n’ai donc pas contesté plus que ça et ai laissé mon patron prendre des photos et des vidéos de moi et de mon cul grand ouvert. Par ailleurs, j’étais également curieuse de voir cela sur un écran, comme si je constatais de l’extérieur mon statut de salope.
Bref, après quelques minutes de repos et quelques sympathiques coups de langues de M. Roland sur ma chatte trempée et mon anus en feu, j’annonce à M. Diallo qu’on peut y retourner. Il m’enfonce alors son gland et retourne doucement à la même « profondeur » que tout à l’heure. Puis il recommence ses petits allers-retours pour me la mettre plus profond, mais cette fois-ci plus franchement, commençant sans doute à s’impatienter. Toujours accroupie au dessus de lui, il m’attrape fermement les fesses, les écartent à fond et m’enfonce sa queue dans un côlon où, excusez-moi des détails, la totalité du contenu est repoussé plus haut…
Puis enfin, après des gémissements de douleurs de ma part, des râles d’excitations de M. Diallo et des flash photographiques de M. Roland, je sens que je suis assise sur son pubis et en palpant ses couilles dans mon dos, constate que son sexe est entièrement en moi. Je sens mon anus plus tendu et écarté que jamais. La douleur est très vive mais malgré tout, je mouille abondamment et ai maintenant envie qu’il me défonce.
— Oh putain, vous l’avez rentrée à fond !! dis-je en gémissant— Oh oui ! Et maintenant je vais te défoncer le cul comme jamais !!— Vas-y salop, déchire-moi le cul ! Déchire-moi en deux !!
A ses mots, M. Diallo se lâche complètement et se met à me limer brutalement le cul. Ses hanches bougent à une vitesse impressionnante et il me rentre à chaque passage une longueur incroyable de queue. Moi je ne peux pas bouger, en suspension au dessus de lui, me contentant de me faire empaler en hurlant de plaisir et de douleur mêlés.
Pour mon propre confort, j’aurais dû essayer de la calmer mais, alors en transe, la seule chose que j’ai pu dire à ce moment c’est :
— Haaaa oui putain !! Plus vite !! Ooooh vas-y déchire-moi !!!!— Mon dieu, j’ai jamais vu une furie pareille !! s’étonna-t-il
Et il accéléra encore la cadence !
— M. Roland, vous êtes prêt à faire une belle photo ?— Quand vous voulez !!
M. Diallo me saisi alors par les fesses, me soulève entièrement de son sexe et tend ainsi mon cul en face de mon patron pour qu’il mitraille la scène. Cette pose aurait du pour moi être une pause… Mais mon patron voulu tester un truc inédit pour lui mais que j’avais moi-même testé à de nombreuses reprises. Il pose son appareil et enfile d’un coup sa main dans mon anus qui n’offre aucune résistance mais qui m’arrache tout de même un cri de surprise. Il l’enfonce un peu, joue avec « mon intérieur » puis me libère pour laisser M. Diallo me pilonner à nouveau.
Celui-ci me reprend avec force, m’enfonçant son énorme queue d’un coup entièrement et me lime à nouveau comme un fou. Par intermittence, il me soulève, offrant mon anus à mon patron qui y enfonce son poing, ou plutôt son bras devrais-je dire au vue de la profondeur ! Cette alternance de pénétration hors norme me rend folle de plaisir et de perversion. Mon anus est probablement à la limite de la déchirure, mais j’ai envie d’avoir d’autres bites en moi ! J’ai envie de sentir le bras de mon patron dans mon cul. J’ai envie de sentir sa main et ses doigts au milieu de mon ventre jouer avec mes entrailles. Je deviens une folle de la sodomie extrême et j’en veux toujours plus !
M. Diallo décide alors de changer de position et me place à quatre pattes. Il passe derrière moi et m’enfile à nouveau sa queue. M. Roland, privé d’accès pour me fister, se met devant moi pour se faire sucer, caméra au poing. Cette situation m’excite au plus au point et je me surprends à fixer la caméra avec mes yeux de salope tout en prenant la queue de mon patron au fond de mon gosier. Je sens de la mouille ruisseler le long de l’intérieur de ma cuisse, mes lèvres gonflées qui remuent à chaque coup de boutoir dans mon cul.
M. Diallo doit se rendre compte de mon état car il sort de mon cul et s’enfonce dans ma chatte avec un grand mouvement ample, m’arrachant un gémissement de surprise et de plaisir intense.
Il me baise ainsi puissamment me faisant hurler de plaisir et me déclenche un orgasme en quelques minutes. Puis retourne tout aussi puissamment dans mon cul. La transition entre les deux est divine d’autant que mon cul est maintenant prêt à avaler n’importe quoi ! Il change ainsi d’orifice à plusieurs reprises pendant que M. Roland oscillait entre se faire sucer et filmer mon cul en train de se faire défoncer.
Soudain, M. Diallo me saisit par la taille et, sans se retirer de mon cul, s’allonge sur le dos en m’entrainant avec lui. Je me retrouve donc à cheval sur lui mais de dos, les jambes bien en l’air. Evidemment, M. Roland en profite pour filmer cette énorme bite qui rentre et sort de mon fion à toute vitesse. L’étalon noir sous moi, dans mon dos, profite de la position pour me masturber et me doigter.
Au bout de quelques instants de ce traitement divin, mon boss pose sa caméra et vient nous rejoindre. Sans me demander (nous n’en sommes plus à ce stade…) il enfonce sa bite dans ma chatte dégoulinante. Cette double est absolument merveilleuse et alors que je réclame plus, toujours plus, M. Roland passe accélère frénétiquement la cadence et m’attrape par le cou pour m’étrangler. Dans aller jusqu’à suffoquer, cet acte de violence me surprend de sa part mais m’excite encore d’avantage.
Alors que mon boss, comme possédé, me mord les tétons et me serre la gorge, je sens M. Diallo craquer et se vider dans mon fion, suivi de très près par M. Roland qui me remplit la chatte et, finalement, par moi que tant de sperme et de jouissance fait venir une troisième fois ce soir. Je sens une quantité impressionnante de sperme m’inonder, me remplir. D’ailleurs, alors que me amants se retirent et me laissent allongée par terre pour me remettre de mes émotions, des flots de foutre blanc s’échappent de mes trous distendus.
Alors que M. Diallo est train de se rhabiller, M. Roland prend de beaux clichés de moi en train de me vider de leur sperme. Il me filme aussi alors que je suis à quatre patte, cul tendu et anus grand ouvert, en train d’aspirer sur le carrelage la mare de foutre tiède pour l’avaler, puis étaler le reste sur mon ventre et mes seins, me tortillant de plaisir et de perversité sur le sol de son salon.
— Excellente démonstration de vos capacités, Séverine, me félicite M. Diallo. Ce n’est pas un contrat avec vous que je vais proposer à mon conseil d’administration mais tout notre portefeuille. Et croyez-moi, il y en a pour quelques zéros ! — Formidable, s’écrie alors mon boss, j’étais sûr que nous serions vous convaincre !— Oui, cela dit, pour une telle transaction, mon conseil voudra faire le déplacement et négocier avec vous directement. — Je comprends… et concrètement ?— Concrètement, si Séverine, et d’autres de vos collaboratrices d’ailleurs, font le même genre de démonstration avec l’ensemble du conseil, ils signeront sans hésiter.— Et ils seront… commençais-je, inquiète, en me relevant enduite de sperme.— Ils sont 25 au total mais ne se déplaceront normalement que le président, quelques vice-présidents, le trésorier, un ou 2 assesseurs… Bref pas plus de 6 ou 7 personnes.— Et je suppose qu’ils sont tous…— Noirs ? Oui ! Noirs, bien montés a priori, et surtout plus vieux et donc plus exigeants et pervers que moi ! Il ne faudra pas les décevoir.
Et alors que j’allais exprimer ma crainte, M. Roland me coupe la parole et demande à M. Diallo :
— Et bien nous tacherons de leur faire bonne impression ! Quand seront-ils là ?— Dans 15 jours, si cela vous va… Ha, et j’oubliais, j’ai cru comprendre que certains de mes administrateurs détestent les poils… Si vous pouviez être totalement glabre, Séverine, ça ne pourra que leur plaire !
Malgré cette dernière remarque dérisoire, j’étais terrifiée. Et un peu excitée aussi…
Dans la voiture qui me ramenait chez moi, après avoir remercié M. Diallo et avoir pris une longue douche, j’ai exprimé mes craintes quant à cette négociation qui allait finir à coup sur en gang bang de bite de chevaux ! J’avais déjà participé à ce genre d’orgies, mais c’était soit avec des ados peu expérimentés, soit avec des ouvriers pervers mais mal équipés… Jamais avec 6 ou 7 hommes montés comme des ânes, âgés, curieux de la peau blanche et en voulant pour leur argent. Cela promettait d’être épique !
M. Roland voulu me rassurer en me disant qu’il pensait avoir une solution pour m’aider dans cette épreuve.
Je ne le savais pas encore mais cette solution s’appelait Virginie.
A suivre…
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