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Séverine, une professionnelle dévouée

Chapitre 17

Avec plusieurs hommes
Suite :
Samedi après-midi, 14h, nous sommes devant un chantier où travaillent les frères Da Silva. Il s’agit d’une vieille maison en cours de rénovation et donc entièrement vide. Ils ne s’attendaient absolument pas à ma visite car je souhaitais leur faire une surprise et les remercier dignement de leur comportement l’autre fois.
Pour l’occasion, j’avais revêtis une tenue particulière. J’entre dans le salon dont les cloisons étaient recouvertes de placo fraichement posé. Le bruit de mes talons hauts dans cette pièce vide résonne fort et attire l’attention d’un des frangins en train de poser du carrelage.
— Le chantier est privé madame ! me dit alors fermement Miguel, sans me reconnaître.— Je sais…. Et ça n’a pas été facile de vous trouver !— Ah… Séverine ! Désolé, je ne vous avais pas reconnu…— Vous voulez dire avec tous ses vêtements ? lui dis-je avec un petit sourire.
Gêné, Miguel bote en touche :
— Hum, vous allez bien ?— Très bien… Votre frère n’est pas là ? — Si, si, juste à coté. MANUEL !!— QUOI ???— Ramène-toi !
Agacé, Manuel rentre dans la pièce mais a le visage qui s’illumine immédiatement en me voyant.
— Oh Séverine ! Quelle surprise… Vous allez bien ?— Très bien. Je passais pour vous remercier de m’avoir sortit du pétrin l’autre fois et pour ne pas avoir abusé de ma faiblesse.— Ya pas de quoi, c’est norm….
Mais alors que Manuel me répondait, j’ouvre mon imperméable mi-saison et dévoile ma tenue si spéciale. Un bustier porte jarretelles noir et rouge me faisant une magnifique poitrine et qui maintenait des bas noirs à résilles. Des talons hauts et des gants noirs viennent compléter la panoplie de salope. Il manque quelque chose à ma description, me direz-vous ? Normal, pour l’occasion, je n’avais pas mis de string et je me présente ainsi en lingerie et chatte fraichement épilée à l’air devant les deux frangins médusés.
Je fais tomber mon imper au sol et m’approche d’eux d’un pas sûr. Je me mets à croupie devant Miguel et, sans rien lui dire, ouvre sa braguette et sort son gros sexe encore mou.
— Je ne vais pas trop vous retardez dans votre travail, j’espère ? lui dis-je alors en donnant des petits coups de langues sur sa bite.— Ca ira… Hein, Manuel ?— On est même en avance, répond-il en avançant vers moi et en baissant son pantalon.— Ca tombe très bien car j’ai une autre surprise !
Virginie, cachée dans l’entrée depuis le début, entre alors dans le salon. Elle porte une tenue de secrétaire salope très caricaturale, mais très efficace : talons haut, mini jupe laissant apparaitre des bas de pute, chemise blanche très moulante et surtout ouverte sur une poitrine mise en valeur par un soutient gorge noir à dentelle, une paire de lunette et un chignon. Une vraie actrice porno !
— Bonjour… Virginie, assistante de direction. Si je peux vous être utile… — Mademoiselle…
Virginie vient se placer à coté de moi, dans la même position à croupie et commence immédiatement à sucer Manuel. Cuisses ainsi écartées, sa jupe remonte et laisse apparaitre son string tandis que chez moi, ma chatte est à l’air libre, bien écartée et commence à s’humidifier. Je me rends compte que j’attendais ce moment avec impatience.
Virginie et moi pompons énergiquement les deux frangins qui se détendent et enlèvent leur T-shirts, leur pantalons et se retrouvent rapidement à poil. De temps en temps, nous échangeons de queue sans oublier au passage de nous rouler de grosses pelles pour le plus grand plaisir des Da Silva… et le notre.
Sérieusement excités, les frangins prennent les choses en main, à commencer par nos têtes. Ils nous saisissent par les cheveux et se mettent à nous baiser la bouche pour nous enfoncer leurs bites le plus loin possible. De mon coté, j’arrive sans trop de difficulté à gober une bonne partie de la bite de Miguel tandis que Virginie a plus de difficultés avec celle de Manuel. Mais, de bonne volonté, elle ouvre grand la bouche et laisse Manuel jouer avec ses amygdales dans un bruit de clapotis de bave impressionnant.
Des files de baves, il y en a d’ailleurs de très larges qui s’échappent de ma bouche et viennent souiller ma lingerie alors que Miguel consent à me laisser respirer. Celui-ci s’allonge par terre et me reprend la tête pour que je le suce. Je suis donc à quatre pattes, le cul bien ouvert et bien tendu, avec la chatte dégoulinante de mouille.
Manuel dit alors à Virginie :
— J’ai envie de te voir bouffer la chatte de ta patronne… Ça te dit ?— Hum, avec plaisir !
Virginie se met donc à quatre pattes derrière moi et commence à me lécher le sexe en m’écartant fermement les fesses. Je gémis immédiatement de plaisir et m’active d’autant plus sur le gros sexe de Miguel. Inutile pour lui de me tenir la tête, j’enfonce sa queue dans mon gosier à chaque aller-retour, de son gland jusqu’à son pubis, ce qui le fait se cambrer en arrière de plaisir.
Manuel passe derrière Virginie, finit de remonter sa jupe, lui retire son string et lui ouvre son chemisier. Alors que je branle son frère et regarde ce qui se passe derrière moi, je le vois doigter Virginie, qui a son tour se languit de jouissance. Elle enfonce d’ailleurs loin sa langue en moi et me lubrifie généreusement l’anus, préparant une pénétration qu’elle sait certaine.
Manuel se redresse et présente son sexe à l’entrée du vagin de mon assistante qui crie de surprise et de plaisir quand celui-ci s’enfonce en elle d’en seul coup. Puis il commence à la pilonner, si bien qu’elle est incapable de continuer ses caresses sur moi. Folle d’excitation et d’envie, je me redresse en m’empale, à cheval, sur le sexe de Miguel.
Celui-ci me saisi la croupe et, sans tour de chauffe, m’impose soudain une série de vas-et-viens à une rythme diabolique. Cela ne dure que quelques secondes avant qu’il ne reprenne un rythme normal mais ça m’a arraché d’impressionnants cris de plaisirs.
Durant plusieurs minutes, Virginie et moi-même nous faisons baiser dans cette position, elle à quatre pattes encore habillée et moi en lingerie, à cheval sur mon amant.
A un moment, les deux frangins souhaitent nous échanger. Virginie se redresse et finit de se déshabiller. Elle enlève sa chemise, son soutien gorge et sa jupe mais laisse ses bas affriolants. Au moment d’enlever ses lunettes et de défaire son chignon, Miguel, qui s’apprêtait à la sauter intervient :
— Non, attend ! Laisse-les… ça m’excite ton déguisement de secrétaire salope ! — Sauf que ce n’est pas un déguisement…. C’est ma vraie tenue de travail, dit Virginie en réajustant son chignon et en remontant ses bas.— C’est encore mieux ! Viens par là…
Il se saisit alors d’elle, l’allonge par terre et la pénètre d’un coup après lui avoir fait relever les jambes sur elle pour bien exposer sa chatte, qu’il n’a pu s’empêcher de lécher avidement d’ailleurs. De son coté, Manuel s’allonge sur le dos, sans doute endolorit au niveau des genoux, et je le chevauche donc avec plaisir. Voulant, au bout d’un délicieux moment de pénétration, passer à la vitesse supérieure, je me soulève un peu, retire le sexe de ma chatte et le place à l’entrée de mon cul, non sans l’avoir lubrifier avant.
— Je vois que madame la sous-directrice aime toujours autant se faire enculer…— Plus qu’avant, même ! Laisse-moi faire….
J’insère son gland et enfonce se reste de sa queue en faisant quelques vas-et-viens prudents. Puis, alors que je la sens au plus profond de mes entrailles, je commence à la faire coulisser en moi, d’abord doucement puis de plus en plus vite. Enfin, alors que je m’apprêtais à lui demander, Manuel me saisit les hanches et reprend le relais en me défonçant le cul à toute vitesse.
Lors de notre dernière rencontre, sa queue m’avait parue géante et je n’avais accepté une sodomie qu’avec beaucoup d’appréhension. Aujourd’hui elle coulissant en moi comme dans du beurre et je ne ressentais ni douleur ni gène… que le plaisir malsains d’être une trainée.
Miguel, qui baisait Virginie depuis un moment, lui demande :— Je suppose que comme toute bonne assistante, tu pratiques la sodomie comme ta patronne…— Tout à fait !— Parfait !!
Alors qu’elle a toujours les jambes relevées et écartées, Miguel sort de sa chatte et se présente devant son cul. Alors que son gland écarte un anus encore bien serré, Virginie dit :
-OH LA VACHE ! Vas-y doucement, je n’ai pas le niveau de Séverine de ce coté là…— En effet…
Le « en effet » désignait la différence entre la progression très difficile dans le colon de Virginie et la manière dont son frère me défonçait sans difficulté… Car il ne me ménageait pas. Ses mains écartaient fermement mes fesses et ses hanches donnaient un rythme diabolique à sa queue qui limait mon cul de toute sa longueur.
De son coté, Virginie avait réussit à avaler la grosse bite de Manuel. Celui-ci l’enculait doucement, mais sans que ça lui déplaise pour autant… Il avait en effet l’air de profiter pleinement du cul serré de mon assistante et l’embrassait avec tendresse en même temps qu’il lui ramonait le fion. Celle-ci avait d’ailleurs passé ses jambes autour de ses hanches et ne baisaient plus… ils faisaient l’amour !
Pas d’amour de mon coté, juste du sexe… Miguel lui prenait plaisir à sortir de mon cul pour aller dans ma chatte puis inversement sans aucune résistance, ni dans un trou ni dans l’autre.
— Manuel !! s’écrie-t-il alors, Viens lui mettre aussi, je suis sur qu’elle se sens vide avec une seule bite…
C’était tout à fait vrai !
Manuel regarde alors Virginie et lui demande si ça ne la dérange pas qu’ils fassent une pause.
— Non, vas-y, je commence à avoir un peu mal de toute façon…
Il sort donc du cul de Virginie en lui laissant un anus grand ouvert et présente sa queue devant ma bouche. Folle d’excitation, je la gobe et la suce goulument sans me poser de question. Puis il passe derrière et rentre d’un coup dans mon cul alors que son frère me besognait la chatte.
— Ooohh putain !!! hurlais-je, que c’est bon !! Allez-y mes portos…. Défoncez-moi comme l’autre fois !
Leurs énormes engins allaient et venaient en moi de manière très synchronisée ce qui me remplissait entièrement et de partout. C’était divin ! Virginie nous regardait en se caressant doucement et venait m’embrasser de temps en temps.
— Tu sais que tu vas y avoir droit aussi ma chérie ? lui demandais-je alors— Hummm… je sais, oui. J’ai hâte !
Au bout de plusieurs minutes de double pénétration intense, Miguel émet le souhait de retourner un peu dans mon cul. Son frère sort alors de cet endroit si sollicité, me soulève les hanches et se fait remplacer par Miguel. Il se fait sucer par Virginie en attendant son tour puis m’encule à nouveau une fois la place libre. C’est au tour de Miguel de se faire sucer, au prix d’une acrobatie de Virgine pour passer sa tête entre les deux frangins et mes fesses, pendant que je me fais ramoner. Cet échange délicieux (peut être pas pour Virginie…) dure un moment et Miguel et Manuel se succèdent dans mon cul en levant ou baissant à chaque fois ma croupe.
Puis, ce qui devait arriver arriva. Dans l’hystérie collective qui imprégnait le groupe, hystérie alimentée par le fait que mon anus était grand ouvert et n’offrait aucune résistance, Manuel ne voulu pas attendre son tour et m’enfila sa bite alors que Miguel étant déjà dans mon cul.
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