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Séverine, une professionnelle dévouée

Chapitre 19

Avec plusieurs hommes
Lundi matin, Virginie et moi sommes au bureau à travailler (classiquement, ça nous arrive aussi…) sur nos dossiers, à répondre au téléphone. Mais nous avons la tête ailleurs et évoquons parfois ce qui pourrait ce passer demain, avec appréhension (pour Virginie) et excitation (pour moi)…
Vers 16h, M. Roland nous convoque, Virginie et moi dan son bureau.
— Bonjour mesdemoiselles, asseyez-vous.
Il avait un ton très autoritaire, son comportement ayant changé radicalement depuis le début de cette affaire. J’avais peur qu’il ait eu vent de mon plan et qu’il se sépare de moi dès maintenant. Encore deux jours et s’en sera finit de lui !
Mais non, il se met à discuter de demain.
— Séverine, j’espère que, comme convenu, vous et votre assistante êtes prêtes pour demain ! Ne me décevez pas… — Nous sommes prêtes M. Roland. Virginie est parfaitement consciente de ce qui nous attend et des enjeux. Et elle s’y est préparée…— Vraiment ? dit-il en regardant Virginie. La sainte ni touche bouffeuse de minous serait préparée à se prendre du Black à la chaine ?? — Oui Monsieur… répondit péniblement Virginie que de tels propos devaient dégouter autant que moi.— Voyons cela… Levez-vous !!
Virginie se lève alors et reste immobile.
— Enlevez votre chemise et montrer-moi vos seins !
Elle s’exécute et se met seins nus devant son patron.
— Bien… je voulais voir si vous étiez devenue obéissante. Maintenant montrez-moi votre chatte.
Virginie baisse alors sa jupe, puis retire son string et se montre ainsi nue, uniquement vêtue de ses bas. M. Roland s’approche et caresse ses lèvres.

— Fraichement épilée… parfait ! J’espère que c’est votre cas également Séverine ?— Oui Monsieur, lui dis-je en soulevant ma jupe sous laquelle je ne portais pas de culotte (j’aime bien des fois… pour rendre fou mes collègues !).— Parfait, et vous sortez votre langue, ordonna-t-il à Virginie
Et alors qu’elle s’exécute, il lui lèche la langue, le cou, le visage puis il l’embrasse tout en la doigtant.
— Bien…. Pas de fierté male placée et déjà une point d’excitation… A genoux et sucez-moi !
Sans réfléchir ni même sourciller, Virginie se met à genoux, attend que M. Roland eu sortit son sexe et le suce immédiatement.
— Plus aucune once de timidité ou de retenue, dit M. Roland, satisfait de se faire tailler une pipe par une secrétaire sur laquelle il devait fantasmer depuis un moment… Vous avez fait du bon travail, Séverine. Virginie est maintenant une salope de compétition… Et plus jeune que vous, en plus. Elle va peut être finir par vous remplacer !!
Il plaque alors la tête de Virginie contre sa braguette de pantalon et lui baise violemment la bouche. Il fait ainsi de nombreux allers-retours brutaux jusqu’au fond du gosier de Virginie. Puis il se retire dans un grand fil de glaires, pour enfin laisser Virginie respirer.
— Vraiment du bon travail…. Qu’y a-t-il, Séverine ? me dit-il d’un air vicieux, vous n’appréciez pas me voir abuser de votre amie ? Vous n’aimez pas me voir l’humilier ? Vous devrez vous y habituer pourtant car je la baiserai quand je voudrai… je lui ferai ce que je voudrai. Et vous, vous n’êtes plus que bonne à baiser les maçons et les négros !!— Comment pouvez-vous tenir de tels propos ?? C’est honteux !! Je croyais que…— Que quoi ? Ces sauvages ont du pognon alors je leur prends ! Mais ça reste des singes bouffeurs de bananes, des sauvages et vous le verrez demain… Maintenant sortez. Je vais m’occuper de votre petite copine.— Mais je…— SORTEZ !
Je repars donc vers mon bureau en maudissant ce gros con et en ruminant mon plan, plus convaincue que jamais à le détruire.
Devant mon ordinateur, je sors le petit dictaphone que j’avais dissimulé dans ma chemise et le branche à l’ordi pour voir ce que j’ai enregistré :
— « … ça reste des singes bouffeurs de bananes, des sauvages… » entend-on M. Roland prononcé très distinctement avec sa voix de fumeur si caractéristique. M. Diallo et ses amis seront certainement contents d’entendre ça…
Dix minutes plus tard, Virginie entre dans le bureau, la mine défaite.
— Ca va ma chérie ?— J’aimerais autant pas en parler. Ce mec est le pire pervers que je n’ai jamais rencontré…— Je suis désolée…— C’est rien, je suis plus à ça près… Par contre qu’est-ce que j’aimerais le crever ce fumier !!— Justement, il faut que je te dise un truc…
Ma nuit fut agitée et la journée qui suivit encore plus. Elle commença tôt car, pendant que M. Roland étai occupé à aller chercher M. Diallo et ses collaborateurs à l’aéroport et à leur faire faire du tourisme, je me suis rendu secrètement chez le Président qui recevait le conseil d’administration conclure les derniers détails de l’accord. Les documents que m’avait confié M. Roland avaient été remaniés à ma sauce et avec l’accord du CA. Cela m’a valu quelques « dettes corporelles » mais ne manquaient plus que les signatures des uns et des autres pour que tout ça se finisse.
Le repas au cours duquel cela devait être conclu était prévu à 19h00. Le gangbang était lui prévu à 14h00.
C’est partit !
M. Roland avait vu les choses en grand : il avait loué quatre Berlines pour transporter tous les invités et pris une suite dans un grand hôtel du centre ville avec lequel il avait l’habitude de faire affaire. M. Roland était dans la voiture de tête avec le président du CA de la compagnie africaine de M. Diallo et deux autres membres de la direction, Virginie était dans une autre voiture avec plusieurs membres du CA et, pour ma part, j’étais avec M. Diallo et deux de ses collaborateurs. Les autres étaient dans la dernière voiture, ce qui faisait au total une bonne douzaine d’hommes qu’il allait falloir satisfaire.
— Tu ne nous as pas mentit, Djibril, dit un des collaborateurs à M. Diallo dont je découvrais le prénom. Séverine est une superbe femme…
Il venait de poser sa main sur ma cuisse et commençait à me caresser. Pour l’occasion, je portais la panoplie de la parfaite directrice salope : cheveux attachés derrière avec une frange devant, lunettes carrées noires, chemisier décolleté mais très classe ouvert sur mon nombril, veste noire rayée cintrée, jupe très moulante fendue derrière jusqu’en haut des cuisses, bas sexy, talons haut. Dessous, je portais un soutient gorge à dentelle noir et blanc et un superbe string violet bien transparent devant et en dentelle derrière. Assise dans cette grosse voiture, ma jupe remontait évidemment beaucoup et mes bas ainsi que mes cuisses étaient parfaitement visibles.
— Tu vois ? Superbe ET très douée dans tout ce qu’elle entreprend…— Merci M. Diallo, j’espère que notre prestation vous plaira !— Je n’en doute pas… Virginie est magnifique également.
Il est vrai que Virginie était particulièrement excitante aujourd’hui. Elle avait fait le choix d’une robe grise foncée très moulante et très décolletée, avec un col blanc en haut et deux fentes au niveau de ses cuisses. Elle avait rajouté une cravate assortie qui mettait terriblement sa grosse poitrine en valeur et portait une porte jarretelle donc les attaches dépassaient de sa robe pour se terminer sur des bas superbes. Malgré son décolleté plongeant, on ne voyait pas son soutient gorge et je n’avais aperçut brièvement qu’un bout de string noir lorsqu’elle est montée dans la voiture.
Tous ces efforts vestimentaires allaient être bien superflus d’ici quelques minutes mais la prestation devait être parfaite du début à la fin et, pour le moment, cela excitait terriblement nos invités.
Revenons dans la voiture. M. Diallo et son collègue me caressaient les cuisses, qu’ils avaient d’ailleurs écarté généreusement et le troisième homme, devant, se penchait en arrièrepour attendre mes seins et mon sexe qu’il touchait au travers du tissu. Le chauffeur de la berline ne manquait rien de la scène et avait les yeux rivés sur son rétro, au prix d’ailleurs de quelques écarts sur la route.
Ils auraient tout à fait pu me prendre dans cette voiture si le trajet avait duré plus longtemps mais nous arrivions à l’hôtel. Les doigts que j’avais en moi se retirent et les mains sur mes seins me lâchent. Je réajuste ma tenue et descend de la voiture pour rejoindre Virginie qui me glisse à l’oreille :
— Ils m’ont déjà fait jouir dans la voiture… — Veinarde ! Moi je suis excitée et mon string est déjà trempé… Ils t’ont baisé ?— Même pas !! Ils m’ont juste caressé au travers de ma culotte… Mais ils sont tellement bons que j’ai jouis en deux minutes.— Je crois qu’on va prendre un pied d’enfer !!— Mmmhh
M. Roland nous fait rentrer dans l’hôtel et se rend seul à la réception. Puis nous montons à l’étage où l’on nous ouvre la porte de la suite royale. M. Roland commande du Champagne et nous entrons dans la superbe suite composée d’une unique pièce très vaste. Au milieu se trouve un canapé en arc de cercle, à gauche un lit immense, à droite un espace salon avec mini bar, table, etc. et des portes qui mènent aux seuls endroits fermés : WC et salle de bain. Le tout, évidemment dans un luxe grandiose.
Rapidement, M. Roland se place face à l’assemblée avec Virginie et moi à ses cotés et s’adresse aux hommes d’affaires africains :
— Messieurs, je vous remercie d’être là. Aujourd’hui est un grand jour et ce, grâce à M. Diallo ici présent et également grâce aux capacités de négociation de Séverine, mon adjointe.
Une salve d’applaudissements…
— Si nous sommes réunis, reprend-t-il, c’est à la demande de M. Diallo qui souhaitais vous faire partager les talents de Séverine, comme ultime étape de la discussion qui amènera votre société à investir dans la notre. Nous savons tous ici que c’est dans l’intérêt financier de chacun mais je comprend tout à fait cette demande et suis conscient de votre degré d’exigence… Aussi ai-je demandé à l’assistante de Séverine, Virginie ici présente, de se joindre à nous afin de l’aider dans sa tâche.
Une autre salve d’applaudissements…
— Messieurs, ce soir nous signerons le contrat le plus important de notre carrière – tu ne crois pas si bien dire, pensais-je intérieurement – mais pour l’heure, profitons ensemble des talents de Séverine et Virginie.
M. Roland nous invite alors à montrer à quel point nous sommes proches, Virginie et moi. Nous commençons donc à nous embrasser amoureusement et à nous caresser. Nous prenons notre temps et nous caressons doucement les fesses et les cuisses tout en mélangeant nos langues. Je palpe ses gros seins au travers de son costume pendant qu’elle remonte ma jupe et écarte généreusement mes fesses.
Alors que ma main était sous la robe de Virginie, entre ses cuisses, et que les Blacks commençaient à se mettre à l’aise en retirant leurs vestes de costume, quelqu’un frappe à la porte :
— Service d’étage !— Entrez ! Répond M. Roland.
Un jeune groom rentre alors dans la chambre avec un plateau et dépose un saut à champagne sur la table centrale. M’étant réajustée, rien ne le choque dans la pièce, à part éventuellement le fait que deux femmes sexy soient face de nombreux hommes d’affaire. Puis, regardant M. Roland, le groom demande s’il souhaite autre chose et tarde à partir.
— Ah oui, bien sur… Suis-je impoli…. dit M. Roland en évoquant un pourboire. Séverine, veuillez vous en occuper, voulez-vous ?
Voyant évidemment ce qu’il attend de moi, je me dirige vers le groom, m’accroupis face à lui et lui baisse la braguette pour sortir son sexe. Celui-ci est de taille correct mais sens fort la sueur et l’urine… Je me force un peu et le prend en bouche goulûment. Je lui taille une pipe rapide et efficace, à grand renfort de gorges profondes faciles.
Pendant ce temps, M. Roland demande à Virginie de servir le Champagne aux invités, puis revenant vers lui avec le Magnum vide, il l’invite à le sucer à son tour.
Au bout de dix minutes dans la chambre, nous voilà déjà avec chacune une bite dans la bouche… et les africains n’ont même pas encore sortis le matériel !
De mon coté, je viens à bout rapidement du groom et avale son sperme. M. Roland lui dit alors :
— Revenez dans une heure avec un autre magnum de Champagne… vous aurez un plus gros pourboire encore !
Une fois le groom sortit, je viens me joindre à Virginie pour sucer mon patron. Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu ce genre de rapport avec lui et avoir sa bite dans ma bouche me dégoutais bien plus que me faire pisser dessus… Je le détestais profondément et n’avait qu’une envie, le voir vaincu ce soir.
En fait j’avais d’autres envie… car j’étais trempée, encore excitée depuis la voiture et impatiente de me faire troncher comme jamais ! Bref, M. Roland finit par venir à son tour grâce à nos coups de langues experts et se vide dans la bouche de Virginie.
— Messieurs, dit-il d’un ton formel, elles sont à vous !!
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