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Le sevrage de Lola

Chapitre 1

Erotique
Le docteur Antoine Blanc était éreinté par sa journée à la clinique. Il soupira en garant sa puissante BMW noir dans la cour de sa gigantesque demeure. Il coupa le moteur et inspira longuement avant de sortir de la voiture, claquant la portière derrière lui.
Il marcha le long de l’allée pavée qui menait à sa maison. La maison éclatait d’un blanc lumineux. Voilà à peine quelques mois que le docteur l’avait fait construire, selon ses spécifications. Au second étage se tenait une gigantesque terrasse, dans laquelle était installée une piscine, invisible d’en bas. Les fenêtres étaient équipée de volets roulants, qui depuis quelques semaines étaient maintenus clos en permanence pour éviter que la chaleur du soleil estival pénètre les lieux.
Le docteur s’approcha et empoigna la poignée de la porte d’entrée. Il stoppa pendant un bref instant, comme s’il hésitait à pousser la porte. Puis inspirant une dernière fois il tourna la poignée et pénétra dans la demeure fraîche. Il posa ses affaires négligemment sur le comptoir de la cuisine et se servi un grand verre d’eau. Puis il monta à l’étage et se déshabilla avant de se rendre dans la salle de bain attenante. Ses yeux croisèrent son reflet dans le miroir. C’était un trentenaire grand, brun, élancé, mais ses beaux yeux bleu étaient soulignés d’un contour sombre, signe persistant de fatigue.
Le docteur pris une rapide douche fraîche. Il se sécha en s’enveloppant dans une grande serviette blanche et retourna dans sa chambre où il fit tomber la serviette au sol, au milieu des vêtements qui s’entassaient là.
Puis il retourna au rez de chaussé, entièrement nu et ouvrit une petite porte discrète qui ressemblait à une porte de placard. La porte s’ouvrait sur un minuscule escalier en colimaçon qui descendait au sous-sol. Il descendit les marches en baissant la tête pour éviter de se cogner dans l’espace exigu. Des bruits commencèrent à se faire entendre. Comme des pleurs. Le docteur su que quelque chose n’allait pas, il accéléra et se retrouva bientôt face à une seconde porte verrouillée de l’extérieur qu’il ouvrit précipitamment.
Une forme se jeta sur lui. La forme était une magnifique jeune femme entièrement nue, elle fut retenue à quelques centimètres de lui par une chaîne attachée à sa cheville et bloquée dans la pierre à l’autre bout de la cave lugubre. Elle gémit en s’effondrant au sol.
— Vite, baises-moi ! Baises-moi ! Cria-t-elle d’une voix désespérée.
Le docteur l’aida à se relever et la tient fermement dans ses bras pour la maintenir.
— Calmes toi. Qu’est-ce qui s’est passé ? Tu as pleuré ? Dit le docteur en contemplant les yeux rougit de la magnifique créature.— Oui, il n’y avait plus de pile, fit-elle dans un sanglot en montrant un gigantesque vibromasseur inanimé au milieu du sol en béton, sur lequel on avait installé quelques tapis.
Le docteur comprit immédiatement, il dit :
— Je suis désolé Lola. Excuse moi s’il-te-plaît.
Elle le regarda et se dégageant, elle réussit à le pousser contre le mur en l’embrassant fougueusement sur la bouche, comme si c’était vital pour elle. Elle saisit le membre du docteur pour l’exciter. Il commença à se raidir. Le docteur repris un instant le contrôle en empoignant les cheveux de la délicieuse blonde. Il tira la tête de Lola en arrière et lui glissa à l’oreille :
— Doucement.
Elle le regarda et hocha la tête pour lui dire qu’elle avait compris. Elle recula d’un pas et s’agenouilla au sol. Le docteur la regarda un instant : elle était magnifique, la peau la plus blanche qu’il eu jamais vu, un ventre plat, des seins et des fesses parfaitement remplis, ses cheveux blonds tombaient sur sa délicieuse poitrine, ses yeux verts le regardait avidement. Elle n’avait pas encore vingt ans. Il sourit devant l’obéissance de la jeune fille.
Il combla la distance qui les séparait et posa doucement sa main sur la joue de la donzelle qui se contrôlait tant bien que mal en voyant le puissant membre du docteur à quelques centimètres de son visage.
— Vas-y, dit-il.
La jeune fille saisit immédiatement la grosse verge épaisse et l’enfourna dans sa bouche. Sans retenue elle se mit à pomper cette colonne de chair en la branlant entre ses petites mains. Elle enfonça le membre jusque dans sa gorge. Manquant de s’étouffer sur l’organe dans son avidité, la jeune fille se mit à tousser. Le docteur tira sa tête en arrière en empoignant une nouvelle fois la crinière de la belle. Il lui jeta un regard qui la fit trembler.
— Doucement Lola.
Lola s’excusa et suça le sexe du docteur avec plus de retenue. Prenant le temps de lécher doucement la longue verge sur toute sa longueur. Le docteur était surpris par le calme dont elle faisait preuve, n’ayant pas pu utiliser le vibromasseur aujourd’hui pour combler ses besoins insatiables et maladifs de sexe. Décidant de ne pas pousser plus loin ses limites, il décida toutefois de ne pas la faire patienter plus longtemps, il la releva et la poussa face au mur. Il savait qu’il n’avait pas besoin de préparer la jeune fille pour sa queue, comme d’habitude sa chatte dégoulinait d’impatience entre ses douces cuisses.
Il la saisit par les hanches et la pénétra de toute sa bite. Elle gémit de contentement. Il se mis à la défoncer. Elle gueulait de plaisir. Il savait qu’elle ressentait le plaisir à un degré incroyable à cause de sa maladie, et que cette maladie rendait très difficile la vie de la jeune fille en société, mais à chaque fois qu’il la voyait se tordre de plaisir comme ça, il ne pouvait s’empêcher de penser que ça devait être un bénédiction.
— Encule moi ! Encule moi ! Gémit la superbe blonde en essayant de se retourner pour supplier le docteur de ses yeux verts incroyables.
— Tu sais ce qu’on a dit Lola. Seulement deux fois par semaine, tu es en sevrage.
— Mais,...le vibromasseur ne marchait pas aujourd’hui ! Fit-elle avec détresse, les larmes lui montant aux yeux.
Le docteur songea un instant, tandis que Lola se tortillait, priant pour qu’il se décide vite. Il retira son gigantesque membre du sexe de la belle et le laissa un instant entre les globes de ses fesses.
— Je vais t’enculer, mais je veux que tu me promettes que ce soir tu ne vas plus essayer de coucher avec moi. Deal ?
La jeune fille aurait voulu protester, mais la perspective immédiate de se faire enculer l’emporta sur toutes ses autres considérations.
— Deal ! Répondit-elle.
A peine eut elle répondu que le docteur dirigea son membre ferme dans le cul de la blonde, la soulevant presque de terre. Elle se mordit les lèvres pour contenir le cocktail de plaisir, de douleur et d’abandon de ses sens. Elle glissa une main entre ses jambes pour stimuler son clitoris avec ses doigts fin.
— Oh putain, oui...murmura-t-elle dans un souffle, les yeux révulsés, alors que la large bite du docteur s’enfonçait complètement dans son fondement.
Toute trace de contrôle d’elle-même avait disparu, elle s’empalait volontairement et violemment sur le sexe dressé. Le docteur essayait de freiner ses mouvements, mais rien n’y fit, elle se démena si fort qu’il faillit tomber au sol. Au dernier moment, il repris le contrôle en bloquant les bras de la jeune fille dans son dos, et il l’encula plus doucement, mais fermement, jusqu’à remplir l’intestin de la jeunette d’une bonne rasade de foutre brûlant. Les jambes tremblantes de la jeune fille s’effondrèrent sous elle, et elle glissa au sol, tandis que le sperme épais coulait hors du trou béant de son cul. Le docteur souleva le corps de la belle blonde dans ses bras et l’emmena vers la petite alcôve dans le fond de la pièce, où se situait des toilettes, un évier et une douche. Il aida la belle à se nettoyer, tendrement, et se lava lui aussi une nouvelle fois. Il l’enveloppa finalement dans un long peignoir et la fit monter dans les escalier, après avoir détaché la chaîne à son pied.
— Installe toi sur le canapé , lui dit-il avant de disparaître à l’étage pour s’habiller. Il redescendit et disparu une nouvelle fois en cuisine.
Lorsqu’il revint avec deux assiettes d’où s’échappait une délicieuse odeur, Lola dormait, allongée sur le canapé, la télé allumée. Il posa les assiettes sur la table basse et s’assit sur le canapé, plaçant la tête de la jeune fille sur ses genoux. Ses doigts caressaient tendrement la chevelure blonde de la belle, qui semblait si sereine et calme dans son sommeil.
Après avoir mangé, il regarda la télé comme ça pendant quelques dizaines de minutes. Puis il sentit la jeune fille s’animer. Elle se redressa comme elle pu pour lui lancer un sourire reposé. Elle s’étira longuement, puis s’assit sur les cuisses du docteur Blanc, face à lui, et l’embrassa longuement.
— Comment était ta journée ? Lui souffla-t-elle à l’oreille.— Fatigante.
Il la laissa se frotter contre lui en l’embrassant. Sa queue forma une bosse dans son pantalon. Lola sourit en la sentant.
— Je ne vais pas te baiser. J’ai promis. Mais est-ce que tu veux bien que je te suce ?
Le docteur adorait quand elle semblait en pleine possession de ses moyens, quand elle avait l’air de se maîtriser. Il n’eut pas le courage de refuser, d’autant qu’elle avait facilement réussi à l’exciter comme un fou.
Elle descendit du canapé, se mettant à genoux par terre, et sortit avec peine l’immense bite du docteur de sa braguette. Elle le suça avec tendresse, très longuement. Lorsque finalement il jouit, Lola s’assura d’avaler consciencieusement chaque goutte de sperme. Puis elle lui sourit de ses dents blanches parfaites. Il se reposa un instant puis retourna réchauffer l’assiette de Lola dans la cuisine. Elle dévora tout en un clin d’œil. Il l’emmena bientôt se coucher. Tandis qu’il la prenait dans ses bras, elle lui chuchota d’une voix faible à l’oreille :
— Tu crois qu’un jour je pourrais être normale ?
Une boule se forma dans le ventre du docteur. Tandis qu’elle s’endormait, il espéra de tout cœur que ce soit possible. Mais quoi qu’il advienne, il serait là pour elle.
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