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sex shop

Chapitre 1

Erotique
Ce jour là, j’avais envie que tu m’emmènes à Toulouse dans un sex-shop. Tu sais bien que j’aime provoquer des gonflements dans le pantalon des mecs, les sentir s’exciter de moi comme des cochons assoiffés de mes lubricités. Tu m’as empêchée de jouir, un jour, quand je m’excitais à me mater à être tripotée et enculée par deux salauds! J’en remouille rien que d’y penser! Là, c’était particulier, j’étais voyeuse à mater ces saloperies, mais en plus c’était moi-même que je matais! Double excitation! Et là j’avais une foutue envie d’exhib devant toi! A te sentir bander de me voir allumer des salauds et, peut-être, de les faire gicler pour mon plus grand plaisir. Et quand tu m’as dit: « On va essayer de faire ça! Je suis pas trop tranquille, je sais pas sur qui on tombe, mais on va essayer ma pute! » J’ai aussitôt senti ma vulve se contracter! Et une chaleur de chienne m’a envahi. Comme j’aime cette chaleur! Je me suis donc habillée pour la circonstance: un soutien-gorge transparent, noir, sous un chemisier tout aussi transparent. Une petite veste juste pour ne pas tout offrir trop vite. En bas je portais une jupe plissée, fendue, des bas auto fixants et des chaussures à talons. Pas de culotte. Je n’avais qu’une envie, c’est qu’on voie mon cul dès que je me penchais un peu en avant. Devant la glace je mouillais déjà à faire voler la jupe. Ma chatte lisse apparaissait bien vite, très tentante, et mes doigts se précipitaient sur mon clito pour le mettre en accord avec mon mental torride. Putain comme j’avais envie de plaisir! Je me sentais hyper-jouisseuse. Mais non! Pas trop vite! Je voulais la sentir encore me ronger les chairs et les neurones cette bandaison, et je sentais que tu allais, en vrai pervers que tu es, faire tout ton possible pour que je bande toujours plus fort, et par tous les moyens. J’en frissonnais! Comme j’aime me sentir salope à ce point là!En chemin pour le sex-shop, dans la voiture, j’avais un mal fou à me concentrer, et à ne pas faire de bêtises! J’ai eu envie de te laisser conduire pour pouvoir me masser le clito et le chauffer avec plus de fantaisies. Mais nous n’étions pas si loin. Mais tu ne m’as pas aidé en sortant ta bite à un feu rouge, salaud! Tu ne bandais pas à fond, mais elle était déjà bien gonflée! Cette petite aventure semblait déjà te plaire. Et à moi donc!! Quand on est entré dans le sex-shop, il y avait déjà deux couples. Les femmes étaient très belles. Je me suis sentie une fois de plus trop grosse. Tu as vu ça, et tu es venue me dire à l’oreille: « Laisse ça, t’en fais pas, tu es mille fois plus vicieuse qu’elles et les mecs savent très bien comprendre ça. On préfère une femelle généreuse et trempée à une belle bourgeoise qui se protège de tout, trop fière d’elle-même. Tu es une véritable salope pur jus, qui aime donner et recevoir, partager les plaisirs qui transpirent à travers tout ton corps. Et si ça se trouve elle va finir par se branler en te matant! Et si ce n’est pas elle, ce sera son mec! En tous cas ça lui foutra une sacrée envie de venir te saloper lui aussi! Et il ne pourra pas à cause d’elle! Ah ah! On verra, tu t’en fous pour le moment. » Pendant qu’on partage tout ça, je n’en perds pas une goutte. Mais il n’y avait pas que les couples. Plusieurs hommes étaient là qui ont tourné la tête quand on est entré. Ils se rinçaient l’œil devant les revues X ou les DVD pornos, ou bien à la recherche de ce qui pourra animer leur plaisir à eux, seul, ou en couple, ou en partouze. Allez savoir. N’empêche que mon entrée a jeté un trouble de plus! Pendant que tu me parlais à l’oreille, je les passais comme en revue, fixant leur regard sans pudeur. De temps en temps, en t’écoutant, je faisait semblant de vérifier ta tenue, défroissant ton col, ou plus bas, cherchant à enlever un fil malencontreux sur ton pantalon. Trop bas le fil! J’étais obligée de me pencher un peu… Hum… dommage, je ne pouvais ainsi constater les premiers dégâts, mais mon imagination en feu compensait très très bien!! En fait, le silence s’approfondit dans le sex-shop et une sorte d’atmosphère plus épaisse s’installa. Je crois bien qu’on entendait seulement quelques respirations qui avaient du mal à passer, des raclements de gorge. Un coup de froid subit à la vue de mon cul nu? De la naissance des lèvres bien épilées de mon sexe? Ou bien peut-être avait-on aperçu un piercing? Certainement quelque chose de fixé à mon entrecuisses en tous cas! Heureusement la chaleur n’allait pas tarder à remonter! Je me redressais. J’avais envie de mordre ta bouche. Et là je t’ai sentie tout chose, mon salaud! On s’est avancé au milieu du magasin, vers les vitrines qui présentaient de nombreux sextoys. Ta main palpait tendrement mon cul, glissant parfois dessous, je sentais tes doigts sur ma peau, subtils comme tu sais faire, juste au bord de la raie de mon cul. Tout ça se précipitait un peu dans ma tête!! Mes envies sont si claires qu’elles anticipent toutes les saloperies à grande vitesse. Heureusement c’est toi qui contrôlais ta main!! Sinon je crois bien que je me serais foutu deux doigts dans le cul illico! Mais toi non, tu effleurais, tu caressais. Ce faisant tu soulevais le tissu, salaud! et tu n’étais pas le seul à en profiter. Face à la vitrine, je tournais le dos à la salle, mais les regards pesaient sur moi! En fait je ne voyais plus rien. Je ne sais même plus ce qui se trouvait devant moi. Godes? Pinces? Cravaches? Autres instruments du plaisir? Je n’en sais plus rien, j’étais toute en dedans et attentive aux regards qui commençaient à me toucher eux aussi. Ta main devenait plus indiscrète. Tes doigts suivaient la fente de mon cul pour descendre sur ma chatte. Tu as insinué un doigt entre mes lèvres. A le sentir glisser j’ai compris combien j’étais mouillée! Mouillée?? Non, trempée, ruisselante. Un délice de jus de plaisir suintait sous moi. Alors je me suis retournée. Je voulais voir ces regards fixés sur moi. Du coup tu as changé de main et un autre doigt est venu titiller mon clito. Là ma jupe était bien relevée, Je serais incapable de dire combien de paires d’yeux pervers étaient à me lorgner, à goûter un moment rare dans un tel endroit. C’était le bingo pour ces bandards pervers! Qu’ils en profitent ces chiens! Je serai leur chienne d’un moment! Et ton doigt qui branle délicatement mon clito, tu le fais rouler entre le pouce et l’index, salaud! Tu fais bien ça! Je commence à te donner ce gémissement que tu aimes, du fond de la gorge, plus fort que moi. Je ne tenais plus trop mes genoux. Ce qui m’a empêchée de couler c’est que les hommes se sont approchés. Tu étais un peu derrière moi, ta main sur ma chatte, aussi j’étais très accessible. La veste était très ouverte et mes seins offerts à travers les tissus transparents. On matait de plus en plus. Les regards me parcouraient: des nichons, à la chatte, des piercings aux tétons au piercing de mes lèvres. Tu as dû leur faire un signe, et je devais avoir fermé les yeux, car j’ai senti des mains sur moi. Je ne savais plus où était la tienne. Je crois bien que c’est toi qui, derrière moi, a commencé à dégrafer mon chemisier à dégager mes seins dans le soutien-gorge. A partir de là je suis saisie de partout. En ouvrant les yeux, je me suis aperçu que tu t’étais un peu reculé me livrant à ces salauds. Ils avaient extirpé mes nichons hors du soutien-gorge et les palpaient sans se priver. Je dois dire que j’ai du mal à raconter ce qui s’est passé à partir de là. J’en avais partout. En fait la seule chose dont je me souvienne c’est de ton regard lubrique de voyeur allumé, je ne sais pas trop si tu avais sorti ta queue, ils étaient tous sur moi. J’avais beau être plus grande que la plupart, mes jambes ne me soutenaient plus beaucoup, à moins que ce soit mon vice et ma faim de sexe qui m’aient fait plier les genoux pour offrir ma chatte et mon cul encore plus? Tout est possible. Je sentais mes tétons durcir sous les doigts pas toujours très doux. Ils s’excitaient de plus en plus, les chiens! Trituraient tout ce qui pouvait l’être, et il y en a sur moi! J’ai les fentes prises, les fesses occupées, les nichons malaxés, et mes trous n’allaient pas tarder à subir leurs envies.
En regardant tout ça je me persuade une fois de plus à quel degré d’excitation sexuelle tu es capable de parvenir. La situation est intéressante car, ils sont si nombreux et si affamés, qu’ils sont obligés de laisser la place à leur tour, ça fait que tu ne disparais pas sous le tas. Tout le monde veut toucher, mais comme tout le monde ne le peut pas, alors on veut mater. Et j’en profite.Des fois j’ai bien envie de m’y coller, sur toi. Je les trouve souvent trop pressés, empressés. Ils devraient te faire monter à petit feu, or on dirait parfois qu’ils en veulent tout de suite, très vite. Mais je me retiens. Voyons de quoi ils sont capables. Et puis je tiens à garder un œil « froid ». Un frustré peut disjoncter et je ne veux pas que cette belle séance déraille et soit gâchée par un connard. Donc, calme, le salaud… enfin… j’essaye… Et puis une idée qui aurait dû m’arriver plus tôt me secoue. Je me précipite vers la sortie en soufflant au proprio qui en profite derrière sa caisse: « Je reviens, surveillez tout ça. »Et je file à la voiture. J’ai oublié de prendre l’appareil photo. Je ne suis pas sûr de pouvoir m’en servir car les mecs ne seront peut-être pas d’accord. Je débranche le flash pour plus de discrétion et revient dans le sex-shop.Dites-donc! Faut pas aller chercher des cigarettes. Je te retrouve en belle posture! Ils t’ont fait monter sur une table présentoir en poussant les livres et revues X qui y étaient exposées. Et je te trouve à quatre pattes, le cul tourné vers la porte, les genoux très écartés, le cul offert à ces acharnés du sexe! Putain le tableau est beau! Je prends une photo. En fait ils sont si occupés avec toi qu’ils ne s’aperçoivent de rien. Moi, si ma queue n’est pas raide car je reste en éveil, ma lubricité est exacerbée tant tu es salope! Et j’ai bien l’intention de me défouler plus tard avec toi sale fouteuse de queutards! Je mitraille ton cul! Il est bien offert ton cul bien rond. Les mains s’agrippent à tes fesses, les écartant outrageusement. Ton cul palpitant s’offre juste au dessus d’une chatte que ces salauds dévoilent en tirant sur tes lèvres. On ne sait plus si tu cries ou si tu gémis. Les deux probablement. En tous cas tu es bien! foutrement bien! J’aime voir ta vulve mouillée, brillante de ton jus, ouverte comme ça. Ils tirent sur tes lèvres sans douceur. Avec tes fesses écartées tout ça donne une envie de défonce, de pénétration sauvage de ces trous si disponibles! Je crois bien que mon jus monte à ma tête! Tu me rends hyper lubrique à me donner ton vice comme ça.Ceux qui ne t’exhibent pas l’intérieur du ventre se branlent en tournant autour de la table. Grosses bites courtes, longues verges fines, gros boudins décalottés, les mains s’énervent sur les queues. Je m’aperçois qu’il y en a qui ont déjà lâché leur foutre. C’était trop fort! Je me demande si tu t’en es aperçu, j’espère que oui, pour le plaisir, sinon, j’aurai un très malin plaisir de te raconter ça dans le détail histoire de te faire revivre tes saloperies, ma chère. Pour le moment, même la queue molle, le prépuce poisseux, les doigts glissent à tripoter. Ils ont joui, mais ils voudraient rebander, la tête vibre trop encore et le spectacle se prolonge. Je m’aperçois que les couples sont toujours là. Ils se sont faits discrets. Les dames sont moins téméraires que toi, ou leur maris. Les deux couples se sont rejoints au fond du magasin, comme pour se planquer et profiter de tout ça. Un homme a fait passer sa main sous la ceinture du pantalon d’une belle brune et manifestement la branle. Elle a passé son bras autour de son cou et profite à plein de la situation. L’autre couple commente. La dame passe sa main sur la braguette de son mari et ne semble pas offusquée de le voir bander raide, la bosse ne trompe pas, à la vue d’une chienne prise par tous les côtés. Non, mais je doute qu’elle le laisse y aller. A vrai dire, je ne sais pas.Je fais un peu le tour de la tablée. Envie de voir si ces énervés du bulbe ont oublié tes seins, ou plutôt pour en profiter moi-même. Dans ta position, ils donnent toute leur chaleur à l’âme des voyeurs. Oh! ils ont l’air bien rouges d’avoir été malaxés sans pudeur! Ils plombent leur galbe comme j’aime le voir. Des doigts se sont glissés dans les étriers et tirent. Tu ne protestes aucunement. Je me demande si tu parviens à distinguer tout ce qui se passe sur toi, tant tu subis des attouchements de partout, sans cesse. Tu dois être perdue dans tes sensations. On ne perçoit que tes gémissements et les encouragements ou les injures lubriques dont tu les abreuves. Je vais vers la caisse et demande quelque chose au vendeur. Il hoche la tête, sort de son bureau, se dirige vers le fond sans oublier de jeter deux yeux au fond de tes trous béants, et disparaît dans l’arrière boutique un instant. Toi tu ne vois rien, tu n’es que sensation physique. Eh bien, tu vas sentir un peu plus, un peu mieux.Quand le vendeur revient, il porte plusieurs boîtes et me les montre. Je réfléchis un peu, je palpe mentalement, j’évalue et je lui désigne un gode, de belle taille, mais point trop. Il faut que ça te force un peu, mais pas trop, pour parvenir à te défoncer, à percer tes entrailles et pour faire bondir ton cœur à travers tes tripes. On déballe tout ça rapidement, et je reviens vers toi. J’ai donné l’appareil photo au vendeur et lui ai dit de tirer des photos à défaut de te tirer toi. Ils ont beau te coller au cul et à la peau, ils ont bien compris ce qui se passait, car ils me font un chemin, une protection même, vers ton cul offert. Tu veux du cul ma pute? C’est pas fini…
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