Chapitre 2/7. La complémentarité. Après une bonne nuit je me réveille en pleine forme et déjà l’esprit dans l’étable refaire la même chose c’était tellement bon.En arrivant je mets les bottes de paille en place, ma main vient sur les reins de ma vache même résultat que hier alors j’insiste plus pour lui donner confiance et la remercier à ma façon de ce que elle n’avait donné, et partager à notre façon ce bonheur.Enfin de ne pas revivre de faire l’étendage de mes habits j’enlève de suite tout, et je suis nu comme un vers.Je passe à côté de l’autre vache et lui mets la main sur les reins tien même réaction comment est ce possible là il y a un truc.J’arrive vers la tête de la vache et sa langue vient à nouveau me lécher entre les jambes oh je sens une autre langue sur mes cuisses c’est la deuxième qui me lèche.C’est incroyable je me laisse aller c’est bon très bon doux agréable. Bien évidement je bande fort et dur mais je décide de les laisser faire le plus longtemps possible elles semblent y prendre du plaisir et là c’est moi qui commence à me tortiller car le besoin et l’envie monte à une puissance maximum. Mes testicules sont happés à tour de rôle une fois par l’avant et une fois par l’arrière, je caresse les joues des vaches me retournant vers l’une puis vers l’autre.Cela dur longtemps, parfois se sens leur langues qui se croissent et enveloppent mes testicules incroyable la douceur qui envahi mon corps, mais là je tiens plus j’ai envie d’en prendre une.Ma main passe et repasse sur les reins, ma queue raide et un petit filet en sort je suis prêt.Je vais essayé la deuxième je tire les bottes vers elle, mes doigts caressent sa vulve encore plus large que l’autre, j’écarte le fente et je pose mes lèvres dessus, sa queue se met de côté pour bien dégager la partie. Ma langue farfouille cette belle chatte, trouve le clito et la je sens un petit filet de mouille arriver. Encore meilleur que hier, ma queue est si raide qu’elle se trouve contre mon ventre. Je lèche avec vigueur cette chatte du bas vers le haut super elle rejette de plus en plus de liquide séminal et il est doux, agréable.Plus de doute il faut y aller, mon gland se pose sur son clito puis doucement il continu au fond de la cage. Mes mouvements sont lents et à chaque fois au maximum de ce que je peux rentrer il y à bien 18 cm mais pour elle c’est pas énorme.J’aurai un peu plus de place je crois que je ferais renter les burles dedans tellement c’est agréable. Le désir monte de plus en plus je sens en moi la jute qui monte dans le canal de l’urètre doucement elle se trouve au milieu et puis cela va vite le méat soit la sortie du canal est grand ouvert allez à fond au fond la jute est expulsé pas mal la quantité et il en arrive une deuxième moi forte mais aussi agréable.Je frotte les poils de mon pubis dans sa vulve, et elle frétille légèrement, elle aime.Là il se produit un serrement de sa vulve, je vois son anus qui se serre aussi ah jamais vu. Je me retire doucement et ma queue ressort encore bien raide et super gonflée mais rien ne sort de la vache. Je remet mon gland sur le bord des lèvres de sa chatte et la elle fait une éjection de liquide séminal avec ma jute qui vient se poser sur les poils de mon pubis, formidable c’est chaud et bon.Heureux je pose mes lèvres sur sa vulve ma langue venant lécher son clito j’écarte grand et je parcours l’intérieur de son vagin si chaud, si doux.Le temps passe je remets mes habits et je conduis le troupeau dans le pré mais encore une fois je suis tout mouillé et le short se colle à moi avec son ejac. Vite dans le tracteur et direction le champ, il faut semer et se sécher. Je quitte tout et fait mon travail qui se passe bien que ceci est agréable d’avoir les couilles à l’air et une pine qui est pas trop grosse normal mais qui garde une bonne longueur que je n’avais pas connu depuis longtemps.Par contre j’ai toujours la même pensé à l’esprit comment se fait-il que les vaches de ma patronne réagisse de la sorte. Un homme serait-il à l’origine de cette pratique pas possible elle n’a eu personne depuis 1 an. Dans la journée elles sont au prés il ne va pas courir après et elles mangent.Le matin non plus c’est moi qui suis sur place, reste la nuit mais il faut bien connaître les lieues, la ferme étant isolé en bout de chemin et pour venir à pieds de la route il y a une petite distance mais cela est possible. Alors il y aurait un mâle qui rode dans le coin.Oh ma patronne qui arrive vite le short ouf il est sec pas le temps de mettre le tee short, je descend du tracteur - oui je viens te dire que je serais pas là pour midi le repas est prêt je dois aller à une réunion j’ai oublié de te le signaler hier et comme tu es parti sans boire ton café ce matin je suis passé. Ton travail avance bien il reste une parcelle à faire à ce que je vois.A midi je rentre un petit mot sur la table :- je te confie la ferme, elle est entre de bonnes mains, ton travail me donne satisfaction, les vaches semblent avoir un bon maître.Le repas est prêt je réchauffe le plat, l’entré est dans le frigo, l’assiette est posé, je mange la tranche de pâté quand je vais chercher le plat qui est au micro onde je remarque son vêtement de travail est posé sur le dossier de sa chaise machinalement je le prends et le regarde l’intérieur se trouvant face à moi -oh il y a des traces blanches au niveau du fond des poches sur la bande en plein centre des deux fermetures éclairs. Je crois que je viens de trouver la réponse de ces derniers jours elle doit avoir un homme qui vient la voir, il serait alors l’ancien des vaches avant de poursuivre avec la patronne des relations intimes.Le repas fini je repars terminer mes travaux en me disant j’ai la solution reste à savoir quand il vient.Le soir lorsque je rentre elle me parle de sa réunion positive, de ce que je dois faire le lendemain, et ce qui me trouble elle me dit : - tu avais que ton short remarque il faisait chaud et puis c’est agréable de travailler légèrement vêtu, peu de gens connaissent ce bonheur, c’est comme la sensibilité, la douceur, le partage.Je suis un peu déstabilisé alors je comprends plus rien, si elle avait une relation pourquoi me parler de ceci. - ton travail me convient parfaitement, cette fois j’ai pas eu de soucis avec les vaches elles t’acceptent bien, la production laitière est restée stable contrairement aux autres qui mon fait que des conneries, même dans les champs et le matériel saboté alors que toi tu remets tout en état cela je l’apprécie beaucoup.De quoi me poser encore plus de questions, ce que je croyais ce matin ne tien plus la route.Alors que sont ces traces sur son habit. Qui a donné ce comportement aux vaches ?Les surprises allaient venir, pas du tout celles a quoi je pense, mais tellement appréciables
