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Sexe à la Ferme

Chapitre 4

Zoophilie
Chapitre 4/7. Réponse à mes doutes.
Pendant une quinzaine de jours j’ai continué mes journées comme les précédentes.Toujours la même complicité avec les vaches que du bonheur. Méfiant de ne pas me faire prendre par ma patronne au risque de se faire mettre dehors.Un changement important c’est produit le dimanche je remarque que les fermetures éclairs descendent de jour en jour d’un cran, à table je vois bien le rond de ses seins, là je suis certifié dans mon idée elle porte pas de soutien gorge. Ils sont gros forts imposants.Ce jour là elle a mis une ceinture assez serrée, posée au plus bas de son ventre de manière à mettre en évidence ses atouts sexuels, je devine une chatte assez imposante et sûrement des lèvres joufflues car deux bourlets en forme de v se dessinent sous le vêtement.Parfois elle pose ses seins sur le bord de la table en mettant ses mains dessous pour les remonter et là mes yeux n’en perdent pas une miette. C’est une belle femme.Je me mets à bander, je détourne mon regard je pense que cela est impossible.Je perds les pédales, je comprends rien ou cela va me conduire !Le lundi matin après une nuit de questions sans réponse je me dis allez tu retourne vers tes vaches donner et se faire plaisir puisque elles ont commencées alors c’est reparti.Après avoir été léché par mes deux compagnes, je me dirige vers l’arrière mes bottes de paille sont en place, je prends la deuxième, mes mains caressent ses reins, elle semble encore plus disponible sa vulve bien dégagée, j’écarte les lèvres doucement lentement mes doigts caressent le bord. Ma bite est raide droite, je monte sur les bottes de paille, je crois que aujourd’hui ma queue va rentrer toute seule oui elle glisse doucement quelques aller retour sur le clito elle se cabre un peu elle réagit bien, lentement je m’enfonce mes couilles touches son vagin ouvert je fais des mouvements de gauche à droite c’est très bon. Je me retire un peu afin de reprendre le mouvement de va et vient. –-oh une main me caresse les testicules avec tendresse, puis je sens des lèvres se poser sur ma hanche et une langue qui fait des ronds.-C’est Gi qui est là toute nueElle me pousse la bite dans le vagin de la vache :— continu, j’adore ce que tu fais.Surpris j’ai eu une baisse d’énergie mais comme ses doigts sont là je retrouve un peu de vigueur, elle se rend compte de ceci et me dégage laissant que le gland dedans et la elle vient poser ses lèvres sur ma verge et avec sa langue fait des excitations.Je reprends mes esprits et c’est reparti un limage en douceur, lent et profond à chaque fois.Gi me masse les burles d’une main et avec l’autre elle est en train de se masturber avec force. J’arrive au bout ,la jute monte, le méat est bien ouvert et un jet en sort assez puissant avec un autre un peu plus mou normal j’ai été stoppé dans ma fougue, au même instant il y a un petit cri à côté de moi Gi vient de jouir.Je sors ma bite de la vulve en même temps la vache éjecte son liquide Gi le récupère au creux de sa main et le dépose entre ses jambes. Elle me fais descendre de mes bottes de paille me prends la queue avec sa main écarte les jambes elle la met entre ses cuisses et serre fort pour bien me sentirSes bras m’entourent les reins, elle se colle à moi je fais de même se serrer à plus en respirer, pas un mot entre nous nous restons collés pendant de longues minutes la tête de l’un posée sur l’épaule de l’autre.Gi me libère la queue sa main prend la mienne : - — on va se boire un café, elle récupère nos habits que elle met sous son bras de ce fait on rentre nu à la maisonJe m’assois un peu gêné par ma situation ma patronne prend une serviette la trempe dans l’eau chaude prend soin de vérifier la température en la posant sur son ventre puis elle écarte les cuisses et essuie nos traces, elle rince la serviette et vient vers moi passer la serviette à bonne température sur mes attributs dans le bon sens de bas en haut avec une certaine délicatesse, elle va chercher une serviette chaude sur le sèche linge et éponge mes couilles avec tendresse, puis elle en fait de même en écartant les cuisses car elle ne l’avais pas fait.Je découvre ses seins en entier énormes, pesant il y a de la surface.Mes yeux se porte sur une toison qui couvre tout moi qui adore ce style je suis comblé et le départ de la chatte semble être une belle moule bien grasse, mais il faudra voir.C’est une belle journée me dit-elle je suis ravie de ce moment buvons le café.La tasse arrive là elle vient s’assoir sur moi, nous sommes face à face corps contre corps, sa main glisse entre nos ventres elle prend ma queue pour bien la positionner au niveau de sa chatte, le bout de ses seins est dur.— rassure toi on va pas recommencer tu as donné déjà mais écoute ton corps tu auras une réponse de moi.Nos lèvres se touchent, nos langues entre en contact elle enroule la sienne autour de la mienne et me tire vers le fond que c’est bon, extra puis je fais des aller retour dedans pendant de longues minutes c’est terrible. Je résiste plus je prends un de ses seins dans ma main et je le suce avec passion et je suis récompensé car il vient de s’écouler un petit jus doux.Ma queue à de la chance malgré que elle soit en repos un léger liquide arrive dessus mais là je sais c’est sa réponse promise que du bonheur.Bon il faut aller au travail, elle prend mon short et me le présente j’ai plus que a mettre les pieds dedans elle le remonte à la taille puis elle vient se placer derrière moi passe ses mains dedans :— il faut bien le placer toi c’est à gauche si mes observations sont bonnes.Une belle caresse sur les testicules cela fait pas de mal mais quelle bonne intention.Je ne résiste plus à la tentation je ramène Gi devant moi son dos contre mon ventre, mes mains prennent ses seins elles sont pas assez grandes pour les contenir. C’est extra je taquine le bout une merveille. Puis je caresse son ventre et voila la belle pelouse grande, bien fournie, épaisse Nos corps semblent se comprendre et non pas besoin de mots pour bien se placer.Je lui prends la main et lui donne un baisé sur la joue.— Tu as pris mes vaches avec tellement de passion, C’est une bonne surprise pour moi, Mais je viens de te mettre en retard pour semer le maïs et en plus le temps menace, la pluie risque d’être au rendez vous.— Je vais conduire le troupeau vers le pré, j’ai préparé mon matériel hier soir, on pourrait déjeuner vers les 13 h si cela ne te pose pas de soucis, je préfère au cas ou j’ai une surprise.— Oui Al nous allons faire ainsi de toute façon j’ai le temps et on fait en fonction de nos travaux.La situation semble être assez correct, il y aura des changements, mais il faut pas trop réfléchir tellement il y a eu des bouleversements.— Al j’ai une bonne impression, mais il serait bien de laisser la nature nous donner les bons conseils, je suis en attente de tes réactions morales et physiques.— Oui tu as raison laissons le temps au temps.
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