Chapitre 5/7 la découverte. Après avoir conduit les vaches dans la pâture, je monte dans le tracteur et c’est parti.Mais dés le départ le semoir me cause des soucis, la goupille d’un des engrenages n’est plus en place et plus rien ne tourne.Retour à l’atelier pour voir si je peux réparer, oui j’ai de la chance dans le rayonnage des pièces de rechange je trouve les goupilles et un pignon. Remontage et départ, il faut refaire les réglages et le temps passe, mais la pluie n’est pas là. Finalement je rentre il est 13 h30.— Tu as eu des problèmes il me semble que j’ai entendu le tracteur ?— Oui impossible de semer j’avais perdu une goupille et les pignons se sont mis en carafe, mais par chance j’ai trouvé pour réparer dans un casier sinon c’était de partir en chercher et encore il faut les trouver.— Encore le résultat de tes deux prédécesseurs des bourins de première, u as eu de la chance que mon mari défunt était un homme qui avait toujours un maximum de pièces de rechange, mais lui faisait comme toi les remises en état après utilisation et il ce qui limite déjà les risques.— Oui Gi cela prend du temps mais on se retrouve pour le travail.— Les deux matchos que j’ai eu des bruts, pour les animaux ah ils risquaient pas de faire ce que j’ai vu la tendresse elles ont jamais connu. Je dirais que si elles marchaient pas droit c’était le bâton. Dès que ceux -ci sont arrivés au bout de 15 jours une perte de 20% de lait ce qui est énorme. Le matériel aucune réparation il faut dire que ils ne savaient rien faire, souder, faire des montages, réparer. Alors que toi tu as de l’or dans les mains. En ce qui me concerne la distance était importante, pas du tout naturiste et même à l’opposé, pour eux se sont des gens pas bien dans leur tête, alors que la nature apporte tellement de choses et les gens qui le pratique. Moi oui ils avaient des intentions mais qui se limite tu me soulage, le reste fait comme tu veux, alors je n’ai jamais pu me faire à ceci donc distance et surtout que la saison se termine vite.— Je te comprends, je fais de mon mieux pour le travail c’est pour cela que tu ma fais venir, en ce qui concerne le nudisme il y a tellement à dire mais quand on le pratique on comprend beaucoup de phénomènes et on découvre.— Al tu n’es pas un zoophile, mais je suis la responsable de ceci. Etant seul un jour j’ai mis une pierre de sel dans la crèche et étant nu j’ai senti sa langue venir me lécher le ventre. Une impression de douceur ma envahie, puis elle a continuée sur mes seins je laissais faire, puis machinalement j’ai dirigée sa tête entre mes jambes et là oulaloulala un bonheur intense. Tu imagines ce que j’ai fait. Trop de bonheur j’ai recommencé. Donc tu vois pourquoi tu as eu droit à ses faveurs. — Je reconnais que j’ai été surpris mais moi aussi j’ai continué trop longtemps sans avoir ressenti une si grande émotion.— Alors Al un jour j’ai vu en lavant ton short et ton tee short des traces blanches, importantes au niveau de la bite. Je me suis dit eh il éjacule autant que un taureau, non c’est pas possible donc je vais mener mon enquête il me semble que je connais. Donc tu devais faire ceci le matin car j’avais remarqué que il y avait du temps entre le moment ou tu partais à l’étable et le moment ou les vaches sortaient. Dans le bardage il y a un trou entre 2 plaques j’avais une vue sur le 10 premières vaches et tu risquait pas de me voir entre la cour et le bâtiment un tas de bois. Quand je t’ai vu nu en train de te faire lécher la queue oh il est zoophile. Puis tu es venu vers le cul les bottes étaient en place mais là je n’ai rien vu sauf que tu devait la sodomiser et tes mouvements. Je devais voir ceci après avoir calculé j’ai vu que la salle du tank et du groupe était au ras du cul des vaches. Les tuyaux sortaient pile poil au niveau. Chance pour moi il n’y avait pas de ciment autour des tuyaux jamais fait mais un sac en papier. J’ai fait un trou et le lendemain je me suis mis en place. Tu es arrivé j’imaginais ce que tu te faisais faire, ta main sur les reins et tu as déposé ta langue dans sa vulve après avoir caressé sa fente, des coups de langues vigoureux, mais en douceur aussi. Ta queue oh la belle bien ferme le gland s’est enfoncé avec lenteur dans sa chatte. De beaux mouvements en douceur, un coup de rein et au fond l’éjaculation, puis tu a retiré l’engin et attendu son éjection séminale pour la récupérer sur ta queue. Instant de bonheur, tu imagines ce que je pouvais faire et pour ne pas crier je mordais le col de mon habit. Donc pas zoophile Al trop de tendresse, et partage complet.— Alors pris et moi qui n’es rien vu, mais toi aussi je t ai observé, en rentrant l’autre jour j’ai trouvé ton vêtement sur le dossier de la chaise, surpris de voir des traces au niveau de la braguette. Par déduction ce n’était pas un homme, alors j’ai suivi mon instinct et je suis parti voir le soir ce qui se passait.— J’avais fait exprès de laisser mon habit pour que tu le voies et savoir ta réaction.— Gi j’ai donc regardé par la fente de la porte qui se bloque pas et là tu était en train de prendre ton plaisir avec les deux vaches, je voyais mal un peu trop loin mais leurs langues se croisaient entre tes cuisses, le plaisir devait être intense. Tu es venu en reculant vers le cul, tu as fait un massage important sur leurs reins. Déçu moi qui voulais voir ta chatte rien à faire. A ta position et les mouvements que tu faisais tu étais chatte contre chatte, lèvre dans lèvre et à la fin pubis dans sa vulve.— Tu es un bon observateur, la description de ma prise se révèle exact. Voilà pourquoi sans le savoir tu as fait des actes semblables et que tu as trouvé autant de plaisir.— Gi ensuite j’ai aperçu ta touffe quand tu as ramassé ton habit et il semblait que il y avait une de la mouille en abondance. Vite je suis parti et j’avais le sexe en feu.— Al maintenant nous savons, je suis l’instigatrice de ce qui arrive. En aucun cas je te ferais des reproches, par contre j’ai la conviction que tu as eue dans ta vie des moments difficiles avec des femmes, tu es très doux mais aussi un grand timide, tu respecte les femmes et tu ne cherches pas à t’imposer. Moi le premier saisonnier je l’ai viré après les travaux de récolte, il voulais que nous vivions ensemble alors que je connaissais rien de lui, contre le naturisme, une brute même menaçant. L’autre n’a jamais couché chez moi, un peu trop porté sur l’alcool, une lavette. Ce qui est bien, nous avons un grand respect de chacun, tu n’as pas changé ton comportement vis à vis de moi, ton travail est resté aussi productif, même une force encore plus grande en toi depuis quelques jours et d’en faire toujours plus.— Gi je ne voulais pas briser cette belle collaboration, j’ai estimé que c’était ton choix, je dois le respecter. Ce que j’ai fait par hasard ma redonné confiance, et parfois il vaut mieux se contenter de peu plutôt que tout foutre en l’air.— Al je suis d’accord avec toi. Je sais que nos secrets seront bien gardés, chacun va continué à sa façon et en fonction de ses impulsions. Nous avons une chance c’est d’être naturiste, nous laissons notre personnalité s’affirmer au travers de ceci. Je suis persuadé que au contact de la nature, de ce mode de vie des éléments vont naître.— Gi le naturisme permet d’évoluer mais seul la volonté de s’investir dedans est la clef.— Comme tu le dis le naturisme est soit individuel, soit commun. Il suffit d’un détail, d’une prise en main de soit pour décider si on tente l’aventure ou pas. Cela ne s’impose pas, de toute manière tu feras ta saison complète comme prévu.Là je comprends que j’ai une perche de tendue, a moi de bien observer ses faits et gestes ; je repars au travail. Nous avons discuté pendant plus d’une heure, je pense que des événements vont venir se mettre en place.— Je serais pas de bonne heure ce soir je vais tailler la haie au grand champ, alors il y aura des arbres à couper et a ramener.— Pas de soucis, tu fais à ta façon.
