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SHANA

Chapitre 1

Trash
S H A N A



    par Chloé de Montsur

    La sensualité ne connaît que les limites que vous lui imposez.    Refusez la morale que la société bien pensante veut vous prescrire !     Jetez les amarres de vos préjugés et partez librement naviguer sur     l’océan insondable du plaisir des sens !
Chloé

CHAPITRE 1 : une séductrice non conventionnelle

    Que de plaisirs tu me fais en me promettant d’étendre mes lumières.

    SADE

J’ai rencontré Shana dans un dancing de Bruxelles fréquenté quasi exclusivement ce soir-là par des étudiants qui fêtaient l’obtention de leur licence en archéologie et histoire de l’art.Inondée de lumière, elle dansait seule sur une piste légèrement surélevée par rapport au bar, Très belle avec ses seins pommelés qui débordaient de son bustier sommairement boutonné, la jolie gamine se déhanchait en montrant aussi haut que possible sa hauteur de jambe aux potaches hypnotisés qui battaient la mesure de sa démesure.Décidément, cette fille, belle à crier, dégageait un charisme incroyable.Son maintien racé et l’éclat de ses yeux m’interpellèrent.J’ai toujours eu un faible pour les lionnes qui ont l’apparence de gazelles.Dès que nos regards se mélangèrent, ce fut comme une révélation. Je me suis dis que cette créature, je pourrai l’adorer éternellement.Avant ce fameux soir, jamais je n’avais vu une fille aussi parfaitement taillée, même dans mes rêves les plus fous.
Ni trop, ni trop peu maquillée, elle avait choisi de relever ses cheveux blonds en un chignon un peu lâche qui laissait s’échapper quelques mèches folles du plus bel effet aphrodisiaque.
Son maintien racé et l’éclat de son regard m’interpellèrent.La peau mate et bistrée de son ventre plat, mue par sa respiration saccadée, acheva de me remuer les sens.Des idées de plus en plus déraisonnables m’assaillirent à la vue de cette sulfureuse liane qui se balançait devant moi.Voilà une nana gravement atteinte de "séductionite" aiguë ! pensai-je.Un écran humain d’une vingtaine de jeunes gens, sans doute attirés par les phéromones de la belle, s’était formé spontanément en un arc de cercle dont elle tenait le centre.En contrebas, quelques garçons un peu ivres l’encourageaient à se dénuder en cherchant à l’agripper pour lui arracher sa jupette.Ses longues jambes aux muscles d’or brun si parfaites sonnaient comme une invitation incontournable à les caresser.Des mains gloutonnes jaillissaient de toute part.Complaisante, elle recevait les hommages gourmands sur ses jambes d’amazone comme autant de banderilles stimulantes.A tout instant, ses admirateurs menaçaient de déchirer la mince étoffe qui lui servait de pagne symbolique.Absolument pas gênée par cette lubricité communicative, la demoiselle fouettait l’air de ses bras au rythme de la musique, dévoilant la magnificence de ses seins d’airain.Sous ce jupon si sexy, elle ne portait qu’un minuscule string qui affichait clairement son aversion pour la pilosité pubienne.Ce jeu sensuel m’emporta dans un vertige paroxystique. Oubliant ma qualité d’honnête homme, il me passa dans la tête un caprice incroyable.C’était une folie, sans doute.
- Paul ! Tu as vu comme cette fille est jolie ! Donne-moi ton verre !
Discrètement, je fendis la foule pour me hisser derrière elle sur le podium, le verre à la main.Shana sursauta quand elle s’aperçut qu’une main non invitée s’intéressait à la courbure de ses seins.Elle ne se laissa pas impressionner et esquissa un sourire en prenant le cocktail que je lui tendais.Suffocant sous la brûlure du gin, elle affronta pourtant courageusement les regards narquois de ses amis avant de faire mine de quitter le podium.Attentif derrière ses platines, le D.J lança une plage de hard-rock pour enflammer l’ambiance qui n’en avait nullement besoin. Son parfum envoûtant et sa voix sucrée me portèrent l’estocade finale.
En totale confiance, elle accepta complaisamment la danse endiablée que je lui proposai.
Une exhibition dure et violente, digne de "Dirty Dancing".Le morceau s’arrêta brusquement, ponctué par des applaudissements nourris, alors que la belle à bout de souffle gisait dans mes bras, épuisée, le haut du corps penché en arrière.Avant qu’elle eut repris complètement ses esprits, je lui proposai de commander un deuxième verre qu’elle accepta avec quelques réticences.
    - Deux Tequila Sunrise, doubles, s’il vous plaît !
Le D.J embraya sur un air inusable dans les boîtes de chippendale à la demande de Paul qui ne voulait pas me faire manquer une si belle opportunité. Son fan-club exigea le strip-tease en règle qu’exigeait la mélodie. Profitant de l’euphorie générale et de sa conscience émoussée par le deuxième cocktail, je tentai mon va-tout en lui expliquant que sa beauté naturelle l’autorisait, voire lui imposait de se laisser admirer.
Tandis que je lui flattais les seins à travers le tissu brûlant, elle me foudroya d’une répartie, emprunte d’un bon sens évident, que son extrême jeunesse excusa d’emblée.
- Après tout, vous avez raison, je serais stupide de vous interdire de regarder et de toucher ce que je donne à voir depuis une heure.Déshabillez-moi si vous vous en sentez capable !
Elle prit une profonde inspiration qui fit gonfler encore ses seins.Aiguillonné par cette surprenante parole, je lui dénouai son bustier pour offrir aux spectateurs impatients le buste nu aux deux hémisphères parfaits.Sa chevelure prisonnière du chignon ne pouvait plus lui offrir l’écran pudique qu’elle espérait.La courbe parfaite d’un sein apparut dans toute sa splendeur avec une pointe joliment dressée vers le haut.Surprise par mon audace, elle me jeta un regard de biche affolée, particulièrement attendrissant.Cet effeuillage inachevé stimulait manifestement l’assistance bruyante qui en redemandait.Elle comprit d’instinct que nous ne pourrions en rester là sous peine de lynchage collectif.Dans ses yeux se lisait l’épouvante et sur ses seins libres, force et défi.J’entrepris de lui ôter sa jupe de manière à ce qu’elle apparaisse aux yeux de tous, nue et fragile.Lentement tout d’abord, je baissai l’étoffe jusqu’à laisser voir les fossettes de ses fesses.Le désir qui montait progressivement dans son ventre l’éloignait inexorablement des limites que sa morale lui dictait.Elle ressentit, dans un grand frisson, l’électricité statique de mes doigts déchiffrant ses zones érogènes.Je parcourus quelques arabesques sur ses cuisses, ses fesses et, la sentant fléchir, autour de sa vulve lisse à peine masquée par le string.Je m’efforçais de lui prodiguer des caresses suffisantes pour l’apprivoiser sans l’effaroucher.Je la masturbais avec une lenteur calculée, décidé à maintenir l’équilibre fragile qui donne l’envie d’arrêter et d’y revenir l’instant d’après.Les regards insistants convergèrent vers son sexe qui dévoilait insidieusement ses lèvres nues débordant du string devenu oppressant.Ses pétales enthousiastes brillaient de plaisir et poissaient le string que réclamaient ses admirateurs.Son ventre dense et ses cuisses dorées faisaient, à son coquillage, une somptueuse corolle qui ne pouvait qu’encourager le butineur que je suis à ouvrir plus grande la voie des richesses insoupçonnées que devait receler ce sexe capiteux où l’imagination voulait d’emblée s’enfoncer pour en explorer le divin contenu.Sans lui laisser le temps de la réflexion, d’un geste décidé, je brisai l’élastique du slip de dentelle qui glissa sur ses chevilles.Les carabins déchaînés se l’arrachèrent comme un trophée.
Ne restaient sur la scène que son corps merveilleux et le désir extrême qu’il m’inspirait.Elle mouillait… elle mouillait terriblement depuis le début de ces jeux où humiliation et frissons semblaient tellement plaire à son esprit.Elle ne devait pas être habituée à ce qu’on la détaille du regard sans pouvoir se protéger.Il me semblait que lui parler la troublerait davantage et attiserait encore son envie de s’exhiber.
- Apparemment, ça te fait vraiment beaucoup d’effet. Tu ne peux plus tromper personne.Tu es trempée, ruisselante même. L’abondance de ton miel trahit la complicité de ta chair.
Bien qu’elle ait un peu honte de laisser ces hommes contempler ses lèvres baveuses, elle ne pouvait plus rien y faire et devait bien reconnaître qu’elle aimait autant être excitée qu’exciter.Sa bouche délicieuse ne s’ouvrait que pour l’embellir encore.Ses dents ressemblaient à des perles qu’on aurait semées sur un lit de roses. Elle ne pouvait plus résister aux délicates sensations dont je l’enivrais.Je commençais à prendre mauvaise conscience d`abuser si cruellement de son innocence quand elle me lança bravement avec des yeux verts si pétillants que je m’attendais à chaque instant voir un diable en sortir.
- Alors ! On passe à l’action ?Il y a déjà un mois que je suis à jeun à cause de cette maudite session d’examens.
- Indisciplinée, coquine et prête à tout à ce que je vois !
- Non, simplement, je ne peux plus me contrôler lorsque l’on commence à jouer avec moi. Alors, je veux tout.
Je pressentis à ce moment la terrible mission qui me reviendrait de la guider pour qu’elle devienne ce qu’elle voulait devenir, pour qu’elle puisse s’accomplir totalement au risque de se faire broyer.Shana, tous les sens en alerte, sentait monter le plaisir qui la ravagerait bientôt mais ne perdait aucune parcelle de son irrésistible élégance.D’une main caressante, je testai la vulnérabilité de sa vulve fendue très haut sous le pubis.Incapable de retenir les contractions qui faisaient vibrer son corps, elle jouit très vite en fermant les yeux.Quand elle eut crié son bonheur d’être femme, je plongeai un doigt dans le vagin luisant de mucus et elle partit pour un second orgasme plus long, plus sonore, plus humide encore.C’était tellement bon que ça lui faisait presque mal.Je lis dans ses yeux la honte d’avoir mouillé si fort devant ses condisciples médusés face à cet orgasme aux allures de cataracte.Compatissant, après l’avoir revêtue de ma veste, je la laissai méditer près de la piste à la révolution sensorielle qui venait de la submerger.
A suivre
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