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SHANA

Chapitre 24

Trash
Lorsqu’elle émergea enfin du chaos, ma belle geisha vint me retrouver, comme je lui avais suggéré, dans la salle des fêtes du palais Niarchos. Il était près de sept heures du matin et le soleil se levait sur Xhios.Nous l’attendions avec Sakis et son épouse, le docteur et quelques commanditaires curieux de voir comment la fille allait se comporter après ce qu’elle avait subi cette nuit. Je pensais sincèrement que tout le monde serait d’accord pour estimer que Shana avait peut-être atteint la limite de ses désirs et de ses forces. Erreur grossière. Les appétits étaient loin d’être apaisés.Nous avions mis à profit les quelques heures de répit accordés à ma femme pour coucher sur papier les termes des divers contrats que Sakis m’avait promis de signer avant l’aube.Que ce soit le contrat pétrolier aves les Saoudiens, les contrats d’exploitation du futur aéroport, du nouveau port ou de l’espace touristique, tous étaient prêts pour la signature.Un seul détail chagrinait encore Sakis qui se faisait un point d’honneur de ne rien conclure avant d’avoir la certitude d’avoir la main mise totale sur Shana en tant que femelle et archéologue. Il avait refusé que je lui parle en tête à tête pour ne pas fausser sa spontanéité dans les réponses aux questions cruciales qui allaient suivre.Je ne regrettais qu’une chose, c’était d’avoir ouvert au Grec de nouveaux horizons de turpitudes. Si proche du but, j’avais cédé à toutes les demandes d’un Sakis aussi convainquant et gourmand que ses complices. Ce n’était pourtant pas le moment de m’attendrir sur ma monnaie d’échange.
Exagérant sa cambrure, elle s’approcha lentement en roulant du bassin pour mieux faire admirer ses jambes hâlées à l’assemblée médusée. Sans y être invitée, elle prit place sur le pouf le mieux situé pour titiller l’imagination de ses maîtres et leur montrer à quel point elle était encore désirable.Shana avait probablement mangé, à mon insu, un clown espiègle en sortant du lit.
— J’adore sentir monter le désir des hommes qui me regardent.
Bombant le torse, elle desserra malicieusement la ceinture de son mini kimono de soie et rabattit sur ses seins ambrés les deux tresses faites en hâte pour contenir ses longs cheveux blonds.Les deux Saoudiens exprimèrent à voie haute leurs doutes sur l’âge de la fille tout en remarquant que les marques de la flagellation s’étaient déjà en grande partie atténuées.
— J’ai toujours paru moins que mon âge mais de là à vérifier si je suis majeure.
Ce n’était pas le moment de m’attendrir sur Shana.Je m’attendais à essuyer tous ses reproches pour l’avoir contrainte à la rupture de ses digues. Pourtant, j’aurai du me douter que, chez Shana, le remord et la honte suivent de près l’instant du délire mais jamais la colère ne s’insère dans son discours
— Tu as bien dormi ?
— Pas beaucoup…Ils ont été trop cochons avec mon anus et je t’avouerai que ma chatoune pétille encore.

Comme pour se faire pardonner son langage, elle me sourit avec ravissement de toutes ses belles dents et me dit :- Tu ne m’en veux pas d’avoir flanché ? Je suis désolée d’avoir supplié si vite que cela s’arrête mais je ne suis pas surhumaine. Je serai tout aussi heureuse de me contenter la prochaine fois de plaisirs moins dangereux et surtout moins délabrant. Tu as vu dans quel état ils m’ont mise. J’ai des marques plein de ventre.
- Comment ne pourrais-je pas t’en vouloir ? Tu t’es donnée en spectacle uniquement parce que tu es incapable de te contrôler. C’est chaque fois pareil dès le moment où tu portes une robe un peu courte...tout comme tu le fais maintenant. Sakis a été trop magnanime en demandant qu’ils arrêtent de te fouetter. Un moment, mais un moment seulement, j’ai ressenti une certaine fierté de voir mon esclave grandir. J’espère que tu mesures le chemin qu’il te reste à parcourir.
Elle adopta de suite profil bas.
- Je t’aime et je sais que tu vas m’aider à me corriger, ou si tu préfères les laisser me corriger.
- Comment peux-tu aimer un homme comme moi ?
- Parce que tu es unique, mon chéri. Tu inventes mes plaisirs. Tu me vends au premier venu. Tu t’épuises l’esprit à imaginer des situations rocambolesques qui mettent ta femme en situation critique. Je t’ai toujours fait confiance. Tu peux tout exiger de moi et je t’obéirai, mon amour.
- C’est très bien. Le jeu n’en sera que plus intéressant si tu nous obéis au doigt et à l’œil. Mais ce sera insuffisant. Tu viens de faire un premier pas que je trouve trop timoré. Enlève ton peignoir ! Tu n’en auras plus besoin.
Furtivement, Florence fit glisser un grand miroir sur roulettes pour que la belle puisse se mirer à loisir.
- Je suis nue, Eric, sous mon peignoir !!! Mon armoire a été vidée. Je n’ai plus rien d’autre à me mettre…Tu veux vraiment?
Je faisais l’offusquée, mais n’est-ce pas ce que m’avait toujours promis Eric.Pire, ce que je lui avais même demandé.Ensemble, nous nous étions longuement préparés, forçant notre imagination pour que jaillissent, peu à peu, nos plus indicibles désirs.Nous avions fouillé au fond de nous-mêmes, cherchant loin, très loin, ce qui pourrait nous unir à jamais dans l’assouvissement de nos pulsions.Il savait que je ne parvenais à vraiment jouir du meilleur qu’en risquant le pire.
*
Elle fit lascivement glisser l’inutile peignoir qui glissa en corolle sur ses fines chevilles pour nous prouver que son désir était toujours intact.Je décidai de lui faire adopter une position exquise pour la contemplation de tes charmes
- Tiens-toi droite ! Ecarte les jambes et mets tes mains sur ta nuque ! Regarde-toi ! Je veux que tu perçoives les mêmes images de ta déchéance que nous. C’est dans ce simple appareil que tu dirigeras ton équipe dans quelques heures. Tu pourras toujours prétexter que tu es une adepte du bronzage intégral ou que le naturisme partie de ta vie. Ce n’est que la juste punition pour ton naufrage de cette nuit.
- Ce n’est pas une punition bien méchante pour la rémission de mes péchés. Je préfère travailler en s’amusant. Cela me stimule, pas vous ?
Ma chérie jouait son rôle à la perfection. Son attitude était si sensuelle, si provocante que j’éprouvai le désir de la dominer une dernière fois.
- Tu sais bien que je souhaite que tu atteignes la plénitude quelle que soit la voie qu’il te faudra emprunter.
  - Eric, arrête de me parler par périphrase ! Qu’exiges-tu de plus ! Tu as tout pouvoir, il ne tient qu’à toi de fixer les règles.
C’est le genre de répartie qui libère en moi une féroce envie de la contrôler à ma guise.
- Shana ! Monsieur Sakis veut organiser certains soirs à ton intention des petits divertissements galants d’un type particulier. Il voudrait te rémunérer pour cela en surplus de ton contrat mais il ne sait pas comment te l’annoncer.
- J’aimerais qu’il soit aussi simple de dire à une femme qu’on a envie de s’en amuser, qu’il l’est, dans une maison étrangère, de demander les moyens d’apaiser sa faim ou sa soif.
Le Grec vint se planter face à moi.Il affichait un sourire sadique empruntés à un film d’horreur.
- Et toi qu’en penses-tu ? Je sais que tu es venue ici surtout pour travailler mais sois rassurée, tu auras deux semaines pour boucler tes recherches et sortir du sol un maximum d’objets de valeur.
J’avais été assez idiote pour me laisser envoûter par la magie des mots et signer sans lire entre les lignes du contrat.Il ne me proposait ni plus ni moins qu’un bagne à mi-temps.Parlons-en de ce travail cochonné !Ce n’est pas demain que l’on verra mon nom en tête d’une publication internationale.C’est fou, je suis peut-être tombée sur la plus intéressante découverte archéologique depuis la mise à jour du tombeau de Toutankhamon et il ne me donne que deux malheureuses semaines, là où il faudrait un an pour n’élucider qu’une petite partie du mystère.Dans un sursaut de clairvoyance, la femme d’affaire prit le dessus sur la dévergondée.
- A part quelques billets, qu’est-ce que vos débauches peuvent m’apporter ?J’aurai besoin de plus de temps, beaucoup plus de temps pour arriver à un résultat scientifique correct…et pour apprendre à mieux vous connaître.
- Tu peux faire confiance à Sakis, ma chérie.Je suis sûr qu’il pourra combler tes besoins d’infinie tendresse.Il viendra te chercher quand toutes les conditions seront réunies pour te recevoir dignement.
  - Tu as toujours été perfectionniste, Eric. Tu viens encore de le prouver.Je n’ai pas peur de tomber dans le médiocre quand tu t’occupes de moi.Mr Niarchos veut simplement me partager avec ses meilleurs amis pour que je sois dégustée comme une bouteille exceptionnelle de Romanée Conti quelques soirs par semaine ? C’est ce précisément ce qui m’inquiète.
Le Grec avait parfaitement senti que ma détermination à m’offrir passait par la garantie qu’il me donnerait de pouvoir continuer sereinement mes fouilles.Son regard reptilien s’illumina brusquement. Il glissa quelques mots à l’oreille de son épouse et se dirigea vers le bar.
Sans que je ne la sente arriver, Florence commença à me caresser les seins d’une main tout en flattant ma vulve de l’autre. Je me liquéfiai rapidement et je ne serai plus lucide très longtemps si la garce continuait à me caresser aussi bien.
Saturée d’excitations paroxystiques et d’orgasmes imminents, je vivais un moment magique.Perspicace, Eric remarqua que le trouble qui me gagnait serait propice à mon émancipation.Les amis de Mr Niarchos ne sont pas des scélérats, ils veulent simplement jouir un peu de tes charmes, me répondit mon amant dont le timbre de voix trahissait l’embarras grandissant. C’est la raison pour laquelle tu gambaderas à moitié nue désormais.
- A moitié nue, d’accord ! Mais tu semble exiger que j’accepte de me laisser violer tous les soirs par les amis de mon employeur ?
  - Qui te parle de viol? Tu ne seras pas violée.Nous n’exigeons de toi que de passer quelques moments avec eux.Ta prestation n’aura pour autre but que d’accélérer le processus naturel du réflexe masculin de sorte que même un vieil impuissant retrouvera comme par miracle l’éjaculation précoce de ses dix-huit ans rien qu’en te regardant te divertir quelques heures avec des partenaires sélectionnés pour leur savoir-faire avec les femmes.
  - En résumé, tu me proposes un contrat pour prestations de services 24h sur 24, mi-temps scientifique et plein temps érotique. Nous avons déjà convenu que j’obéirai sans résistance à tous leurs ordres.Je te demanderai simplement en retour de ne pas fixer de limite de temps à mes investigations.Flo !!! Tu me tues !!!! Appelle ton mari ! J’ai des choses à lui dire..
- Laisses-toi d’abord emporter, beauté ! Oublie ta fierté et ouvre-toi au plaisir !
- Tu es usante. Je ne suis pas peut-être pas assez fière que pour refuser l’humiliation d’une masturbation aussi délicieuse, Flo chérie. Mais je serai assez têtue que pour te refuser l’orgasme.
Elle me tira les bras en arrière me lia les coudes pour m’interdire toute défense.
- Ah! la petite vicieuse aimerait jouer à se retenir. C’est très courageux de ta part. Nous allons y jouer alors. Mon Sakis va adorer.
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