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SHANA

Chapitre 40

Trash
Muni d’une petite brosse enduite d’un antiseptique, Karl se mit à frictionner consciencieusement le petit appendice, tout autour, en partant de la base. La réaction fut immédiate. Mon vagin se contracta et mon bassin s’agita, façon avis de tempête. Ma respiration s’accéléra au rythme de la mouille parfumée qui sourdait de mon orifice vaginal. Je sentis monter en moi les premiers signes de la jouissance qui ne manquerait pas de me transformer bientôt en mitraillette à orgasmes. Un subtil réglage du collier me rappela que tout serait mis en œuvre pour que je sois incapable de soulager mes tensions.En tirant vers le haut la commissure de mes lèvres, Rafa propulsa Cerise sur le devant de la scène tandis que Florence exultait.
Le regard aliéné, Karl, aidé d’une pince plate, s’empara d’un anneau, ouvert comme un omega, très semblable à ceux qui cerclaient mes tétons. Sertis d’une dizaine de pointes incurvées, ils attendaient fébrilement de s’accrocher à mon périnée.C’est avec terreur que je regardais s’approcher de l’épicentre de mes sensations les abominables mâchoires de métal chromé. Les deux mandibules s’ouvrirent puis se refermèrent autour de mon clitoris, à la base, là où le bel organe commençait à naître pour s’exprimer ensuite dans une érection un peu lourde et bien ventrue. La pression augmenta encore, comprimant ma tigelle et la retenant captive. Tout mon corps se cambra. Je poussai un râle horrible qui restera inoubliable pour tous ceux qui l’ont entendu.La douleur inhumaine aurait dû me fait refermer les cuisses. J’avais mal, de plus en plus mal. C’est avec un enthousiasme imprévu, que Cerise accueillit la pose de la boucle et s’égara très vite. En un clin d’œil, mon superbe pistil devint d’une rigidité marmoréenne et le siège d’une douleur permanente et quasi insoutenable, qui irradia dans mon ventre.
Karl vérifia le positionnement des inserts métalliques qui, grâce aux micro-dentelures, rendrait le bijou inexpugnable. Je ressentais, dans mon bas-ventre, une douleur d’une intensité à l’ultime limite du tolérable. Cerise frémissait de façon quasi permanente de cette blessure qui le harcelait. Sa turgescence l’avait porté à un degré de sensibilité extrême.Ruisselante de transpiration, les traits déformés par la souffrance, j’admirais dans le miroir la mutation de l’esclave, ma métamorphose.
J’étais épuisée et hagarde mais Sakis ne me laissa pas le temps de recouvrer mes esprits. Il ouvrit devant mes yeux incrédules une trousse garnie d’une cinquantaine de pinces numérotées, de tous calibres.
- A présent, il n’est que justice que tes belles mamelles aux bouts obscènes puissent se délecter à leur tour du baiser mordant de mes pinces.
- Non! Non!...Pas ça ! Je ne veux plus! m’insurgeai-je.
— Cette répartie stupide, je ne veux jamais plus l’entendre dans la bouche. Tu vas me demander immédiatement de te faire très mal aux nibards en choisissant la pince qui te fera les plus cruellement souffrir.
Rafa se colla dans mon dos et lui présenta, dans ses paumes, mes seins innocents.Du choix, je n’en avais que l’embarras.
- Maître Sakis ! Vous savez déjà que j’ai choisi de ne plus jamais choisir.
Ma réponse l’embarrassa un bref instant mais Karl vint à son secours en lui tendant la pince numéro vingt trois.S’assurant une prise solide sur mon tétin gauche, il le serra à l’écraser, le tira exagérément, l’allongea affreusement pour entraîner du même coup l’aréole, puis tourna, et tourna encore...La douleur infligée à ma poitrine devint telle que je n’en sentais plus qu’à peine mon clitoris captif.
Dix fois, vingt fois, les odieuses pinces me prirent, mordant ici mon téton gauche et là mon droit, me torturant sans répit ni relâche, me faisant hurler, sangloter, supplier et maudire tour à tour l’implacable tortionnaire.
Quand mes guiboles ont flanché, Sakis ne fit rien pour me retenir. Rafa me releva affectueusement et recueillit mes pleurs dans sa bouche.
Piquée au vif de sa jalousie, Florence qui finissait son troisième brandy, glissa un mot à l’oreille de son époux en me montrant du doigt.Le Grec revint sur ses pas.
- Sans prendre le risque d’abîmer ton splendide corps, mes actionnaires et moi avons pensé que ton exceptionnel clitoris servirait idéalement nos projets pour te conférer un maximum de souffrance. Rafa ! Rends-toi utile ! Attache-lui les poignets et hisse-la jusqu’à ce que ses pieds ne touchent plus le sol ! Dominique ! Lie-lui les chevilles et les cuisses au-dessus des genoux !
Ficelée comme un saucisson, je me balançais mollement au bout le ma corde. Florence insinua sa main entre mes cuisses, écarta de vive force mes lèvres et débusqua Cerise qui déploya stupidement sa belle érection devant la caméra espionne qui zooma dans un ronflement très audible.
- Regarde, mon chéri ! Le joli fruit nacré qui ne demande qu’à être cueilli ! Tu me le donnes ?
Non ! Non ! ... Oh non ! ... Pas le bout ! ... Pas le bout ! Pitié ! criai-je aussitôt après avoir remarqué que Sakis approchait les mâchoires menaçantes de sa tenaille crantée de mon "confortable organe" comme disait Eric.
- J’éprouve plus de plaisir que prévu à te voir supplier mais cela te vaudra une punition supplémentaire. Karl ! Pousse le collier au maximum de filtrage !
Sakis prit tout son temps pour assurer sa prise. Un râle de satisfaction bestial m’échappa quand il se mit à attendrir complaisamment Cerise en guettant mes réactions. Je frémissais autant d’appréhension que de désir. Le souvenir des décharges du teaser de Pascal restaient encore vifs dans mon esprit et mon corps.A chaque pincette du malfaisant outil, Cerise, électrisée par ce contact rugueux, répondait par une érection redoublée. Sakis se régalait de mes complaintes aux tonalités étrangement voluptueuses. Je rassemblai toutes mes forces et tentai de serrer les cuisses pour tenter d’offrir un sursis à mon clitoris tourmenté. Profitant du relâchement de mes fessiers, Rafa introduisit son index dans la béance pour me forer l’anus. M’obligeant à me cambrer, elle privait ainsi Cerise du dérisoire et ultime rempart de mes cuisses.Niarchos profitait de chaque pincette pour allonger mon bouton jusqu’à me faire implorer sa pitié.Cerise était laminée de plus en plus énergiquement, étirée toujours un peu plus fort.Jamais je n’avais ressenti une telle sensation. Jamais je n’avais connu une douleur aussi vive, mais paradoxalement si proche du plaisir. Dans son regard, je lisais sa fierté de me posséder ! J’étais à lui. Son objet, son plaisir de l’instant, son jouet.Totalement désarçonnée, j’accompagnais chaque attouchement d’une exclamation suraigüe qui m’approchait lentement mais sûrement d’un orgasme monstrueux. Finis les pleurs, les supplications, les refus ! J’avais une envie énorme de jouir, envie de leur crier que j’étais leur chienne. Que cela faisait dix ans que j’attendais de connaître ce vertige. Que mon désir le plus profond était qu’ils me condamnent à agoniser lentement sur une croix en distillant savamment leurs supplices pour que mon calvaire soit sans fin. Que j’y pensais jour et nuit en me masturbant…Je me tortillais autant que possible, vu la faible latitude que me laissaient mes liens, pour intensifier au maximum la souffrance, cette merveilleuse compagne.
- Je vous laisserai pas jouir, ma chérie, pas comme vous le voulez du moins.
J’avais mal, très mal... si mal... et de plus en plus insupportablement.
Mon plaisir arrivait trop vite à son goût. Il se mit à tirer la pince vers mon nombril, puis à la tourner, comme si il eût décidé d’extraire de mon être la totalité de mon intimité. La souffrance devint vite infernale. Sa tenaille ne lâchait sa proie que quelques secondes pour mieux la reprendre et accentuer la prochaine torsade.
- Noooon pas çaaaa ! C’est trop fort !!!
- Tu n’as pas d’ordre à me donner. Je continuerai toute la nuit ou jusqu’à l’excision si tu n’as pas la chance de perdre connaissance avant.
- Non! Oh noooooon!...
Je me mordis les lèvres à sang quand une torsion mal contrôlée m’arracha le mince filet qui empêchait le décalottage de Cerise, lui enlevant sa dernière protection. J’éprouvais une plénitude fulgurante. Je m’entendis hurler, d’un plaisir immense, colossal, bestial. Puis mes forces m’abandonnèrent. Je me suis affalée pesamment, vidée de toute énergie, avec le sexe et les seins à vif, comme enduits d’acide.
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