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Shéranaki

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Shéranaki Chapitre 1
( J’invite une responsable de ma boite chez moi )

Shéranaki était une collègue de travail, en fait, bien que je ne travaille pas directement dans son service, elle faisait partie du staff de mes supérieurs hiérarchiques. Au travail, elle n’avait guère d’amies et d’amis, car elle était très autoritaire avec tous ses subalternes. La seule exception, avec qui elle entretenait des relations plutôt amicales, c’était moi.
Shéranaki était une jeune femme de 25 ans, de 5 ans ma cadette, qui, sans être un top modèle, avait des formes relativement harmonieuses. Elle portait toujours des tenues assez rigoureuses, en relation avec sa fonction de cadre : jupe droite s’arrêtant au dessus des genoux, et chemisier boutonné assez haut, tout le contraire d’une jeune fille de son âge.
Dès mon embauche, elle avait été assez prévenante, voire sympathique à mon encontre. Je n’étais pourtant pas ce que l’on appelle « un beau gosse », mon arme habituelle de séduction était plutôt l’humour. C’est peut être parce que je l’avais amusée lors de mon entretien d’embauche, qu’elle avait cette attitude bienveillante envers moi.
Nous avions pris l’habitude de déjeuner ensemble au restaurant d’entreprise, personne d’ailleurs n’aurait souhaité partager sa table. Au fil des jours, notre relation était devenue plus amicale que professionnelle. Il m’avait même plusieurs fois semblé qu’elle aurait aimé que nous ne soyons un peu plus que des amis, c’était peut être simplement une idée que je me faisais. Habitant toujours chez ses parents, elle ne pouvait guère recevoir, mais avait quelques fois fait allusion à une invitation de ma part à visiter mon appartement.
Mes relations avec les filles étaient assez normales et du genre épisodique, la chérie avec laquelle j’étais resté le plus longtemps, était retournée vivre dans son studio après presque huit mois de « vie commune ». Mes rêves sexuels les plus fous me guidaient vers la domination, mais je n’avais jamais osé aborder le sujet avec mes ex. Pour moi, hormis nos relations professionnelles, Shéranaki n’était qu’une amie. Nous ne nous étions jamais vu en dehors du travail, mais pourquoi ne pas tenter ma chance avec elle ?
Lors d’un déjeuner le vendredi suivant, elle me reparla de cette envie qu’elle avait, de voir où je vivais. Saisissant la balle au bond, je lui proposai :
— Demain c’est ma fête, si tu veux, je t’invite chez moi.
Elle accepta sans même prendre le temps de réfléchir.
— Mais il y a une condition ! Continuai-je.
— Dis toujours. Me répondit-elle.
— Ici, c’est toi qui commandes, mais chez moi, je suis le seul maître à bord. Si tu viens, tu devras m’obéir en tout point. Je te préviens d’avance que tu ne trouveras pas le Joshua que tu connais au travail.
— C’est d’accord. M’annonça-t-elle tout aussi rapidement.
Comme notre repas touchait à sa fin, je lui proposai :
— Comme c’est ma fête, inutile de m’apporter quelque chose. Comme cadeau, je veux que tu viennes dans une tenue plus sexy que ton « uniforme » de travail. Et à 20 heures précises.
Elle éclata de rire, en me confirmant son accord.
Le lendemain à l’heure dite, j’entendis le carillon de mon appartement résonner. Après avoir constaté qu’elle avait bien répondu à mes demandes vestimentaires, je lui proposai d’entrer.
Le repas se passa sans rien de spécial, sinon de banales conversations comme peuvent le faire deux amis. La seule particularité, était qu’il ‘était entièrement déroulé au champagne. Sans connaître ses goûts dans ce domaine, j’étais vraiment bien tombé, elle en avait bu plusieurs coupes avec un réel plaisir.
C’est au moment du dessert que j’avais prévu de passer aux choses sérieuses. En prenant une voix plus sérieuse, je lui annonçai alors :
— Pour le dessert j’ai une petite surprise pour toi : mets ce foulard sur tes yeux, et je ne veux plus t’entendre parler, sauf si je t’interroge. Soit tu joues le jeu avec ce bandeau, et tu devras faire tout ce que je demande, soit la soirée se termine maintenant, et tu rentres chez toi.
A ma grande surprise, elle plaça le bandeau sur ses yeux, et attendit sans rien dire.
Il fallait à présent que je joue sérieusement mon rôle de Maître débutant, et que je vive mes fantasmes.
Je la guidai au centre de la pièce, et lui demandai :
— Commence à déboutonner ton chemisier.
C’est là que tout allait se jouer. Sois elle m’obéissait, sois elle partait en claquant la porte en me traitant de malade.
Une fois encore, elle me surprit en approchant ses mains de son corsage. Le temps que je réalise, la moitié des attaches étaient ouvertes. J’avais également prévu, lorsqu’ elle aurait les yeux bandés, de prendre des photos souvenirs de cette séance. Quand je fus enfin prêt avec mon appareil, son chemisier était totalement ouvert.
Un magnifique soutien gorge rouge m’apparu alors, d’une taille qui ne paru guère adapté, car ses seins semblaient vouloir jaillir de leur carcan dés la première occasion.
La prude Shéranaki du travail cachait bien son jeu, ou alors elle avait fait un effort pour cette soirée.
Je passai alors derrière elle, et tirai doucement le fin vêtement de ses épaules vers ses bras. Elle ne marqua pas d’opposition, et le corsage chuta alors lentement vers le sol. Sa poitrine, que j’estimai à 95 C, voulait vraiment se libérer de son entrave.
— Tu fais pareil avec ta jupe à présent.
Je m’étais placé face à elle, et continuai mes prises de vues. Shéranaki dut faire un léger effort avec son bassin, pour que la jupe rejoigne le chemisier.
Elle était à présent demi nue devant moi, dans un magnifique ensemble vermeil des plus sexy qui soit. Heureusement qu’elle avait les yeux bandés, car elle n’aurait pas manqué de voir la bosse qui déformait l’entrejambe de mon pantalon. Mais je pouvais constater à son sourire, qu’elle devait bien se douter de ma réaction. Même dans mes rêves, je n’aurais jamais pensé vivre cela réellement.
Je la laissai alors quelques minutes ainsi, le temps de prendre d’autres photos. Mais je n’allais pas m’arrêter en si bon chemin.
— Dégrafe ton soutien gorge.
Après un léger temps de réflexion, elle mit mes désirs à exécution. Il ne me restait qu’à tendre la main pour ôter ce cache, et découvrir sa magnifique poitrine. Attrait auquel je ne pus résister longtemps, le haut rouge échoua près du reste de ses habits.
Lorsque ses seins furent totalement dévoilés, Shéranaki eut un petit geste de pudeur pour essayer de les masquer. Je l’arrêtai immédiatement d’un « Tst, tst » assez sonore. Son mouvement s’arrêta immédiatement en plein élan, puis ses bras redescendirent le long de son corps.
Son sourire disparut aussitôt, le jeu semblait aller plus loin qu’elle ne le pensait, mais elle n’eut pas le courage de me le dire.
- Il ne te reste plus qu’à descendre ton string.
Son temps de réaction fut assez long, il fallut cette fois que j’intervienne sèchement pour qu’elle termine son strip-tease.
— Dépêche-toi, j’ai horreur qu’on discute mes ordres.
Lorsque l’ultime vêtement vint rejoindre ses congénères, Shéranaki serra imperceptiblement ses cuisses.
Ma réaction fut immédiate.
— Qui t’a autorisé à resserrer tes cuisses, écartes tes genoux.
Je me surpris moi-même par ce ton autoritaire, intonation qui impressionna également Shéranaki. Ses articulations s’écartèrent alors l’une de l’autre, malgré sa volonté.
Nouvelle pose immobile, nouvelles photos, et toujours pas un mot de ma « victime ».
Je la dirigeai alors vers ma chambre, et lui intimai l’ordre de s’allonger, en mettant ses mains derrière sa tête.Quand Shéranaki fut en position, je m’assis à côté d’elle et plaçai une main sur ses cuisses. Je restai ainsi quelques instants à la caresser doucement. Puis je mis également l’autre main entre ses cuisses, pour l’obliger à les écarter davantage. Quelques secondes plus tard, j’avais obtenu ce que je voulais : des cuisses bien ouvertes.
Je vis que Shéranaki était gênée par cette situation, mais peut être également chaudement troublée, car sa respiration me semblait plus haletante. En tout cas, elle n’avait plus l’air d’avoir envie de me résister.
Maintenant, tu devras toujours garder jambes écartées l’une de l’autre, quelle que soit ta position, assise, debout ou encore couchée.
J’alternai alternativement mes caresses de ses cuisses, à son mont de Vénus et à ses seins. Mes câlineries étaient plutôt des frôlements, des effleurements qui eurent le don de l’exciter au plus haut point. Stoppant net mes gestes lorsque je vis qu’elle commençait à être trop excitée, je lui demandai alors de se coucher sur le ventre. Elle avait déjà oublié mes recommandations, je dus les lui rappeler.
— Écartes tes jambes. C’est la dernière fois que je te le dis, la prochaine fois tu seras punie.
Elle était aussi magnifique du côté pile que du côté face. Il fallut que je fasse un gros effort pour ne pas lui sauter dessus immédiatement. Mais le but de cette soirée n’était pas que je prenne rapidement mon pied, il fallait que je lui fasse apprécier cette situation, pour qu’elle revienne, et que je puisse aller encore plus loin. Je n’en n’oubliai pas pour autant de faire quelques clichés supplémentaires.
Plusieurs minutes se passèrent avant que je ne continue mon plan d’attaque.
— Remets-toi à nouveau sur le dos.
Elle obéissait toujours à mes ordres sans une réflexion, mais une nouvelle fois sans écarter les cuisses.
— Tu as du mal à comprendre, tu seras donc punie.
Elle saisit trop tard, mais finalement ouvrit ses jambes.
— Après avoir découvert ton corps, je veux maintenant que tu me dévoiles ton âme.
Je vis dans son visage une réaction de surprise, peut être la première réelle de la soirée. Elle pensait peut être qu’à présent j’allais lui faire l’amour, ce n’est pourtant pas l’envie qui m’en manquait. Mais ce que je désirais, c’est connaître sa sexualité, afin de pouvoir en tirer parti.
Je lui posai alors d’innombrables questions sur sa vie sexuelle. Elle répondit à toutes mes interrogations, même si parfois je sentais une vive réprobation de sa part.
J’appris alors qu’elle avait fait l’amour pour la première fois à 15 ans, avec un garçon de son âge. Qu’elle n’avait connu que quelques garçons auxquels elle ne s’était pas attachée. Qu’elle n’avait jamais eu d’expériences à plusieurs, ni avec d’autres filles. Qu’elle ne se masturbait pas, et qu’elle n’avait jamais accepté la fellation ni la sodomie, et bien d’autres particularités qui me serviraient une prochaine fois, si elle consentait à revenir ici.
Je n’avais pas cessé mes caresses durant tout ce temps, afin de la garder dans un état d’excitation intense. Maintenant que je savais tout ce que je voulais, il était temps de bien finir cette soirée. J’appuyai alors mes caresses, et en quelques secondes, elle eu un orgasme assez intense.
Je l’embrassai alors tendrement en lui retirant son bandeau, et en lui disant.
— Je te remercie pour cette soirée, maintenant il est temps que tu retournes chez toi. Si cette soirée t’a plu, tu pourras revenir, mais tu sauras à présent ce qui t’attendra.
Elle se rhabilla, et m’embrassa tout aussi tendrement, puis quitta mon appartement toujours sans un mot. Depuis qu’elle avait commencé à se dévêtir, elle n’avait plus prononcé une seule parole.
Mesdames, merci pour vos commentaires: azkinato@hotmail.fr
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