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Un short LOVE, un short de pute.

Chapitre 1

Hétéro
Ceci est la suite de mon histoire "Un short" et dont le titre a été amputé.
Après deux séances en cabine du sex-shop ma putain est devenue bien docile, soumise, et ravie de ce qu’il lui arrive. Elle ne m’en veut pas de l’avoir forcée, bien au contraire, et je la sens prête à tout pour me satisfaire, me remercier d’avoir réveiller la salope qui sommeillait en elle.Je lui ai proposé de se retrouver le lendemain dans la salle commune et non dans la cabine particulière, on sera samedi, le jour de la semaine où il y a le plus de clients.Elle est hésitante et me propose de passer la soirée chez elle, et même la nuit, pour en discuter.Elle me sert un apéro au salon et va prendre une douche. Elle revient vêtue d’une nuisette transparente et d’un string. Elle s’agenouille entre mes jambes, pose sa main sur ma braguette et me caresse:— Tu as encore faim, salope?— Oui, mais je veux surtout voir ta queue, je suis sûre qu’elle est magnifique. — Elle n’est pas mal, c’est vrai, mais là j’ai peur qu’elle ne soit pas au meilleur de sa forme.— Laisse moi faire, je vais la requinquer.Elle me frotte, me fait durcir, et défait mon pantalon pour le baisser. Je porte un slip, pas un caleçon ni un boxer, et alors que j’ai peur qu’elle se moque de moi je la vois radieuse à la vue de mon petit dessous bien garni. Elle me masse à travers le tissu et voyant mon sexe à l’étroit dans sa prison elle soulève l’élastique. Ma queue s’empresse de sortir, à moitié, et elle m’arrache le slip pour la voir toute entière:— Ouah, cette bite mon salaud, elle est trop belle!— Content qu’elle te plaise, tu la préfères à celle de ton mari?— Oh oui, et surtout tu t’en sers beaucoup mieux.Elle m’avoue que son mec baise comme les lapins et que ça ne dure jamais plus que dix minutes. Je lui confie le secret de mon endurance, à savoir que je me branle avant, sans quoi belle et bonne comme elle est je ne tiendrais pas longtemps moi non plus.Elle m’a pris en bouche et je ne suis même pas sûr qu’elle m’écoute. Elle me fait une pipe fabuleuse, salive en abondance, et ses lèvres et ses mains coulissent merveilleusement sur mon manche:— Tu aimes la queue salope, je l’ai su dès que j’ai vu ton short "LOVE"; je l’ai immédiatement traduit dans ma langue et j’ai lu "PUTE", c’est ce mot que tu devrais inscrire. Tu t’es fait combien de mecs avec ton piège à queues?Elle m’explique que je suis un vicieux pour avoir des idées pareilles. Elle a trouvé ce short sur un marché, l’a trouvé rigolo, l’a acheté sans aucune arrière pensée, mais en y pensant elle reconnait que ça peut donner des idées à des vieux cochons comme moi et que du coup elle ne le remettra plus sauf à ma demande.Elle me pompe toujours mais je ne parviens pas à jouir et on arrête. Elle me ressert un apéro, prépare un plat vite fait et on dine. Je l’aide à débarrasser, faire la vaisselle, et elle m’emmène à sa chambre.On est couché, à poil, on s’embrasse, on se caresse, on se masturbe, et on discute du sex-shop et de ce que j’attends d’elle.Je lui explique le fonctionnement da la salle cinéma, lui dit que c’est un lieu de baise entre hommes; je n’y ai rencontré une femme qu’une fois, elle était accompagnée et m’a branlé et fait jouir sur ses seins devant son mec. Elle n’en revient pas que de telles choses se passent, en plein jour, en plein centre ville, puis se demande comment des homo pourraient s’intéresser à elle. Je lui donne alors la répartition que j’estime de la faune:— 10% de mecs hétéros, qui se branlent en solo, et qui seront ravis de sa présence.— 20% d’homos irréductibles et desquels elle ne peut rien espérer.— 70% de bi qui baisent entre hommes, faute d’avoir des femelles.Elle me questionne et je suis obligé de lui avouer que je suis bi, et que j’aime autant les mâles que les femelles. Elle est toute excitée à l’idée de toutes ces queues qu’elle pourrait avoir, à l’idée de voir des hommes forniquer entre eux; elle accepte ma proposition.A force de discuter, de se branler, je bande autant qu’elle mouille et on se fait une bonne baise qui se termine dans un 69 vorace.
On est au sex-shop avant l’ouverture, dans le parking privé, et elle se change. Elle a un chemisier et une mini jupe, sans rien dessous. On entre pile à l’heure, 14 heures, elle enlève sa jupe que je met dans mon sac avec mon froc, et dégrafe son chemisier pour libérer ses belles mamelles. Je lui fais visiter les salles dans la pénombre à laquelle on s’habitue; les clients commencent à arriver.Je la force à me suivre et les aborde tous leur disant que s’il veulent se faire pomper par une bonne salope gourmande ça commence dans quelques minutes, dans le couloir. Il y a en effet un glory-hole qui donne dans un couloir et je la fais s’installer derrière la paroi. Il y a déjà deux mecs qui attendent et le premier se plaque de face au mur pour engager son membre dans le trou. Je suis à côté de lui pour m’assurer qu’elle le suce et il me confirme que oui, et même très bien. Je lui précise alors que c’est ma pute, à haute voix pour qu’elle entende, et lui donne les conditions: il ne doit pas la monopoliser, dix minutes maxi, pour laisser la place aux autres. Par contre il peut jouir sans problème, vider ses couilles dans sa bouche de putain assoiffée de foutre.La file s’allonge dans le couloir, les bites défilent dans sa bouche, certains déchargent, les autres reprennent la file pour une deuxième et même troisième chance. Je repars régulièrement dans les salles à la recherche de nouveaux arrivants susceptibles de gaver ma salope.Les heures passent et elle a du soulager une quinzaine de paires de boules. Il n’y a plus personne dans le couloir, elle a épuisé tous les volontaires, et je l’emmène dans la grande salle hétéro. Il y en a qui se branlent en solo mais qui ne veulent pas sortir de leur fauteuil ou banquette. Alors s’il ne veulent pas venir à elle c’est elle qui va venir à eux. Elle est à quatre pattes, je la prend par les cheveux et la guide vers ses nouveaux clients. Ils vont tous se laisser faire et elle va tous les pomper à fonds à la vue de tous et non plus en cachette. Elle a du se faire tous les hommes, à part les homos 100%, il ne reste plus que moi et je vais lui baiser la gueule dans l’endroit le mieux éclairé, que les voyeurs soient le plus nombreux à admirer cette chienne soumise.
On se rhabille et je l’emmène chez moi. Je lui avait demandé de compter le nombre de queues qu’elle allait bouffer et elle m’en avoue 23 dont 18 bien juteuses. Je la félicite, lui roule des pelles en récompense, lui dit qu’elle est une fabuleuse pute et que je compte sur elle pour encore se surpasser. Je lui donne mes directives pour les jours à venir. Je lui laisse le dimanche tranquille mais dès lundi on reprendra nos cinq à sept, non pas dans la cabine parce que ça va me revenir cher, non pas chez elle pour ne pas que ses voisins se posent des questions sur ma présence, mais chez moi. Elle est d’accord et on va s’offrir cinq chaudes séances jusqu’au samedi où je lui ai réservé une autre après midi sex-shop. Cette fois-ci ce n’est pas uniquement sa bouche que je veux qu’elle offre, mais aussi et surtout sa chatte et son cul. Je fais le tour de la clientèle en sa compagnie pour les appâter et très peu refusent cette incroyable occasion. Comme il y a huit jours ils n’ont droit qu’à dix minutes en continu, avec possibilité de revenir, et ils peuvent, c’est même conseillé, éjaculer dans ses putains d’orifices de chiennes en chaleur. Il y a une salle avec un lit, assez bien éclairée par des spots, et c’est là qu’elle va s’offrir; Elle est à quatre pattes sur l’angle du lit et les hommes vont pouvoir la prendre en levrette, la baiser ou l’enculer à leur choix, puis venir dans sa bouche. Ils ne s’en privent pas, ils déchargent dans son ventre ou entre ses reins pour la plupart, dans sa bouche pour les autres, encore plus nombreux que la première fois. Elle se fait remplir de partout, nettoie toutes ces queues souillées du sperme des autres, se fouille la chatte et le cul et suce ses doigts pour ne rien perdre de toutes ces bonnes semences.On cesse faute de combattants, après que je sois le dernier à la farcir, et on va chez moi.
Je la félicite à nouveau et c’est elle qui me remercie pour lui apporter ces plaisirs interdits qu’elle n’aurait jamais osé imaginer.Je lui laisse toujours son dimanche libre et lui donne rendez-vous pour lundi à dix-sept heures. Elle me dit, sans vouloir me vexer, qu’elle aime bien nos tête à tête mais qu’elle préférait la cabine avec une autre bite en supplément. Je lui propose alors de se retrouver chez moi à trois ou quatre, avec d’autres partenaires que j’aurais soulevé au sex-shop.Elle est partante pour des séances à quatre, avec trois queues, une pour chacun de ses orifices. Puis elle me demande une faveur: je lui ai dit que le sex-shop était un lieu de rendez-vous entre hommes mais elle n’a pu le constater puisque tous ceux qu’elle a vu ne se sont intéressés qu’à elle. Elle me demande alors de choisir des hommes bi comme moi, vieux et vicieux comme moi, et de lui offrir un spectacle de baise cochonne entre mâles pervers.Je connais deux salauds aussi putes que moi et qui répondent à son souhait. Je vais repartir au sex-shop et leur proposer notre plan sachant qu’ils vont accepter sans hésitation.
A suivre......................
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