Après notre première baise, je rentre chez moi, et je ne cesse de penser à elle. Elle m’a promis de m’écrire, et je consulte ma boite sans malheureusement aucun succès. Je me couche seul, on fait chambre à part avec ma femme, et je me caresse, vu que je n’arrive pas à dormir.Deux heures du matin, je me lève et allume mon micro. Toujours pas de message. Je n’en peux plus, et c’est moi qui lui écrit: "Ma belle salope,Je suis seul avec ma queue bien bandée, et je pense à toi. Tu m’as promis de m’écrire, mais je n’ai rien de toi, petite pute.J’ai envie de toi, envie de ta bouche, envie de ton cul.Ca me fait penser que je ne me suis pas occupé de ta chatte! Je réparerais cette erreur la prochaine fois. Je me suis éclaté à t’enculer, il est trop bon ton cul, bien étroit, bien serré, et il me donne l’impression d’avoir une très grosse queue. Par contre je regrette d’avoir accepté de mettre une capote; je n’ai pu apprécier le soyeux et la chaleur de ton petit trou à bites. Si tu me fixes un autre rendez-vous, ce que j’espère, je te sodomiserai sans protection, et si tu ne veux pas de mon foutre dans ton anus, je terminerai dans ta bouche. Ca te rappellera le bon temps où tu suçais ton premier mec, et où tu aimais ça, salope.Ecris moi ma chienne, dis moi quand on se revoit, que je te casse le cul puis remplisse ta bouche de mon sperme pour te le faire bouffer.Je me branle pour toi, mais je vais éviter de me faire jouir. Je veux refaire mon plein de couilles, et me réserver pour toi.A bientôt salope, contacte moi, je sais que tu es en manque de queues.Bisous cochons." Je repars me coucher, et je parviens à m’endormir. Le matin, toujours pas de message. A midi, j’ai enfin un message. "Bonjour, vieux cochon,Désolée de ne pas t’avoir écrit plus tôt mais, en rentrant chez moi hier, j’étais à la fois heureuse et honteuse de notre rencontre. J’ai trompé mon mari pour la première fois, et n’étais pas sure de vouloir recommencer. Ce matin je veux t’écrire pour te dire qu’il me le faut le temps de réfléchir, et je vois ton message. Je le lis et mouille malgré moi.Tu es un salaud et sais trouver les mots pour me parler. Je me masturbe et ai envie de toi. Comme je te l’ai déjà dit, tu as raison, je suis une salope, ta salope, une pute, ta pute, une chienne, ta chienne. J’ai envie de toi, de ta belle bite qui m’éclate le cul, de tes grosses couilles qui se vident dans ma bouche. J’ai faim et soif de ta grosse queue.Je te donne rendez-vous lundi, au même endroit, à quatorze heures.J’espère ton accord.Peut-être que je regretterais mon envoi, mais tant pis, ce qui est dit est dit, et je m’y tiendrais.Bises mon hommeTa salope soumiseCarole" Je lui réponds pour lui donner mon accord. Arrive l’heure tant attendue, et à peine les toilettes refermées elle est en position pour que je l’enfile. Je trempe rapidement ma queue dans sa chatte que je devine dégoulinante, puis j’enfile son petit trou sans préparation. Elle pousse un cri étouffé dont je me fous, et je commence mon matraquage:— Tu aimes ça salope, dis le moi.— Oui, c’est bon comme tu m’encules, vas-y, défonce moi, mais n’oublie pas, tu ne jouis pas dans mon cul.— Pas de souci, je sais que tu as envie de bouffer mon foutre.— Oui, je veux te pomper à fonds, vider tes grosses couilles bien pleines, avaler tout ton sperme. Mais avant il faut que tu m’encules bien.Je la lime à grands coups de reins, rapides et profonds, puis je me retire pour lui offrir ma bite à sucer. Elle se jette dessus et me la pompe avidement, en la gardant toujours dans sa bouche, pour être sûre de ne rien perdre au moment venu. Elle a une bouche géniale et je ne résiste pas longtemps. J’éjacule, de nombreuses giclées bien fournies, et elle engloutit tout jusqu’à la dernière goutte. Elle s’en va et me promet de m’écrire.Le soir même j’ai un message ardent de sa part, auquel je réponds aussi chaudement. Elle veut me revoir le mercredi, et on remet ça. On se revoit trois jours par semaine, durant trois semaines, puis on doit malheureusement stopper car son mari rentre en France. Il est là pour quinze jours, et on va devoir faire abstinence, à part quelques mails furtifs pour entretenir la flamme.Deux semaines se sont déroulées, son mec repart le dimanche, et on se voit dès le lundi matin. On est à nouveau aux toilettes, j’ai envie de sa bouche. Je pose mes lèvres sur ses lèvres, pour notre premier baiser auquel elle s’abandonne fiévreusement. Nos bouches se soudent en apnée, nos langues s’enroulent, ma main glisse sous sa robe et la sienne masse ma braguette. Sa culotte est mouillée, je bande dur et elle s’accroupit pour déballer mon paquet et m’accorder une divine fellation. Je lui fais remarquer que si elle me fait jouir je ne vais pas pouvoir m’occuper de son cul. Elle s’en fout, elle a soif de mon jus. Je décharge et elle avale. Elle me dit alors qu’elle a quelques courses à faire, juste une petite heure, le temps que je reprenne des forces, et me demande de l’attendre pour l’enculer. Elle est trop chaude pour que je refuse. Je patiente dans ma voiture, près de la sienne, je la vois enfin revenir, et on repart dans notre lieu de débauche. Je lui éclate le fion et termine dans sa gorge offerte. Elle me donne rendez-vous en début d’après-midi, et on remet le couvert. On se revoit fréquemment, pour des baises rapides qui ne nous suffisent plus. On veut s’aimer plus longuement, entièrement nus, dans toutes les positions.On ne peut toujours pas se recevoir, moi à cause de ma femme, elle à cause de ses voisins, et il nous faut trouver une solution autre que l’hôtel qui ne nous convient pas. J’ai alors une idée, en espérant qu’elle soit d’accord.Je n’ai rien à lui cacher, lui avoue ma bisexualité dont elle doit se douter au vu de mes récits, et lui parle d’un ami qui serait sans doute bien heureux de nous recevoir. Elle est hésitante, veut en savoir plus sur lui, puis finit par accepter trouvant cela excitant.Il me reste à convaincre mon copain Jean-Claude de nous recevoir. A suivre...
