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Ta sieste

Chapitre 1

Hétéro
Une bonne heure que tu es parti faire la sieste. Je m’active dans le salon, mais c’est nul, je ne suis pas efficace. J’ai envie… et quand c’est comme ça... Allez, Mia, encore un effort, il va se lever...
Bon, c’est mort. Il faut passer au plan B… Je tourne la poignée en silence. J’entre. Te voilà étendu de tout ton long sur le lit, les jambes légèrement écartées, nu dans la pénombre. Ce n’est pas vraiment une surprise. Mmm j’aime ce frisson qui me traverse le dos. Mais... que vois-je ? Tu bandes déjà ! Parfait, ma tâche n’en sera que plus facile.
Allez hop, je grimpe sur le lit, m’installe entre tes jambes, prenant soin de ne pas les toucher, pour l’instant... J’attaque avec la langue, direct, à la base de ton sexe. Il est chaud, pas complètement dur encore. Je monte lentement, redescends un peu. Ne va pas trop vite quand même, Mia.
Hi hi un petit sourire s’étire sur tes lèvres. Tu gardes les yeux mi-clos pourtant. Petit coquin, tu sais où je vais, mais tu ne bronches pas. Surtout ne pas m’interrompre ! Finement joué, mais c’est ta bite qui te trahit ! La voilà qui bondit dans un soubresaut incontrôlé. Merde je l’ai ratée. Bouge pas mon coco. Au prochain coup, je serai prête. Ma langue est maintenant presque au gland. Là. Deux-trois petits coups à la base du gland devraient faire l’affaire. Hop, elle saute à nouveau ! Slurp, je l’ai eue ! Et me voilà à quatre pattes entre tes jambes, ta queue dans ma bouche.
Je te suce lentement, sérieusement, avec application. Je sens ton chibre vrombir de contentement, maintenant bien dur, bien dressé. Ses veines palpitent. Tu ondules doucement, presque imperceptiblement. Tu m’excites. Putain ce que j’ai envie ! Sous mes lèvres, passent le gland, la verge. Je les aime ces deux-là. J’aime les visiter, et ils me le rendent bien.
J’en peux plus. De quadripod, je passe à tripod, sur un seul coude. Ma main descend le long de mon ventre. Je me découvre trempée mais bon, ça n’est pas une surprise. Petit coucou au clito, rhhhaaaa, doucement, Mia, ne va pas te faire jouir trop tôt ! Ah mon chéri... si tu savais me toucher comme je sais le faire ! Tu me ferais jouir beaucoup trop vite. Tu ne saurais pas t’en empêcher. Finalement ce n’est pas plus mal que tu sois aussi maladroit, attentionné et avide de me mener à l’orgasme. Ça dure plus longtemps.
Mes doigts glissent entre mes lèvres. Je les sens frissonner de plaisir, se refermer trempées sur leurs bourreaux. Tiens restons-y un peu. C’est si bon. Tu es bien éveillé maintenant. Tu te retiens de trop bouger. Pour l’instant, tu contrôles, alors si ça pouvait durer une éternité... Mmm j’atteins l’entrée du vagin, brûlante. Hop ! Une phalange, deux, pas plus. Y’a tellement à faire ici, hein, pas besoin d’aller trop loin trop vite. Pff je suis complètement inondée ! Les draps doivent morfler là-dessous !
Ah tiens, la dernière bouche est jalouse ! Ça m’aurait étonnée de sa part. La voilà qui se contracte en cadence. Allez Mia, opération bipod ! Je remonte mes genoux sous ma poitrine, écartant tes cuisses pour me faire de la place. Tu ne te fais pas prier. Hi hi je ne sais pas ce que tu imagines ! Heureusement que tu as les yeux fermés, parce que là, je ne donnerais pas cher de moi si tu me voyais faire. Ca y est, je suis en suspension, ta queue toujours fermement enserrée entre mes lèvres. Ma seconde main atteint ma hanche, mes fesses. Elle glisse le long du sillon. Le voilà, l’anus en folie : il crépite tel un feu de joie, tantôt béant, tantôt timide. J’approche la pulpe des doigts. Ca irradie de partout.
Facile pour moi de savoir quand il prêt. Je m’enfonce. Rhhhaaaaaaa, c’est trop bon. J’en ouvre deux fois plus la bouche de ravissement et te sens immédiatement remplir l’espace entrouvert. Coquin ! Je suis là, bouche bée, tout près de ton pubis, ta queue au fond de ma gorge, envahissante, étouffante, délicieuse. Je me retire, inspire, l’engloutis à nouveau. Tu m’accompagnes d’un coup de reins et me voilà collée à ta fine couche de poils, ta verge contre ma langue, ton gland fouillant ma gorge. Ton râle ne fait que confirmer ce que je sais déjà. Tu es au bord de... et je suis prête, ô combien prête !
Laquelle de mes bouches va avoir l’honneur de te mener à l’orgasme ? Je ne suis pas encore décidée. Je me relève, te tourne le dos, te présente mes fesses. Tu ferais mieux d’ouvrir les yeux à ce stade, sinon tu vas rater une partie du spectacle. Allez on va faire classique pour commencer. Je t’enfonce dans mon con. Mmmm ça glisse tout seul. Tu es bien raide, ça me traverse de partout. Pff purée que c’est bon, une heure que j’attends ça !
J’ondule, je vibre. J’ondule, je frémis. Allez, ouvre les yeux maintenant ! Accompagne-moi. Prends un peu l’initiative ! Regarde bien. Tu ne vois pas ? Là, entre mes fesses, au fond du sillon ? Il te fait de l’œil, il palpite, il t’appelle. Vas-y mon grand ! Mets-y les doigts. Tu vas voir, il est prêt, chaud et humide, bien serré. Allez, remplis-moi !
Enfin ! Tes doigts sur mes hanches. C’est mieux. J’ondule encore, me penche un peu plus, ouvre ces fesses comme je peux. Là, oui, là, mmmm tu y es. C’est bon ? Imagine ce que ce serait si tu y mettais ton chibre. Les sensations sublimes que tu aurais. Et cette vue ! Ta queue à moitié enfoncée dans mon cul, sucée, avalée, engloutie. Allez mon chéri, prends les commandes !
Non ? Toujours pas ? Je me soulève lentement, alors, et t’enfonce bien profond, une fois, deux fois. Tu joues des doigts en même temps. Bien. Une troisième fois, et tu frémis. Je me soulève une quatrième fois. Rhhhaaaaa ! C’est quoi ce coup de reins ?! Mmmm... Ooouuuh ! Me voilà sur le ventre, écrasée de ton poids. Grumpf, enfin. Alors, c’est quoi ton choix ? Je suis prête, bordel, c’est l’occasion ! Non ? Sûr ? Allez c’est pas grave, baise-moi le minou comme tu sais si bien le faire, jusqu’à ce que j’en jouisse…
Tu la kiffes ta sieste ?
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