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Un simple baiser

Chapitre 1

Erotique
Je côtoie Caroline depuis plusieurs années; Nous travaillons au sein de la même entreprise, un groupe international qui emploie 1400 personnes rien que sur notre site.
Quand elle a été embauchée, il y a 7 ans, c’était son premier job, je me souviens être passé dans le hall en arrivant comme chaque matin et l’avoir immédiatement remarquée au milieu de 8 nouveaux qui débutaient ce jour là.
Blonde, pas très grande, jolie sans être une bombe, quelque chose m’avait pourtant immédiatement touché chez Caroline sans que je puisse vraiment dire de quoi il s’agissait.
Au fil des années, nous avons parlé quelque fois, surtout pour le travail mais aussi à la cafétéria ou à la cantine; et puis il y a 6 mois, elle a été transféré dans notre service. C’était étrange, nous échangions souvent des regards mais l’un comme l’autre nous semblions gênés lorsque nous devions communiquer ou travailler ensemble.
Pourtant il y a un mois jour pour jour, ce fut différent. Je préparais le budget du département pour l’année prochaine et la direction avait changé d’avis sur plusieurs points importants l’après-midi même: j’étais bon pour refaire la moitié des calculs et j’en avais pour une partie de la soirée.
J’ai vu mes collègues partir un à un et à 20 heures 30 quand je me suis levé pour aller chercher une boisson, il n’y avait plus que Caroline à son poste.
— Moi: "Je vais au distributeur. Tu veux quelque chose ?".Elle m’a répondu sans lever la tête qu’elle boirait bien un peu d’eau.
Je suis revenu avec deux petites bouteilles et j’en ai posé une sur son bureau puis je me suis assis sur la chaise à côté de la jeune femme.
— Moi: "Tu en as encore pour longtemps ? Moi je ne suis pas prêt de partir !"
J’avais dit cela en me penchant en arrière, les mains jointes derrière la nuque et sans regarder Caroline. Surpris de ne pas entendre de réponse, je me suis redressé et j’ai posé les yeux sur ma collègue.
Elle s’était tournée vers moi et me regardait en silence. Je l’ai détaillée rapidement: elle avait noué ses cheveux, seules deux mèches entouraient son visage, laissant la peau claire de son cou refléter l’éclairage de notre open space; je l’ai trouvé encore plus séduisante qu’à l’accoutumée.
Elle portait un top brun au décolleté arrondi qui dévoilait le haut de ses jolis seins et un pantalon moulant beige assez court qui allait très bien avec ses chaussures à talons vernis. J’ai essayé de ne pas trop regarder ses fines chevilles dénudées même si je trouvais que c’était sans doute ce qu’il y avait de plus sexy dans sa tenue ce jour là.
Elle me fixait toujours, sans baisser les yeux et sans timidité contrairement à son habitude. J’étais surpris, charmé aussi, et à mon tour je ne savais plus quoi dire.
Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés ainsi, perdus dans le regard de l’autre. J’ai crains de briser ce moment mais c’était trop tentant: je me suis approché plus près d’elle et j’ai déplacé le revers de ma main près de la joue de Caroline. Quand j’ai senti sa peau contre la mienne, mon cœur a battu plus vite; la jeune femme a fermé les yeux et elle a penché légèrement son visage pour s’appuyer contre ma main. Je me suis alors penché vers elle jusqu’à avoir mes lèvres contre les siennes.
Elle les a légèrement écartées et j’ai senti la pointe timide de sa langue tenter de venir à ma rencontre. C’était aussi touchant qu’érotique; mon caleçon m’a semblé devenir trop petit mais pas autant que lorsque nous nous sommes encore rapprochés pour cette fois vraiment nous embrasser.
C’était un peu plus qu’un chaste baiser mais c’était malgré tout très timide. Caroline me plaisait trop, j’avais envie de plus.
Sans quitter ses lèvres, je l’ai saisie sous les cuisses et je l’ai soulevée pour la mettre à califourchon sur moi. La chaise a fait un bruit inquiétant et la jolie blonde a poussé un cri charmant autant qu’aigu. J’ai failli perdre l’équilibre et elle s’est retrouvée blottie contre moi, je sentais la chaleur de son ventre contre le mien et le frottement de sa poitrine contre mon torse à chacune de ses respirations, l’instant était délicieux.
Caroline a gémi en sentant que j’enfonçais ma langue plus loin dans sa bouche mais elle s’ est cambrée contre moi et elle a serré ses mains derrière mon cou en signe d’approbation.
Elle était tremblante dans mes bras, c’était bon de la sentir avoir autant envie que moi de ce baiser. J’ai fait remonter mes doigts le long de son dos, Caroline a soufflé puis elle m’a dit "encore" à l’oreille en murmurant.
J’avais envie de malaxer ses fesses, de caresser ses seins et de la dévêtir que ce soit dans cet ordre ou dans un autre mais cela viendrait plus tard; pour l’instant seule comptait la tendresse que nous partagions.
De nouveau Caroline s’est libérée de notre baiser, cette fois pour enfouir son visage dans mon cou en me laissant caresser sa nuque. C’est moi qui ait chuchoté, je lui ai dit qu’elle était belle et qu’elle m’avait toujours plu, depuis le premier jour ou je l’avais vu, 7 ans plus tôt, dans son tailleur gris avec ses chaussures bleues à talons.
Elle s’est redressée pour me regarder sans dire un mot puis elle a fermé les yeux de nouveau et elle s’est cambrée un peu plus m’offrant ainsi une vue parfaite sur son décolleté. Après avoir laissé mon regard s’y perdre un instant, j’ai tendrement posé mes lèvres sur les siennes. Nous avons échangés quelques baisers sensuels puis une dernières fois j’ai enfoncé ma langue dans la bouche de celle qui était en train de devenir ma maîtresse.
Elle m’a laissé maître de ce moment me donnant l’impression de déjà m’offrir plus que la plupart des femmes avec qui j’avais couché ces dernières années.
Je ne lui ai pas dit tout de suite mais je pense que c’est à cet instant que je suis devenu éperdument amoureux d’elle.
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