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Sissy à bord

Chapitre 4

Travesti / Trans
(... suite...)
Je passais le reste de la matinée à étudier les explications rudimentaires du set de maquillage, et fit quelques essais, mais le résultat était clownesque, heureusement qu’il y avait une petite bouteille de démaquillant compris dans le set !
L’après-midi j’aidais en cuisine, puis en fin d’après-midi je me promenais sur le bateau, désœuvré. Entendant du bruit qui venait d’une pièce proche du réfectoire, je m’y rendis. C’était une salle aussi grande, avec dans le fonds un vieille TV et quelques canapés, au milieu plusieurs tables, et de l’autre côté quelques baby foot et une petite bibliothèque avec quelques livres et quelques comics. Une des tables était occupée par quatre marins, qui jouaient aux cartes. Il y avait des pièces de monnaies, des cartes sur la table, et chacun avait cinq cartes en main. Il y avait le second, qui semblait gagner la partie vu le tas de pièces de monnaie plus important devant lui, deux autres marins que je ne connaissais pas, et Ron, qui me fusilla du regard dès que j’entrais. En plus il avait le moins de monnaie face à lui, je supposais donc qu’il perdait la partie. J’allais les laisser jouer et quitter la pièce, mais le second m’appela…
— Non, t’en vas pas ! C’est mon jour de chance aujourd’hui, je gagne du pognon et une jolie poupée, ha, ha, ha !
Je m’approchais. Je sentis les regardes des quatre hommes sur moi. Étrangement, je pus sentir les trois regards de désirs, et celui de dégoût. C’était différent. Les regards pleins de désirs me caressaient, m’entouraient, le regard plein de dégoût me rejetait, me piquait… Je portais les bottines, desquelles dépassaient des petites socquettes blanches, une jupe courte et un débardeur assorti, sous lequel on devinait un soutien noir et mauve. Sous la jupe un string assorti.
Je m’approchais du second, qui m’attrapa par la taille et me fit asseoir sur ses genoux. Je mis mes mains autour de son cou, pour ne pas tomber. Et parce qu’il était tellement viril. Dans ma tête, son sexe imposant fit son apparition… non, non, pense à autre chose !
— Je paye pour voir !
Des pièces atterrirent au milieu de la table, où il y en avait déjà quelques-unes, près du paquet de carte. Le second tenait d’une main ses cartes, son autre main venant se poser sur mes fesses, les caressant virilement. Le premier marin laissa tomber ses cinq cartes sur la table, sans les retourner…
— J’ai rien…
L’autre marin montra son jeu, étalant les cinq cartes face visible.
— Paire de 10 à l’as…
La main du Second malaxa mes fesses, plus virilement, avec force. Le rouge me montait aux joues, je tentais de rester concentré sur le jeu que je découvrais. Ron dévoila ses cartes, un sourire aux lèvres.
— Hé, hé, à moi le flouze les gars ! J’ai un brelan de dames !

La main du Second passa sous le string, suivant mon sillon, tournoyant autour de mon anus. J’essayais de rester concentré, mais ça devenait de plus en plus difficile. Je ne pouvais ignorer mon sexe de plus en plus dressé, ces papillons dans le bas-ventre… Il regarda encore quelques instants les trois dames posées sur la table, et le sourire victorieux de Ron…
-Bien joué, Ron. Vraiment, beau jeu…
L’autre s’apprêtait déjà à ramasser les pièces au milieu de la table…
— … c’est juste dommage que ton brelan vaut moins que mon full de roi par les valets !
Et une à une il montra ses cinq cartes au reste de la table… le roi de pique, le roi de carreau, le roi de cœur, le valet de trèfle et le valet de pique… Le sourire de Ron se figea alors que celui du Second s’agrandit.
— Je pense que j’ai encore gagné !
Ron frappe ses deux mains sur la table, le rouge aux joues. Mais lui c’était pas d’excitation, c’était plutôt de colère !
— Ce… ce n’est pas possible ! Cette malchance ! C’est… c’est de sa faute ! Faut la foutre par-dessus bord !
Il me pointait de son doigt, le visage de plus en plus ivre de colère. Je voulus me lever, et partir, mais le second me retint sur ses genoux. Il me caressa les cuisses, puis l’entrejambe, bien en face de Ron.
— Tu sais bien que ça n’a rien à voir. Et gare à celui qui la touche. Vous avez vu comme elle est jolie…
Il continua à me caresser, dévoilant mes fesses en relevant la jupe, mon ventre en relevant le débardeur…
— Moi elle m’excite cette poupée… et celui qui y touche aura à faire à moi, juré… et au capitaine aussi d’ailleurs…
Il parlait calmement, continuant à me caresser, mais on sentait dans sa voix une fermeté, une assurance du genre « me cherchez pas ou vous me trouverez, et ça va faire mal » !
Ron le toisa, l’air mauvais, puis recula, faisant tomber sa chaise, et partit en claquant la carte.
Le Second n’y pensait déjà plus, continuant à me caresser. Je sentais la bosse dans son jeans.
— Et si tu ramassais l’argent pour moi ma jolie ?
Je me levais, puis me penchais vers la table, ramenant les pièces du milieu de table vers le paquet de pièces devant le second. Il y en avait beaucoup, incontestablement, il avait gagné la partie !
Pendant que je faisais ça, je sentis ses mains sur mes fesses, caressantes, malaxantes,… soudain, il tira sur mon string, et ensuite il déplaça la languette sur le côté, sur ma fesse droite. Il me tira ensuite par les hanches vers lui… je sentis directement qu’il avait sorti son membre bandé de son jeans, lorsque le gland toucha mes fesses… quelle sensation électrisante ! Les deux autres marins n’en croyaient pas leurs yeux ! Il écarta mes fesses, plaçant son sexe bandé sous ma rondelle, puis me souffla à l’oreille, assez fort pour que les deux autres l’entendent « Et si tu t’asseyais, maintenant ? »
J’obéis… son gland pénétra doucement mon anus, puis, m’asseyant sur lui, sa hampe… je ne pus réprimer un soupir de plaisir en sentant cette bite énorme me remplir petit à petit. Heureusement que j’avais déjà l’anus un peu ouvert grâce aux pénétrations des jours précédent, sans quoi il’ m’aurait fait mal, vu sa taille et le fait qu’il entre en moi à sec… Finalement, je me trouvais totalement assis sur lui, lui fiché en moi, tandis que mon sexe éjaculait dans le string noir et mauve… Les deux autres marins n’en croyaient pas leurs yeux ! Le Second, me prenant par les fesses, commença à me faire coulisser le long de sa bite bandée, et les sensations étaient exquises ! Totalement dominé par lui, totalement remplit par son membre dur et bandé, et en plus observé pendant que je me faisais prendre, tout cela m’excitait au maximum… pris par l’ivresse du plaisir, je rejetais ma tête en arrière, cherchant la bouche du second… nous nous embrassâmes, passionnément, puis il me poussa contre la table, se levant, pour pouvoir mieux s’enfoncer en moi, accélérant ses mouvements, me tenant par les hanches, me dominant… je vis les deux autres marins qui caressaient les bosses que formaient leur pantalon… je les invitais à venir vers moi… ils ne se firent pas prier… le premier arriva sur ma gauche, déboutonna son pantalon, et sorti son membre bandé… je léchais sa hampe, puis son gland, et rapidement, un coude sur la table pour maintenir mon équilibre, le fit entrer dans ma bouche… je voulais être rempli par ces sexes bandés, je voulais les sentir en moi ! Je le suçais, tandis que le Second ralentit ses mouvements, pour ne pas me déséquilibrer… au lieu de la vitesse et de la force, il tournoya en moi, s’enfonçant lentement, mais profondément… Le marin que je suçais n’avait pas beaucoup de résistance, et au bout de quelques minutes, il jouit dans ma bouche. J’avalais sa crème salée avec gourmandise, léchant encore son gland jusqu’à la dernière goutte… L’autre marin lui fit une réflexion sur le fait qu’il n’avait pas tenu longtemps, mais je ne fis pas vraiment attention, le Second accélérant à nouveau ses coups de boutir, avec force… Je réussis néanmoins à me tourner sur la droite, me mettant sur mon autre coude, pour me trouver face au second marin, qui s’astiquait doucement son sexe bandé, entièrement glabre, sans un poil… il s’approcha pour que je puisse le lécher, puis l’enfourner… Le Second ralentit à nouveau la cadence, pour que je puisse sucer le marin à son aise… Il ne dura pas longtemps non plus, se vidant dans ma bouche. Je le léchais aussi jusqu’à la dernière goutte, puis le lâcha… le second repris sa cadence infernale, allant et venant en moi avec passion, jusqu’à ce que je sente son sexe battre en moi, au fonds de moi, et que dans un rugissement de plaisir il se vide en moi, sa semence chaude me remplissant…
Lorsqu’il sortit de moi, mon anus béant vu la grandeur de son membre, je tombais à genoux, les jambes tremblantes, du sperme dégoulinant sur mes testicules et mes cuisses. Et cette impression de vide, encore plus immense ! L’avant de mon string était trempé de ma propre semence…
Le Second se rassit, reprit contenance (et son souffle), puis se rhabilla.
— Au fait tu sais jouer au poker ?
Je fis non de la tête, ayant moi plus difficile à trouver mon souffle.
— Flûte, il va nous falloir trouver un quatrième joueur !
Il tapota mes fesses, puis se leva, et partit à la recherche d’un autre joueur. Les deux autres marins m’aidèrent à me relever. Il fallait que j’aille me reposer là ! Je remis de l’ordre dans ma tenue, les remerciait, puis sortit dans le couloir. Je m’accrochais à la sorte de rampe, le roulis était plus fort que d’habitude, j’avais les jambes tremblantes, et mal au derrière ! Il n’y avait pas été de main morte, le Second, et quel membre il avait ! J’aurais de la chance si je pouvais m’asseoir sans mal demain ! Je descendis péniblement l’escalier, mais soudain sentis une présence derrière moi…
Je n’eus pas le temps de me retourner… un filet m’entoura, et des mains me poussèrent sans ménagement vers le pont… Ils étaient deux, et je reconnus sans mal Ron.
— Mais… lâchez-moi ! Qu’est-ce que vous faites… mais…
Nous étions sur le pont. Le soir était tombé, et de gros nuages gris foncés-mauves roulaient sur le ciel… soudain, un éclair stria le ciel, suivit d’un redoutable grondement de tonnerre… Le roulis était vraiment très fort, et de grosses vagues s’abattaient sur le pont du bateau, le temps était mauvais, les vagues sur l’océan énorme !
Un frisson me parcouru l’échine… c’est vers le bord que nous allions… ils voulaient me jeter par-dessus bord !
— Mais vous êtes fou ? Qu’est-ce que… qu’est-ce que vous allez faire ???— Je vais sauver ce bateau petit. Désolé, mais ta place n’est pas ici ! Tu vas nous apporter le malheur !— Non ! Au secours ! AU SECOUUUUUUUUURS !
Je criais de toute ma voix, tandis que nous nous approchions du bord. Un nouvel éclair stria le ciel, suivi d’un coup de tonnerre. Je voyais avec effroi les vagues immenses, impossible de nager là-dedans, tomber à l’eau c’était la mort assurée ! Je tentais de me débattre, j’appelais de toutes mes forces…
— Ron ne fait pas ça !
Le Second apparut dans l’encadrement de la porte. Ron et l’autre marin me tenaient par les jambes et les épaules, j’étais contre la rambarde, un simple mouvement de bras de leur part, et j’étais à l’eau ! Le Second semblait très menaçant.
— Ecoute Bob, t’es le Second, tu dois comprendre ! Aucun marin ne peut accepter…
Un coup de feu fit taire le marin. Nous nous tournâmes tous vers le pont supérieur, où se tenait le Capitaine. Un pistolet à la main.
— Ron, écoute Bob et lâche le petit. Tu es le seul à t’en plaindre, et ce que tu fais, c’est de la mutinerie. Je ne permettrai jamais à aucun marin sous mes ordres de se mutiner…
Au mot mutinerie, le mari qui me tenait par les jambes me laissa tomber… et recula de quelques pas, se désolidarisant tout de suite de Ron, qui me tenait toujours par les épaules…
— Mais enfin, vous ne comprenez rien !
Soudain un éclair plus grand que les précédents déchira le ciel, et frappa le bateau. Au lieu du tonnerre on entendit un sinistre craquement, et un de ces gros câbles métalliques qui partait du pont supérieur et allait vers le bout du bateau, fut sectionné… il arriva droit sur nous ! De surprise Ron me lâcha, et je tombais sur mes genoux, mes jambes ne me portant plus. Je sentis le câble me frôler, suivi d’un cri, d’un drôle de bruit, puis plus rien… je me retournais, Ron avait disparu. Il y avait beaucoup de sang, sur la rambarde, sur le sol, et sur le câble, qui traînait au sol… Vu la violence du choc, les restes du corps de Ron avait dû être projetés à la mer…
Le marin, Bob, et moi nous retournâmes vers le Capitaine. Pour toute épitaphe, il eut ces mots :
— Le malheur frappe toujours celui qui l’appelle sans cesse… Bob, consigne la mort de Ron dans le journal des incidents. Dès que nous aurons touché terre, fait envoyer ses effets personnels à sa famille. Il faut aussi prévenir…
Je n’entendis pas le reste, tombant évanouis…
Je m’éveillais dans le lit du Capitaine. Il faisait sombre, le jour se levait doucement. Je l’aperçus alors, il était là, endormi, assis sur une chaise à quelque pas du lit. Il avait veillé sur moi. Il avait pris son arme pour me sauver, puis il avait veillé sur moi ! Cette pensée emplit mes yeux de larmes. Je me sentais vraiment aimé, et cela me toucha profondément, m’emplissant de chaleur… les papillons revinrent voltiger dans mon bas ventre… Je sortis silencieusement du lit, et m’agenouillais entre ses jambes. Très doucement, j’ouvris sa braguette, et sorti son membre, tout endormi… il ne lui fallut que quelques coups de langue pour qu’il prenne un peu de vigueur, et une mise en bouche pour le faire bander tout à fait… sa raideur amplement acquise, je me relevais, et l’enjambais, plaçant son gland gonflé de désir contre mon anus… puis m’assis lentement sur les genoux du Capitaine, m’empalant sur son membre raide, le sentant me pénétrer lentement… Mon dos reposait contre le torse puissant du Capitaine, je blottis ma tête dans son cou, et attendit… je sentis son pieu fiché en moi, mais ne bougeais pas, sentant toute les sensations de son membre veiné de chaire en moi, qui tressautait doucement… je sentis l’odeur de l’after-shave du Capitaine, la peau de ses joues avec sa barbe de deux jours, piquante et virile, blotti contre lui, j’embrassais doucement son cou, son menton, levant la tête pour atteindre doucement ses lèvres… était-il encore endormi ou faisait-il semblant ? M’aidant des accoudoirs de la chaise, je me fis coulisser, serrant mes muscles anaux autour de son membre, et je me fis monter et descendre, le branlant avec mon cul… avec mon intérieur, avec tout ce que j’avais… je me faisais coulisser le long de son membre dur et ça faisait un bien fou ! A lui aussi, même s’il faisait semblant de dormir, je sentais sa respiration et son cœur accélérer… je continuais, contractant au maximum mes muscles, sentant son sexe encore grossir et durcir en moi, il ne tiendrait pas longtemps ! Lorsque je le sentis battre en moi, je lâchais tout, le faisant s’enfoncer au plus profond de moi, me tassant sur lui… c’était si profond, avec son membre au maximum de sa raideur et de sa grosseur que j’en jouis instantanément, et lui aussi ! Je sentis sa crème chaude me remplir les entrailles, et l’embrassais encore, comme un fou. Il rendit mon baiser passionnément, puis il referma doucement ses bras sur moi, et nous restâmes comme cela, immobiles, moi blotti dans ses bras, son membre débandant doucement dans la chaleur de mon rectum, puis ressortant par mon petit trou huilé de son sperme…
Après un moment, je pus lui parler…
— Je… je suis désolé pour Ron… je ne voulais pas que ça lui arrive… c’était… c’était horrible !— Ce n’est pas de ta faute pour Ron. Il s’est mis lui-même dans les ennuis. Il était tellement buté, et superstitieux.
Je hochais la tête, sans rien dire.
— Tu sais, il devenait de plus en plus grincheux, et réticent à obéir. Il devenait un problème, et j’avais déjà écrit à la compagnie pour demander sa retraite anticipée. C’est vraiment con qu’il ait fait une pareille connerie… tu te rends compte s’il avait réussi à te jeter par-dessus bord ? Je crois que je l’aurais…
Sa main caressa doucement mon visage… mon ventre… mes cuisses… puis il se leva, me prenant comme si je ne pesais rien, et me déposant sur le lit, ventre contre le matelas, fesses vers lui… il m’enjamba et frotta doucement son sexe entre mes fesses, caressant mes fesses, les malaxant, les rapprochant pour faire glisser plus aisément son membre, jusqu’à ce qu’il reprenne vigueur… puis il écarta mes fesses, et à nouveau m’enfila, faisant aisément pénétrer son membre raide dans mon petit trou encore mouillé de son sperme… il n’avait plus une érection aussi forte que la première, mais il était assez raide pour toucher à chaque coups de boutoir ce point sensible en moi, qui déchargeait des éclairs de plaisir dans tous mon corps, qui me faisait vibrer, qui m’envoyait au septième ciel… ses mains me tenant virilement par la taille, il s’enfonçait en moi, me faisant l’amour avec passion, ma tête dans son oreiller pour couvrir mes cris de plaisirs… j’étais à nouveau dans cet état d’orgasme permanent, mon sexe laissant couler sans arrêt un sperme très liquide, un feu d’artifice dans la tête… je ne le sentis même pas jouir, tellement j’étais dans les vapes de plaisirs…
Je me rendormis comme ça, tandis qu’il était toujours en moi. Lorsque je m’éveillais, il faisait clair, ça devait être le milieu du jour, et il n’était plus dans la cabine.
Le voyage continua à travers l’Atlantique, les jours se succédant les uns aux autres, comme les sexes que je suçais ou qui venais dans mes fesses... plus le temps passais, plus je sombrais dans cette frénésie sexuelle… je ne savais plus dire non, dès que je voyais une verge dressée, dès qu’on me caressait virilement, je fondais, les papillons se formaient dans mon bas ventre, et j’avais envie de sexe, j’avais envie de jouir… en plus j’avais appris à aimer le goût du sperme, à un point tel que rien que l’odeur me faisait bander… avec le temps et les hormones, je voyais également des changements, très lents, mais mon visage s’affinait, mes fesses et mes hanches s’arrondissaient, et mes seins gonflaient un tout petit peu, mes tétons devenant plus sensibles qu’avant… ces changements étaient très lents, mais m’encourageaient à devenir plus provocante, plus aguichante…J’apprenais aussi quelques bases de maquillage, léger, mais joli.
J’aimais attendre le Capitaine dans sa cabine, accroupi sur son lit, la croupe en l’air, offerte, le string soit sur les chevilles, soit en place mais avec la corde déplacée pour laisser mon anus libre… il me trouvait ainsi, dans cette position, en entrant dans sa cabine. Je savais que ça l’excitait, il sortait son membre, sans attendre, le faisait glisser entre mes fesses, avant de me pénétrer sauvagement, et de me faire l’amour avec passion, avant de se vider dans mon cul qui n’attendait que ça pour me faire jouir…
J’avais également remarqué que le Second passait aux wc tous les matins à la même heure. J’aimais également l’y attendre, assis sur un wc… Lorsqu’il entrait, j’ouvrais la porte de la cabine-wc… il venait jusqu’à moi, et tout obéissant j’attendais qu’il me regarde pour faire pipi, assis. Il sortait alors son membre, que je suçais, léchait, ce membre si gros, puis que je prenais en bouche, le suçant, caressant ses grosses testicules velues, jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche… j’avalais tout son sperme, lui léchant le gland pour bien le nettoyer… puis j’allais le lui tenir pendant que lui urinait…
Mais par-dessus tout, ma frénésie sexuelle me conduisait à chercher à avoir plusieurs hommes en même temps, c’est ce qui m’excitait le plus. La dernière fois que j’avais essayé de m’initier au poker, et j’avais perdu, je me retrouvais couché sur la table, sur le dos, les jambes en l’air. Jambes maintenues par le joueur qui avait remporté la mise, et qui ajustait son membre bandé en face de mon petit trou offert… il s’enfonça en moi, tandis que les deux autres joueurs se masturbaient, leurs sexes juste au-dessus de mon visage… je léchais leurs testicules, puis une hampe, puis l’autre, puis un gland, puis l’autre, puis de nouveau leurs testicules. Je n’avais pas le droit de les prendre en bouche, c’était la règle du jeu… mais lorsqu’ils éjaculèrent, j’ouvris grand ma bouche affamée, et ils éjaculèrent l’un après l’autre dans ma bouche, sur mes lèvres, sur mes joues… à ce spectacle, celui qui allait et venait dans mon cul se vida également, se poussant bien profond en moi… quel pied !
Je me souviens également de la soirée mémorable avant d’arriver à Bahia… Ce soir-là, je m’habillais de bas résilles les plus provocants, d’un ensemble corset et string mauve et noir avec beaucoup de dentelle, des escarpins à talon… et j’allais à la cantine, où quasiment tout l’équipage se réunissait pour prendre un verre tous ensemble. Ils étaient quasi tous là, et n’avaient d’yeux que pour moi. Je flirtais avec l’un, puis avec l’autre… sentant des mains, se perdre sur mes fesses, sur mes cuisses, sur mes seins… j’étais là pour leur plaisir et ils le savaient. Me sentir au milieu de tous ses mâles avides de sexe, comme une brebis perdue au milieu des loups, m’excitait terriblement. Les mains se firent plus pressantes, puis quelqu’un m’embrassa, une langue tournoya dans ma bouche, avec la mienne, puis une autre… soudain, je me sentis soulevé du sol, l’on me débarrassa de mon string et l’on m’assit sur le rail devant le passe plat, où d’habitude ils posaient les plateaux pour les repas… mes jambes pendants entre le rail, mes fesses dépassant derrière… bien vite un gland tiède et humide vint gentiment frotter mon anus… avant de le pénétrer… han, une verge tendue en moi, c’était si bon… je ne voyais que le rideau fermé du passa plat, sur lequel je posais mes mains pour garder l’équilibre, tandis que le gars allait et venait en moi, et que je sentais le regard des autres, et j’entendais leur commentaire grivois… le marin poussa un râle, et je le sentis se vider en moi… il se retira, et un second arriva, m’enfilant directement après… Mon rectum remplis de sperme, puis vidé de la présence de ce membre raide, puis à nouveau rempli par un nouveau… cela me fit jouir, mon sperme coulant de mon sexe bandé au sol…
Certains le remarquèrent, j’entendis une nouvelle série de commentaire grivois, puis j’entendis un déplacement derrière moi… quelque minutes après, un marin posa sous le rail, sous moi, une sorte de grand gamelle en fer… je n’y prêtais plus attention, car le second marin jouis en moi… il se retira, et un nouveau membre bandé m’enfila… ils allaient tous me prendre en ligne ! J’entendis derrière moi des rires, des chopes qu’on trinquaient, des bruits de conversation… et de nouveau un jet de sperme chaud en moi… et un sexe qui se retirait… du sperme coulait de mon cul, le long de mes fesses, de mes testicules, et gouttait dans la gamelle… Un quatrième marin se présenta, son gland se poussant en moi… quelle monstre ! Sans le voir, je reconnus le mandrin de Bob, le Second. C’était lui qui avait la plus grosse, et là, il me ramonait furieusement, son gros gland titillant comme un fou ma prostate… je jouis une seconde fois, mon sperme tombant droit dans la gamelle sous le rail… dans un râle, il jouit lui aussi en moi… il fut remplacé par un autre marin, qui fit gicler du sperme hors de mon cul bien rempli à chaque coup de boutoir… tous ce sperme gouttait dans la gamelle… Lui aussi se vida en moi… le suivant prit son temps, allant et venant très lentement en moi, mais très profondément… ma prostate et mon rectum sur-titillé me mettaient dans un état d’orgasme permanent, je perdais de plus en plus pied, mon sperme coulant doucement de mon sexe pourtant à moitié bandé… un autre marin vint, et lui ne tint que quelques minutes… mais déjà il fut remplacé par un autre…
Quel plaisir ! Tellement fort que j’étais entre la conscience et l’inconscience, tout mon corps n’étant plus que plaisir… les dix-huit ou dix-neuf marins présents, me passèrent l’un après l’autre dessus, et certains recommencèrent une seconde fois… finalement, je me sentis à nouveau soulevé en l’air, mon dos contre un poitrail puissant, mes jambes relevées, mon cul maintenu au-dessus de la gamelle… je sentis le sperme qui me remplissait couler en sens inverse, sortant de mon cul pour remplir la gamelle, qui était pleine de ce liquide blanchâtre… puis je me retrouvais sur les genoux au sol… ils vidèrent la gamelle dans une chope vide, qu’ils me donnèrent. Tous les marins avaient une chope de bière en main, moi celle de sperme…
— A mon signal, on fait tous cul-sec ! Trois, deux, un… et glou !
Tous les marins portèrent leur chope à leur lèvres, la bière s’écoulant dans leurs gosiers… je portais la chope pleine de sperme et la vidait aussi… il y en avait beaucoup, c’était fort et j’avoue écœurant, je préférais le sperme par petite quantité… mais je la vidais, j’étais dans un état second et je voulais leur faire plaisir ! Ils posèrent tous leurs chopes vides sur les tables, tandis que je terminais de vider la mienne, le sperme me remplissant l’estomac, sous les applaudissements et les coups de sifflet des marins… puis je titubais, groggy, littéralement ivre de plaisir, et l’anus douloureux, je titubais jusqu’à ma chambre et mon lit, où je tombais dans un profond sommeil.
Le lendemain, lorsque je me réveillais, le Capitaine était là. Il me regardait, et me sourit lorsque j’ouvris les yeux. Il me caressa tendrement la joue. Et me demande si je voulais rester avec eux. Nous étions occupés à accoster à Bahia. Nous devions y rester quatre jours. Et lui était là, à me demander de rester, laissant les commandes au second. Au début, lorsqu’ils m’avaient surpris comme passager clandestin, j’étais bien décidé à endurer cela le temps de la traversée, et une fois arrivé au Brésil, de donner corps à mon rêve. Mais j’avais tellement changé depuis. Et je m’étais aussi informé, sur le Brésil, et savais bien que jamais je n’aurais de concession pour un tenter de trouver un filon, cette époque était révolue depuis longtemps… Une partie de moi ne voulait pas abandonner le Capitaine, ses marins… et leurs sexes tendus, si bons ! J’acceptais donc la proposition du Capitaine.Durant les quatre jours sur place il me fit rencontrer son ami, le médecin, qui m’examina, et me donna d’autres produits. Ils discutèrent d’une certaine opération, qui était trop tôt pour le moment, puis parlèrent du bon vieux temps, tandis que je les suçais l’un après l’autre…
Nous quittâmes Bahia, et le cargo repris son chemin. Les marins m’avaient quasiment tous rapportés un souvenir de Bahia, qui une carte, qui un livre, mais en majorité, je reçus de la lingerie fine, des jupes courtes, et même une superbe pair de chaussure, avec un long talon, faites de fines bandelettes de cuir, de la part de Will et Mike… Nous voyageâmes durant des mois, le cargo quittant Bahia et remontant vers le canal de Panama, puis escale à Hawaï et route vers le Japon… du Japon nous traversâmes l’océan Pacifique vers la Malaisie, puis Singapour. De Singapour nous traversâmes l’Océan Indien, nous arrêtant au sud de l’Inde puis au Sri Lanka. Puis nous fîmes route vers la péninsule arabique, la mer rouge, le canal de Suez. Ensuite nous traversâmes la Méditerranée, avec arrêt à Barcelone, Gibraltar et Lisbonne… et puis de nouveau le Cap Vert, l’Atlantique et retour à Bahia…
Je fis le tour du monde avec eux pendant plus d’un an et demi. A chaque étape c’était chargement et déchargement de containers. Et les marins revenaient avec des sous-vêtements affriolants, des bas, des bustiers, des chemises de nuits, des déshabillés, des chaussures… que je mettais pour eux, les provocants, les masturbant, les suçant, leur offrant mes mains, mes lèvres, ma langue, ma bouche, mon cul… que ce soit un par un ou en groupe, je fis l’amour comme jamais durant cette année et demi… mon corps changea aussi, mes petits seins encore plus sensible, mes fesses plus généreuse, ma face plus féminine. Mes poils, coupés ne poussaient quasiment plus, et mon pénis bandait moi dur, mon plaisir et mes éjaculations ne venant plus que des sexes qui me pénétraient… l’orgasme anal, c’était divin, bien mieux que mes précédentes masturbations… je pouvais même jouir sans bander, ce qui me rendait aussi femme que leurs regards emplis de désir quand ils me voyaient… J’eus également le temps d’apprendre à mieux me maquiller, je reçu même un livre du doc à ce sujet, pour devenir expert en la matière, tous les conseils et astuces s’y trouvaient !
Je passais une année et demie délicieuse avec eux, mais à la fin, j’avais l’impression de tourner en rond. La routine commença à s’installer, et la routine ce n’est jamais bon, ça tue la passion… le Capitaine eut l’air triste quand je lui ai dit que je les quitterais à Bahia, mais il ne fit rien pour me retenir. C’est le seul qui me faisait l’amour différemment des autres… les autres m’aimaient bien, mais c’était toujours le désir qui les guidaient vers moi… pour le Capitaine, je sentais que c’était autre chose…Arrivés à Bahia, ils me firent tous un superbe cadeau d’adieu : ils se cotisèrent pour me payer une opération chez l’ami du Capitaine : de A, mes nouveaux seins passèrent à 95D… avec ça, et quelques vêtements emportés du bateau, je fis vite fureur ! Il suffisait que je me promène près des boîtes de nuit à la mode pour me faire accoster par de riches vacanciers ou hommes d’affaire, gagnant en une nuit des sommes affolantes ! Lorsque j’en eu assez, je quittais Bahia pour Rio de Janeiro. Là je recommençais à jouer la pin-up dans les boîtes branchées, ou sur les plages bien courues, jusqu’au jour où je tombais sur Eddy, qui après une nuit torride me proposa de travailler pour lui, pour un de ses films… Je commençais à tourner des films x sous un nom de scène encore inconnu à l’époque : Bahia Starr ! Le succès de mes films venant, après Rio ce fut Los Angeles, et ma carrière ne fit que monter, monter...
Voilà Steven comment tout a commencé, comment je suis devenu une des grandes stars du X et que j’ai pu gagner tant de prix et de récompense !
— Et bien merci Bahia de nous avoir accordé cette interview, avec comme question comment es-tu devenue la star que tu es aujourd’hui ... Quelle histoire ! Mais avant de redonner l’antenne à nos studios du « Journal du X », j’ai une dernière question. Même si l’événement a été très confidentiel, il paraît que tu as épousé en secret à Las Vegas un Capitaine de cargo, devenu depuis armateur ? C’est vrai ? C’est celui de ton histoire ?— Chuuuut c’est un secret ! Je préfère vous laisser imaginer !— Et bien, nous n’en saurons pas plus ! Merci encore Bahia Starr pour cette interview franche ! Ici en direct de Los Angeles, c’était Steven Goldbit pour le Journal du X !!!
(Fin !)
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